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[THEMA] Derniers films vus ...
- Ailyn
- Glabrezu
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Chicken Run :
Des poules décident de se rebeller et de s'échapper de leur poulailler ! Bien sympa, ce film parle avec une certaine justesse de la liberté (et pourtant, c'est pas forcément ce qu'on attend d'un tel film d'animation !) et de l'emprisonnement qu'on peut construire dans son propre esprit. Très drôle également, on associe allègrement les jeux de mots et l'humour de cocote .
The Road :
Un père et son fils descendent vers le Sud en empruntant la route d'un monde apocalyptique...
C'est un film très dur, dont les images heurtent. Beaucoup de choses restent suggérés mais le destin des êtres humains est hautement... inhumain. Tout y est : le manque de tout, la difficulté à se nourrir, à survivre aux éléments et aux autres...
Je le conseille, même si il est difficile à supporter.
Des poules décident de se rebeller et de s'échapper de leur poulailler ! Bien sympa, ce film parle avec une certaine justesse de la liberté (et pourtant, c'est pas forcément ce qu'on attend d'un tel film d'animation !) et de l'emprisonnement qu'on peut construire dans son propre esprit. Très drôle également, on associe allègrement les jeux de mots et l'humour de cocote .
The Road :
Un père et son fils descendent vers le Sud en empruntant la route d'un monde apocalyptique...
C'est un film très dur, dont les images heurtent. Beaucoup de choses restent suggérés mais le destin des êtres humains est hautement... inhumain. Tout y est : le manque de tout, la difficulté à se nourrir, à survivre aux éléments et aux autres...
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RP : Ailyn, ensorceleuse entropiste déjantée. Quête : La morsure du cobra Calimshite
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- Umbre
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ah, The Road, j'ai beaucoup aimé ce film (comme beaucoup de fan de Fallout je pense) dans un style un peu similaire y'a The Book of Eli, dans un monde post apocalyptique Eli cherche un havre de paix ou il pourra donner la bible qu'il transporte (une ambiance générale sympa mais le côté ultra religieux m'avais un peu gavé) et Hell: toujours en post apocalypse sauf que le problème c'est pas les radiations, mais le soleil, y'a plus de couche d'ozone tout brule au soleil, végétation, animaux et hommes, donc comme dans The Road c'est la loi du plus fort pour survivre car le danger est partout, trouver de l'eau et de la nourriture ...
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Le vrai pouvoir se cache dans l'ombre.
La bio de Umbre, Tieffline demi Elfe de Lune et moine de la Lune Noire: ici
Quêtes en cour: Le voyage de l'Ombre et Le réveil de l'Ombre couleur RP: #FFCC33
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- Ugo
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RIMBAULD VERLAINE: Genre de biopic qui retrace la rencontre entre Paul Verlaine et Arthur Rimbaud et leur histoire d'amour tumultueuse. Si le film est fidèle à la réalité, et bien on peut dire que ces deux là étaient de vrais frappa-dingues.
Le seul intérêt du film est de voir la prestation de du post-pubère Léonardo Dicaprio avant sa charnière Titanic.
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Auteur des Chroniques des Soeurs du Premier Sang
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
- Bat
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Men In Black 3 : bien meilleurs que MiB 2. Amusant bien enlevé, sans temps morts . Le duo T L Jones / W smith fonctionne toujours. C' est déstressant .
Bat la chauve-souris de Gotham ! Allez faire un tour à Luménis, ville de paix et de lumière. Et Ma Bio JdR .
- Ugo
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DISTRICT 9: Film (sud-africain je crois) qui raconte...je ne sais trop quoi en fait. Il y a 20 ans des extraterrestres en forme de crevettes humanoïde sont arrivés dans un grand vaisseau au-dessus de Johannesburg. Aujourd'hui, alors que le vaisseau plane immobile au-dessus de la ville, les crustacés ont été installé dans un bidonville appelé District 9 sous le contrôle d'une agence privée le MNU et vont être déplacés vers un autre camp. La personne chargée de conduire l'opération d'expulsion est le beau-fils du patron de la boîte. Durant l'opération il est aspergé par un liquide mystérieux qui induit des mutations chez lui.
Traité comme un documentaire, ce film m'a plu par sa manière de raconter l'histoire. J'ai surtout adoré les aliens, pour qui la nourriture pour chats en bois est un met de luxe et qu'il n'hésitent pas à échanger contre des armes à haute-puissance en se faisant arnaquer comme c'est pas possible.
Traité comme un documentaire, ce film m'a plu par sa manière de raconter l'histoire. J'ai surtout adoré les aliens, pour qui la nourriture pour chats en bois est un met de luxe et qu'il n'hésitent pas à échanger contre des armes à haute-puissance en se faisant arnaquer comme c'est pas possible.
Auteur des Chroniques des Soeurs du Premier Sang
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
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Bien !
Hier j'ai vu Prometheus , de Ridley Scott
Je précise que j'aime beaucoup Alien. Pas Alien(s), le film bourrin doomesque de Cameron, ni le III, ni même le IV. Non, Alien I, le film glauque mystérieux et Gigerien.
Evidemment, j'y suis allé pour Alien. Et je n'aurais pas dû.
Le film est d'une beauté époustouflante. Quand je repense par exemple à Star Wars épisode III, je me rappelle qu'à l'époque la scène du début (bataille dans l'atmosphère) ou dans la lave à la fin j'avais dit WOUAW TROP FORT les effets spéciaux. Prometheus fait passer la revanche des sith pour une série B des années 60 en costume.
Les décors, les vaisseaux, les détails sont d'une qualité et d'une profondeur inégalée. La 3D (hé oui...) est VRAIMENT bien. C'est la première fois que je vois une telle utilisation de cette nature de la 3D. D'ailleurs ça a été signalé par pas mal de critiques et je ne peux que reprendre ça. L'utilisation des mouvements, la profondeur des champs, le glissement fond/devant les jeux de caméras sont vraiment très bons. Le vaisseau....c'est vraiment énorme. Bref, vous l'aurez compris niveau visuel c'est bien
Après, niveau décors, Giger a sacrément mis la main à la pâte. Ca sent le bioorganique, et pas mal de scènes réutilisent des éléments qu'il a créé par le passé (il y a une exposition Giger en ce moment dans ma ville, que j'ai eu l'occasion de visiter, donc je sais de quoi je parle !).
BIEN, passons au reste.
La scénario est assez bancal, comme toujours avec Lindelof (qui a pondu Lost). En gros...
le lien avec Alien est assez clair même si pas si clair que ça
En gros :
Il reste pas mal de questions sans réponse, en tout cas, et l'utilisation de certains éléments est très douteux. Beaucoup de pistes n'ont pas été utilisées, pas mal de trucs rapprochent le film d'un pur nanard américain de SF du pire genre. Mais en même temps il y a quelques bons éléments. Du coup on hésite parfois entre le mauvais film et le bon film.
Pour les acteurs c'est pareil, il y a du bon, et du moins bien.
Du coup, je suis partagé.
En tout cas, c'est gluant.
