[Vous] Spécialiste ou polyvalent ?
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[Vous] Spécialiste ou polyvalent ?
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Êtes-vous plutôt du genre à vous intéresser à tout ce qui vous entoure ? A toucher un peu à tout ?
Ou au contraire, vous "spécialisez"-vous dans un nombre réduit de disciplines, de centres d'intérêts, mais que vous dominez totalement ?
Cela se "voit"-il dans votre travail, dans vos loisirs ? Dans votre façon de voir la vie en général ?
Vos témoignages ici
A vos plumes !
Ou au contraire, vous "spécialisez"-vous dans un nombre réduit de disciplines, de centres d'intérêts, mais que vous dominez totalement ?
Cela se "voit"-il dans votre travail, dans vos loisirs ? Dans votre façon de voir la vie en général ?
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- Yoshi
- Tasloï
- Messages : 93
- Enregistré le : mar. 17 nov. 2009, 11:27
- Localisation : Montpellier
- Statut : Hors ligne
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Bonsoir,
Polyvalent: plus je me perfectionne dans un quelque chose plus je trouve qu'on perd du charme.
Exemple précis : Mon domaine d'étude la chimie. Plus on avance dans les explications, plus cela devient abstrait, plus on perd le charme, la magie. Résultat: je redouble ma premiere année de Master Physicochimie des Matériaux en ayant adoré l'IUT et ce que j'ai pu apprendre. Bilan j'ai 26 ans et en premiere année de Master.
Je ne suis pas un ultraperfectionniste ambitieux du coup , faire un peu de tout me va mieux que faire un truc à fond qui finit au final barbant à expliquer.
Autre exemple : Le ménage . Faire toutes les taches du quotidien me gène pas mais faire le grand nettoyage de printemps beaucoup moins.
Polyvalent: plus je me perfectionne dans un quelque chose plus je trouve qu'on perd du charme.
Exemple précis : Mon domaine d'étude la chimie. Plus on avance dans les explications, plus cela devient abstrait, plus on perd le charme, la magie. Résultat: je redouble ma premiere année de Master Physicochimie des Matériaux en ayant adoré l'IUT et ce que j'ai pu apprendre. Bilan j'ai 26 ans et en premiere année de Master.
Je ne suis pas un ultraperfectionniste ambitieux du coup , faire un peu de tout me va mieux que faire un truc à fond qui finit au final barbant à expliquer.
Autre exemple : Le ménage . Faire toutes les taches du quotidien me gène pas mais faire le grand nettoyage de printemps beaucoup moins.
- Haplo74
- Minotaure
- Messages : 1737
- Enregistré le : dim. 08 avr. 2012, 20:20
- Localisation : Paris
- Statut : Hors ligne
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Spécialiste !
Quand je m'intéresse à quelque chose, ou quand je m'investis dans quelque chose, je ne fais pas les choses à moitié.
J'ai tendance à vouloir devenir l'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur dans une discipline.
Esprit de compétiteur forcément.
A côté de cela certains sujets ou certaines activités m'ennuient profondément et je ne me donne pas les moyens de combler mes lacunes (pour quoi faire, ça ne m'intéresse pas).
Typiquement, je n'ai pas le permis de conduire, tout ce qui tourne autour des voitures ne m'intéressant pas...
Haplo74
Quand je m'intéresse à quelque chose, ou quand je m'investis dans quelque chose, je ne fais pas les choses à moitié.
J'ai tendance à vouloir devenir l'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur dans une discipline.
Esprit de compétiteur forcément.
A côté de cela certains sujets ou certaines activités m'ennuient profondément et je ne me donne pas les moyens de combler mes lacunes (pour quoi faire, ça ne m'intéresse pas).
Typiquement, je n'ai pas le permis de conduire, tout ce qui tourne autour des voitures ne m'intéressant pas...
Haplo74
Modérateur des sections "le bazar de l'aventurier", "la taverne de Château-Suif", "la taverne d'Amkethran" et "le comptoir d'Amn".
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C'est difficile à dire. J'ai l'impression d'être polyvalent et d'avoir des connaissances sur plein de sujets, mais de manquer de profondeur sur ces sujets, et en même temps lorsque j'essaye d'en parler à d'autres, je me rends compte qu'en fait j'ai déjà un certain niveau et qu'en fait on pourrait parfois me considérer comme spécialiste.
Du coup, cette question Spécialiste/polyvalence je me la pose souvent, et j'avoue, je ne sais pas quoi répondre.
Je dirais polyvalent, ceci dit. Ca a commencé très très petit, dès 5-6 ans, et j'ai enchaîné les "domaines" de prédilection sur des domaines très variés.
A chaque fois que je m'intéresse à un domaine je le fais en profondeur, donc je consulte des choses assez spécialisées, et je tombe sur des VRAIS spécialistes, devant lesquels je me sens tout petit, donc très "polyvalent" car eux sont parfois de vrais monomaniaques. Pour beaucoup de gens (sur un de mes domaines récents), je suis un spécialiste de l'histoire, mais en même temps, si je rencontre un historien, il va me trouver polyvalent, car je connais plein de domaines différents de cette matière.
