Ici sont regroupées les hautes instances de Lumenis. On y trouve les principaux édifices politiques et culturels. C'est le lieu de rencontre des Luméniens les plus haut placés.[Quête : le châtiment de l'Aube]
La torture... Encore un moment agréable à passer. Mais ce n'était pas ce que Mornagest craignait le plus. La mort... Ombre constament penchée au-dessus de lui, depuis plusieurs mois, depuis son arrivée à Melandis. Et même bien avant... Toute sa vie semblait n'être qu'une tentative d'évasion de l'emprise de la Grande Faucheuse.
Il était effrayé à l'idée de périr en cet endroit minable, à la suite de longues heures de tortures déplaisantes. Mais lorsqu'on avait connu les geôles mélandiennes, ce cachot-ci semblait être un luxueux hôtel en comparaison.
Déjà, ils disposaient de ces fines couvertures... Pas d'eau par terre, ou si peu. Et enfin, à deux dans une cellule capable de les accueillir !
Ces luméniens étaient presque trop prévenants. Mornagest craignait la brutalité des sévices qu'il pourrait encourir afin de lui faire révéler... des choses qu'il ignorait parfaitement.
"Je ne sais pas. Cela ne m'étonnerait pas qu'ils nous fassent passer aux aveux - de quoi, je me le demande encore.
Quant à ce contact dont je vous ai touché un mot.. J'ignore jusqu'à son nom. Un mélandien, c'est tout ce que je sais. Et encore, peut-être est-ce une femelle. Je pense qu'il constitue notre seul espoir. Même si nous vivons la vie de château, les possibilités de s'échapper sont nulles... La porte est solide, et certainement gardée. Prenons notre mal en patience.".
Le contraste entre ses paroles, prononcées d'un ton monocorde, et la colère qui couvait en lui, l'étonnait lui-même. Il avait l'habitude d'être plus extraverti. Sans doute parvenait-il à contenir ses forces pour un moment plus propice à un déploiement brutal.
Oyez, oyez !
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[Bâtiment] Les Services de Renseignements Lathandriens
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Mornagest
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La biographie de Mornagest ainsi que ses quêtes et sa couleur RP #6C84FF ; la biographie de Henk et sa couleur RP #3BBB34
"Ne vous imaginez pas être différente de ce qu'il eût pu sembler à autrui que vous fussiez ou eussiez pu être en restant identique à ce que vous fûtes sans jamais paraître autre que vous n'étiez avant d'être devenue ce que vous êtes." (Lewis Caroll)
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Agrippa
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]</span>
Agrippa pensa que c'était véritablement un comble que son sort tienne au bon vouloir et à la réussite d'un mélandien. Mais il ne pouvait pas vraiment faire le difficile dans sa situation.
<span style=\'color:turquoise\'>-Espérons que votre agent saura nous localiser...
Le prêtre fit l'inventaire de ce qu'il avait sur lui. Son bâton était resté dans sa chambre à la Taverne de la Bienveillance, ainsi que ses parchemins. Pas d'armes à sa disposition, donc, d'autant que Mornagest s'était vu confisquer son épée. Par ailleurs, il n'avait qu'une petite bourse avec une vingtaine de pièces d'or. Bien peu pour soudoyer un garde des SRL...
Agrippa pensa que c'était véritablement un comble que son sort tienne au bon vouloir et à la réussite d'un mélandien. Mais il ne pouvait pas vraiment faire le difficile dans sa situation.
<span style=\'color:turquoise\'>-Espérons que votre agent saura nous localiser...
Le prêtre fit l'inventaire de ce qu'il avait sur lui. Son bâton était resté dans sa chambre à la Taverne de la Bienveillance, ainsi que ses parchemins. Pas d'armes à sa disposition, donc, d'autant que Mornagest s'était vu confisquer son épée. Par ailleurs, il n'avait qu'une petite bourse avec une vingtaine de pièces d'or. Bien peu pour soudoyer un garde des SRL...
Agrippa, Clerc de Dénéir d'alignement neutre/bon, diplomate de la ville de Luménis
[post=120542]Biographie[/post], et quêtes en cours: [post=131491]Voir Manost et mourir[/post], [post=147082]Sans Foi ni Lois[/post], [post=147843]L'Invasion des Ombres[/post]
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Zéphirah
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]
Tout avait été si bien orchestré. Comme si les comploteurs avaient semé des miettes sur la route de la jeune femme, afin de l’emmener là où elle voulait. Plus tôt dans la soirée, elle s’en était référée auprès de l’ambassade qui lui avaient apprit le sort de Mornagest, capturé et emprisonné de peu.
Voilà qui aurait pu la contrarier, mais, bien au contraire, tout lui avait insufflé le courage nécessaire à cette épreuve. Au moins à présent, elle savait ou le trouver…
Une ombre passa sur son visage, lorsqu’elle songea à sa position si peu enviable, et au futur incertain qu’on lui réservait.
Le ciel était à présent totalement noir, parsemé d’étoiles plus claire et plus brillantes qu’elles ne le seraient jamais à Mélandis.
La prison n’était pas l’endroit le plus fréquentable de la ville. Et s’y rendre ne serait pas une partie de plaisir, mais la voleuse le savait, elle n’avait guère le choix.
Plus loin, le bâtiment apparut soudain, tache sombre dans la noirceur de horizon
Sans se précipiter, elle étudia la façade austère, ainsi que l’entrée principale. Cette fois, il lui faudrait bien plus qu’un déguisement pour tromper les gardes. Elle ignorait tout de ce qui l’attendait, mais semblait en tout point prête à affronter ce qu’il y’avait de plus insurmontable. Cette étrange connaissance du danger qui l’attendait galvanisait ses forces et faisait taire ses doutes.
Elle en connaissait peu sur les Luméniens et leur façon d’agir, mais l’arrestation et les intrigues qui fleurissaient en disaient long, suffisamment pour éveiller dans son regard bleu un feu sombre, mêlée de crainte et d’excitation.
Tout avait été si bien orchestré. Comme si les comploteurs avaient semé des miettes sur la route de la jeune femme, afin de l’emmener là où elle voulait. Plus tôt dans la soirée, elle s’en était référée auprès de l’ambassade qui lui avaient apprit le sort de Mornagest, capturé et emprisonné de peu.
Voilà qui aurait pu la contrarier, mais, bien au contraire, tout lui avait insufflé le courage nécessaire à cette épreuve. Au moins à présent, elle savait ou le trouver…
Une ombre passa sur son visage, lorsqu’elle songea à sa position si peu enviable, et au futur incertain qu’on lui réservait.
Le ciel était à présent totalement noir, parsemé d’étoiles plus claire et plus brillantes qu’elles ne le seraient jamais à Mélandis.
La prison n’était pas l’endroit le plus fréquentable de la ville. Et s’y rendre ne serait pas une partie de plaisir, mais la voleuse le savait, elle n’avait guère le choix.
Plus loin, le bâtiment apparut soudain, tache sombre dans la noirceur de horizon
Sans se précipiter, elle étudia la façade austère, ainsi que l’entrée principale. Cette fois, il lui faudrait bien plus qu’un déguisement pour tromper les gardes. Elle ignorait tout de ce qui l’attendait, mais semblait en tout point prête à affronter ce qu’il y’avait de plus insurmontable. Cette étrange connaissance du danger qui l’attendait galvanisait ses forces et faisait taire ses doutes.
Elle en connaissait peu sur les Luméniens et leur façon d’agir, mais l’arrestation et les intrigues qui fleurissaient en disaient long, suffisamment pour éveiller dans son regard bleu un feu sombre, mêlée de crainte et d’excitation.
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Mornagest
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[Quête : le châtiment de l'Aube]
lieu : l'extérieur des SRL
Devant Zéphirah, s'offraient plusieurs options. La première semblait suicidaire : passer par les portes principales. Sauf si les gardes étaient trop occupés à jouer aux dés, ou réellement captivés par la voleuse elle-même, elle ne pouvait décemment espérer pénétrer le bâtiment par cette voie-là.
Une autre solution consistait à examiner plus avant le pourtour de la prison.. Mais rien ne lui disait qu'elle pourrait y trouver une faille expoiltable.
Pourtant, la réalité était bien là : Zéphirah devait agir vite, et sans la moindre erreur. Si elle était démasquée, elle rejoidrait probablement le sorts des deux nouveaux arrivants... Voire pire encore.
N'était-ce justement pas ce risque mortel qui poussait la voleuse à relever ce défi parfaitement stupide ? Tenter de libérer un personnage dont elle ignorait l'existence encore quelques heures auparavant. Cela s'apparentait davantage à de la folie qu'à de la bravade. Ou alors, un goût pour le jeu surexprimé. Si ce n'était les deux...
lieu : l'extérieur des SRL
Devant Zéphirah, s'offraient plusieurs options. La première semblait suicidaire : passer par les portes principales. Sauf si les gardes étaient trop occupés à jouer aux dés, ou réellement captivés par la voleuse elle-même, elle ne pouvait décemment espérer pénétrer le bâtiment par cette voie-là.
Une autre solution consistait à examiner plus avant le pourtour de la prison.. Mais rien ne lui disait qu'elle pourrait y trouver une faille expoiltable.
Pourtant, la réalité était bien là : Zéphirah devait agir vite, et sans la moindre erreur. Si elle était démasquée, elle rejoidrait probablement le sorts des deux nouveaux arrivants... Voire pire encore.
N'était-ce justement pas ce risque mortel qui poussait la voleuse à relever ce défi parfaitement stupide ? Tenter de libérer un personnage dont elle ignorait l'existence encore quelques heures auparavant. Cela s'apparentait davantage à de la folie qu'à de la bravade. Ou alors, un goût pour le jeu surexprimé. Si ce n'était les deux...
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Astaldo tarkil
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]
lieu : les sous-sols des SRL
Alors que les prisonniers semblaient trouver enfin un minimum de confort il y eu un bruti de rouages que l'on actionnait et la porte s'ouvrit en grinçant faiblement. Dans la petite embrasure nouvellement créée on pouvait apercevoir un couloir impeccable, un sol couverts de tapis, des tableaux aux murs et des lustres aux plafonds. Même la porte de leur cellule était une parfaite copie d'une porte banale en bois. Seulement elle n'était que couverte de bois et en acier en réalité.
L'ouverture se fit plus grande, devant l'absence de tentative pour se ruer vers elle, et Mornagest et Agrippa purent discerner trois silhouettes, puis une quatrième qui pénétra dans leur cellule, et la porte se scella une fois de plus.
Le nouveau venu était en habit simples, mais souples et portait de manière désinvolte une pèlerine noire de bonne facture. On l'avait vu déposer un sabre comme ceux qu'utilisent les marins dans les mains d'un des gardes mais il devait certainement avoir d'autres armes. Il n'était pas un géant mais son corps était bien formé, mais ce bel ensemble était gâché par une démarche boitante. En effet sa jambe droite semblait le porter avec difficulté.
Bien le bonsoir, ou le bonjour, je ne sais plus très bien, le temps semble plus long ou plus court quand on est enfermé ici. Je ne me présente pas vous n'avez pas besoin de le savoir. Par contre je sais qui vous êtes, même si ce fut délicat pour un aventurier errant comme vous.
Il tendit la main vers l'un puis l'autre, révélant un serpent marin, créature mythique, tatoué sur le bras. La queue du monstre s'enroulait autour de son index et la tête devait bien monter jusqu'à l'épaule.
Mornagest, ambassadeur de nos voisins mélandiens; et Agrippa, inconnu notable. C'est très impoli de se mêler des complots des autres mon cher. J'ai mis du temps à élaborer ce petit stratagème contre Garfield et Mornagest.
Il se releva et, s'appuyant contre une cloison, fit tourner sa cheville blessée dans le vide. Il lui faudrait racheter des potions contre la douleur.
Si tout c'était passé convenablement nous aurions abattu Monsieur l'Ambassadeur alors qu'il fuyait la scène de son crime. Devant le fait accompli les SRL avouent publiquement leur faute, Garfield, qui s'est montré plus ou moins proche de nous, est discrédité. Une fois ce brave homme évincé garder une Luménis unifiée serra tout sauf aisé. Un vrai calvaire pendant plusieurs années
Son visage prit soudain un masque de tristesse total, subitement et sa voix se cassa presque.
Autant d'années qu'aura durée mon malheur. Ils paieront pour t'avoir ôtée de mes bras, Ewena.
Il se remit sur ses jambes et une lueur passa dans ses yeux. C'était l'opération de sa vie. L'oeuvre ayant nécessité toutes ses ressources.
Mais maintenant que vous êtes là je pense que nous pouvosn trouver un arrangement. Je pensais tuer Mornagest et mettre un homme de confiance à sa place et infiltrer Mélandis par les entrailles, mais je pense que nous pouvons trouver un arrangement mutuellement profitable. Les SRL ont subit de lourdes pertes ces dernières années dans des opérations à risques ou bien par négligence des dirigeants, et les petits jeunes de la relève sont fidèles non pas à ceux qui les forment mais à ceux qui les paient.
S'adossant à la porte de la cellule il eut un petit sourire.
