Pour ma première partie, j'ai opté pour le camp de la Rose ardente. Pas vraiment par conviction : d'emblée, je préférais les non-humains, même si Siegfried avait l'air droit, honnête... Mais j'ai choisi, une fois n'est coutume, de jouer différemment, d'aller contre mes habitudes ou mes inclinations ordinaires. Bref, j'ai aidé les chevaliers. Je l'ai très vite regretté.
Chalindra disait plus haut n'avoir pas pu aller plus loin que le chapitre V. Je le comprends : j'étais à deux doigts d'abandonner aussi à ce moment là. Dès le départ je n'étais pas content de mon choix, mais au chapitre V... Je me demande encore comment j'ai réussi à continuer o
Bon, heureusement, Siegfried est tel que je le pensais. C'est déjà une consolation. Mais je ne rejouerai plus avec la Rose ardente. Dans ma prochaine partie, j'aiderai la Scoia’tael. Je devrai sans doute moins me faire violence pour avancer
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. Et si ce n'est pas le cas... Je testerai la neutralité !
Pour conclure, je dirai que The Witcher est peut-être le premier jeu auquel je joue où les choix sont aussi difficiles, où les différents alliés/ennemis potentiels, ni blancs ni noirs, sont aussi gris, aussi ambivalents... C'est vraiment agréable, et assez rare pour être souligné !