Hier j'ai vu Prometheus , de Ridley Scott
Je précise que j'aime beaucoup Alien. Pas Alien(s), le film bourrin doomesque de Cameron, ni le III, ni même le IV. Non, Alien I, le film glauque mystérieux et Gigerien.
Evidemment, j'y suis allé pour Alien. Et je n'aurais pas dû.
Le film est d'une beauté époustouflante. Quand je repense par exemple à Star Wars épisode III, je me rappelle qu'à l'époque la scène du début (bataille dans l'atmosphère) ou dans la lave à la fin j'avais dit WOUAW TROP FORT les effets spéciaux. Prometheus fait passer la revanche des sith pour une série B des années 60 en costume.
Les décors, les vaisseaux, les détails sont d'une qualité et d'une profondeur inégalée. La 3D (hé oui...) est VRAIMENT bien. C'est la première fois que je vois une telle utilisation de cette nature de la 3D. D'ailleurs ça a été signalé par pas mal de critiques et je ne peux que reprendre ça. L'utilisation des mouvements, la profondeur des champs, le glissement fond/devant les jeux de caméras sont vraiment très bons. Le vaisseau....c'est vraiment énorme. Bref, vous l'aurez compris niveau visuel c'est bien
Après, niveau décors, Giger a sacrément mis la main à la pâte. Ca sent le bioorganique, et pas mal de scènes réutilisent des éléments qu'il a créé par le passé (il y a une exposition Giger en ce moment dans ma ville, que j'ai eu l'occasion de visiter, donc je sais de quoi je parle !).
BIEN, passons au reste.
La scénario est assez bancal, comme toujours avec Lindelof (qui a pondu Lost). En gros...
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En gros :
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Il reste pas mal de questions sans réponse, en tout cas, et l'utilisation de certains éléments est très douteux. Beaucoup de pistes n'ont pas été utilisées, pas mal de trucs rapprochent le film d'un pur nanard américain de SF du pire genre. Mais en même temps il y a quelques bons éléments. Du coup on hésite parfois entre le mauvais film et le bon film.
Pour les acteurs c'est pareil, il y a du bon, et du moins bien.
Du coup, je suis partagé.
En tout cas, c'est gluant.
"Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit"
Molière - Don Juan -
Molière - Don Juan -
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Hm bah moi dernièrement c'était (en DVD) :
The Shawshank Redemption, de Frank Darabont. C't'une adaptation d'un roman de Stephen King, que je n'ai pas lu. On y suit, dans les années 50, la vie de deux prisonniers à Shawshank, établissement pénitenciaire du Maine, sur plusieurs dizaines d'années : Andy (Tim Robbins), banquier qui clame être accusé à tord du meurtre qui l'a condamné à perpétuité, et Red (Martin Freeman), vieux condamné blasé. Assez dur (normal), mais jamais inutilement violent comme ça peut souvent arriver aux films du genre, et avec au final un message d'espoir assez poignant. J'ai donc beaucoup aimé !
Kiss Kiss Bang Bang, de Shane Black. C'est plutôt de l'action/humour, avec une bonne dose de parodie de film policier. Harry (Robert Downey Jr), cambrioleur malhabile, se retrouve par hasard choisi lors d'une audition de cinéma, en voulant simplement échapper à la police. Il va rapidement se retrouver à 1/Devoir "apprendre" le métier de détective pour parfaire le rôle dans lequel il a aterri par hasard avec "Gay" Perry (Val Kilmer), un détective privé à l'ancienne (et gay, si le surnom n'est pas suffisamment explicite) 2/Essayer de re-séduire Harmony (Michelle Monaghan), son amour d'enfance fan de bouquins policiers, et 3/Accessoirement, et avec l'aide de ses deux compères précédemment cités, essayer de démêler l'histoire de meurtre abracadabrante qui lui est brutalement tombée dans les bras. J'ai pas mal aimé aussi, c'est une comédie, mais c'est pas stupide, les dialogues sont bons, et j'adore la déconstruction/reconstruction scénaristique (en l'occurence, des "enquêtes" policières à deux sous). C'est un bon moment.
The Shawshank Redemption, de Frank Darabont. C't'une adaptation d'un roman de Stephen King, que je n'ai pas lu. On y suit, dans les années 50, la vie de deux prisonniers à Shawshank, établissement pénitenciaire du Maine, sur plusieurs dizaines d'années : Andy (Tim Robbins), banquier qui clame être accusé à tord du meurtre qui l'a condamné à perpétuité, et Red (Martin Freeman), vieux condamné blasé. Assez dur (normal), mais jamais inutilement violent comme ça peut souvent arriver aux films du genre, et avec au final un message d'espoir assez poignant. J'ai donc beaucoup aimé !
Kiss Kiss Bang Bang, de Shane Black. C'est plutôt de l'action/humour, avec une bonne dose de parodie de film policier. Harry (Robert Downey Jr), cambrioleur malhabile, se retrouve par hasard choisi lors d'une audition de cinéma, en voulant simplement échapper à la police. Il va rapidement se retrouver à 1/Devoir "apprendre" le métier de détective pour parfaire le rôle dans lequel il a aterri par hasard avec "Gay" Perry (Val Kilmer), un détective privé à l'ancienne (et gay, si le surnom n'est pas suffisamment explicite) 2/Essayer de re-séduire Harmony (Michelle Monaghan), son amour d'enfance fan de bouquins policiers, et 3/Accessoirement, et avec l'aide de ses deux compères précédemment cités, essayer de démêler l'histoire de meurtre abracadabrante qui lui est brutalement tombée dans les bras. J'ai pas mal aimé aussi, c'est une comédie, mais c'est pas stupide, les dialogues sont bons, et j'adore la déconstruction/reconstruction scénaristique (en l'occurence, des "enquêtes" policières à deux sous). C'est un bon moment.
Vita, mortis, careo !
- Mr Sylvestre
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Naaaaan !!! Les évadés c'est tiré d'un roman de stephen king ? J'en reviens pas !
C'est marrant parce que je viens de lire "Bazaar" qui se passe dans une petite ville imaginaire du Maine, "Little Rock", et ils parlent de "Shawshank", et je me suis dit "Shawshank, comme dans les évadés ! Ça doit être un vrai pénitencier des Etats-unis".
Les évadés est dans le top 4 des meilleurs films que j'ai jamais vu et dont j'ai retenu le nom. Enfin je crois. Dans le doute, recomptons :
les évadés, bright star, eternal sunshine of the spotless mind, moonrise kingdom.
Oui, ça fait 4. Le compte y est. Bon, je pourrais rajoutter "The Big Lebowski" ou "Dumb et dumber", ou tous les autres films des frères Cohen, mais y en aurait trop et j'arriverais plus à tous les retrouver, alors non.
J'ai vu 2 films qui ne figureront pas dans mon top 4 aujourd'hui.
promotheus : alors il semble que Ridley Scott veuille faire une série de films parallèle à Alien. L'histoire, une jolie scientifique et son ami scientifique excité découvrent des sculptures dans des grottes à plein d'endroits différent de la planète, qui figurent une constellation. Oh, une constellation ! Mais c'est là, bing, sur la carte stellaire ! Si on y allait ? se disent-ils. Et puis, ça tombe bien, on connait un multimilliardaire qu'on a réussi à embobiner et qui nous a filé un vaisseau spatial pour y aller, et oui on est en 2090 l'humanité a fait des progrès de géants, réchauffement climatique guerres nucléaires on s'en bat les cils en fait.