C'est moi qui est tué cet ersatz d'acteur à l'amphithéâtre, ce brave petit avait lui aussi une loyauté mal placée. Je vais donc vous libérer, tous les deux. Vous Agrippa car vous êtes inutile et vous Mornagest car si vosu refusez je vosu tue de mes mains. Ce que je vous propose est simple, aidez-moi à enfoncer encore plus Garfield dans la fange en prouvant son inefficacité. Actuellement mes éléments de confiances sont loin d'ici avec les documents et objets importants, il ne reste que vous et moi. Si vous marchez avec moi je m'arrange pour vous promener par-ci par-là en supprimant tous ces jeunots arrogants, je me doute bien que Mélandis doit avoir ses propres agents un peu spéciaux non ? Qu'en dites-vous, un massacre parfaitement orchestré, l'élite contre la masse ignorante ?
lieu : les sous-sols des SRL
Alors que les prisonniers semblaient trouver enfin un minimum de confort il y eu un bruti de rouages que l'on actionnait et la porte s'ouvrit en grinçant faiblement. Dans la petite embrasure nouvellement créée on pouvait apercevoir un couloir impeccable, un sol couverts de tapis, des tableaux aux murs et des lustres aux plafonds. Même la porte de leur cellule était une parfaite copie d'une porte banale en bois. Seulement elle n'était que couverte de bois et en acier en réalité.
L'ouverture se fit plus grande, devant l'absence de tentative pour se ruer vers elle, et Mornagest et Agrippa purent discerner trois silhouettes, puis une quatrième qui pénétra dans leur cellule, et la porte se scella une fois de plus.
Le nouveau venu était en habit simples, mais souples et portait de manière désinvolte une pèlerine noire de bonne facture. On l'avait vu déposer un sabre comme ceux qu'utilisent les marins dans les mains d'un des gardes mais il devait certainement avoir d'autres armes. Il n'était pas un géant mais son corps était bien formé, mais ce bel ensemble était gâché par une démarche boitante. En effet sa jambe droite semblait le porter avec difficulté.
Bien le bonsoir, ou le bonjour, je ne sais plus très bien, le temps semble plus long ou plus court quand on est enfermé ici. Je ne me présente pas vous n'avez pas besoin de le savoir. Par contre je sais qui vous êtes, même si ce fut délicat pour un aventurier errant comme vous.
Il tendit la main vers l'un puis l'autre, révélant un serpent marin, créature mythique, tatoué sur le bras. La queue du monstre s'enroulait autour de son index et la tête devait bien monter jusqu'à l'épaule.
Mornagest, ambassadeur de nos voisins mélandiens; et Agrippa, inconnu notable. C'est très impoli de se mêler des complots des autres mon cher. J'ai mis du temps à élaborer ce petit stratagème contre Garfield et Mornagest.
Il se releva et, s'appuyant contre une cloison, fit tourner sa cheville blessée dans le vide. Il lui faudrait racheter des potions contre la douleur.
Si tout c'était passé convenablement nous aurions abattu Monsieur l'Ambassadeur alors qu'il fuyait la scène de son crime. Devant le fait accompli les SRL avouent publiquement leur faute, Garfield, qui s'est montré plus ou moins proche de nous, est discrédité. Une fois ce brave homme évincé garder une Luménis unifiée serra tout sauf aisé. Un vrai calvaire pendant plusieurs années
Son visage prit soudain un masque de tristesse total, subitement et sa voix se cassa presque.
Autant d'années qu'aura durée mon malheur. Ils paieront pour t'avoir ôtée de mes bras, Ewena.
Il se remit sur ses jambes et une lueur passa dans ses yeux. C'était l'opération de sa vie. L'oeuvre ayant nécessité toutes ses ressources.
Mais maintenant que vous êtes là je pense que nous pouvosn trouver un arrangement. Je pensais tuer Mornagest et mettre un homme de confiance à sa place et infiltrer Mélandis par les entrailles, mais je pense que nous pouvons trouver un arrangement mutuellement profitable. Les SRL ont subit de lourdes pertes ces dernières années dans des opérations à risques ou bien par négligence des dirigeants, et les petits jeunes de la relève sont fidèles non pas à ceux qui les forment mais à ceux qui les paient.
S'adossant à la porte de la cellule il eut un petit sourire.
C'est moi qui est tué cet ersatz d'acteur à l'amphithéâtre, ce brave petit avait lui aussi une loyauté mal placée. Je vais donc vous libérer, tous les deux. Vous Agrippa car vous êtes inutile et vous Mornagest car si vosu refusez je vosu tue de mes mains. Ce que je vous propose est simple, aidez-moi à enfoncer encore plus Garfield dans la fange en prouvant son inefficacité. Actuellement mes éléments de confiances sont loin d'ici avec les documents et objets importants, il ne reste que vous et moi. Si vous marchez avec moi je m'arrange pour vous promener par-ci par-là en supprimant tous ces jeunots arrogants, je me doute bien que Mélandis doit avoir ses propres agents un peu spéciaux non ? Qu'en dites-vous, un massacre parfaitement orchestré, l'élite contre la masse ignorante ?
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Agrippa
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]</span>
lieu : les sous-sols des SRL
Agrippa n'avait plus la force mentale de s'étonner de quoi que ce soit. L'homme qui les avait arrêté, probablement un officier supérieur des services de renseignements luméniens (si ce n'était leur chef) venait leur proposer tranquillement dans la cellule où ils croupissaient maintenant depuis de longues heures de participer en toute simplicité à un coup d'Etat.
-.... vous...vous êtes responsables de ce complot.... vous avez fait tuer ce pauvre acteur... Et vos cibles étaient le Haut-Conseiller Garfield et l'ambassadeur...
L'officier des SRL fixa un instant Agrippa avec un regard mauvais. Son expression méprisante poussa le prêtre à parler sous le coup de l'émotion; ses paroles lui échappèrent avant qu'il puisse réfléchir à toutes leurs implications.
-Non, votre offre ne m'intéresse pas... je ne prendrai pas part à ce complot contre le pouvoir luménien. Le Haut-Conseiller nous sortira de là... répondit Agrippa. <span style=\'color:turquoise\'>*Ou bien quelqu'un d'autre*, souffla-t-il pour lui même, les poings serrés.
lieu : les sous-sols des SRL
Agrippa n'avait plus la force mentale de s'étonner de quoi que ce soit. L'homme qui les avait arrêté, probablement un officier supérieur des services de renseignements luméniens (si ce n'était leur chef) venait leur proposer tranquillement dans la cellule où ils croupissaient maintenant depuis de longues heures de participer en toute simplicité à un coup d'Etat.
-.... vous...vous êtes responsables de ce complot.... vous avez fait tuer ce pauvre acteur... Et vos cibles étaient le Haut-Conseiller Garfield et l'ambassadeur...
L'officier des SRL fixa un instant Agrippa avec un regard mauvais. Son expression méprisante poussa le prêtre à parler sous le coup de l'émotion; ses paroles lui échappèrent avant qu'il puisse réfléchir à toutes leurs implications.
-Non, votre offre ne m'intéresse pas... je ne prendrai pas part à ce complot contre le pouvoir luménien. Le Haut-Conseiller nous sortira de là... répondit Agrippa. <span style=\'color:turquoise\'>*Ou bien quelqu'un d'autre*, souffla-t-il pour lui même, les poings serrés.
Agrippa, Clerc de Dénéir d'alignement neutre/bon, diplomate de la ville de Luménis
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Mornagest
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[Quête : le châtiment de l'Aube]
Lieux : les sous-sols des SRL
Le guerrier était à moitié endormi lorsqu'arriva cet étrange personnage. Son attitude n'était pas nette. Que faisait le responsable des services des renseignements à la tête d'un complot ? A Luménis ? Impossible... ou pratiquement, en tout cas.
De plus, Mornagest flairait le piège à plein nez. Accepter cette offre n'était sans doute que la "preuve" que cet homme attendait d'eux, afin de les faire comparaître devant un semblant de tribunal fantoche, qui les condamnerait à une détention à vie...
Mornagest ne put cependant pas s'empêcher de noter le courage du prêtre, lorsqu'il refusa net l'offre douteuse. Malgré cela, il nota avec dégoût le ton pleurnichard d'Agrippa, qui semblait encore vainement croire à un échappatoire quelconque... N'avait-il pas compris qu'il venait de sceller son destin ? Le guerrier s'offrit de le faire pour lui :
"Je rejoins l'avis de mon compagnon. Tuez-nous, cela n'a aucune importance. Quant à votre proposition, elle semble aussi authentique que votre titre est obséquieux. Maintenant, si vous vouliez bien nous laisser terminer notre nuit ? Vous seriez aimable", termina-t-il, acide, et froid, comme à son habitude. Qu'avait-il à perdre, si ce n'était que le peu de dignité qu'il lui restait ? Autant se montrer fier jusqu'au bout.
Lieux : les sous-sols des SRL
Le guerrier était à moitié endormi lorsqu'arriva cet étrange personnage. Son attitude n'était pas nette. Que faisait le responsable des services des renseignements à la tête d'un complot ? A Luménis ? Impossible... ou pratiquement, en tout cas.
De plus, Mornagest flairait le piège à plein nez. Accepter cette offre n'était sans doute que la "preuve" que cet homme attendait d'eux, afin de les faire comparaître devant un semblant de tribunal fantoche, qui les condamnerait à une détention à vie...
Mornagest ne put cependant pas s'empêcher de noter le courage du prêtre, lorsqu'il refusa net l'offre douteuse. Malgré cela, il nota avec dégoût le ton pleurnichard d'Agrippa, qui semblait encore vainement croire à un échappatoire quelconque... N'avait-il pas compris qu'il venait de sceller son destin ? Le guerrier s'offrit de le faire pour lui :
"Je rejoins l'avis de mon compagnon. Tuez-nous, cela n'a aucune importance. Quant à votre proposition, elle semble aussi authentique que votre titre est obséquieux. Maintenant, si vous vouliez bien nous laisser terminer notre nuit ? Vous seriez aimable", termina-t-il, acide, et froid, comme à son habitude. Qu'avait-il à perdre, si ce n'était que le peu de dignité qu'il lui restait ? Autant se montrer fier jusqu'au bout.
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Astaldo tarkil
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]
Une petite gifle ramena Mornagest dans un silence plaisant et Astaldo prit du recul, observant ses prisonniers. Il réfléchissait, ses yeux reflettaient intelligence, malice, mais étaient aussi un peu vagues, comme ceux d'une personne hors de la réalité, ce qu'il était depuis longtemps déjà.
Vous m'agacez, autant vous pour votre courage idiot alors que vous n'avez aucune valeur et vous pour votre morgue insipide alors que je pourrais vous torturer des heures avec délectation. Bien, visiblement vosu n'êtes pas d'accord pour m'appuyer dans mon petit complot contre Luménis, soit, c'est votre choix. Cependant, rien ne presse et j'aurais d'autres opportunités plus favorables, voyez-vous je suis un peu pressé par le temps ces temps-ci.
Il écarta en pan de sa pèlerine et dévoila deux longs poignards fixés côte à côte à son ceinturon. Ils étaient empoissonés, à en croire l'extrémité de leur fourreau reforcée avec du métal pour ne pas risquer de blesser leur porteur.
Il est interdit d'apporter des armes à portée des prisonniers, mais là c'est esceptionnel. Mon objectif premier est de supprimer les SRL, ou du moins d'effacer cette page de leur histoire. Les petits jeunes sont désormais fidèles à ceux qui les paient et plus à ceux qui les forment, et j'en ai même surpris à conspirer contre moi. Ils se mettent à croire aux valeurs luméniennes de non-violence et relèguent mon oeuvre à un travail d'observation. Je ne vous cache pas que ces derniers jours ont été animés au bureau.
Il masqua ses armes et reprit, en terme de conclusion.
Vous m'avez convaincu que tenter quoi que ce soit contre Luménis maintenant serait trop ardu, alors je remet ça à plus tard, mais vos vies vont devoir être rachetées mes agneaux. D'un côté vous avez votre libération dans le sang et la douleur, l'extrême douleur, car tous mes vieux compagnons ne sont pas encore au cimetière, et eux savent se battre comme il se doit. Et douleur extrême car ce n'est qu'après avoir trouvé et franchit cette porte que l'on retrouvera vos corps rendus gourds et froids par le poison.
Il s'approcha dangereusement des captifs et continua d'une voix basse mais posée.
D'un autre côté je retire mes fidèles du bâtiments avec tous les objets et papiers importants, de sorte à ce que votre ou vos libérateurs n'aient aucun mal à se frayer une route jusqu'à nous, c'est à dire jusqu'à la salle d'armes des officiers où, de là, nous partirions tous trois. Agrippa où bon vous semblera tant que votre mémoire aura une faiblesse sur ces évènements, et Mornagest et moi à Mélandis. Le tout bien sûr après avoir joyeusement étripé cette bande de pleutres qui me servent de recrues, il devrait y en avoir une petite trentaine dans tout le bâtiment.
