Sanctifer a écrit :(c'est marrant, mais concernant le dragon d'airain, il me semble que c'est la créature qui, en anglais, s'appelle le brass dragon. Je ne sais pas pourquoi ils l'ont traduit par dragon d'airain, le "brass", c'est quand même du laiton non ? Et le laiton, c'est jaune vif, alors que l'airain, c'est plutôt du bronze et c'est brun terne... Enfin, j'ai rien à dire sur le sujet, je voulais juste partager ma science
)
Après vérifications dans les divers bestiaires, le Brass Dragon a deux traductions possibles : le plus souvent "dragon d'airain", mais aussi quelques fois "dragon de laiton".
Quant aux couleurs, voici les éléments de sources que j'ai utilisés pour définir les teintes de mes dragons. Elles peuvent être utiles pour mieux décrire les portraits recherchés.
Je rajoute un petit "spoiler" sur le caractère du dragon. Inutile de le lire si on veut conserver le suspence du mod.
Dragon brun :
Leur couleur est similaire à celle des sables du désert ; elle va d'un brun assez terne à la naissance jusqu'à un blanc presque pur chez les grands vers.
Dragon de Bronze : pour rappel, le bronze est un alliage de cuivre et d'étain.
À la naissance, les écailles du dragon de bronze sont jaunes, teintées de vert (la coloration bronze est à peine présente). Au fur à mesure qu'il approche de l'âge adulte, elles foncent et prennent une teinte bronze qui ne fait par la suite que s'affirmer un peu plus au fil des années. Les très vieux dragons commencent à avoir de légères traces bleutées en bordure de leurs écailles, traces qui rappellent la patine qui apparait sur les armures et statues de bronze d'un certain âge.
Dragon de Cuivre : pour rappel, le cuivre est un métal de couleur rouge-brun.
À la naissance, leurs écailles sont de couleur brun-rouge et luisent d'un éclat légèrement cuivré. Au fur et à mesure que le dragon vieillit, elles deviennent plus délicates et leur couleur s'affirme jusqu'à être joliment cuivrée lorsqu'il atteint l'âge de jeune adulte. Chez les dragons vénérables, elles prennent une légère teinte verdâtre.
Dragon d'airain : pour rappel, l'airain est l'ancien nom du bronze. Quant au laiton, c'est un alliage de cuivre et de zinc dont la couleur la plus commune est dite "cuivre jaune", que l'on retrouve dans plusieurs définitions des bestiaires.
À la naissance, leurs écailles sont ternes et d'un jaune mâtiné de brun tacheté. Elles deviennent plus jaunes au fur et à mesure que le Dragon prend de l'âge, jusqu'à finir par avoir un reflet de vieux métal patiné.
ET/OU :
À la naissance, ses écailles sont d’un brun terne tacheté. Avec l’âge, elles prennent peu à peu la couleur de l’airain et l’aspect du métal patiné.
ET/OU encore :
À la naissance, les écailles du dragon d'airain sont martes, d'un brun marbré. Avec l'âge, elles prennent un aspect de cuivre jaune, chaud et lustré. Les ailes et les collerettes sont tachetées de vert au niveau de la jonction avec le corps et présentent une teinte rougeâtre sur les bords extérieurs. Ces pigmentations foncent avec l'âge.
Brass Dragon :
Hatchlings have dull, brassy, mottled brown scales which, with age, become warm and burnished in appearance.
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La tête du dragon d'airain présente une imposante plaque ciselée qui fuit vers l'arrière depuis ses orbites, son front et ses pommettes. Cette pièce d'un seul tenant se présente comme une lame de charrue. Lorsqu'il creuse le sol, le dragon se sert d'ailleurs de sa tête comme d'une bineuse. Son menton supporte également des cornes qui s'avèrent de plus en plus tranchantes avec l'âge. Ses lèvres sont souples et expressives et sa langue aussi longue que fourchue. Quand le dragon vieillit, ses pupilles s'effacent jusqu'à donner des yeux à l'aspect de métal en fusion.
L'odeur du dragon d'airain est sensiblement piquante et évoque le métal chaud et le sable du désert.
Leurs ailes sont de faible envergure, mais courent de l'encolure jusqu'au-delà de la pointe de leur queue, à la manière des raies. Elles sont essentiellement soutenues par les longues pointes perpendiculaires à l'épine dorsale, sur toute sa longueur. Le cou est trapu et épais, relativement au corps plutôt allongé. Un observateur qui voit le dragon par en dessous peut distinguer les cornes accrochées au menton.
Le dragon d'airain, le plus sociable de tous les dragons véritables, est resté célèbre (ou tristement célèbre d'après certains) pour son amour de la conversation. Il ne jure que par le soleil et la chaleur la plus sèche, c'est pourquoi on le trouve dans les régions les plus torrides et arides, en particulier les déserts de sable. Son terrain de prédilection le place souvent en conflit avec les dragons bleus, qui restent à la fois plus puissants et plus agressifs. Les dragons d'airain s'en sortent généralement face aux attaques des bleus grâce à leur vitesse supérieure, qui leur permet de fuir, que ce soit par les airs ou en creusant pour se mettre à l'abri.