Alors la fine équipe y va, y a un black, un asiatique, une blonde, et Noomi Rapace qui fait la jolie scientifique, qui se veut un peu le pendant de Sigourney Weaver des "aliens". Sauf que n'est pas Sigourney Weaver qui veut, encore le rôle de Lisbeth dans Millenium allait comme un gant à Noomi Rapace, encore là... rien. Que dalle, un charisme de chien écrasé au bord d'une autoroute suedoise. C'est le rôle qui est mal écrit je pense, notamment ses péripéties avec son compagnon excité.
Les décors à la Giger sont vraiment bien foutus sinon, les effets spéciaux dépottent, en effet ça ramène ceux de Star Wars Episode 3 à un film de série B, on ne s'ennuie pas, mais pfff, plus d'âme, plus d'originalité.
J'ai à peine envie de savoir qui sont les créateurs suprêmes pas gentils.
L'androïde est bien joué sinon (encore un clin d'oeil à Alien), mais on se demande quelles sont ses motivations. Alors que dans Alien on le sait je crois. Faudrait que je le revoie.
[500] Days Of Summer, titre que je donne en anglais, parce qu'il n'y a pas raison que Zyl soit la seule à donner les titres des films qu'elle a vu en anglais. Alors voilà, c'est l'histoire d'un gars, qui rencontre une fille, et... ce que je peux dire, c'est que ce film ne mérite pas d'être que à cause de sa bande son. Qui est très très très bien, vu qu'elle comprend 2 titres de Regina Spektor, et 2 titres des Smiths.
Un groupe que je ne connais pas, mais qui doit être bien.
Bon, pas très très très bien, mais sûrement assez bien.
L'intérêt réside dans la déconstruction de la narration. Le jour où le mec voit la fille pour la première fois est appellé "jour 1", et le titre laisse penser que leur histoire se terminera le "jour 500". En fait c'est pas exactement ça, mais les jours ne sont pas racontés dans l'ordre chronologique, et le jour 500, surprise.
Et puis sinon, voilà, les seconds rôles sont marrant, le film est bien écrit, les gens ont une bonne tronche, l'actrice principale ressemble à ma bibliothécaire fan de Regina Spektor (coïncidence ?), ce film est un bon petit film sans prétentions, malin, bien tourné, regardez-le.
(je voulais dire un truc mieux en guise de conclusion mais j'ai oublié)
C'est marrant parce que je viens de lire "Bazaar" qui se passe dans une petite ville imaginaire du Maine, "Little Rock", et ils parlent de "Shawshank", et je me suis dit "Shawshank, comme dans les évadés ! Ça doit être un vrai pénitencier des Etats-unis".
Les évadés est dans le top 4 des meilleurs films que j'ai jamais vu et dont j'ai retenu le nom. Enfin je crois. Dans le doute, recomptons :
les évadés, bright star, eternal sunshine of the spotless mind, moonrise kingdom.
Oui, ça fait 4. Le compte y est. Bon, je pourrais rajoutter "The Big Lebowski" ou "Dumb et dumber", ou tous les autres films des frères Cohen, mais y en aurait trop et j'arriverais plus à tous les retrouver, alors non.
J'ai vu 2 films qui ne figureront pas dans mon top 4 aujourd'hui.
promotheus : alors il semble que Ridley Scott veuille faire une série de films parallèle à Alien. L'histoire, une jolie scientifique et son ami scientifique excité découvrent des sculptures dans des grottes à plein d'endroits différent de la planète, qui figurent une constellation. Oh, une constellation ! Mais c'est là, bing, sur la carte stellaire ! Si on y allait ? se disent-ils. Et puis, ça tombe bien, on connait un multimilliardaire qu'on a réussi à embobiner et qui nous a filé un vaisseau spatial pour y aller, et oui on est en 2090 l'humanité a fait des progrès de géants, réchauffement climatique guerres nucléaires on s'en bat les cils en fait.
Alors la fine équipe y va, y a un black, un asiatique, une blonde, et Noomi Rapace qui fait la jolie scientifique, qui se veut un peu le pendant de Sigourney Weaver des "aliens". Sauf que n'est pas Sigourney Weaver qui veut, encore le rôle de Lisbeth dans Millenium allait comme un gant à Noomi Rapace, encore là... rien. Que dalle, un charisme de chien écrasé au bord d'une autoroute suedoise. C'est le rôle qui est mal écrit je pense, notamment ses péripéties avec son compagnon excité.
Les décors à la Giger sont vraiment bien foutus sinon, les effets spéciaux dépottent, en effet ça ramène ceux de Star Wars Episode 3 à un film de série B, on ne s'ennuie pas, mais pfff, plus d'âme, plus d'originalité.
J'ai à peine envie de savoir qui sont les créateurs suprêmes pas gentils.
L'androïde est bien joué sinon (encore un clin d'oeil à Alien), mais on se demande quelles sont ses motivations. Alors que dans Alien on le sait je crois. Faudrait que je le revoie.
[500] Days Of Summer, titre que je donne en anglais, parce qu'il n'y a pas raison que Zyl soit la seule à donner les titres des films qu'elle a vu en anglais. Alors voilà, c'est l'histoire d'un gars, qui rencontre une fille, et... ce que je peux dire, c'est que ce film ne mérite pas d'être que à cause de sa bande son. Qui est très très très bien, vu qu'elle comprend 2 titres de Regina Spektor, et 2 titres des Smiths.
Un groupe que je ne connais pas, mais qui doit être bien.
Bon, pas très très très bien, mais sûrement assez bien.
L'intérêt réside dans la déconstruction de la narration. Le jour où le mec voit la fille pour la première fois est appellé "jour 1", et le titre laisse penser que leur histoire se terminera le "jour 500". En fait c'est pas exactement ça, mais les jours ne sont pas racontés dans l'ordre chronologique, et le jour 500, surprise.
Et puis sinon, voilà, les seconds rôles sont marrant, le film est bien écrit, les gens ont une bonne tronche, l'actrice principale ressemble à ma bibliothécaire fan de Regina Spektor (coïncidence ?), ce film est un bon petit film sans prétentions, malin, bien tourné, regardez-le.
(je voulais dire un truc mieux en guise de conclusion mais j'ai oublié)
"La stratégie la plus dangereuse consiste à enjamber un précipice en deux sauts." Benjamin Disraeli
Allez voir ici si j'y suis, et chantez les louanges du condor, du boxeur, de Cecilia, du gamin à problèmes ou du bébé pilote.
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D'accord avec ta critique sur Prometheus
j'ai vu sinon que vous avez parlé de "La route". Par rapport à "the book of Eli", il faut surtout savoir que "La route" s'appuie sur le roman mythique de Cormac Mac Carthy, sorti en 2007 qui a obtenu le prix pullitzer et qui est un chef d'oeuvre. Cormac Mac Carthy qui accessoirement est l'un des plus grands écrivains américains...vivants ou pas.