Lieu : à l'extérieur des SRL
Le bâtiment où se situe l'agance des Services de Renseignement Lathandriens est une vieille maison à trois étages, haute et aux façades richement décorées de sculpture. Il n'y a néanmoins qu'une seule entrée gardée par des hommes en civils de dehors et des agents soutenus par des mages de l'intérieur. Des barreaux garnissent les fenêtres du rez-de-chaussé mais celles situées plus haut semblent accessibles, ne donnant que sur des bureaux. Il y a cependant une grande activité à l'intérieur du bâtiment, la journée n'étant pas terminée, et l'entrée est traditionnellement gardée par les jeunes recrues promptes à donner l'alerte à tout bout de champ.
Une petite gifle ramena Mornagest dans un silence plaisant et Astaldo prit du recul, observant ses prisonniers. Il réfléchissait, ses yeux reflettaient intelligence, malice, mais étaient aussi un peu vagues, comme ceux d'une personne hors de la réalité, ce qu'il était depuis longtemps déjà.
Vous m'agacez, autant vous pour votre courage idiot alors que vous n'avez aucune valeur et vous pour votre morgue insipide alors que je pourrais vous torturer des heures avec délectation. Bien, visiblement vosu n'êtes pas d'accord pour m'appuyer dans mon petit complot contre Luménis, soit, c'est votre choix. Cependant, rien ne presse et j'aurais d'autres opportunités plus favorables, voyez-vous je suis un peu pressé par le temps ces temps-ci.
Il écarta en pan de sa pèlerine et dévoila deux longs poignards fixés côte à côte à son ceinturon. Ils étaient empoissonés, à en croire l'extrémité de leur fourreau reforcée avec du métal pour ne pas risquer de blesser leur porteur.
Il est interdit d'apporter des armes à portée des prisonniers, mais là c'est esceptionnel. Mon objectif premier est de supprimer les SRL, ou du moins d'effacer cette page de leur histoire. Les petits jeunes sont désormais fidèles à ceux qui les paient et plus à ceux qui les forment, et j'en ai même surpris à conspirer contre moi. Ils se mettent à croire aux valeurs luméniennes de non-violence et relèguent mon oeuvre à un travail d'observation. Je ne vous cache pas que ces derniers jours ont été animés au bureau.
Il masqua ses armes et reprit, en terme de conclusion.
Vous m'avez convaincu que tenter quoi que ce soit contre Luménis maintenant serait trop ardu, alors je remet ça à plus tard, mais vos vies vont devoir être rachetées mes agneaux. D'un côté vous avez votre libération dans le sang et la douleur, l'extrême douleur, car tous mes vieux compagnons ne sont pas encore au cimetière, et eux savent se battre comme il se doit. Et douleur extrême car ce n'est qu'après avoir trouvé et franchit cette porte que l'on retrouvera vos corps rendus gourds et froids par le poison.
Il s'approcha dangereusement des captifs et continua d'une voix basse mais posée.
D'un autre côté je retire mes fidèles du bâtiments avec tous les objets et papiers importants, de sorte à ce que votre ou vos libérateurs n'aient aucun mal à se frayer une route jusqu'à nous, c'est à dire jusqu'à la salle d'armes des officiers où, de là, nous partirions tous trois. Agrippa où bon vous semblera tant que votre mémoire aura une faiblesse sur ces évènements, et Mornagest et moi à Mélandis. Le tout bien sûr après avoir joyeusement étripé cette bande de pleutres qui me servent de recrues, il devrait y en avoir une petite trentaine dans tout le bâtiment.
Lieu : à l'extérieur des SRL
Le bâtiment où se situe l'agance des Services de Renseignement Lathandriens est une vieille maison à trois étages, haute et aux façades richement décorées de sculpture. Il n'y a néanmoins qu'une seule entrée gardée par des hommes en civils de dehors et des agents soutenus par des mages de l'intérieur. Des barreaux garnissent les fenêtres du rez-de-chaussé mais celles situées plus haut semblent accessibles, ne donnant que sur des bureaux. Il y a cependant une grande activité à l'intérieur du bâtiment, la journée n'étant pas terminée, et l'entrée est traditionnellement gardée par les jeunes recrues promptes à donner l'alerte à tout bout de champ.
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Mornagest
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[Quête : le châtiment de l'Aube]
Lieu : les sous-sols
L'ambassadeur sourit à leur détenteur. Un petit filet de sang coulait de son nez, la gifle ayant été mal placée. Mais il n'en avait cure. Seul lui importait d'en finir rapidement avec toute cette mascarade, il n'en avait que trop subi... Cette soi-disant inculpation l'écoeurait décidément, et il n'était pas près de tenter à nouveau d'être diplomate.
Aussi lâcha-t-il un juron abominable, avant de cracher à son interlocuteur :
"Je ne veux rien faire, sinon mourir ! Est-ce clair ? Votre pathétique tentative de faire de moi votre complice ne convainc personne, sinon vous-même. Maintenant, laissez-moi."
Mornagest se rembrunit, et se retourna vers le mur, signifiant nettement par là son refus de parler davantage... de quoi que cela soit.
Lieu : les sous-sols
L'ambassadeur sourit à leur détenteur. Un petit filet de sang coulait de son nez, la gifle ayant été mal placée. Mais il n'en avait cure. Seul lui importait d'en finir rapidement avec toute cette mascarade, il n'en avait que trop subi... Cette soi-disant inculpation l'écoeurait décidément, et il n'était pas près de tenter à nouveau d'être diplomate.
Aussi lâcha-t-il un juron abominable, avant de cracher à son interlocuteur :
"Je ne veux rien faire, sinon mourir ! Est-ce clair ? Votre pathétique tentative de faire de moi votre complice ne convainc personne, sinon vous-même. Maintenant, laissez-moi."
Mornagest se rembrunit, et se retourna vers le mur, signifiant nettement par là son refus de parler davantage... de quoi que cela soit.
Administrateur général. Je modère dans cette couleur.
Rejoignez Melandis, la Cité du Chaos
La biographie de Mornagest ainsi que ses quêtes et sa couleur RP #6C84FF ; la biographie de Henk et sa couleur RP #3BBB34
"Ne vous imaginez pas être différente de ce qu'il eût pu sembler à autrui que vous fussiez ou eussiez pu être en restant identique à ce que vous fûtes sans jamais paraître autre que vous n'étiez avant d'être devenue ce que vous êtes." (Lewis Caroll)
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"Ne vous imaginez pas être différente de ce qu'il eût pu sembler à autrui que vous fussiez ou eussiez pu être en restant identique à ce que vous fûtes sans jamais paraître autre que vous n'étiez avant d'être devenue ce que vous êtes." (Lewis Caroll)
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Astaldo tarkil
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]
lieu : les sous-sols.
Ce n'est pas beau de bouder mon cher, surtout pour un homme de votre condition.
Une ultime bourrade envoya l'ambasadeur contre un mur tandis que d'un revers ample Astaldo entaillait le torse d'Agrippa avec l'un de ses longs poignards. Il venait à peine de remplir de poison leurs lames et l'excédent laissa une trace verte sur les bords de la plaie. Quelle beauté qu'offre la Nature à ceux qui savent la manier. Il repoussa l'aventurier de la pointe de la botte et frappa du plat de la main contre la porte pour qu'on vienne lui ouvrir.
Un petit souvenir de moi et de votre passage sous mon toit. C'est plus douloureux qu'efficace mais les plantes virulantes sont déjà à l'abri Bonne soirée.
Sur ce il quitta la pièce d'un bon pas et, malgré la porte en acier, les captifs pouvaient l'entendre crier des ordres et percevaient le bruit de gens précipités.
Lieu : l'extérieur du bâtiment
Alors que le nuit se faisait désormais vraiment noire, un tumulte naquit devant le siège des SRL. Un petit groupe sortit de l'édifice, suivi de près par un autre groupe portant des caisses et des sacoches en nombre. Deux d'entre eux portaient même deux malles superposées. Ils se fondirent dans les ténèbres et disparurent alors que d'autres encore sortaient en courant pour les ratrapper.
Les recrues présentent en faction dans la rue se regardèrent stupéfaites et, craignant le pire, se ruèrent dans le bâtiment.
Il n'y avait plus personne, tout du moins tous les agents expérimenté avaient disparus, à part le Colonel Astaldo, dans son bureau, jouant avec son chaton et nourrissant ses castors. Ce dernier ne répondait pas quand on frappait à sa porte fermée à clef et les recrues se sentirent très vite mal à l'aise. Trois d'entre elles restèrent à la porte de leur chef, trois autres encore reprirent la garde de la cellule et les autres décidèrent d'explorer le bâtiment qu'on aurait cru balayé par une tornade. Plus d'armes ni de de documents dans les bureaux, les archives ou les armureries.
lieu : les sous-sols.
Ce n'est pas beau de bouder mon cher, surtout pour un homme de votre condition.
Une ultime bourrade envoya l'ambasadeur contre un mur tandis que d'un revers ample Astaldo entaillait le torse d'Agrippa avec l'un de ses longs poignards. Il venait à peine de remplir de poison leurs lames et l'excédent laissa une trace verte sur les bords de la plaie. Quelle beauté qu'offre la Nature à ceux qui savent la manier. Il repoussa l'aventurier de la pointe de la botte et frappa du plat de la main contre la porte pour qu'on vienne lui ouvrir.
Un petit souvenir de moi et de votre passage sous mon toit. C'est plus douloureux qu'efficace mais les plantes virulantes sont déjà à l'abri Bonne soirée.
Sur ce il quitta la pièce d'un bon pas et, malgré la porte en acier, les captifs pouvaient l'entendre crier des ordres et percevaient le bruit de gens précipités.
Lieu : l'extérieur du bâtiment
Alors que le nuit se faisait désormais vraiment noire, un tumulte naquit devant le siège des SRL. Un petit groupe sortit de l'édifice, suivi de près par un autre groupe portant des caisses et des sacoches en nombre. Deux d'entre eux portaient même deux malles superposées. Ils se fondirent dans les ténèbres et disparurent alors que d'autres encore sortaient en courant pour les ratrapper.
Les recrues présentent en faction dans la rue se regardèrent stupéfaites et, craignant le pire, se ruèrent dans le bâtiment.
Il n'y avait plus personne, tout du moins tous les agents expérimenté avaient disparus, à part le Colonel Astaldo, dans son bureau, jouant avec son chaton et nourrissant ses castors. Ce dernier ne répondait pas quand on frappait à sa porte fermée à clef et les recrues se sentirent très vite mal à l'aise. Trois d'entre elles restèrent à la porte de leur chef, trois autres encore reprirent la garde de la cellule et les autres décidèrent d'explorer le bâtiment qu'on aurait cru balayé par une tornade. Plus d'armes ni de de documents dans les bureaux, les archives ou les armureries.
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Agrippa
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]</span>
localisation : sous-sols des SRL
Agrippa sentit la brûlure de la lame entailler profondément sa poitrine. L'officier des SRL lui avait assèné un coup de botte pour le repousser vers le mur, contre lequel il reposait désormais.
L'ironie de la situation ne lui échappa pas, et malgré la douleur qui montait de la blessure, il ne put s'empêcher d'éclater d'un grand rire nerveux.
Qu'est-ce qui vous prend? cria le mélandien sidéré, qui commençait à croire que son compagnon avait perdu la raison. Que vous a-t-il fait?
-Mais, rien justement, dit Agrippa au milieu de ses éclats de rire mêlés aux sanglots de douleur.
*L'homme a perdu la raison* pensa Mornagest.
-La... la lame était empoisonnée... Mais je suis complétement immunisé aux poisons depuis mon enfance. Je vous en parlerai une autre fois...finit-il.
Sous les yeux encore incrédules de Mornagest, Agrippa se redressa laborieusement sur les genoux, en position de prière.
-Quand à la plaie...
Agrippa ==> soin des blessures légères ==> Agrippa
<span style=\'color:turquoise\'>-Cela suffira bien pour le moment, termina le prêtre avec un sourire vers son compagnon de cellule.
localisation : sous-sols des SRL
Agrippa sentit la brûlure de la lame entailler profondément sa poitrine. L'officier des SRL lui avait assèné un coup de botte pour le repousser vers le mur, contre lequel il reposait désormais.
L'ironie de la situation ne lui échappa pas, et malgré la douleur qui montait de la blessure, il ne put s'empêcher d'éclater d'un grand rire nerveux.
Qu'est-ce qui vous prend? cria le mélandien sidéré, qui commençait à croire que son compagnon avait perdu la raison. Que vous a-t-il fait?
-Mais, rien justement, dit Agrippa au milieu de ses éclats de rire mêlés aux sanglots de douleur.
*L'homme a perdu la raison* pensa Mornagest.
-La... la lame était empoisonnée... Mais je suis complétement immunisé aux poisons depuis mon enfance. Je vous en parlerai une autre fois...finit-il.
Sous les yeux encore incrédules de Mornagest, Agrippa se redressa laborieusement sur les genoux, en position de prière.
-Quand à la plaie...
Agrippa ==> soin des blessures légères ==> Agrippa
<span style=\'color:turquoise\'>-Cela suffira bien pour le moment, termina le prêtre avec un sourire vers son compagnon de cellule.