Je dirais que ça dépend du point de vue, du moment, de la perspective. Pour devenir spécialiste d'un domaine, il est souvent nécessaire d'élargir à d'autres domaines et d'avancer sur plusieurs en même temps. Et, en même temps, plus on connaît sur un domaine plus on s'aperçoit qu'il est vaste, et qu'en fait on en connaît qu'une micro particule.
C'est ce qui arrive souvent aux chercheurs, au fur et à mesure de leurs études et emploi, ils finissent par devenir des micro spécialistes genre du journal intime au XXème. CA c'est du spécialiste ! Et, franchement, j'exagère à peine. Alors, qui est spécialiste, qui est polyvalent ?
Du coup, cette question Spécialiste/polyvalence je me la pose souvent, et j'avoue, je ne sais pas quoi répondre.
Je dirais polyvalent, ceci dit. Ca a commencé très très petit, dès 5-6 ans, et j'ai enchaîné les "domaines" de prédilection sur des domaines très variés.
A chaque fois que je m'intéresse à un domaine je le fais en profondeur, donc je consulte des choses assez spécialisées, et je tombe sur des VRAIS spécialistes, devant lesquels je me sens tout petit, donc très "polyvalent" car eux sont parfois de vrais monomaniaques. Pour beaucoup de gens (sur un de mes domaines récents), je suis un spécialiste de l'histoire, mais en même temps, si je rencontre un historien, il va me trouver polyvalent, car je connais plein de domaines différents de cette matière.
Je dirais que ça dépend du point de vue, du moment, de la perspective. Pour devenir spécialiste d'un domaine, il est souvent nécessaire d'élargir à d'autres domaines et d'avancer sur plusieurs en même temps. Et, en même temps, plus on connaît sur un domaine plus on s'aperçoit qu'il est vaste, et qu'en fait on en connaît qu'une micro particule.
C'est ce qui arrive souvent aux chercheurs, au fur et à mesure de leurs études et emploi, ils finissent par devenir des micro spécialistes genre du journal intime au XXème. CA c'est du spécialiste ! Et, franchement, j'exagère à peine. Alors, qui est spécialiste, qui est polyvalent ?
"Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit"
Molière - Don Juan -
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- Féérune
- Aventurier
- Orbe ancien
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- Enregistré le : lun. 23 janv. 2012, 21:50
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C'est assez difficile de répondre honnêtement à un tel sujet. J'ai eu nombre de passions concernant des sujets précis, mais je n'en suis pas pour autant devenue une grande spécialiste, faute de temps pour les approfondir.
Parmi mes grands sujets de prédilection : l'opéra, la danse classique puis la danse orientale, l'élevage des inséparables et calopsittes, les langues nordiques... Mais si je suis assez férue sur ces sujets, je suis loin d'être une spécialiste.
Par ailleurs, j'essaie de me tenir informée sur des sujets importants, que je ne maîtrise pas mais qui sont utiles à la vie en société ou tout simplement intéressants.
Parmi mes grands sujets de prédilection : l'opéra, la danse classique puis la danse orientale, l'élevage des inséparables et calopsittes, les langues nordiques... Mais si je suis assez férue sur ces sujets, je suis loin d'être une spécialiste.
Par ailleurs, j'essaie de me tenir informée sur des sujets importants, que je ne maîtrise pas mais qui sont utiles à la vie en société ou tout simplement intéressants.
- Ailyn
- Glabrezu
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Un mot d'ordre : polyvalence
C'est simple, pendant mes études, certaines de mes condisciples m'appelaient "le couteau suisse" .
Au boulot, c'est une vraie chance : ça ouvre le champ des perspectives, aide à relativiser et à imaginer de nouvelles techniques, solutions, etc. On peut faire des rapprochements entre différents trucs qui existent, tout ça.
Ca empêche pas de creuser, quand on en sent le besoin... Mais comme le disait Inarius, difficile de toutes façons de devenir un "vrai" spécialiste.
A titre perso, je trouve que ça fait du bien d'être polyvalent : on ne se réduit pas à "un" seul truc. Et ça, y a des jours, ça remonte quand même vachement le moral.
Bref, vive la polyvalence !
C'est simple, pendant mes études, certaines de mes condisciples m'appelaient "le couteau suisse" .
Au boulot, c'est une vraie chance : ça ouvre le champ des perspectives, aide à relativiser et à imaginer de nouvelles techniques, solutions, etc. On peut faire des rapprochements entre différents trucs qui existent, tout ça.
Ca empêche pas de creuser, quand on en sent le besoin... Mais comme le disait Inarius, difficile de toutes façons de devenir un "vrai" spécialiste.
A titre perso, je trouve que ça fait du bien d'être polyvalent : on ne se réduit pas à "un" seul truc. Et ça, y a des jours, ça remonte quand même vachement le moral.
Bref, vive la polyvalence !
RP : Ailyn, ensorceleuse entropiste déjantée. Quête : La morsure du cobra Calimshite
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