Les dragons d'airain aiment établir leurs antres dans des cavernes de roche en hauteur, de préférence orientées vers l'est, de manière à ce que le soleil levant réchauffe la pierre. La plupart d'entre eux ont également des terriers annexes creusés au pied de falaises le long desquelles les vents désertiques ont accumulé des montagnes de sable.
Les dragons creusent des tunnels parallèlement à la falaise dans le sable compacté. Ils savent se déplacer rapidement dans ces galeries, pour aboutir dans quelque caverne souterraine ou sortir par un terrier situé plus loin.
Les dragons d'airain qui vivent dans les donjons établissent souvent leur antre près de zones très fréquentées par les voyageurs pour pouvoir satisfaire leur soif de conversation.
Les dragons d'airain sont capables de manger à peu près n'importe quoi et le feront si le besoin s'en fait sentir, mais ils consomment normalement très peu de nourriture. Il semble qu'ils épargnent l'environnement fragile que reste le désert, ne prélevant que le strict nécessaire. Ils sont capables de se nourrir avec la rosée du matin, une des rares denrées qu'offre le désert, et se mettent à l'action des l'aube pour récolter de minuscules perles de condensation sur les plantes, du bout de leur longiligne langue.
Bien qu'il apprécie tous ce qui a de la valeur, le dragon d'airain préfère les trésors organiques aux pierres et métaux froids. Son butin est souvent composé d'objets en bois et de textiles rares et d'autres œuvres de qualité faites de matériaux fins. L'air chaud et sec de son antre contribue à empêcher que ces objets délicats ne se détériorent avec le temps. Le dragon d'airain fait bien attention de ne jamais activer son souffle de feu à proximité de son fragile trésor qu'il conserve souvent dans une chambre séparée au sein de l'antre.
Et encore :
Les dragons d'airain adorent les chaleurs les plus torrides et sèches et passent l'essentiel de leur temps à se dorer au soleil du désert. Leur territoire présente systématiquement plusieurs sites de prédilection où ils peuvent prendre le soleil et attirer les voyageurs imprudents dans leurs filets logorrhéiques. Tout dragon d'airain se montrera prêt à converser pendant des heures avec la moindre créature capable d'aligner deux syllabes.
De nombreux érudits estiment que les dragons d'airain sont les plus modestes de tous les dragons véritables. Si les intéressés se montreront certainement d'accord pour placer l'humilité parmi leurs nombreuses vertus, la loquacité propre à l'espèce reste néanmoins une expression de l'arrogance draconique. Les dragons d'airain se considèrent comme des orateurs tellement extraordinaires qu'ils ne peuvent admettre qu'un être doué d'intelligence puisse se passer des bienfaits de leur compagnie.
Mais malgré cet amour de la discussion, les dragons d'airain semblent avoir du mal à souffrir la compagnie de leurs propres congénères. Chacun d'entre eux reste en contact distant avec ses voisins et ils n'hésiteront pas à s'unir contre un ennemi commun, mais à part cela, ils préfèrent rester chacun de leur côté.
Nombreux sont ceux qui se constituent leur propre réseau de confidents et d'informateurs, composé de djinns, de janns, de sphinx et de divers humanoïdes. Les dragons recourent à ce système pour rester informés des événements locaux et garder une communication à distance avec les dragons d'airain lointains.
Ces dragons préféreront toujours la discussion au combat. Si une créature intelligente tente de prendre congé sans engager la conversation, le dragon qui se sentira insulté pourra l'obliger à se montrer plus conciliante, par le biais d'une suggestion à moins qu'il ne l'endorme avec son souffle. Bien qu'ils soient d'un naturel amical, les dragons d'airain se montrent prompts à réagir s'ils se sentent menacés et recourent souvent à la version non-létale de leur souffle, un gaz reproduisant les effets du sort sommeil, idéal pour neutraliser les agresseurs. Un individu endormi de la sorte peut très bien se réveiller maintenu sous une patte du dragon ou enfoncé dans le sable jusqu'au cou, situation à laquelle il ne pourra échapper que quand le dragon aura eu la conversation souhaitée. Si le danger qui se présente est trop grand, un jeune dragon d'airain s'enfuit et se cache sous le sable une fois sorti du champ de vision de ses adversaires. Les dragons plus âgés n'ont plus recours à cette manœuvre, qu'ils jugent indignes de leur condition, mais ils préfèrent tout de même avoir l'avantage au combat.
: pour rappel, le topaze est brun chaud à reflets dorés.
À la naissance, ils sont d'une couleur jaune-rangé assez terne. Au fur et à mesure qu'ils prennent de l'âge, leurs écailles durcissent, deviennent translucides et s'ordonnent de multiples facettes. Les adultes brillent de mille feux au soleil.