Agrippa, Clerc de Dénéir d'alignement neutre/bon, diplomate de la ville de Luménis
[post=120542]Biographie[/post], et quêtes en cours: [post=131491]Voir Manost et mourir[/post], [post=147082]Sans Foi ni Lois[/post], [post=147843]L'Invasion des Ombres[/post]
Rejoignez [post=10355]Luménis,[/post] ville de Culture et de Lumière
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Zéphirah
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]
Le temps était un luxe que la voleuse ne possédait. Rassembler suffisamment d’informations sur les systèmes de protections dont elle devrait faire face relevait presque de la gageure. A cela s’ajouter les plans à dénicher, et peut-être même le meilleur moyen de circonvenir les gardes. Il lui faudrait des jours de travail intense pour réaliser toute cette manœuvre.
Mais l’improvisation n’était pas plus une nouveauté pour elle que la discrétion. Et c’est avec une attention toute calculée qu’elle étudia les va et vient incessants des gardes autour de la battisse, leur yeux mobiles et leur état d’alerte, et jugea qu’il lui serait plus aisé de grimpé le long du mur, dont les prises ne manquaient pas, et de se hisser jusqu’à la première fenêtre entrouverte. Les barreaux obstruaient complètement le passage du rez-de-chaussée.
Son capuchon rabattu sur sa tête, elle changea d’angle d’observation, à l’opposé de la lune qui illuminait complètement l’autre façade, et risquait de la rendre trop facilement discernable avec sa peau de nacre.
A la faveur des ténèbres, elle patienta que la sentinelle la plus proche disparaisse dans l’angle, et lorsque ce fut fait, bondit aussi vite qu’une meute de loup jusqu’au mur. Sans plus attendre, elle escalada la paroi, sans peine, et s’arrêta à la première fenêtre entrouverte, au premier étage.
Elle se plaqua dos au mur, à l’affût du moindre éclat de voix, attendant que le sifflement aigue du vent se clame, et prit le risque de jeter un coup d’œil à l’intérieur.
Le temps était un luxe que la voleuse ne possédait. Rassembler suffisamment d’informations sur les systèmes de protections dont elle devrait faire face relevait presque de la gageure. A cela s’ajouter les plans à dénicher, et peut-être même le meilleur moyen de circonvenir les gardes. Il lui faudrait des jours de travail intense pour réaliser toute cette manœuvre.
Mais l’improvisation n’était pas plus une nouveauté pour elle que la discrétion. Et c’est avec une attention toute calculée qu’elle étudia les va et vient incessants des gardes autour de la battisse, leur yeux mobiles et leur état d’alerte, et jugea qu’il lui serait plus aisé de grimpé le long du mur, dont les prises ne manquaient pas, et de se hisser jusqu’à la première fenêtre entrouverte. Les barreaux obstruaient complètement le passage du rez-de-chaussée.
Son capuchon rabattu sur sa tête, elle changea d’angle d’observation, à l’opposé de la lune qui illuminait complètement l’autre façade, et risquait de la rendre trop facilement discernable avec sa peau de nacre.
A la faveur des ténèbres, elle patienta que la sentinelle la plus proche disparaisse dans l’angle, et lorsque ce fut fait, bondit aussi vite qu’une meute de loup jusqu’au mur. Sans plus attendre, elle escalada la paroi, sans peine, et s’arrêta à la première fenêtre entrouverte, au premier étage.
Elle se plaqua dos au mur, à l’affût du moindre éclat de voix, attendant que le sifflement aigue du vent se clame, et prit le risque de jeter un coup d’œil à l’intérieur.
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Astaldo tarkil
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]
Zéphirah était désormais dans la place forte des SRL qui, bien que dépourvue de la plupart de ses gardes, disimulait bien des dangers. En effet il lui faudrait trouver la clef de la cellule dans l'un des bureaux et il était de notoriété publique dans ces locaux que chaque bureau portait la marque de son propriétaire en terme de sécurité.
Elle était entrée dans un étage richement décoré, le second, celui contenant les bureaux des supérieurs important. Au sol de riches tapis rivalisaient de luxe avec quelques toiles fixées au mur mais la découverte de ce lieu saugrenu attendrait, des éclats de voix lui parvenaient depuis sa droite.
Qu'est-ce qu'il lui prend au vieux ? Il a perdu la tête ? Les deux-tiers de nos hommes quittent le navire avec tout l'équipement et la paperasse et lui il s'ocupe de ses bestioles !
Je te dis qu'il est dans le coup, ce sont ses hommes à lui, les "fidèles" comme il les appelles qui se sont fait la malle.
Bah, attendons ici, il devra bien sortir.
A gauche, au fond du couloir, on apercevait l'escalier qui lui permettrait de gagner l'étage inférieur et, de là, le rez-de-chaussée pour finalement atteindre les sous-sol.
Tu peux explorer l'étage pour tenter de trouver la clef de la cellule cachée dans un bureau d'officier.
Tu peux tenter ta chance en t'approchant du bureau occupé.
Tu peux descendre au premier étage.
Zéphirah était désormais dans la place forte des SRL qui, bien que dépourvue de la plupart de ses gardes, disimulait bien des dangers. En effet il lui faudrait trouver la clef de la cellule dans l'un des bureaux et il était de notoriété publique dans ces locaux que chaque bureau portait la marque de son propriétaire en terme de sécurité.
Elle était entrée dans un étage richement décoré, le second, celui contenant les bureaux des supérieurs important. Au sol de riches tapis rivalisaient de luxe avec quelques toiles fixées au mur mais la découverte de ce lieu saugrenu attendrait, des éclats de voix lui parvenaient depuis sa droite.
Qu'est-ce qu'il lui prend au vieux ? Il a perdu la tête ? Les deux-tiers de nos hommes quittent le navire avec tout l'équipement et la paperasse et lui il s'ocupe de ses bestioles !
Je te dis qu'il est dans le coup, ce sont ses hommes à lui, les "fidèles" comme il les appelles qui se sont fait la malle.
Bah, attendons ici, il devra bien sortir.
A gauche, au fond du couloir, on apercevait l'escalier qui lui permettrait de gagner l'étage inférieur et, de là, le rez-de-chaussée pour finalement atteindre les sous-sol.
Tu peux explorer l'étage pour tenter de trouver la clef de la cellule cachée dans un bureau d'officier.
Tu peux tenter ta chance en t'approchant du bureau occupé.
Tu peux descendre au premier étage.
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Zéphirah
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]
De son point d’observation, elle entendit des voix d’hommes qui bavardaient entre eux, sans même envisager qu’on pouvait tout à loisir les espionner. La conversation donnant sur un sujet qu’elle ne l’intrigua pas assez pour qu’elle s’attarde, elle se désintéressa de cette pièce.
Toujours sur le qui vive, la voleuse prit la peine de réfléchir à la situation, et donc aux les éventuelles manières de dérober la clé des cellules. La première qui lui vint en tête était d’en récupérer une sur un garde, probablement dans le sous-sol. Elle pensait aussi qu’un des officiers devait en garder une dans son bureau. Mais à quelle étage ? Celui-ci semblait assez luxueux pour que de puissants hommes aux goûts raffinés y logent.
Elle préférait prendre le moins de temps possible en fouille et libérer le détenu à temps, à moins que sa carcasse ne repose déjà dans une fosse commune, ce qui était sans doute envisageable…
Ses doigts fins et déliés commençaient déjà montrer des signes de douleur, fatigués d’agripper fermement la pierre humide et froide. Elle chercha des yeux une autre fenêtre susceptible de libérer le passage vers un second bureau.
Elle continua donc sa progression tout en ruminant de funestes pensées, espérant au moins que cet ambassadeur vaille la peine de tous ses efforts…
De son point d’observation, elle entendit des voix d’hommes qui bavardaient entre eux, sans même envisager qu’on pouvait tout à loisir les espionner. La conversation donnant sur un sujet qu’elle ne l’intrigua pas assez pour qu’elle s’attarde, elle se désintéressa de cette pièce.
Toujours sur le qui vive, la voleuse prit la peine de réfléchir à la situation, et donc aux les éventuelles manières de dérober la clé des cellules. La première qui lui vint en tête était d’en récupérer une sur un garde, probablement dans le sous-sol. Elle pensait aussi qu’un des officiers devait en garder une dans son bureau. Mais à quelle étage ? Celui-ci semblait assez luxueux pour que de puissants hommes aux goûts raffinés y logent.
Elle préférait prendre le moins de temps possible en fouille et libérer le détenu à temps, à moins que sa carcasse ne repose déjà dans une fosse commune, ce qui était sans doute envisageable…
Ses doigts fins et déliés commençaient déjà montrer des signes de douleur, fatigués d’agripper fermement la pierre humide et froide. Elle chercha des yeux une autre fenêtre susceptible de libérer le passage vers un second bureau.
Elle continua donc sa progression tout en ruminant de funestes pensées, espérant au moins que cet ambassadeur vaille la peine de tous ses efforts…
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Astaldo tarkil
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]
Le bureau suivant avait été, comme tous les autres vidé de tous les papiers importants, mais ceux qui l'étaient moins ou bien certains papiers importants personnellement étaient restés sur place. C'est sur la foi de ses indices que Zephira entama une fouille minutieuse de la pièce.
Le bureau était collé contre un mur, une série de casiers de bois fixés au-dessus, et une bibliothèque à l'aspect modeste trônait dans son dos, contre le mur opposé.
Le bureau était un modèle avec une espèce de rabat fait de lattes de bois qui coulissaient pour interdire son accès quand le propriétaire n'était pas là, et un petit tiroir était visible sous le sous-main.
Le rabat nécessitait une clé pour être relevé, mais la serrure était celle d'origine et ne semblait pas trop dure à crocheter; le tiroir bénéficiait d'une serrure à combinaisons, et la bibliothèque un observateur attentif pourrait voir qu'elle était régulièrement tirée puis rabattue contre le mur mais avec précautions. Pour ne pas faire de bruit ou pour ne pas déclencher le piège peut-être installé là ?
Tu peux :
T'intéresser à la bibliothèque
T'intéresser au bureau
T'intéresser au tiroir
Retourner près du bureau d'Adtaldo
Descendre au premier étage.
Le bureau suivant avait été, comme tous les autres vidé de tous les papiers importants, mais ceux qui l'étaient moins ou bien certains papiers importants personnellement étaient restés sur place. C'est sur la foi de ses indices que Zephira entama une fouille minutieuse de la pièce.
Le bureau était collé contre un mur, une série de casiers de bois fixés au-dessus, et une bibliothèque à l'aspect modeste trônait dans son dos, contre le mur opposé.
Le bureau était un modèle avec une espèce de rabat fait de lattes de bois qui coulissaient pour interdire son accès quand le propriétaire n'était pas là, et un petit tiroir était visible sous le sous-main.
Le rabat nécessitait une clé pour être relevé, mais la serrure était celle d'origine et ne semblait pas trop dure à crocheter; le tiroir bénéficiait d'une serrure à combinaisons, et la bibliothèque un observateur attentif pourrait voir qu'elle était régulièrement tirée puis rabattue contre le mur mais avec précautions. Pour ne pas faire de bruit ou pour ne pas déclencher le piège peut-être installé là ?
Tu peux :
T'intéresser à la bibliothèque
T'intéresser au bureau
T'intéresser au tiroir
Retourner près du bureau d'Adtaldo
Descendre au premier étage.
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Zéphirah
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]
La voleuse accorda peu d’intention à la paperasse laissée sur le bureau, et jeta un bref coup d’œil aux deux serrures du bureau, dont l’une, celle du tiroir, exigeait un code.
Elle étudia avec plus d’attention la bibliothèque, don le sol avaient gardé les marques caractéristiques de ses déplacements réguliers. Lorsqu’elle s’en approcha, elle examina la disposition des planches de bois qui pouvaient dissimuler un piège mécanique détectable.
Elle agrippa ensuite fermement le meuble, et, avec une extrême précaution, le fit se déplacer de manière à ce qu’il suive le chemin laissé par les traces du sol, la respiration à peine plus élevée, sans doute due à l’effort.
La voleuse accorda peu d’intention à la paperasse laissée sur le bureau, et jeta un bref coup d’œil aux deux serrures du bureau, dont l’une, celle du tiroir, exigeait un code.
Elle étudia avec plus d’attention la bibliothèque, don le sol avaient gardé les marques caractéristiques de ses déplacements réguliers. Lorsqu’elle s’en approcha, elle examina la disposition des planches de bois qui pouvaient dissimuler un piège mécanique détectable.
Elle agrippa ensuite fermement le meuble, et, avec une extrême précaution, le fit se déplacer de manière à ce qu’il suive le chemin laissé par les traces du sol, la respiration à peine plus élevée, sans doute due à l’effort.
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Astaldo tarkil
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]
Le meuble pivota, lentement, le bois frottant contre le bosi créant un faible frottemetn tout juste audible. Il y avait de l'espace pour une main, un bras, et bientôt, après un dernier effort, le meuble arriva au maximum de son mouvement pourrévéler une petite cache à l'intérieur de laquelle se trouvaient plusieurs bouteilles.