Le roman est moyennement adapté (c'est très dur d'adapter le roman), mais vu la puissance de l'histoire on en ressent quand même la force dans le film...
j'ai vu sinon que vous avez parlé de "La route". Par rapport à "the book of Eli", il faut surtout savoir que "La route" s'appuie sur le roman mythique de Cormac Mac Carthy, sorti en 2007 qui a obtenu le prix pullitzer et qui est un chef d'oeuvre. Cormac Mac Carthy qui accessoirement est l'un des plus grands écrivains américains...vivants ou pas.
Le roman est moyennement adapté (c'est très dur d'adapter le roman), mais vu la puissance de l'histoire on en ressent quand même la force dans le film...
"Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit"
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Whoups, je ne connaissais pas le titre français de the Shawshank Redemption (trop habituée aux VO et aux DVD d'import parce que je les trouve pas quand je veux en France, je crois).
Mais oui, ça poutroune. Bright Star, par contre, j'ai vraiment pas aimé. Eternal Sunshine et the Big Lebowski, j'ai adoré. J'ai aussi bien aimé la Route, sans avoir lu le bouquin.
Là comme ça tout de suite, j'aurais du mal à faire mon top des meilleurs films ever. Mais the Shawshank Redemption y aurait une place assez élevée, je pense.
Oups, j'ai oublié la critique que je voulais faire, là ! Entre temps, j'ai donc regardé :
Hot Fuzz, d'Edward Wright. Nicholas Angel (Simon Pegg), flic Londonien d'excellence, est muté dans un petit village tranquille par ses supérieurs à qui il fait de l'ombre. Le petit village modèle s'avère être le lieu de plein d'accidents suspects, et le sergent Angel semble être le seul motivé à vouloir y voir des coïncidences. Avec Danny Butterman (Nick Frost), agent de police pas forcément très doué mais sympathique, il va essayer de démêler le problème, et heu, découvrir que franchement, on peut mieux faire côté petit village ordinaire.
Bon, alors c'est une parodie, pas trop mauvaise je trouve, c'est un bon moment. Je lui ai préféré Shaun of the Dead, mais ça se laisse très largement voir, je trouve.
Old Boy, de Park Chan-Wook. Oh Dae-Su (Choi Min-sik), ivrogne ordinaire, marié et père d'une petite fille, se fait enlever à la sortie d'un poste de police, et détenir pendant 15 ans dans une chambre, sans explication et sans contact avec le monde extérieur autre qu'une télévision. A sa sortie, il est déterminé à trouver le responsable et à se venger, "aidé" en cela par une "fille qui pleure beaucoup", Mido (Kang Hye-jeong) avec qui il va rapidement nouer une relation.
Il faut un peu s'accrocher pour ce film, surtout vers la fin. Il est assez violent, plus psychologiquement qu'à l'écran (même si on a le droit à de l'action et du sang en quantité suffisante). Il *paraît* qu'il a fait pleurer Tarantino, prenez ça comme vous voudrez. Bah je l'ai beaucoup aimé aussi ! Mais comme j'ai dit, il faut s'accrocher, parce que ouch. Ouch.
Mais oui, ça poutroune. Bright Star, par contre, j'ai vraiment pas aimé. Eternal Sunshine et the Big Lebowski, j'ai adoré. J'ai aussi bien aimé la Route, sans avoir lu le bouquin.
Là comme ça tout de suite, j'aurais du mal à faire mon top des meilleurs films ever. Mais the Shawshank Redemption y aurait une place assez élevée, je pense.
Oups, j'ai oublié la critique que je voulais faire, là ! Entre temps, j'ai donc regardé :
Hot Fuzz, d'Edward Wright. Nicholas Angel (Simon Pegg), flic Londonien d'excellence, est muté dans un petit village tranquille par ses supérieurs à qui il fait de l'ombre. Le petit village modèle s'avère être le lieu de plein d'accidents suspects, et le sergent Angel semble être le seul motivé à vouloir y voir des coïncidences. Avec Danny Butterman (Nick Frost), agent de police pas forcément très doué mais sympathique, il va essayer de démêler le problème, et heu, découvrir que franchement, on peut mieux faire côté petit village ordinaire.
Bon, alors c'est une parodie, pas trop mauvaise je trouve, c'est un bon moment. Je lui ai préféré Shaun of the Dead, mais ça se laisse très largement voir, je trouve.
Old Boy, de Park Chan-Wook. Oh Dae-Su (Choi Min-sik), ivrogne ordinaire, marié et père d'une petite fille, se fait enlever à la sortie d'un poste de police, et détenir pendant 15 ans dans une chambre, sans explication et sans contact avec le monde extérieur autre qu'une télévision. A sa sortie, il est déterminé à trouver le responsable et à se venger, "aidé" en cela par une "fille qui pleure beaucoup", Mido (Kang Hye-jeong) avec qui il va rapidement nouer une relation.
Il faut un peu s'accrocher pour ce film, surtout vers la fin. Il est assez violent, plus psychologiquement qu'à l'écran (même si on a le droit à de l'action et du sang en quantité suffisante). Il *paraît* qu'il a fait pleurer Tarantino, prenez ça comme vous voudrez. Bah je l'ai beaucoup aimé aussi ! Mais comme j'ai dit, il faut s'accrocher, parce que ouch. Ouch.
Vita, mortis, careo !
- Ugo
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GOMORRA: film tiré d'un livre de Roberto Saviano qui lui vaut d'ailleurs de vivre depuis sous protection policière car il est sous le coup d'une condamnation à mort de la Camora, la mafia sicilienne. Avec raison d'ailleurs, car tout le folklore sur les mafieux et leur sens de l'honneur est ici balayé d'un revers de la main. Gomorra nous montre à quel point le mafieux moderne ne respecte rien d'autre que l'argent et, comme les banquiers qui sont à l'origine de la crise financière, n'en amassent jamais assez et ne reculent devant rien pour en amasser encore plus, quitte à froidement exécuter des enfants ou des mères de famille.
Oui, Al Capone ou Lucky Luciano étaient de vrais gentlemans à côté de leurs descendants d'aujourd'hui.
Oui, Al Capone ou Lucky Luciano étaient de vrais gentlemans à côté de leurs descendants d'aujourd'hui.
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Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
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BACK SOON: De l'Islande on ne connait pas grand chose à part Bjork et des volcans au noms imprononçables qui perturbent les avions. Mais leur cinéma n'est pas mal non plus, Anna est une poétesse qui deale de l'herbe à 300 habitués. Son bien le plus cher est un portable dans lequel se trouve tous les numéros de ses clients, bien qu'elle veut revendre à un concurrent pour changer de vie. Il y a juste un problème, une oie a avalé le portable.
Film assez barré par la réalisatrice de STORMY WEATHER, avec une galerie de personnages atypiques joués en partier par des non-professionnels et de nombreuses perles savoureuses.
