Amarré aux quais de Lumenis, l'Eclat de Soleil est le batiment principal de la marine Lathandrienne. Il a été construit ici même, sur le chantier naval de Lumenis.
Sa construction a duré des années, puis il a été testé dans ses moindres recoins pour s'assurer de sa solidité, et de sa résistance. Le bois de sa coque a été travaillé et retravaillé pour résister aux avaries maritimes et au sel de la mer.
Sa voilure a aussi été tissée a Luménis, dans un souci de perfectionisme et de contrôle de la fabrication. Aucun vent ne pourrait déchirer pareil tissu.
Les armuriers et forgerons de Lumenis on pourvu l'Eclat de Solei de multiples canons sur chaque bord, afin de résister au abordages et de prendre part aux batailles si besoin est.
L'équipage de l'Eclat est grand, car il faut beaucoup d'hommes pour manier un tel batiment. Par tradition le capitaine de l'Eclat est le chef de la Marine Lathandrienne.
Une des particularités de l'Eclat, c'est que l'on peut trouver à son bord une petite chapelle dédiée a Valkur, afin de se protéger des tempêtes, même si certaisn marins prient en cachette Umberlie de les épargner.
Oyez, oyez !
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[Vaisseau] L'Eclat de Soleil
- Garfield
- Goule majeure
- Messages : 1994
- Enregistré le : jeu. 18 nov. 2004, 13:41
- Localisation : Paris
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- Statut : Hors ligne
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Le Haut-Conseiller Garfield se présentat tôt le matin sur la paserelle de l'Eclat de Soleil. Il était entouré d'une dizaine d'hommes, des gardes solidement batits, de quoi assurer sa sécurité en mer et sur terre. Au pire, les talents de bretteur de Garfield pourrait lui servir, il se sentait jsutement un peu rouillé...
Il embarqua sur le vaisseau qui mit les voiles en direction de la mer. Dans la cale se trouvaient leurs chevaux. Ce derniers ne semblait pas réellement apprécier le voyage en mer.
Le bateau devait faire route jusqu'a Avarelis, puis continuer jusqu'a Mélandis a cheval.
La cité de Lathandre s'éloignait petit à petit...
Il embarqua sur le vaisseau qui mit les voiles en direction de la mer. Dans la cale se trouvaient leurs chevaux. Ce derniers ne semblait pas réellement apprécier le voyage en mer.
Le bateau devait faire route jusqu'a Avarelis, puis continuer jusqu'a Mélandis a cheval.
La cité de Lathandre s'éloignait petit à petit...
Lies are never forgotten, they go on and they grow
Chat orange et D'Oghmatique.
Rodolpho Remington, barde/boulanger, s'exprime en FF99CC > Bio RP
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- Théobald Longuehune
- Personnage non joueur
- Gnoll
- Messages : 158
- Enregistré le : mar. 03 juin 2008, 17:54
- Localisation : Lumenis
- Statut : Hors ligne
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Le commandant Grégoire se tenait sur le pont du navire amiral de la flotte luménienne, observant sa cité qui s'éloignait dans le lointain.
Le nouvel ambassadeur en poste à Manost songeait à ceux qu'il laissait derrière lui mais, surtout, à la tâche qui l'attendait. Rien moins que renforcer les liens entre les deux cités. Par le passé, les rapports diplomatiques n'avaient pas été simples. Il y avait même eu une guerre. Et aujourd'hui encore, Manost avait signé des accords commerciaux avec Mélandis, ville avec laquelle les Luméniens se sentaient fort peu en adéquation, d'autant que des rumeurs circulaient selon lesquelles Morféa Nwalk aurait agi pour le compte de la cité du Chaos. Bien sûr, Manost avait envoyé un contingent pour aider Luménis à se débarrasser du tyran. Mais il se pouvait que ce ne soit qu'un épisode, et cela ne préjugeait en rien de la nature et de l'intensité des relations qui se noueraient, à l'avenir, entre les deux cités.
Autrefois, l'ampleur de la mission aurait écrasé Grégoire. Après tout, il n'avait été, durant la majeure partie de sa vie, qu'un obscur fonctionnaire sans titre ni grade. Mais la vie était passée par là, le propulsant sur le devant de la scène sans qu'il l'eut souhaité. Sans qu'il se soit défilé, cependant. Il savait que c'était grâce à ce qu'il avait démontré alors qu'il dirigeait la Résistance puis la ville libérée qu'on l'avait nommé. Il était également conscient de ce qu'il était devenu : un héros, même s'il ne se sentait pas tel. Les Manostiens ne pourraient néanmoins manquer de remarquer qu'on ne leur envoyait pas n'importe qui, mais bien un dignitaire de premier plan, signe manifeste de l'importance que le Conseil mettait dans le rapprochement souhaité avec la Citée Bénie.
L'ambassadeur sourit et se détourna du rivage qui s'amenuisait. Il avait accepté un bien grand défi, mais il se sentait prêt à le relever. De toute façon, tergiverser ne servirait à rien : bientôt, il serait à Manost, et les choses sérieuses commenceraient.
Le nouvel ambassadeur en poste à Manost songeait à ceux qu'il laissait derrière lui mais, surtout, à la tâche qui l'attendait. Rien moins que renforcer les liens entre les deux cités. Par le passé, les rapports diplomatiques n'avaient pas été simples. Il y avait même eu une guerre. Et aujourd'hui encore, Manost avait signé des accords commerciaux avec Mélandis, ville avec laquelle les Luméniens se sentaient fort peu en adéquation, d'autant que des rumeurs circulaient selon lesquelles Morféa Nwalk aurait agi pour le compte de la cité du Chaos. Bien sûr, Manost avait envoyé un contingent pour aider Luménis à se débarrasser du tyran. Mais il se pouvait que ce ne soit qu'un épisode, et cela ne préjugeait en rien de la nature et de l'intensité des relations qui se noueraient, à l'avenir, entre les deux cités.
Autrefois, l'ampleur de la mission aurait écrasé Grégoire. Après tout, il n'avait été, durant la majeure partie de sa vie, qu'un obscur fonctionnaire sans titre ni grade. Mais la vie était passée par là, le propulsant sur le devant de la scène sans qu'il l'eut souhaité. Sans qu'il se soit défilé, cependant. Il savait que c'était grâce à ce qu'il avait démontré alors qu'il dirigeait la Résistance puis la ville libérée qu'on l'avait nommé. Il était également conscient de ce qu'il était devenu : un héros, même s'il ne se sentait pas tel. Les Manostiens ne pourraient néanmoins manquer de remarquer qu'on ne leur envoyait pas n'importe qui, mais bien un dignitaire de premier plan, signe manifeste de l'importance que le Conseil mettait dans le rapprochement souhaité avec la Citée Bénie.
L'ambassadeur sourit et se détourna du rivage qui s'amenuisait. Il avait accepté un bien grand défi, mais il se sentait prêt à le relever. De toute façon, tergiverser ne servirait à rien : bientôt, il serait à Manost, et les choses sérieuses commenceraient.
Ils étaient quinze sur le coffre du mort
Oh hisse et une bouteille de rhum !
La boisson et le diable avaient réglé leur compte aux autres
Oh hisse et une bouteille de rhum !
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