Cognacs, liqueurs, alcools forts ou doux, vins et spiritueux. Cet officier était l'un des nombreux à bénéficier de son propre bar personnel.
Tu peux :
T'approcher du bureau d'Astaldo.
Descendre au premier étage.
Boire le contenu de toutes les bouteilles pour oublier.
Le meuble pivota, lentement, le bois frottant contre le bosi créant un faible frottemetn tout juste audible. Il y avait de l'espace pour une main, un bras, et bientôt, après un dernier effort, le meuble arriva au maximum de son mouvement pourrévéler une petite cache à l'intérieur de laquelle se trouvaient plusieurs bouteilles.
Cognacs, liqueurs, alcools forts ou doux, vins et spiritueux. Cet officier était l'un des nombreux à bénéficier de son propre bar personnel.
Tu peux :
T'approcher du bureau d'Astaldo.
Descendre au premier étage.
Boire le contenu de toutes les bouteilles pour oublier.
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Zéphirah
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]
Devant la réserve d’alcool que contenait la planque, zéphirah haussa un fin sourcil, son regard se posant sur les différentes liqueurs dont s’exhalaient un parfum fort assez désagréable.
Elle repoussa la bibliothèque contre le mur, dans sa position initiale, et prit la direction du couloir, dague au poing.
L’éclat des voix qu’elle avait déjà perçut lui revint, et faisant tout son possible pour glisser sur les tapis sans bruits, elle fit demi-tour pour s’en éloigner et avisa l’escalier qui menait jusqu’au premier étage.
Puisque les bureaux étaient inaccessibles, elle descendrait directement jusqu’au sous-sol.
Devant la réserve d’alcool que contenait la planque, zéphirah haussa un fin sourcil, son regard se posant sur les différentes liqueurs dont s’exhalaient un parfum fort assez désagréable.
Elle repoussa la bibliothèque contre le mur, dans sa position initiale, et prit la direction du couloir, dague au poing.
L’éclat des voix qu’elle avait déjà perçut lui revint, et faisant tout son possible pour glisser sur les tapis sans bruits, elle fit demi-tour pour s’en éloigner et avisa l’escalier qui menait jusqu’au premier étage.
Puisque les bureaux étaient inaccessibles, elle descendrait directement jusqu’au sous-sol.
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Astaldo tarkil
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[Quête :le Châtiment de l'Aube]
Il n'y avait personne dans les escaliers, mais on ne pouvait pas en dire autant des couloirs du premier étage. Ce dernier contenait les bureaux des fonctionnaires et du petit personnel, c'est ici que toutes les rouages de cette agence fonctionnaient.
Cela allait être dur de passer inaperçue, les jeunes agents étaient trois à regrouper divers papiers et à parcourir l'étage de long en large, les bras encombrés ou jetant des regards méfiants dans chaque recoin ombré. L'un d'eux sortit d'un bureau en tenant dans sa main un petit coffret de bois.
J'ai trouvé les doubles de clés ! Il y a celles des cellules, des armureries et des serres à poisons. Qu'est-ce qu'on en fait ?
Garde-les, il ne faut pas les perdre, tu as regardé si on les avait sabotées ?
On s'est efforcé de le faire, mais elles sont solides, à mon avis toutes ne marcheront pas mais ils n'ont pas eu le temps de peaufiner leur sale travail.
Les trois hommes s'étaient réunis dans le couloir et observaient leur trouvaille, il n'étaient pas les seuls à s'intéresser à ces clés.
Tu peux :
Tenter de voler le coffret, ce qui implique de neutraliser au moins un agent.
Contourner les agents par l'extérieur en passant par une fenêtre.
Tenter de supprimer ces trois hommes pour ne pas les avoir sur le dos plus tard.
Il n'y avait personne dans les escaliers, mais on ne pouvait pas en dire autant des couloirs du premier étage. Ce dernier contenait les bureaux des fonctionnaires et du petit personnel, c'est ici que toutes les rouages de cette agence fonctionnaient.
Cela allait être dur de passer inaperçue, les jeunes agents étaient trois à regrouper divers papiers et à parcourir l'étage de long en large, les bras encombrés ou jetant des regards méfiants dans chaque recoin ombré. L'un d'eux sortit d'un bureau en tenant dans sa main un petit coffret de bois.
J'ai trouvé les doubles de clés ! Il y a celles des cellules, des armureries et des serres à poisons. Qu'est-ce qu'on en fait ?
Garde-les, il ne faut pas les perdre, tu as regardé si on les avait sabotées ?
On s'est efforcé de le faire, mais elles sont solides, à mon avis toutes ne marcheront pas mais ils n'ont pas eu le temps de peaufiner leur sale travail.
Les trois hommes s'étaient réunis dans le couloir et observaient leur trouvaille, il n'étaient pas les seuls à s'intéresser à ces clés.
Tu peux :
Tenter de voler le coffret, ce qui implique de neutraliser au moins un agent.
Contourner les agents par l'extérieur en passant par une fenêtre.
Tenter de supprimer ces trois hommes pour ne pas les avoir sur le dos plus tard.
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Mornagest
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[Quête : le châtiment de l'Aube]
[Lieu : les sous-sols]
Le guerrier était toujours étendu sur sa couche, fixant un point invisible au plafond. Nul doute qu'à ce rythme il deviendrait rapidement fou à lier. Aussi fit-il quelques mouvements dans la cellule, non sans s'être auparavant assuré que son compagnon d'infortune était réveillé, lui aussi.
Mais, comment dormir avec la perspective de mourir qui planait au-dessus de leur âmes perdues ? L'espoir les avait quitté, mais non la crainte que la mort inspirait à quiconque doué d'une raison un tant soit peu humaine.
A genoux, puis, debout, Mornagest ruminait ces sombres mais nettes pensées. Au fond, que lui importait de souffrir ? Il ne craignait pour ainsi dire plus la douleur. Il avait déjà atteint des paroxysmes en la matière, bien plus élevés que ses détenteurs ne pouvaient imaginer, tant sur le plan psychologique que sur le plan physique. Il avait acquis une sorte de résistance à la douleur, après toutes ces années passées à combattre son âme, la rejeter, en bloc, vomissant chaque once d'humanité qui tentait de s'immiscer à nouveau en lui. Il savait que cela pouvait constituer une faiblesse, paradoxalement. Mais il était trop tard. Le chemin parcouru ne pouvait être rattrapé. De plus, tout serait bientôt fini...
Un vague soupçon de mélancolie effleura cependant Mornagest. Eut-il pu vivre une existence meilleure ? Vivre ce que nombre de gens ressentaient, vivaient, aimaient ? Il ne s'était jamais cru capable d'une telle chose. Une sorte de résignation qu'il avait pour ainsi dire cru irréversible. Mais, avait-il eu tort ?
Tant de questions qui le taraudaient à présent, seul avec ses songes... N'était-ce pas en soi, pire torture que puisse imaginer un captif ?
Soudain, il réalisa qu'il souffrait malgré sa volonté de résister. Ses tortionnaires avaient réussi. Leur technique de torture était parfaitement inhumaine... Ils laissaient les prisonniers seuls face à eux-mêmes, sans avoir d'autres occupations de remuer d'anciens souvenirs, d'anciens regrets... L'absence de souffrance ne pouvait exister, sans son contraire...
Rageur, Mornagest frappa le mur avec son pied, sentant au loin la douleur qui fusa cependant immédiatement en lui. Un bruit sourd accompagna son geste, qui fit sursauter son compagnon de cellule.
[Lieu : les sous-sols]
Le guerrier était toujours étendu sur sa couche, fixant un point invisible au plafond. Nul doute qu'à ce rythme il deviendrait rapidement fou à lier. Aussi fit-il quelques mouvements dans la cellule, non sans s'être auparavant assuré que son compagnon d'infortune était réveillé, lui aussi.
Mais, comment dormir avec la perspective de mourir qui planait au-dessus de leur âmes perdues ? L'espoir les avait quitté, mais non la crainte que la mort inspirait à quiconque doué d'une raison un tant soit peu humaine.
A genoux, puis, debout, Mornagest ruminait ces sombres mais nettes pensées. Au fond, que lui importait de souffrir ? Il ne craignait pour ainsi dire plus la douleur. Il avait déjà atteint des paroxysmes en la matière, bien plus élevés que ses détenteurs ne pouvaient imaginer, tant sur le plan psychologique que sur le plan physique. Il avait acquis une sorte de résistance à la douleur, après toutes ces années passées à combattre son âme, la rejeter, en bloc, vomissant chaque once d'humanité qui tentait de s'immiscer à nouveau en lui. Il savait que cela pouvait constituer une faiblesse, paradoxalement. Mais il était trop tard. Le chemin parcouru ne pouvait être rattrapé. De plus, tout serait bientôt fini...
Un vague soupçon de mélancolie effleura cependant Mornagest. Eut-il pu vivre une existence meilleure ? Vivre ce que nombre de gens ressentaient, vivaient, aimaient ? Il ne s'était jamais cru capable d'une telle chose. Une sorte de résignation qu'il avait pour ainsi dire cru irréversible. Mais, avait-il eu tort ?
Tant de questions qui le taraudaient à présent, seul avec ses songes... N'était-ce pas en soi, pire torture que puisse imaginer un captif ?
Soudain, il réalisa qu'il souffrait malgré sa volonté de résister. Ses tortionnaires avaient réussi. Leur technique de torture était parfaitement inhumaine... Ils laissaient les prisonniers seuls face à eux-mêmes, sans avoir d'autres occupations de remuer d'anciens souvenirs, d'anciens regrets... L'absence de souffrance ne pouvait exister, sans son contraire...
Rageur, Mornagest frappa le mur avec son pied, sentant au loin la douleur qui fusa cependant immédiatement en lui. Un bruit sourd accompagna son geste, qui fit sursauter son compagnon de cellule.
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La biographie de Mornagest ainsi que ses quêtes et sa couleur RP #6C84FF ; la biographie de Henk et sa couleur RP #3BBB34
"Ne vous imaginez pas être différente de ce qu'il eût pu sembler à autrui que vous fussiez ou eussiez pu être en restant identique à ce que vous fûtes sans jamais paraître autre que vous n'étiez avant d'être devenue ce que vous êtes." (Lewis Caroll)
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Agrippa
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]</span>
lieu : sous-sols des SRL
Agrippa entendit son compagnon frapper violemment le mur plus qu'il ne le vit dans la pénombre qui remplissait la cellule. La rage de l'isolement et de l'impuisance commençait à faire son oeuvre chez le mélandien, ce qui n'étonnait que modérément le clerc.
Cela faisait plusieurs longues minutes maintenant que Mornagest remuait en tous sens, se retournant, ajustant puis enlevant sa couverture, ou se levant comme s'il voulait se mettre à tourner en rond dans les quelques centimètres de libres dans la cellule, avant de se rasseoir brutalement avec un air songeur sur le visage.
Agrippa ne savait que trop bien ce qui agitait l'ambassadeur. La peur de mourir, sans aucun doute. Leur sauvetage, déjà improbable lorsqu'il y avait songé de prime abord, devenait de moins en moins crédible au fur et à mesure que le temps passait.
-Croyez-vous en un dieu, ami? demanda le prêtre.
Sans attendre la réponse, il se redressa sur les genoux et entonna un chant de prière à Lliira, sa déesse personnelle.
<span style=\'color:turquoise\'>Lliira,
Déesse de Joie
Prends nos coeurs sous ta protection
pour que jamais le désespoir ne s'empare de nous
Et que la gloire de la vie
rayonne sur toutes les créatures
dans ce monde et dans celui
de l'autre côté du voile
Sans que jamais ta Joie ne nous quitte
quand bien même la vie
vient à nous quitter
Agrippa resta en méditation encore quelques minutes, avant de reprendre sa place sur le sol froid et dur.
lieu : sous-sols des SRL
Agrippa entendit son compagnon frapper violemment le mur plus qu'il ne le vit dans la pénombre qui remplissait la cellule. La rage de l'isolement et de l'impuisance commençait à faire son oeuvre chez le mélandien, ce qui n'étonnait que modérément le clerc.
Cela faisait plusieurs longues minutes maintenant que Mornagest remuait en tous sens, se retournant, ajustant puis enlevant sa couverture, ou se levant comme s'il voulait se mettre à tourner en rond dans les quelques centimètres de libres dans la cellule, avant de se rasseoir brutalement avec un air songeur sur le visage.
Agrippa ne savait que trop bien ce qui agitait l'ambassadeur. La peur de mourir, sans aucun doute. Leur sauvetage, déjà improbable lorsqu'il y avait songé de prime abord, devenait de moins en moins crédible au fur et à mesure que le temps passait.
-Croyez-vous en un dieu, ami? demanda le prêtre.
Sans attendre la réponse, il se redressa sur les genoux et entonna un chant de prière à Lliira, sa déesse personnelle.