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Auteur des Chroniques des Soeurs du Premier Sang
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
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-21 Jump Street : adaptation sur un mode comique au ciné de la célèbre série TV US du début des années '90 dont le succès lanca la carrière de J Depp. Deux policiers municipaux américains maladroits sont affectés au 21 Jump Street, une unité de la police regroupant des policiers chargés d' infiltrer les lycées...en tant que lycéens. Nos deux héros quoique âgés de 25 ans devront donc infiltrer un lycée théâtre d' un trafic de drogue particulièrement meurtrier.
C' est drôle, léger et rafraichissant : on passe un vrai bon moment .
-Blanche-Neige et le chasseur : 2è adaptation au cinéma du célèbre conte de Grimm (après le film avec Julia Roberts et Lily Allen sorti en avril 2012). Mais contrairement à son prédécesseur qui tombait volontairement dans le comique, Blanche-Neige et le chasseur a clairement un ton dramatique...tout en prenant ses distances avec le conte écrit sur le plan scénaristique. Malgré sa longueur (2h04mn), il n' y a pas tant de péripéties que cela et le scénario avance assez vite.
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The man from Earth, de Richard Schenkman. John Oldman (David Lee Smith), un professeur d'université brillant et promis à un grand avenir, décide un jour de tout plaquer et de déménager, sans plus d'explication qu'une envie de changer d'air. Mais lors de son pot de départ, ses amis, tous professeurs (plus une étudiante), vont tenter de lui tirer les vers du nez quant aux raisons de son départ. Il leur répond tout d'abord par une simple question : que se serait-il passé si un homme de cro-magnon n'avait simplement jamais âgé, et avait vécu toute sa vie jusqu'à notre époque ?
Wouhou ! J'ai beaucoup aimé ! Pas très connu, je crois, mérite d'être vu. Une scène, un groupe de personnages qui ne change quasiment pas de tout le film, et pourtant, quel film ! De très bons dialogues, des débats sur l'immortalité et ses implications, mais pas non plus des coups d'enclume scientifiques et/ou idéologiques (je veux dire par là que les dialogues sont intéressants et pas chiants, quoi, informatifs sans être lourdingues). Je le recommande à ceux qui aiment la science-fiction pauvre en vaisseaux qui font piouh piouh et riche en bonnes idées.
Wouhou ! J'ai beaucoup aimé ! Pas très connu, je crois, mérite d'être vu. Une scène, un groupe de personnages qui ne change quasiment pas de tout le film, et pourtant, quel film ! De très bons dialogues, des débats sur l'immortalité et ses implications, mais pas non plus des coups d'enclume scientifiques et/ou idéologiques (je veux dire par là que les dialogues sont intéressants et pas chiants, quoi, informatifs sans être lourdingues). Je le recommande à ceux qui aiment la science-fiction pauvre en vaisseaux qui font piouh piouh et riche en bonnes idées.
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De la science fiction sans vaisseaux spatiaux qui font bip bip en s'envoyant de la lumière rouge les uns sur les autres !?
Ça doit pas être mal, alors. Ça me fait penser à Moon, film réalisé par le fils de David Bowie (qui a un vrai nom à lui, je crois). C'est l'histoire d'un astronaute seul sur la lune, dans une station de recherche, avec pour seul ami l'intelligence artificielle de la station. Et forcément, les communications avec la terre coupent, et monsieur doit se débrouiller pour réparer, quand...
Nan, film génial, franchement, regardez-le, si vous ne l'avez pas déjà fait, huis-clos plein de suspense, digne d'un 2001 l'odyssée de l'espace en mieux. Ce qui est bizarre c'est qu'il est passé assez inaperçu, ils l'avaient passé dans mon cinéma de province (un multiplexe classé arts et essai je crois, si si ça existe), j'étais tombé dessus par hasard, et ils l'avaient diffusé sur arte ou sur une chaine obscure du câble une fois à la télé. Même si Télérama en avait fait une critique dithyrambique, je doute que l'audimat ait été au rendez-vous.
Ça doit pas être mal, alors. Ça me fait penser à Moon, film réalisé par le fils de David Bowie (qui a un vrai nom à lui, je crois). C'est l'histoire d'un astronaute seul sur la lune, dans une station de recherche, avec pour seul ami l'intelligence artificielle de la station. Et forcément, les communications avec la terre coupent, et monsieur doit se débrouiller pour réparer, quand...
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Allez voir ici si j'y suis, et chantez les louanges du condor, du boxeur, de Cecilia, du gamin à problèmes ou du bébé pilote.
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Je viens de regarder la bande annonce, il fait vraiment envie ce film.Mr Sylvestre a écrit :De la science fiction sans vaisseaux spatiaux qui font bip bip en s'envoyant de la lumière rouge les uns sur les autres !?
Ça doit pas être mal, alors. Ça me fait penser à Moon, film réalisé par le fils de David Bowie (qui a un vrai nom à lui, je crois). C'est l'histoire d'un astronaute seul sur la lune, dans une station de recherche, avec pour seul ami l'intelligence artificielle de la station. Et forcément, les communications avec la terre coupent, et monsieur doit se débrouiller pour réparer, quand...
Nan, film génial, franchement, regardez-le, si vous ne l'avez pas déjà fait, huis-clos plein de suspense, digne d'un 2001 l'odyssée de l'espace en mieux. Ce qui est bizarre c'est qu'il est passé assez inaperçu, ils l'avaient passé dans mon cinéma de province (un multiplexe classé arts et essai je crois, si si ça existe), j'étais tombé dessus par hasard, et ils l'avaient diffusé sur arte ou sur une chaine obscure du câble une fois à la télé. Même si Télérama en avait fait une critique dithyrambique, je doute que l'audimat ait été au rendez-vous.
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"La culture c'est comme la confiture, moins tu en as plus tu l'étales." - Pierre Desproges.
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J'ai été voir Prométhéus et Blancheneige et le chasseur, et comme ces films ont déjà fait l'objet de commentaires je serai donc bref.
J'ai adoré le film de Ridley Scott et trouvé que les acteurs ne s'en sortaient pas si mal, en tout cas l'approche pour expliquer la genèse des aliens est assez bien torchée. En revanche, je crois que la fin est brouillonne, Inarius pense que le vaisseau dans le premier Alien se trouve sur une autre planète que celle où se situe l'action de Prométhéus, alors que je crois que le vaisseau est celui qui s'écrase à la fin du film. Mais si Inarius a raison, alors cela explique pourquoi l'extraterrestre-dieu éventré se retrouve sur son siège de pilote.
Comme d'habitude on ne peut s'empêcher de faire la comparaison avec le Seigneur des Anneaux, et évidemment être déçu si on se limite à cela. Ce qui serait injuste pour ce film, ce n'est pas l'adaptation d'un épopée épique du 20ème siècle mais la version revisitée d'un conte de Grimm. Et quand on a intégré ça, on se rend compte que c'est un petit-bijou, Charlize Theron est impériale en reine démoniaque (même si une séquence semble être un copié-collé de la scène où Galadriel pète les plombs quand Frodon lui offre l'anneau unique) et Kristen Stewart en Blancheneige guerrière va conforter son statut d'icone lesbienne acquis après le film Runaway.