Dragon axial :
Les dragonnets sont de couleurs bleutés à la naissance et tirent de plus en plus vers un violet sombre en grandissant.
Dragon de la guerre :
Au repos, le dragon de la guerre présente des écailles brunes et plutôt ternes, mais dès qu'il prend les airs, le soleil se reflète sur sa carapace, qui brille alors comme l'or le plus fin.
:!: Attention : Vrai SPOILER !
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Le dragon de la guerre est une créature baignée de gloire qui n'exulte que lors des combats les plus chevaleresques. Les plus illustres combattants ont parfois l'honneur de bénéficier d'une telle monture.
Le dragon de la guerre est connu pour son optimisme inébranlable qui lui permet de toujours entrevoir l'arc-en-ciel au-delà des nuages. Son entrain se révèle contagieux, si bien qu'il reste en toutes circonstances une source d'inspiration de bravoure et de vaillance pour ses compagnons de bataille.
Dès l'adolescence, le dragon de la guerre peut servir de monture à un cavalier de taille P. Les jeunes adultes peuvent ensuite porter des cavaliers de taille M. Certaines cités et quelques ordres chevaleresques ont conclu des accords de protection et d'assistance mutuelles avec les familles voisines de dragons de la guerre. Ainsi, au fil des générations, les chevaliers d'un ordre donné peuvent compter sur la loyauté d'un descendant de la lignée des dragons, et réciproquement.
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Ses écailles, agencées selon des motifs nuancés de rouge, d'orange, de noir et de gris, confèrent au dragon un aspect d'obsidienne fendue, laissant transparaître la lueur de la lave sous-jacente.
:!: Attention : Vrai SPOILER !
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Le dragon pyroclastique, créature de furie élémentaire, incarne les forces du Feu, de la Terre et du tonnerre vrombissant qui retournent la lande et façonnent les continents. Il est originaire de la Morne Éternité de la Géhenne, plan infini d'îlots volcaniques et de lave infernale.
La carrure du dragon pyroclastique est aussi solide qu'imposante et musculeuse, ce qui le fait paraître inébranlable. Ses larges ailes semblent presque faites de cendres, mais restent tout à fait capables de porter son énorme masse dans les airs, malgré leur apparence fragile.
Le dragon pyroclastique adore se baigner dans le magma et établit généralement son antre dans une caverne de roche volcanique. Quand il s'aventure dans le plan Matériel, il réside invariablement aux abords d'un volcan.
Il apprécie le goût de la viande, mais peut se contenter de ne consommer que des minéraux.
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ses écailles immaculées brillent tel l'or en fusion.
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Le dragon radieux est à la fois merveilleux et terrible, d'une vertu irréprochable et d'un dévouement féroce et total à la destruction du Mal. Il semble irradier une aura céleste, dont il peut atténuer l'intensité à loisir. Celui qui arrive à soutenir sa majesté du regard peut remarquer que ses écailles immaculées brillent tel l'or en fusion. Son port altier est caractéristique, tout comme sa voix, qui retentit tel le tonnerre céleste.
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Le dragon de rouille affiche une grande ressemblance avec les dragons métalliques du plan Matériel, bien que son corps soit recouvert de ternissures, de rouille et de vert-de-gris. Certains d'entre eux se rapprochent de l'aspect des dragons de cuivre, tandis que d'autres passent plus facilement pour des dragons d'argent ou d'airain, mais leurs pouvoirs ne varient pas. Leurs écailles paraissent piquetées et bordées par la corrosion et la membrane de leurs ailes est à la fois très fine et irisée.
:!: Attention : Vrai SPOILER !
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Le dragon de rouille, créature de métal souillé originaire du Champ de Bataille Infernal d'Achéron, incarne les forces de la putréfaction et de la corruption. Certains experts du plan Matériel avancent qu'il existe une relation entre ce monstre fiélon et l'Oxydeur, créature comparativement bien inoffensive, mais le bon sens ne peut que ranger ces hypothèses au rang d'élucubrations démentes.
En Achéron, leur plan d'origine, les dragons de rouille bénéficient de toute la nourriture dont ils ont besoin, sous la forme d'innombrables cubes de fer flottant dans le vide, de la taille de continents. Quand ils se retrouvent dans le plan Matériel, ils se mettent en quête de filons métalliques dans les galeries souterraines, ce qui en fait les ennemis des mineurs.
Le dragon de rouille se nourrit de métal corrodé, mais il apprécie tout autant la viande fraîche (en particulier celle de la vermine), idéale pour se nettoyer le palais entre deux mines de fer.
Pourquoi les Ordres de Paladins ne comportent-ils que des hommes ? Et si tout ceci n'était qu'une fable racontée par les mâles pour dissimuler la vérité ? Ce mod tente de rétablir la vérité, du moins SA vérité...
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