<span style=\'color:turquoise\'>Lliira,
Déesse de Joie
Prends nos coeurs sous ta protection
pour que jamais le désespoir ne s'empare de nous
Et que la gloire de la vie
rayonne sur toutes les créatures
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Agrippa, Clerc de Dénéir d'alignement neutre/bon, diplomate de la ville de Luménis
[post=120542]Biographie[/post], et quêtes en cours: [post=131491]Voir Manost et mourir[/post], [post=147082]Sans Foi ni Lois[/post], [post=147843]L'Invasion des Ombres[/post]
Rejoignez [post=10355]Luménis,[/post] ville de Culture et de Lumière
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Mornagest
- Grand Gourou
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- Localisation : Juste derrière vous, prêt à hurler BOUH !
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[Quête : le châtiment de l'Aube]
[lieu : les sous-sols]
L'ambassadeur écouta attentivement les paroles d'Agrippa. Parce qu'il n'avait guère le choix. Une distraction, cela ne pouvait lui faire de tort. Mais, sa question le froissait. Non. Le courrouçait. Il n'aimait guère parler de religion, même au seuil de la mort. Son désintérêt total pour tout ce qui touchait aux cultes le mettait dans l'embarras à chaque fois que l'on abordait le sujet avec lui.
Et, sa récente mésaventure avec ce prêtre, à Melandis... Il gardait un souvenir âcre de sa réaction pusillanime face aux questions légitimes de sa victime. Mais le passé ne pouvait être effacé.
"Non. Je n'ai guère d'attachement envers quelque divinité", lâcha-t-il d'un ton froid.
Il espérait décourager le prêtre, mais l'mpossibilité de faire quoi que cela doit d'autre allait sans nul doute pousser ce dernier à s'avancer plus loin vers ce terrain glissant...
[lieu : les sous-sols]
L'ambassadeur écouta attentivement les paroles d'Agrippa. Parce qu'il n'avait guère le choix. Une distraction, cela ne pouvait lui faire de tort. Mais, sa question le froissait. Non. Le courrouçait. Il n'aimait guère parler de religion, même au seuil de la mort. Son désintérêt total pour tout ce qui touchait aux cultes le mettait dans l'embarras à chaque fois que l'on abordait le sujet avec lui.
Et, sa récente mésaventure avec ce prêtre, à Melandis... Il gardait un souvenir âcre de sa réaction pusillanime face aux questions légitimes de sa victime. Mais le passé ne pouvait être effacé.
"Non. Je n'ai guère d'attachement envers quelque divinité", lâcha-t-il d'un ton froid.
Il espérait décourager le prêtre, mais l'mpossibilité de faire quoi que cela doit d'autre allait sans nul doute pousser ce dernier à s'avancer plus loin vers ce terrain glissant...
Administrateur général. Je modère dans cette couleur.
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La biographie de Mornagest ainsi que ses quêtes et sa couleur RP #6C84FF ; la biographie de Henk et sa couleur RP #3BBB34
"Ne vous imaginez pas être différente de ce qu'il eût pu sembler à autrui que vous fussiez ou eussiez pu être en restant identique à ce que vous fûtes sans jamais paraître autre que vous n'étiez avant d'être devenue ce que vous êtes." (Lewis Caroll)
Rejoignez Melandis, la Cité du Chaos
La biographie de Mornagest ainsi que ses quêtes et sa couleur RP #6C84FF ; la biographie de Henk et sa couleur RP #3BBB34
"Ne vous imaginez pas être différente de ce qu'il eût pu sembler à autrui que vous fussiez ou eussiez pu être en restant identique à ce que vous fûtes sans jamais paraître autre que vous n'étiez avant d'être devenue ce que vous êtes." (Lewis Caroll)
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Zéphirah
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[Quête : le châtiment de l'Aube]
lieux : premier étage
Le feu sombre, que dardaient les prunelles bleues de Zéphirah, redoubla d’intensité lorsque l’un des trois hommes, qu’elle tenait en vue, mentionna les clés des cellules. Son regard passa du précieux coffret à ses trois observateurs, évaluant ses chances, mesurant les possibilités de s’en emparer. Elle ne risqua par de se faire voir de sa position et se contenta de graver dans sa mémoire chacun des mots qu’elle entendit.
Son attention se reporta vers le couloir. Les trois hommes se remirent à leurs activités, sous son œil attentif. Celui qui avait gardé le coffret laissa ses comparses, qui avaient disparus, certainement dans un des bureaux. Elle l’observa s’éloigner vers le fond du couloir et entrer à son tour dans une pièce à l’écart.
Elle profiterait de son isolement pour accomplir son œuvre, avec ses manières habituelles, et son lot de précautions… ce qui la rendait sûre de sa réussite.
A pas feutré, elle déambula gracieusement dans le couloir, sur le tapis de tissus moelleux qui assourdissait le bruit de ses pas. Tout en évitant soigneusement de se faire voir des deux autres qui semblaient tout remuer dans un bureau, elle s’arrêta tout prés de la porte par laquelle le troisième s’était engouffré. Elle étudia, à chaque son à défaut d’y voir clair, la présence de l’homme dans la pièce, sa respiration clame et régulière.
Elle se sentie prête, mais risqua un coup d’œil par la porte entrouverte ; il était penché sur une table, dans la contemplation d’une chose qu’elle n’aurait pu définir, car il lui tournait le dos.
Comme une anguille, elle se faufila par l’entrebâillement, faisant appel à toutes ses ressources en elle. Ses yeux plissés pour mieux obstruer tout obstacles à sa concentration, elle glissa hors du rai de lumière venant du couloir, et se laissa envelopper par les ombres.
Avant qu’elle n’ai fait un pas de plus, celui-ci se retourna d’un brusque demi-tour, ses traits soudain crispés dans l’horreur, mais pas autant que la voleuse. Etait-ce l’instinct sur lequel reposait sa survie, l’ombre d’une frêle silhouette qui approchait, ou la lumière qui avait un peu plus envahit la pièce lorsque la porte avait à peine frémit ?
D’un prodigieux bond, elle se jeta sur lui en le plaquant contre la table qui s’ébranla, dans son élan. Sa main gainée de cuir, plaquée contre sa bouche, étouffa tous ses cris de protestations. Et son autre bras se leva lentement, comme une mécanique bien huilée, sa dague, Veldriss, s’abattit avec force et précision dans l’œil de sa victime. La forte pression qu’elle exerçait sur le manche finit par fendre le crâne de l’homme de part en part, qui éclata comme la coque d’un bateau sur un rocher.
Glissant Veldriss dans sa botte, elle regarda un instant le gisant, affalé contre la petite table comme une poupée de chiffon. Le coffre avait été renversé sur le sol. Sans plus attendre, sans doute par simple prudence, elle traîna le corps qu’elle roula sous le lit, dans un coin de la pièce, et déplaça un tapis pourpre vers l’endroit ou le sol était marqué par les miasmes du mort.
Elle s’empara ensuite du précieux coffret, et s’approcha à pas silencieux du couloir. Voyant que tout semblait désert, elle retourna à l’escalier. En effet, les deux agents qui n’avaient pas bougé semblaient toujours en grande discussion.
Elle dévala l’étroite volée de marche qui la mena au rez-de-chaussée.
lieux : premier étage
Le feu sombre, que dardaient les prunelles bleues de Zéphirah, redoubla d’intensité lorsque l’un des trois hommes, qu’elle tenait en vue, mentionna les clés des cellules. Son regard passa du précieux coffret à ses trois observateurs, évaluant ses chances, mesurant les possibilités de s’en emparer. Elle ne risqua par de se faire voir de sa position et se contenta de graver dans sa mémoire chacun des mots qu’elle entendit.
Son attention se reporta vers le couloir. Les trois hommes se remirent à leurs activités, sous son œil attentif. Celui qui avait gardé le coffret laissa ses comparses, qui avaient disparus, certainement dans un des bureaux. Elle l’observa s’éloigner vers le fond du couloir et entrer à son tour dans une pièce à l’écart.
Elle profiterait de son isolement pour accomplir son œuvre, avec ses manières habituelles, et son lot de précautions… ce qui la rendait sûre de sa réussite.
A pas feutré, elle déambula gracieusement dans le couloir, sur le tapis de tissus moelleux qui assourdissait le bruit de ses pas. Tout en évitant soigneusement de se faire voir des deux autres qui semblaient tout remuer dans un bureau, elle s’arrêta tout prés de la porte par laquelle le troisième s’était engouffré. Elle étudia, à chaque son à défaut d’y voir clair, la présence de l’homme dans la pièce, sa respiration clame et régulière.
Elle se sentie prête, mais risqua un coup d’œil par la porte entrouverte ; il était penché sur une table, dans la contemplation d’une chose qu’elle n’aurait pu définir, car il lui tournait le dos.
Comme une anguille, elle se faufila par l’entrebâillement, faisant appel à toutes ses ressources en elle. Ses yeux plissés pour mieux obstruer tout obstacles à sa concentration, elle glissa hors du rai de lumière venant du couloir, et se laissa envelopper par les ombres.
Avant qu’elle n’ai fait un pas de plus, celui-ci se retourna d’un brusque demi-tour, ses traits soudain crispés dans l’horreur, mais pas autant que la voleuse. Etait-ce l’instinct sur lequel reposait sa survie, l’ombre d’une frêle silhouette qui approchait, ou la lumière qui avait un peu plus envahit la pièce lorsque la porte avait à peine frémit ?
D’un prodigieux bond, elle se jeta sur lui en le plaquant contre la table qui s’ébranla, dans son élan. Sa main gainée de cuir, plaquée contre sa bouche, étouffa tous ses cris de protestations. Et son autre bras se leva lentement, comme une mécanique bien huilée, sa dague, Veldriss, s’abattit avec force et précision dans l’œil de sa victime. La forte pression qu’elle exerçait sur le manche finit par fendre le crâne de l’homme de part en part, qui éclata comme la coque d’un bateau sur un rocher.
Glissant Veldriss dans sa botte, elle regarda un instant le gisant, affalé contre la petite table comme une poupée de chiffon. Le coffre avait été renversé sur le sol. Sans plus attendre, sans doute par simple prudence, elle traîna le corps qu’elle roula sous le lit, dans un coin de la pièce, et déplaça un tapis pourpre vers l’endroit ou le sol était marqué par les miasmes du mort.
Elle s’empara ensuite du précieux coffret, et s’approcha à pas silencieux du couloir. Voyant que tout semblait désert, elle retourna à l’escalier. En effet, les deux agents qui n’avaient pas bougé semblaient toujours en grande discussion.
Elle dévala l’étroite volée de marche qui la mena au rez-de-chaussée.
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Astaldo tarkil
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]
Lieux : le rez-de chaussée de SRL
Lorsque l'on entrait dans la bâtisse par la porte principale, tout avait été mis en oeuvre pour endormir la méfiance et tromper les sens. Une moquette criarde faisait front avec un plafond décoré de mosaïques. Des sièges de riche facture côtoyaient de belles plantes en pots de bronze. Tout avait été prévu pour masquer les membres de la réception. Il y avait d'ordinaire des agents parmis les plus hargneux de tous les SRL, du genre à refuser votre poignée de main si votre sourire paraissait louche ou si votre autre main n'était pas visible. Sans compter les mages, une poignée certes mais capables de déceler mensonges et vilénies à cent pas.
Cependant il n'y avait aucun de ces hommes. Juste trois recrues fraichement émoulues des rangs de l'armée et à peine sevrées de leur instructeur. Face à eux une tueuse, qu'ils ne connaissaient pas, qui ne les connaissait pas. Mais qui savait tuer, elle l'avait déjà prouvé un étage plus haut. Une main de maître. Une théorie infaillible contre une expérience sans faille, quel parti s'en sortirait la main haute ?
Il ne s'agissait pas cependant de se faire confronter ces quatre jeunes gens mais de voir comment ils survivraient, plongés qu'ils étaient dans la tourmente qu'isl percevaient à peine.
Un cri s'éleva, suivi d'un autre, teinté de gémissements. On avait trouvé le corps, pourtant personne ne descendit les escaliers, pas plus qu'on ne les gravit.
La présence de la tueuse était maintenant sue de tous, les trois agents s'animèrent légèrement, dégainant chacun une épée courte ainsi qu'une dague pour l'un d'entre eux.Ils se déployèrent dans tout l'espace nécessaire, scrutant de leurs yeux le couloir qui donnait à l'escalier.
A l'étage l'un des deux survivants, celui qui n'était pas resté tétanisé devant le cadavre de son camarade, s'en fut en courant vers le bureau d'Astaldo.
Tu peux :
Attendre que les agents se rapprochent.
Passer le long du mur porteur (partie la plus éloignée de l'entrée).
Passer par le centre de la pièce.
Passer par le côté le plus proche de l'entrée.
Lieux : le rez-de chaussée de SRL
Lorsque l'on entrait dans la bâtisse par la porte principale, tout avait été mis en oeuvre pour endormir la méfiance et tromper les sens. Une moquette criarde faisait front avec un plafond décoré de mosaïques. Des sièges de riche facture côtoyaient de belles plantes en pots de bronze. Tout avait été prévu pour masquer les membres de la réception. Il y avait d'ordinaire des agents parmis les plus hargneux de tous les SRL, du genre à refuser votre poignée de main si votre sourire paraissait louche ou si votre autre main n'était pas visible. Sans compter les mages, une poignée certes mais capables de déceler mensonges et vilénies à cent pas.