J'ai adoré le film de Ridley Scott et trouvé que les acteurs ne s'en sortaient pas si mal, en tout cas l'approche pour expliquer la genèse des aliens est assez bien torchée. En revanche, je crois que la fin est brouillonne, Inarius pense que le vaisseau dans le premier Alien se trouve sur une autre planète que celle où se situe l'action de Prométhéus, alors que je crois que le vaisseau est celui qui s'écrase à la fin du film. Mais si Inarius a raison, alors cela explique pourquoi l'extraterrestre-dieu éventré se retrouve sur son siège de pilote.
Comme d'habitude on ne peut s'empêcher de faire la comparaison avec le Seigneur des Anneaux, et évidemment être déçu si on se limite à cela. Ce qui serait injuste pour ce film, ce n'est pas l'adaptation d'un épopée épique du 20ème siècle mais la version revisitée d'un conte de Grimm. Et quand on a intégré ça, on se rend compte que c'est un petit-bijou, Charlize Theron est impériale en reine démoniaque (même si une séquence semble être un copié-collé de la scène où Galadriel pète les plombs quand Frodon lui offre l'anneau unique) et Kristen Stewart en Blancheneige guerrière va conforter son statut d'icone lesbienne acquis après le film Runaway.
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Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
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Derniers films vus :
-Bienvenue chez nous: Film psychologique comme on les aime bien en France. Taillandier (Patrice Chesnais) Un peintre à succès sexagénaire « fugue » sans prévenir personne. Au bord du suicide il rencontre Marylou jeune fugueuse de 15 ans.
Chacun des deux personnages permettra à l’ autre de reprendre courage et de retrouver sa place dans la vie.
Le scénario est un peu du « déjà-vu » avec des rebondissements assez prévisibles. Un film sympathique toutefois, bien réalisé, bien joué sans temps morts avec une fin toutefois un peu trop facile.
-The dictator : le film avec Sacha Baron Cohen dans le rôle principal. parodie cynique de dictateurs « ubuesques » tels que Saddam Hussein et Mohammar Kadhafi. Un dictateur d' Afrique du Nord (S Baron Cohen) va connaître toutes sortes d' aventures/mésaventures à New York où il se trouve pour défendre son pays devant les Nations Unies. Joyeusement décalé avec une fin émouvante malgré tout. On pense au dictateur bien entendu mais il a aussiMis à part un ou deux gags « potaches », ça reste agréable et d’ un rythme enlevé.
-Bienvenue chez nous: Film psychologique comme on les aime bien en France. Taillandier (Patrice Chesnais) Un peintre à succès sexagénaire « fugue » sans prévenir personne. Au bord du suicide il rencontre Marylou jeune fugueuse de 15 ans.
Chacun des deux personnages permettra à l’ autre de reprendre courage et de retrouver sa place dans la vie.
Le scénario est un peu du « déjà-vu » avec des rebondissements assez prévisibles. Un film sympathique toutefois, bien réalisé, bien joué sans temps morts avec une fin toutefois un peu trop facile.
-The dictator : le film avec Sacha Baron Cohen dans le rôle principal. parodie cynique de dictateurs « ubuesques » tels que Saddam Hussein et Mohammar Kadhafi. Un dictateur d' Afrique du Nord (S Baron Cohen) va connaître toutes sortes d' aventures/mésaventures à New York où il se trouve pour défendre son pays devant les Nations Unies. Joyeusement décalé avec une fin émouvante malgré tout. On pense au dictateur bien entendu mais il a aussi
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Non Ugo, ça ne se passe pas sur la même planète : Le 8ème passager se tient sur LV-426 (c'est aussi le lieu d'action du 2nd film), tandis que Prometheus se déroule sur LV-223. Les images restent donc cohérentes entre les 2 films.
On peut dire que ce film en partage plus d'un, côté fan. Personnellement, je n'y suis pas allé avec de fortes attentes en terme de révélations. Ridley Scott avait de toute manière prévenu que Prometheus n'était pas une préquelle à Alien, mais un film à part entière. J'ai bien aimé le film : les effets spéciaux sont époustouflants, Noomi Rapace et Fassbender sont impeccables - Noomi Rapace renouvelant bien le genre Ripley sans faire dans la Ripley. Et surtout, le film ouvre la voix pour d'autres : wouhou ! On va avoir plein de nouveaux films d'aliens .
Blanche neige et le chasseur en revanche... au secours ! Aaaaahhh ! Y'a un scénar' à ce truc ? C'est une succession d'images léchées, ok, des acteurs qui n'arrêtent pas de prendre la pause, tombant dans le cliché à tout bout de champs. Je me suis ennuyé.
Sinon, sur les conseils avisés de Zyl, je me suis penché sur The Man from Earth. Sympa en effet, un huis clos où l'on ne s'ennuie jamais.
Ca ne m'étonne pas qu'il soit passé inaperçu aux States : t'as vu comment il parle de la religion ? Les créationnistes ont dû hurler à l'hérésie.
On peut dire que ce film en partage plus d'un, côté fan. Personnellement, je n'y suis pas allé avec de fortes attentes en terme de révélations. Ridley Scott avait de toute manière prévenu que Prometheus n'était pas une préquelle à Alien, mais un film à part entière. J'ai bien aimé le film : les effets spéciaux sont époustouflants, Noomi Rapace et Fassbender sont impeccables - Noomi Rapace renouvelant bien le genre Ripley sans faire dans la Ripley. Et surtout, le film ouvre la voix pour d'autres : wouhou ! On va avoir plein de nouveaux films d'aliens .
Blanche neige et le chasseur en revanche... au secours ! Aaaaahhh ! Y'a un scénar' à ce truc ? C'est une succession d'images léchées, ok, des acteurs qui n'arrêtent pas de prendre la pause, tombant dans le cliché à tout bout de champs. Je me suis ennuyé.
Sinon, sur les conseils avisés de Zyl, je me suis penché sur The Man from Earth. Sympa en effet, un huis clos où l'on ne s'ennuie jamais.
Ca ne m'étonne pas qu'il soit passé inaperçu aux States : t'as vu comment il parle de la religion ? Les créationnistes ont dû hurler à l'hérésie.
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Fête du cinéma oblige, je suis allé voir 2 films.
Tout d'abord le dernier film de Quentin Dupieux, qui ne sort qu'en Septembre (en avant première nationale, donc) "Wrong". Si vous aimez le non-sens, les monty Python, Lynch dans ses moments drôles, vous adorerez ! J'avais déjà vu Rubber de lui il y a quelques temps, qui était (histoire d'un pneu tueur en série sentimental) beaucoup plus barré, mais du coup un peu moins bien.
J'ai vu également de rouille et d'os de Jacques Audiard. Même si ça n'est pas à mon sens le meilleur Audiard, ça reste un très bon film (surtout que le genre "mélo" donne en général des films assez médiocres...)
Tout d'abord le dernier film de Quentin Dupieux, qui ne sort qu'en Septembre (en avant première nationale, donc) "Wrong". Si vous aimez le non-sens, les monty Python, Lynch dans ses moments drôles, vous adorerez ! J'avais déjà vu Rubber de lui il y a quelques temps, qui était (histoire d'un pneu tueur en série sentimental) beaucoup plus barré, mais du coup un peu moins bien.
