La Couronne de Cuivre

Hubert de Maleval
Demi-Céleste (sans signes apparents... pour l'heure)
Paladin de l’Aster niveau 12
Loyal bon
Né en Marpenoth 1347 (35 ans)
Roux aux yeux bleus

FO 14 (+ 4) = 18
CO 15 (+ 4) = 19
DEX 14 (+ 2) = 16
SAG 10 (+ 4) = 14
INT 12 (+ 2) = 14
CHA 14 (+ 4) = 18


Compétences (16 + 44 : 60)
(Int) Artisanat (Fabrication d’armures) : 6 (+2)
(Con) Concentration : 1 (+2)
(Int) Connaissances / noblesse et royauté : 2 (+2)
(Int) Connaissances / religion : 2 (+2)
(Ch) Diplomatie : 12 (+4)
(Ch) Dressage : 5 (+4)
(Dx) Equitation : 10 (+1)
(Sag) Premiers secours : 4 (+2)
(Sag) Profession (officier de la garde) : 12 (+2)
(Sag) Psychologie : 6 (+2)

Caractéristiques raciales
Résistance à l’acide, au froid, à l'électricité (10)
Vision dans le noir sur 18 mètres
Immunité aux maladies
Réduction des dégâts 5/magie
Résistance à la magie 21
Bonus racial de +4 de résistance aux poisons

Pouvoirs raciaux (sauf indication contraire, utilisables une fois par jour)
Châtiment du mal
Lumière du jour (à volonté)
Bénédiction
Protection contre le Mal (3x / jour)
Aide
Détection du Mal
Neutralisation du Poison
Soins Importants
Châtiment Sacré
Guérison des Maladies
Rejet du Mal
Parole Sacrée

Dons de classe
Aura du Bien
Détection du mal (à volonté)
Grâce divine (+3 à tous les jets de sauvegarde)
Imposition des mains (niveau x bonus de charisme par jour) (48 pv actuellement)
Aura de bravoure
Santé divine (immunité aux maladies)
Renvoi des morts-vivants
Châtiment du mal (3x/jour)
Destrier de paladin
Guérison des maladies (3x/semaine)

Dons
Arme de prédilection (épée longue) (niveau 0)
Combat monté (niveau 3)
Science du coup de bouclier (niveau 6)
Prestige (niveau 9)
Dos au mur (niveau 12)

Sorts de paladin (habituellement mémorisés)
Niveau 1 (2)
Bénédiction
Faveur divine
Niveau 2 (2)
Protection d’autrui
Zone de vérité
Niveau 3 (1)
Prière


Destrier de paladin
Grand Vent, étalon gris pommelé

Biographie
Hubert est né à Maleval, petit village situé au sud des Montagnes de Fer, en Marpenoth 1347. Troisième fils du forgeron, il comprend rapidement qu’il devra changer de profession ou quitter le village : en effet, ses deux frères aînés reprennent rapidement le flambeau paternel, avec brio de surcroît. Il a onze ans quand, au cours d’une opération militaire, des paladins luméniens viennent bivouaquer à Maleval. La guerre fait rage contre les Mélandiens, à l’époque, et toute la Côte de la Lumière est exposée à des raids meurtriers. Les paladins ne restent que quelques jours, mais c’est suffisant pour Hubert : il commence à s’imaginer des destins de chevalier. Ses parents y croient peu : ce n’est qu’un roturier, après tout, mais ils apprennent que l’Ordre de l’Aster, à Luménis, a l’habitude d’accepter quelques enfants du peuple à l’essai, pendant un mois ou deux, avant de décider s’ils ont l’étoffe des héros.
Voilà le petit Hubert envoyé à la commanderie. Et les choses se passent bien : il a l’air taillé dans le bon bois. Il devient écuyer, sert un chevalier, puis un autre, est adoubé paladin à son tour alors qu’il a tout juste 18 ans.
Sa voie semble toute tracée jusqu’à un épisode malheureux, à l’automne de l’année 1372.
Les paladins sont envoyés en renforts de troupes de l’armée régulière afin de mettre fin aux exactions d’une bande de brigands aux abords de la Forêt Maudite. Les méthodes utilisées par l’officier en charge de l’intervention, un certain Gareth Maelwedd, révoltent Hubert qui manque en venir aux mains avec lui. Les deux hommes sont renvoyés à Luménis et passent en cour martiale. Si on retire l’opération des mains de Maelwedd, la sanction est moins clémente pour Hubert, qui a manqué décapiter un supérieur devant témoins : il est condamné à l’exil.
Furieux de cette punition qu’il estime injuste, le paladin monte vers le nord. Loin de s’arrêter à Eredhun ou à Rohan, comme l’avaient imaginé ses amis de la commanderie, il va jusqu’à Solarcis, dans l’idée d’embarquer vers Féérune : telle est l’étendue de sa colère. Mais il est alors désargenté et la traversée est chère. De plus, sa rage a eu le temps de s’apaiser quelque peu. Aussi, lorsqu’il apprend que la garde seigneuriale recrute des chevaliers, il se présente. Il est d’emblée honnête avec Béranger, le maître de la cité. Il lui explique qu’il a été banni, qu’il est toujours paladin cependant, et Béranger l’inclut dans sa garde. Hubert est rapidement promu lieutenant et quelques années plus tard, il devient capitaine du Rayon.
C’est le poste qu’il occupe à l’arrivée d’Albérich dans la métropole du nord. La suite commence à Solarcis...

Hubert ignore qu’il a du sang céleste dans les veines, car aucun de ses parents ne s’en est jamais ouvert et il n'a pas (encore) développé de caractéristiques physiques particulières. Il a cependant remarqué qu’il voyait mieux dans le noir que la plupart de ses amis et soldats, ce qu’il a mis sur le compte d’un petit talent bien naturel. Il est également meilleur soigneur et meilleur lanceur de sorts que les paladins de son expérience, mais vu son isolement, il n'a pas pu véritablement réaliser que c'était là chose étrange...

-- Tant qu'Hubert et Albérich voyagent ensemble, ils sont joués sur le même compte, à savoir celui de Galathée --