Cependant il n'y avait aucun de ces hommes. Juste trois recrues fraichement émoulues des rangs de l'armée et à peine sevrées de leur instructeur. Face à eux une tueuse, qu'ils ne connaissaient pas, qui ne les connaissait pas. Mais qui savait tuer, elle l'avait déjà prouvé un étage plus haut. Une main de maître. Une théorie infaillible contre une expérience sans faille, quel parti s'en sortirait la main haute ?
Il ne s'agissait pas cependant de se faire confronter ces quatre jeunes gens mais de voir comment ils survivraient, plongés qu'ils étaient dans la tourmente qu'isl percevaient à peine.
Un cri s'éleva, suivi d'un autre, teinté de gémissements. On avait trouvé le corps, pourtant personne ne descendit les escaliers, pas plus qu'on ne les gravit.
La présence de la tueuse était maintenant sue de tous, les trois agents s'animèrent légèrement, dégainant chacun une épée courte ainsi qu'une dague pour l'un d'entre eux.Ils se déployèrent dans tout l'espace nécessaire, scrutant de leurs yeux le couloir qui donnait à l'escalier.
A l'étage l'un des deux survivants, celui qui n'était pas resté tétanisé devant le cadavre de son camarade, s'en fut en courant vers le bureau d'Astaldo.
Tu peux :
Attendre que les agents se rapprochent.
Passer le long du mur porteur (partie la plus éloignée de l'entrée).
Passer par le centre de la pièce.
Passer par le côté le plus proche de l'entrée.
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Zéphirah
- Statut : Hors ligne
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[Quête : le châtiment de l'Aube]
lieux : rez-de-chaussée
Ce n’était pas la première fois que la voleuse se retrouvait en si mauvaise posture, à danser, narguant sans cesse le danger, sur le fil de la mort. Son regard vola vers le l’extrémité du couloir, ou elle apercevait l’entrée. Elle se figea lorsqu’elle perçut le bruit caractéristique de plusieurs lames tirées de leur fourreau.
Au pied du mur, elle fut tout autant consciente des bruits de pas précipités du premier étage, baignée dans une agitation qui ne semblait pas avoir de source. Ses deux chères valdris au clair, cape rabattue derrière les épaules, elle se déplaça enfin le long du mur opposé à l’entrée, de sa démarche vive et fluide.
Dépouillée de toute peur, elle apparut enfin dans la lumière, découverte mais découvrant aussi ceux qui lui faisaient face, la pièce dans son intégrité.
Les trois agents s’étaient postés de part en parts de la pièce, dans une attitude défensive, prêts à combattre chèrement pour leur vie. Des réflexes dignes de leur enseignement dans l’armée.
lieux : rez-de-chaussée
Ce n’était pas la première fois que la voleuse se retrouvait en si mauvaise posture, à danser, narguant sans cesse le danger, sur le fil de la mort. Son regard vola vers le l’extrémité du couloir, ou elle apercevait l’entrée. Elle se figea lorsqu’elle perçut le bruit caractéristique de plusieurs lames tirées de leur fourreau.
Au pied du mur, elle fut tout autant consciente des bruits de pas précipités du premier étage, baignée dans une agitation qui ne semblait pas avoir de source. Ses deux chères valdris au clair, cape rabattue derrière les épaules, elle se déplaça enfin le long du mur opposé à l’entrée, de sa démarche vive et fluide.
Dépouillée de toute peur, elle apparut enfin dans la lumière, découverte mais découvrant aussi ceux qui lui faisaient face, la pièce dans son intégrité.
Les trois agents s’étaient postés de part en parts de la pièce, dans une attitude défensive, prêts à combattre chèrement pour leur vie. Des réflexes dignes de leur enseignement dans l’armée.
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Astaldo tarkil
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]
lieu : le rez-de-chaussée.
Les trois agents ne cillèrent pas à l'apparition de la tueuse. Conscient de leur infériorité, de leur supériorité ? Ou tout simplement appliquant une botte apprise ensemble, ils se ruèrent comme un seul homme sur Zéphira.
L'un d'eux arriva de face, chargeant de tout son poid, tandis que les deuts autres approchaient vite mais guettaient la moindre faille, le moindre faux pas, la moindre faute d'inattention.
lieu : le deuxième étage.
L'un des deux rescapés de la première attaque de la tueuse arriva en nage devant la porte du bureau d'Astaldo. Ses trois camarades le laissèrent tambouriner et s'égosiller à la porte mais, à leur grande surprise, cette dernière s'ouvrit et leur chef apparut, les invitant à entrer.
Allons bon, que diable signifie cette agitation ?
On nous attaque ! On essaie de délivrer les prisonniers, ils ont déjà tué Garht et...
Le sang ne fit qu'un tour dans les veines d'Astaldo, ce n'était pas cette équipe de bras cassés qui défendrait les SRL, pas sans encadrement tout du moins. Et il n'avait aucune envie de rester pour voir la réaction de ses invités et leurs amis.
Ne vous en faites pas, je prend les choses en main.
Méticuleusement il mit Aramis et les castors dans de petites cages qu'il distribua à trois des agents avant de se retourner vers le dernier.
Vous savez, tous autant que vous êtes, je ne vous ait jamais aimés.
Avant qu'il n'ait put répondre, l'homme se retrouva avec un coupe papier profondément enfoncé dans la gorge, s'effondra au sol au milieu de son sang et de grognement noyés par l'hémoglobine.
L'agent le plus proche n'eut pas le temsp de réàgir lui non plus, un des longs poignards de l'ancien marin le faucha en plein torse alors qu'il se retournait. Ses camarades lachèrent leurs armes et se ruèrent sur le traître mais ce dernier avait eu le temps nécessaire à se mettre en garde, son dernier poignard en main et son épée dégainée.
Cette dernière lui fut cependant arrachée des mains quand il fut plaqué au mur par un de ses adversaire. Peu importe il ne l'avait jamais appréciée. Reprenant prise sur son adversaire en l'aggripant fermement par les cheveux il lui sectionna la colonne vertébrale au niveau de la nuque avant d'achever le dernier agent, resté trop près du combat.
récupérant ses longs poignards et ses familiers, Astaldo dispartu d'un pas rapide et sortit du bâtiment par une porte que peu d'entre eux connaissaient.
lieu : le rez-de-chaussée.
Les trois agents ne cillèrent pas à l'apparition de la tueuse. Conscient de leur infériorité, de leur supériorité ? Ou tout simplement appliquant une botte apprise ensemble, ils se ruèrent comme un seul homme sur Zéphira.
L'un d'eux arriva de face, chargeant de tout son poid, tandis que les deuts autres approchaient vite mais guettaient la moindre faille, le moindre faux pas, la moindre faute d'inattention.
lieu : le deuxième étage.
L'un des deux rescapés de la première attaque de la tueuse arriva en nage devant la porte du bureau d'Astaldo. Ses trois camarades le laissèrent tambouriner et s'égosiller à la porte mais, à leur grande surprise, cette dernière s'ouvrit et leur chef apparut, les invitant à entrer.
Allons bon, que diable signifie cette agitation ?
On nous attaque ! On essaie de délivrer les prisonniers, ils ont déjà tué Garht et...
Le sang ne fit qu'un tour dans les veines d'Astaldo, ce n'était pas cette équipe de bras cassés qui défendrait les SRL, pas sans encadrement tout du moins. Et il n'avait aucune envie de rester pour voir la réaction de ses invités et leurs amis.
Ne vous en faites pas, je prend les choses en main.
Méticuleusement il mit Aramis et les castors dans de petites cages qu'il distribua à trois des agents avant de se retourner vers le dernier.
Vous savez, tous autant que vous êtes, je ne vous ait jamais aimés.
Avant qu'il n'ait put répondre, l'homme se retrouva avec un coupe papier profondément enfoncé dans la gorge, s'effondra au sol au milieu de son sang et de grognement noyés par l'hémoglobine.
L'agent le plus proche n'eut pas le temsp de réàgir lui non plus, un des longs poignards de l'ancien marin le faucha en plein torse alors qu'il se retournait. Ses camarades lachèrent leurs armes et se ruèrent sur le traître mais ce dernier avait eu le temps nécessaire à se mettre en garde, son dernier poignard en main et son épée dégainée.
Cette dernière lui fut cependant arrachée des mains quand il fut plaqué au mur par un de ses adversaire. Peu importe il ne l'avait jamais appréciée. Reprenant prise sur son adversaire en l'aggripant fermement par les cheveux il lui sectionna la colonne vertébrale au niveau de la nuque avant d'achever le dernier agent, resté trop près du combat.
récupérant ses longs poignards et ses familiers, Astaldo dispartu d'un pas rapide et sortit du bâtiment par une porte que peu d'entre eux connaissaient.
-
Zéphirah
- Statut : Hors ligne
.
[Quête : le Châtiment de l'Aube]
lieux : rez-de-chaussée
Pourquoi aucun gardien n’était descendu voir, après les cris qui avaient retentis du premier étage, quand on avait découvert le corps encore chaud d’un agent ?
Méprisante, Zéphirah attendit que le premier agent, celui qui la chargeait sans une once de fureur visible, s’approche suffisamment d’elle avant d’agir. Jambes fléchis, elle esquiva souplement le premier coup porté, désorienta son adversaire en se réceptionnant à sa gauche tandis qu’il frappait à droite, et d’une fulgurante détente du bras, entailla profondément sa gorge de sa Valdris. Il s‘effondra sans une plainte, devant un autre agent qui ne tarda pas à prendre sa place.
Le troisième, dont les yeux suivaient fiévreusement le combat, tentant d’y déceler une faille pour y coincer l’elfe, gagna du terrain en se mettant presque à sa portée. Il recula précipitent lorsqu’une valdris faillit bien lui cisailler le torse.
Rompue à ce type d’exercice, Zéphirah restait sans cesse en mouvement pour qu’aucun des deux ne parvienne à l’acculer contre un mur, ou elle serait une proie facile.
Des bruits d’en haut éveillèrent ses craintes et la poussèrent à agir vite ; tout ce remue ménage lui paraissait de mauvaise augure…
Avec une fureur mal contenue, elle se défendit comme elle pu contre les assauts parfaitement synchronisés des deux hommes, attaquant de concert. L’homme à la dague parvint à lui flanquer un coup du pommeau à l’épaule tandis que l’autre revenait à l’assaut de son épée.
Ignorant la douleur, elle se fendit vers l’extérieur et para à droite. Le tranchant glissa le long de la lame jusqu’à la garde et se planta de part et d‘autre de son cou, les pointes à peine mais suffisamment enfoncées pour susciter une série de hurlement de sa part.
Apercevant le moribond expier dans son propre sang, l’agent, le seul en vie à présent, se précipita sur la voleuse qui, en parant la force brute de son adversaire, trébucha sur les jambes inertes du mort et s’étala au sol. Profitant de l’aubaine, l’homme abattit sa lame à plusieurs reprises, espérant atteindre cette dernière, une joie sauvage dans le regard.
Souple comme une liane, elle esquiva et roula sur le sol, hors de sa portée, et se releva d’un bond agile, entourant de son bras le cou de l’homme, appliquant sur celui-ci la pression d’un étau qui fit craquer tous les os, broyés, éclatés un par un. Ce dernier n’émit pas une plainte, et lorsque l‘elfe le relâcha sans ménagement, il retomba durement sur le sol comme un pantin. Sans perdre plus de temps en fouille, de nouveau passive et froide, elle se dirigea avec vigilance vers le rez-de-chaussée, laissant les corps là ou ils avaient chu.
lieux : rez-de-chaussée
Pourquoi aucun gardien n’était descendu voir, après les cris qui avaient retentis du premier étage, quand on avait découvert le corps encore chaud d’un agent ?
Méprisante, Zéphirah attendit que le premier agent, celui qui la chargeait sans une once de fureur visible, s’approche suffisamment d’elle avant d’agir. Jambes fléchis, elle esquiva souplement le premier coup porté, désorienta son adversaire en se réceptionnant à sa gauche tandis qu’il frappait à droite, et d’une fulgurante détente du bras, entailla profondément sa gorge de sa Valdris. Il s‘effondra sans une plainte, devant un autre agent qui ne tarda pas à prendre sa place.
Le troisième, dont les yeux suivaient fiévreusement le combat, tentant d’y déceler une faille pour y coincer l’elfe, gagna du terrain en se mettant presque à sa portée. Il recula précipitent lorsqu’une valdris faillit bien lui cisailler le torse.
Rompue à ce type d’exercice, Zéphirah restait sans cesse en mouvement pour qu’aucun des deux ne parvienne à l’acculer contre un mur, ou elle serait une proie facile.
Des bruits d’en haut éveillèrent ses craintes et la poussèrent à agir vite ; tout ce remue ménage lui paraissait de mauvaise augure…
Avec une fureur mal contenue, elle se défendit comme elle pu contre les assauts parfaitement synchronisés des deux hommes, attaquant de concert. L’homme à la dague parvint à lui flanquer un coup du pommeau à l’épaule tandis que l’autre revenait à l’assaut de son épée.