J'ai vu également de rouille et d'os de Jacques Audiard. Même si ça n'est pas à mon sens le meilleur Audiard, ça reste un très bon film (surtout que le genre "mélo" donne en général des films assez médiocres...)
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T'as vu ça où toi? T'es dans l'équipe de scénaristes du film ou tu connais personnellement le maître?Graoumf a écrit :Non Ugo, ça ne se passe pas sur la même planète : Le 8ème passager se tient sur LV-426 (c'est aussi le lieu d'action du 2nd film), tandis que Prometheus se déroule sur LV-223. Les images restent donc cohérentes entre les 2 films.
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Bon, ben ça règle la question Inarius avait raison et moi je pédalais dans la semoule. Ca va nous faire plein de nouveaux films ça, miam miam.
THE WOMEN: Un film pour nanas, mais qui se regarde quand même. Une femme mariée apprend que son mari entretient une liaison avec une parfumeuse d'une grande galerie commerciale et finit par demander le quitter et à se reconstruire, heureusement soutenue par ses 3 amies proches (une working-girl à la tête d'un magazine de mode, une mère de famille nombreuse qui cherche à toute force à faire un garçon après 4 filles et une lesbienne hédoniste), sa gouvernante, la nounou et sa fille ado.
L'une des particularités de ce film est d'avoir une distribution presque entièrement féminine, d'ailleurs je crois bien ne pas avoir aperçu un seul mâle de tout le film, excepté le bébé à la fin. On parle des maris, on les a au téléphone mais on ne les voit jamais.
Il y a quand même un truc qui m'a déplu, la femme bafouée est jouée par Meg ryan mais j'ai du attendre le générique de fin pour savoir qui elle était, tellement elle était botoxée.
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The Divide: a New York une bombe atomique explose, quelques personnes arrivent à survivre dans les sous sols aménagé d'un immeuble par un type plus ou moins parano. L'essentiel du film se déroule donc en huit clos et on voit bien la mise en avant des rapports humains dans cette phase de survie d'un petit groupe. Tout y passe, l'eau, la nourriture, l'alcool, le sexe, la violence, le deuil, la peur, la haine, le contrôle et le pouvoir mais aussi la folie etc.
Le film est violent mais très réaliste je trouve. On voit clairement l'évolution de la psychologie des personnages et personne ne peut sortir idem d'une situation pareil. Qui sait ce qu'il est vraiment prêt à faire pour survivre?
Le film est violent mais très réaliste je trouve. On voit clairement l'évolution de la psychologie des personnages et personne ne peut sortir idem d'une situation pareil. Qui sait ce qu'il est vraiment prêt à faire pour survivre?
Le vrai pouvoir se cache dans l'ombre.
La bio de Umbre, Tieffline demi Elfe de Lune et moine de la Lune Noire: ici
Quêtes en cour: Le voyage de l'Ombre et Le réveil de l'Ombre couleur RP: #FFCC33
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28 JOURS PLUS TARD: Film de Danny Boyle, le premier jour des militants de la cause animale pénètrent dans un laboratoire et délivrent des singes infectés par un virus. 28 jours plus tard, un coursier dans le coma se réveille à l'hôpital et trouve les rues de Londres entièrement vides à l'exception de personnes infectées par le virus qui n'ont qu'un seul objectif tuer et propager le virus.
Avec la série des REC en Espagne, finalement en Europe aussi on peut faire de bons films d'horreur.
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Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
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Derniers films vus :
-Adieu Berthe ou l' enterrement de Mémé : film étrange. Un homme (Denys Polyadès) doit gérer l' enterrement de sa grand-mère, dont il s' aperçoit qu' il ne connaissait pas si bien que ça son existence. En même temps, il doit gérer sa double vie avec son épouse et sa maîtresse.
Il y a des moments amusants...mais à mon avis on se demande quand l' intrigue commence. Le propos du film paraît un peu difficile à saisir.
-The Amazing Spider man : Ce n' est pas la suite des 3 1ers Spidermans réalisés dans les années 2000 par Sam Raimi (Evil Dead 3 l' Armée des Ténèbres). C' est plutôt le début d' une nouvelle série de films sur l' Homme-Araignée de New-Yotk.
En entendant parler du projet, j' étais à la fois inquiet et déçu par le changement d' équipe, réalisateur comme acteur. On oublie S Raimi, Tobey Maguire et Kristen Dunst, pour les remplacer par Marc Webb, avec Andrew Garfield et Emma Stone. On oublie MJ Watson pour Gwen Stacy.
Au final, un bon film, peut-être un peu long (mais sans véritables longueurs non plus), avec un jeune Spiderman différent. Ce n' est plus l' ado un peu "tête en l' air" (sans mauvais jeu de mots ) interprété par T Maguire : c' est un héros plus sombre qui malgré son jeune âge a des questionnements d' adultes. Il y a toujours des scènes d' actions (c' est une histoire de comics adaptée au cinéma après tout ) mais c' est moins axé sur les cascades spectaculaires contrairement aux 3 1ers Spiderman.
Bref j' avais des appréhensions mais elles ont été dissipées après la vision du film. N' hésitez pas à aller le voir : c' est un des bons spectacles cinématographiques de l' été .
-Adieu Berthe ou l' enterrement de Mémé : film étrange. Un homme (Denys Polyadès) doit gérer l' enterrement de sa grand-mère, dont il s' aperçoit qu' il ne connaissait pas si bien que ça son existence. En même temps, il doit gérer sa double vie avec son épouse et sa maîtresse.
Il y a des moments amusants...mais à mon avis on se demande quand l' intrigue commence. Le propos du film paraît un peu difficile à saisir.
-The Amazing Spider man : Ce n' est pas la suite des 3 1ers Spidermans réalisés dans les années 2000 par Sam Raimi (Evil Dead 3 l' Armée des Ténèbres). C' est plutôt le début d' une nouvelle série de films sur l' Homme-Araignée de New-Yotk.
En entendant parler du projet, j' étais à la fois inquiet et déçu par le changement d' équipe, réalisateur comme acteur. On oublie S Raimi, Tobey Maguire et Kristen Dunst, pour les remplacer par Marc Webb, avec Andrew Garfield et Emma Stone. On oublie MJ Watson pour Gwen Stacy.
Au final, un bon film, peut-être un peu long (mais sans véritables longueurs non plus), avec un jeune Spiderman différent. Ce n' est plus l' ado un peu "tête en l' air" (sans mauvais jeu de mots ) interprété par T Maguire : c' est un héros plus sombre qui malgré son jeune âge a des questionnements d' adultes. Il y a toujours des scènes d' actions (c' est une histoire de comics adaptée au cinéma après tout ) mais c' est moins axé sur les cascades spectaculaires contrairement aux 3 1ers Spiderman.
Bref j' avais des appréhensions mais elles ont été dissipées après la vision du film. N' hésitez pas à aller le voir : c' est un des bons spectacles cinématographiques de l' été .
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Bat a écrit :Derniers films vus :
-The Amazing Spider man :
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La Route c'est fort !
The Raid si vous aimez les films d'art martial, j'étais contre ma volonté bien devant l'écran, et j'ai bien aimé (même si c'est pas mal téléphoné). Ca reste de la brute.
Blanche Neige, j'ai appris à ne pas trop faire attention aux stéréotypes, mais franchement j'ai vraiment apprécié. Je m'attendais à un navet faut dire, alors ça aide. (UGC Illimité...)
MIB 3, Idem que Blanche neige, d'accord avec le commentaire précédent.
Sinon Gomorra je conseille vivement, Hot Fuzz aussi (pas se prendre la tête) au même titre que L'Irlandais.
Et j'ai vraiment aimé Moonrise Kingdom, j'ai trouvé que l'atmosphère était très bien rendue. Même remarque pour Dark Shadows (mais c'est pas la même atmosphère).
The Raid si vous aimez les films d'art martial, j'étais contre ma volonté bien devant l'écran, et j'ai bien aimé (même si c'est pas mal téléphoné). Ca reste de la brute.
Blanche Neige, j'ai appris à ne pas trop faire attention aux stéréotypes, mais franchement j'ai vraiment apprécié. Je m'attendais à un navet faut dire, alors ça aide. (UGC Illimité...)
MIB 3, Idem que Blanche neige, d'accord avec le commentaire précédent.
Sinon Gomorra je conseille vivement, Hot Fuzz aussi (pas se prendre la tête) au même titre que L'Irlandais.
Et j'ai vraiment aimé Moonrise Kingdom, j'ai trouvé que l'atmosphère était très bien rendue. Même remarque pour Dark Shadows (mais c'est pas la même atmosphère).
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Seule contre tous: (the whistleblower en VO) ce film parle d'une jeune flic (et maman) du Nebraska qui en mal d'argent va partir en mission pour l'ONU en Bosnie après la guerre. l'ONU manquant de moyen, délègue la sécurité à des compagnies privées (on apprend que la même compagnie sert aussi en Irak et Afghanistan...). Mais qui est chargé de surveiller ses dites compagnies? Elle va y découvrir l'horreur et ses idéaux vont être mis à rudes épreuves. Il s'agit d'une histoire vrai d'après ce qui est dit dans le film et qui parle principalement du trafique des femmes et de leurs conditions de vies à travers une Bosnie à vif et encore divisé par le communautarisme. Mais la compagnie y trouve ses avantages, l'ONU est impuissant et tout le monde applaudis que la guerre soit finie... Ce film fait mal aux tripes par son réalisme et on voit l'impuissance d'une seule personne face à mécanisme immonde mais solide qui broie tout sur son passage
(je l'ai vu y'a un moment mais je viens de revoir l'affiche ça m'a donné envie d'en parler, je crois pas que je l'avais fait...)
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Le vrai pouvoir se cache dans l'ombre.
La bio de Umbre, Tieffline demi Elfe de Lune et moine de la Lune Noire: ici
Quêtes en cour: Le voyage de l'Ombre et Le réveil de l'Ombre couleur RP: #FFCC33
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- Mr Sylvestre
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Yep, je note Umbre, j'irai sûrement le voir ce film. Ou alors je ferai gaffe quand il sortira à la télé. Ca me rappelle l'histoire d'un soldat qui fait tout pour sauver des victimes de guerre utilisées comme prostituées par des casques bleus pendant cette même guerre. Mais j'ai tout oublié de ce film, je crois qu'il y a aussi un journaliste dans le coup, un p'tit anglais. Ouais, ça devait être un film anglais. Je m'en souviens pas très bien, mais il était très très très bien, y avait une grande actrice d'europe de l'est qui jouait une des prostituées, dedans, Marina quelque chose...Umbre a écrit :Seule contre tous: (the whistleblower en VO) ce film parle d'une jeune flic (et maman) du Nebraska qui en mal d'argent va partir en mission pour l'ONU en Bosnie après la guerre. l'ONU manquant de moyen, délègue la sécurité à des compagnies privées (on apprend que la même compagnie sert aussi en Irak et Afghanistan...). Mais qui est chargé de surveiller ses dites compagnies? Elle va y découvrir l'horreur et ses idéaux vont être mis à rudes épreuves. Il s'agit d'une histoire vrai d'après ce qui est dit dans le film et qui parle principalement du trafique des femmes et de leurs conditions de vies à travers une Bosnie à vif et encore divisé par le communautarisme. Mais la compagnie y trouve ses avantages, l'ONU est impuissant et tout le monde applaudis que la guerre soit finie... Ce film fait mal aux tripes par son réalisme et on voit l'impuissance d'une seule personne face à mécanisme immonde mais solide qui broie tout sur son passage
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NOONN !! Anamaria Marinca, dans Sex Traffic, un téléfilm de David Yates sorti en 2004 !
Oups, pour trouver un film avec un tel nom, bonne chance. Même une employée de médiathèque géniale n'y arriverait pas
"La stratégie la plus dangereuse consiste à enjamber un précipice en deux sauts." Benjamin Disraeli
Allez voir ici si j'y suis, et chantez les louanges du condor, du boxeur, de Cecilia, du gamin à problèmes ou du bébé pilote.
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- Lothringen
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A l'est d'Eden (eh oui c'est un de mes derniers films vus... y'a pas de date limite)
Tout a été dit sur ce film : interprétation magistrale de justesse de James Dean en ado en quête d'amour paternel, drame intelligemment recentré sur le conflit familial, réalisation aux cadrages innovants... Les moins : le film est terriblement daté avec sa mise en avant du puritanisme protestant, sa musique violonneuse ominprésente et ses accents de mélodrame constamment surjoué.
The artist
Mais pourquoi ai-je autant attendu pour le visionner... Je craignais quelque chose de lourd, de démonstratif, d'intello. J'avais tort. Evidemment il vaut mieux être cinéphile pour apprécier, mais c'est un très bon film, original dans sa réalisation (un film muet... mais justement, pas tout le temps !), qui alterne les moments pathétiques ou drôles. L'histoire - un célèbre acteur de film muet qui sombre dans la dépression plutôt que de tenter de se reconvertir à l'arrivée du parlant - se transpose facilement...
Age de glace 4
Comme les précédents.
Tout a été dit sur ce film : interprétation magistrale de justesse de James Dean en ado en quête d'amour paternel, drame intelligemment recentré sur le conflit familial, réalisation aux cadrages innovants... Les moins : le film est terriblement daté avec sa mise en avant du puritanisme protestant, sa musique violonneuse ominprésente et ses accents de mélodrame constamment surjoué.
The artist
Mais pourquoi ai-je autant attendu pour le visionner... Je craignais quelque chose de lourd, de démonstratif, d'intello. J'avais tort. Evidemment il vaut mieux être cinéphile pour apprécier, mais c'est un très bon film, original dans sa réalisation (un film muet... mais justement, pas tout le temps !), qui alterne les moments pathétiques ou drôles. L'histoire - un célèbre acteur de film muet qui sombre dans la dépression plutôt que de tenter de se reconvertir à l'arrivée du parlant - se transpose facilement...
Age de glace 4
Comme les précédents.
Code Couleur : #7AC5CD I Arrivée à Manostet Biographie RP
Rp en cours : Les Caprices de Fortune (MJ / Joueur)
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