Ignorant la douleur, elle se fendit vers l’extérieur et para à droite. Le tranchant glissa le long de la lame jusqu’à la garde et se planta de part et d‘autre de son cou, les pointes à peine mais suffisamment enfoncées pour susciter une série de hurlement de sa part.
Apercevant le moribond expier dans son propre sang, l’agent, le seul en vie à présent, se précipita sur la voleuse qui, en parant la force brute de son adversaire, trébucha sur les jambes inertes du mort et s’étala au sol. Profitant de l’aubaine, l’homme abattit sa lame à plusieurs reprises, espérant atteindre cette dernière, une joie sauvage dans le regard.
Souple comme une liane, elle esquiva et roula sur le sol, hors de sa portée, et se releva d’un bond agile, entourant de son bras le cou de l’homme, appliquant sur celui-ci la pression d’un étau qui fit craquer tous les os, broyés, éclatés un par un. Ce dernier n’émit pas une plainte, et lorsque l‘elfe le relâcha sans ménagement, il retomba durement sur le sol comme un pantin. Sans perdre plus de temps en fouille, de nouveau passive et froide, elle se dirigea avec vigilance vers le rez-de-chaussée, laissant les corps là ou ils avaient chu.
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Astaldo tarkil
- Statut : Hors ligne
.
[Quête : le Châtiment de l'Aube]
lieu : le rez-de chaussée.
C'est un Astaldo furieux, les bras encombrés de ses cages à animaux, qui fit irruption sur les lieux du carnage au moment même où Zéphirah se dirigeit vers le dernir escalier. Tout chef des SRl qu'il était il avait complètement oublié que la porte secrète était fermée pour cause de maintenance.
Haussant un sourcil devant les trois macchabées et leur assassine, il lança à cette dernière un sifflement admiratifo-séducteur avant de se diriger vers la sortie sans se presser.
Zéphirah faisait face au dernier couloir, qui plongeait droit sur un étage souterrain richement décoré. Officiellement c'était les appartements des membres importants, mais plus sérieusements ces jolies portes cachaient d'effroyables cellules. Les bruits du combat précédent avait alertés les agents surveillant celle d'Agrippa et de Mornagest, ils avaient jeté en travers du couloir une commode et deux chaises, se tenant de part et d'autres dans l'attente de la tueuse.
Tu peux :
T'attaquer enfon à la dernière ligne droite.
Tenter d'appréhender Astaldo.
lieu : le rez-de chaussée.
C'est un Astaldo furieux, les bras encombrés de ses cages à animaux, qui fit irruption sur les lieux du carnage au moment même où Zéphirah se dirigeit vers le dernir escalier. Tout chef des SRl qu'il était il avait complètement oublié que la porte secrète était fermée pour cause de maintenance.
Haussant un sourcil devant les trois macchabées et leur assassine, il lança à cette dernière un sifflement admiratifo-séducteur avant de se diriger vers la sortie sans se presser.
Zéphirah faisait face au dernier couloir, qui plongeait droit sur un étage souterrain richement décoré. Officiellement c'était les appartements des membres importants, mais plus sérieusements ces jolies portes cachaient d'effroyables cellules. Les bruits du combat précédent avait alertés les agents surveillant celle d'Agrippa et de Mornagest, ils avaient jeté en travers du couloir une commode et deux chaises, se tenant de part et d'autres dans l'attente de la tueuse.
Tu peux :
T'attaquer enfon à la dernière ligne droite.
Tenter d'appréhender Astaldo.
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Zéphirah
- Statut : Hors ligne
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]
lieu : le rez-de chaussée.
Un frisson la traversa tandis qu’elle franchissait le couloir de son habituel pas rapide et gracieux, malgré l’exaltation procurée par un combat féroce. Un frisson qu’elle ressentit tout à fait. Le sifflement qui en suivit acheva de la mettre sur ses gardes. Elle se retourna brusquement, une valdris déjà levée contre l’éventuel agresseur. Que le luxueux couloir soit vide l’inquiétant d’autant plus, et pourtant, elle reconnut le bruit d’un pas, venant du rez-de-chaussée, qui s’éteignait peu à peu. Personne ne la filait, et même au contraire, tout semblait se mourir ici, laissant dans son sillage un silence oppressant, comme celui d’une ville fantôme.
Rabattant sa capuche sur sa tête, empêchant ainsi que l’éclat intense des chandelles ne se répande sur son ondulante chevelure, elle reprit machinalement sa progression.
Pourtant, devant une porte, un dernier obstacle se présentait à elle. Trois des hommes étaient restés de gardes, ce qui signifiait naturellement qu’elle était proche du but, mais que sa présence n’était pas encore connue de tous.
Lorsqu’ils la remarquèrent, ils jetèrent au milieu du couloir un meuble et quelques chaises, puirent se mirent en gardes, restant sur leur position. La voleuse, qui avait déjà tout vu, ressentait une certaine lassitude à affronter de jeunes recrues conditionnées, d’horribles fantoches à la merci d’un destin sans saveurs, et qui les condamnait. Comme certains les appelait, de la chair à épée…
D’un geste aussi fulgurant que brutal, elle arracha Veldriss à son fourreau, sanglés sur sa cuisse, à la base de sa botte, et la lança sur le garde du centre. Elle ne pu profiter de l’enchantement de la dague, qui lui aurait fait retrouver quelques forces, mais elle se reput des exclamations horrifiés de ses camarades, soumis à la torture que suscitait cette vision.
Tout juste remis de ce prélude, leurs instincts guerriers reprirent le dessus en même temps que leur fureur. Un terrible fureur… celle qui occulte toute raison. Leurs épées se levèrent de concert tandis qu’elle escaladait l’obstacle, se réceptionnant d’une simple roulade entre eux.
Les épées sifflaient à ses oreilles dans leur enchaînement gracieux, entre le choc des lames et les danses guerrières, dans une continuité seulement rompue par le trouble jeux de la voleuse. Elle n’était jamais là ou chaque épée frappait, se servant de la mêlée pour disparaître dans un angle et ressurgir dans l’autre. D’une extrême efficacité, ses feintes déstabilisaient l’adversaire, qui se révélait assez coriace. Elle joua de l’éclat d’une lame pour tromper son adversaire et ressurgir dans son dos, une valdris partiellement enfoncée, mais le second garde, qui se trouvait derrière elle, profita de l’instant pour l’atteindre de la pointe de l’épée, et zébra profondément son dos, ou le peu de sang versé coagula. Un gémissement lui monta jusqu’aux lèvres, et instantanément, elle se retourna vers son agresseur, bloquant de ses valdris entrecroisées une attaque sournoise qui manqua la couper en deux. L’épée prise dans l’étau de fer lui fut arrachée des mains, et retomba non loin, derrière Zéphirah.
Ses valdris se croisèrent de nouveau, cette fois sur la gorge tendre de l’homme en un simulacre de décapitation. Le sang versé imprégna rapidement le tapis pourpre et moelleux d’un cercle rouge plus profond et grandissant, et souilla les bottes de l’elfe.
Elle récupéra sa dague enchantée, plantée entre les yeux du premier garde, et la remit au fourreau.
Toute se attention se porta à présent sur la porte autrefois si bien gardée.
lieu : le rez-de chaussée.
Un frisson la traversa tandis qu’elle franchissait le couloir de son habituel pas rapide et gracieux, malgré l’exaltation procurée par un combat féroce. Un frisson qu’elle ressentit tout à fait. Le sifflement qui en suivit acheva de la mettre sur ses gardes. Elle se retourna brusquement, une valdris déjà levée contre l’éventuel agresseur. Que le luxueux couloir soit vide l’inquiétant d’autant plus, et pourtant, elle reconnut le bruit d’un pas, venant du rez-de-chaussée, qui s’éteignait peu à peu. Personne ne la filait, et même au contraire, tout semblait se mourir ici, laissant dans son sillage un silence oppressant, comme celui d’une ville fantôme.
Rabattant sa capuche sur sa tête, empêchant ainsi que l’éclat intense des chandelles ne se répande sur son ondulante chevelure, elle reprit machinalement sa progression.
Pourtant, devant une porte, un dernier obstacle se présentait à elle. Trois des hommes étaient restés de gardes, ce qui signifiait naturellement qu’elle était proche du but, mais que sa présence n’était pas encore connue de tous.
Lorsqu’ils la remarquèrent, ils jetèrent au milieu du couloir un meuble et quelques chaises, puirent se mirent en gardes, restant sur leur position. La voleuse, qui avait déjà tout vu, ressentait une certaine lassitude à affronter de jeunes recrues conditionnées, d’horribles fantoches à la merci d’un destin sans saveurs, et qui les condamnait. Comme certains les appelait, de la chair à épée…
D’un geste aussi fulgurant que brutal, elle arracha Veldriss à son fourreau, sanglés sur sa cuisse, à la base de sa botte, et la lança sur le garde du centre. Elle ne pu profiter de l’enchantement de la dague, qui lui aurait fait retrouver quelques forces, mais elle se reput des exclamations horrifiés de ses camarades, soumis à la torture que suscitait cette vision.
Tout juste remis de ce prélude, leurs instincts guerriers reprirent le dessus en même temps que leur fureur. Un terrible fureur… celle qui occulte toute raison. Leurs épées se levèrent de concert tandis qu’elle escaladait l’obstacle, se réceptionnant d’une simple roulade entre eux.
Les épées sifflaient à ses oreilles dans leur enchaînement gracieux, entre le choc des lames et les danses guerrières, dans une continuité seulement rompue par le trouble jeux de la voleuse. Elle n’était jamais là ou chaque épée frappait, se servant de la mêlée pour disparaître dans un angle et ressurgir dans l’autre. D’une extrême efficacité, ses feintes déstabilisaient l’adversaire, qui se révélait assez coriace. Elle joua de l’éclat d’une lame pour tromper son adversaire et ressurgir dans son dos, une valdris partiellement enfoncée, mais le second garde, qui se trouvait derrière elle, profita de l’instant pour l’atteindre de la pointe de l’épée, et zébra profondément son dos, ou le peu de sang versé coagula. Un gémissement lui monta jusqu’aux lèvres, et instantanément, elle se retourna vers son agresseur, bloquant de ses valdris entrecroisées une attaque sournoise qui manqua la couper en deux. L’épée prise dans l’étau de fer lui fut arrachée des mains, et retomba non loin, derrière Zéphirah.
Ses valdris se croisèrent de nouveau, cette fois sur la gorge tendre de l’homme en un simulacre de décapitation. Le sang versé imprégna rapidement le tapis pourpre et moelleux d’un cercle rouge plus profond et grandissant, et souilla les bottes de l’elfe.
Elle récupéra sa dague enchantée, plantée entre les yeux du premier garde, et la remit au fourreau.
Toute se attention se porta à présent sur la porte autrefois si bien gardée.
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Agrippa
- Ettercap
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- Enregistré le : ven. 13 mai 2005, 00:48
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[Quête : le Châtiment de l'Aube]</span>
Cela faisait maintenant cinq bonnes minutes que Mornagest et Agrippa s'étaient dressés, l'oreille attentive, pour essayer de donner un sens au remue-ménage qui avait lieu en-dehors de leur cellule.
Des interpellations, des cris, et même des bruits de combat semblait-il... Un espoir fou s'empara du prêtre.
-C'est peut-être pour nous qu'on vient. Votre agent nous a probablement localisé, murmura-t-il dans un souffle pour ne rien perdre des sons étouffés qui leur parvenaient.
<span style=\'color:turquoise\'>Devons-nous nous manifester? Comment nous retrouvera-t-il sinon? Il doit y avoir un nombre effrayant de cellules dans cette prison...
Agrippa n'osait pas trop croire à une éventuelle libération; il savait que la déception serait encore plus cruelle si son espoir s'avérait falacieux.
Cela faisait maintenant cinq bonnes minutes que Mornagest et Agrippa s'étaient dressés, l'oreille attentive, pour essayer de donner un sens au remue-ménage qui avait lieu en-dehors de leur cellule.
Des interpellations, des cris, et même des bruits de combat semblait-il... Un espoir fou s'empara du prêtre.
-C'est peut-être pour nous qu'on vient. Votre agent nous a probablement localisé, murmura-t-il dans un souffle pour ne rien perdre des sons étouffés qui leur parvenaient.
<span style=\'color:turquoise\'>Devons-nous nous manifester? Comment nous retrouvera-t-il sinon? Il doit y avoir un nombre effrayant de cellules dans cette prison...
Agrippa n'osait pas trop croire à une éventuelle libération; il savait que la déception serait encore plus cruelle si son espoir s'avérait falacieux.
Agrippa, Clerc de Dénéir d'alignement neutre/bon, diplomate de la ville de Luménis
[post=120542]Biographie[/post], et quêtes en cours: [post=131491]Voir Manost et mourir[/post], [post=147082]Sans Foi ni Lois[/post], [post=147843]L'Invasion des Ombres[/post]
Rejoignez [post=10355]Luménis,[/post] ville de Culture et de Lumière
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