Oyez, oyez !
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[THEMA] Derniers films vus ...
- Mr Sylvestre
- Basilic mineur
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.
Ouaah, Mud, trop envie de le voir celui-là. Take Shelter j'avais pas trop apprécié, j'avais trouvé ça très froid. Mais haletant aussi. Très bien fait.
Y a plein de films que j'aimerais évoquer ici, mais le dernier que j'ai vu est... Star Trek. Je sais pas trop pourquoi je voulais le voir, j'ai jamais regardé un épisode de la série en entier, je sais très bien que les effets spéciaux sont complètement cheap et que les dialogues sont ni fait ni à faire, mais bon, ça passait sur Arte, et j'ai foi en Arte. Il y avait un T dans Télérama. Normalement, science-fiction+Arte+Télérama, ça me suffit.
Ouaaah. la claque.
Déjà, comme prévu, des effets spéciaux hilarant, des Klingons (des méchants à mon avis mais je suis pas sûr) sont dans des vaisseaux spatiaux, genre des gigantesques sèche-cheveux dans une espèce de méduse galactique bleue sur fond noir (l'espace). Ils disent des trucs en klingon, et les sous-titres traduisent un truc comme "verrouillez la cible et balancez les torpilles". Mais alors là, gros fail, les torpilles c'est des grosses boules d'étincelles rouges et quand elle finissent par toucher un autre vaisseau (au bout de je sais pas combien de temps), l'équipe technique savait pas faire les explosions, ou alors ils avaient pas le budget, le vaisseau touché disparaît.
Un rapport est quand même envoyé, une force très puissante et mystérieuse envahit la galaxie et se dirige vers... la Terre. Et le seul vaisseau dans le coin, capable de les arrêter, je vous le donne en mille, l'USS Enterprise. Sauf qu'il est pas encore super super rôdé, mais bon, le captain Kirk arrive à son bord, et vu que c'est un peu le Sarkozy du XXIIIème siècle l'Enterprise il a intérêt à décoller fissa si ses membres veulent pas se retrouver dans un centre de rétention pour immigrés vu qu'ils ressemblent à une pub benneton.
Et bim, panne des moteurs, heureusement Mr Spock, un vulcanien (le seul extraterrestre du bord) monte à bord comme par hasard pour réparer le bouzin.
C'est un peu le François Fillon du XXIIIème siècle Mr Spock, les oreilles pointues en plus.
Sinon, le reste de l'équipage est rigolo, y a l'asiatique qui parle presque sans accent et qu'est le seul à se faire blesser, la black qu'a un putain d'accent martiniquais en VF, mort de rire, y a le russe qui parle normal, le vieux médecin irlandais qu'est rappelé de force, et après un rasage qui passe son temps à faire des vannes bof bof mais bon comme c'est le seul, heureusement qu'il est là, le jeune poulain fougueux qu'est dégoutté parce qu'il aurait dû être capitaine à la place du capitaine (un peu le JF Coppé du XXIIIème siècle) et sa nana qui a pas le droit d'avoir de mec ni de cheveux mais qui est forte en calcul mental.
Ils vont donc à la rencontre de la force mystérieuse qui est sur le chemin de la Terre, ils lui disent coucou, se prennent une torpille dans la gueule, redisent coucou mais en langage machine, se refont pas atomiser, la nana qu'a pas de cheveux se fait enlever, est remplacée par la même nana sauf que c'est un robot, qu'elle a une espèce de blouse qui lui arrive au ras des fesses et un diamant SM à la place de la thyroïde qui clignote. Tu sens les scénaristes qui fantasment bien sur les dominatrices, parce qu'elle commence à donner des ordres dans tous les sens, soi-disant que la grosse puissance bleue c'est 'VIGER" et faut faire plein de trucs pour elle comme dans une soirée sado-maso.
Et ils bavardent, ils bavardent... entre mecs, de toute façon y a pas vraiment de femmes sur le vaisseau.
Je vous dis pas la fin, elle est originale. Enfin, la fin, non, elle est pas originale, mais de la nature de la menace venue du fin fond de la galaxie si.
Le passage le plus drôle est quand ils passent en hyper espace. Ils pouvaient pas dire "passage en hyper espace", alors ils disent "parabole 1". Et là les points lumineux peuvent pas devenir des raies blanches tout autour du vaisseau, alors y a plein de raies multicolores qui se pointent autour.
De toute façon les images sont très colorées, très flashy dans ce film. Ça sent bon les années 80.
Je me demande toujours ce que venaient faire les Klingons là-dedans. Réponse peut-être dans le 2 ou le 3 ? Je les ai enregistrés. Oui, je sais, je suis masochiste.
(rassurez-vous, je ne compte pas en parler ici, ni nulle part ailleurs)
Y a plein de films que j'aimerais évoquer ici, mais le dernier que j'ai vu est... Star Trek. Je sais pas trop pourquoi je voulais le voir, j'ai jamais regardé un épisode de la série en entier, je sais très bien que les effets spéciaux sont complètement cheap et que les dialogues sont ni fait ni à faire, mais bon, ça passait sur Arte, et j'ai foi en Arte. Il y avait un T dans Télérama. Normalement, science-fiction+Arte+Télérama, ça me suffit.
Ouaaah. la claque.
Déjà, comme prévu, des effets spéciaux hilarant, des Klingons (des méchants à mon avis mais je suis pas sûr) sont dans des vaisseaux spatiaux, genre des gigantesques sèche-cheveux dans une espèce de méduse galactique bleue sur fond noir (l'espace). Ils disent des trucs en klingon, et les sous-titres traduisent un truc comme "verrouillez la cible et balancez les torpilles". Mais alors là, gros fail, les torpilles c'est des grosses boules d'étincelles rouges et quand elle finissent par toucher un autre vaisseau (au bout de je sais pas combien de temps), l'équipe technique savait pas faire les explosions, ou alors ils avaient pas le budget, le vaisseau touché disparaît.
Un rapport est quand même envoyé, une force très puissante et mystérieuse envahit la galaxie et se dirige vers... la Terre. Et le seul vaisseau dans le coin, capable de les arrêter, je vous le donne en mille, l'USS Enterprise. Sauf qu'il est pas encore super super rôdé, mais bon, le captain Kirk arrive à son bord, et vu que c'est un peu le Sarkozy du XXIIIème siècle l'Enterprise il a intérêt à décoller fissa si ses membres veulent pas se retrouver dans un centre de rétention pour immigrés vu qu'ils ressemblent à une pub benneton.
Et bim, panne des moteurs, heureusement Mr Spock, un vulcanien (le seul extraterrestre du bord) monte à bord comme par hasard pour réparer le bouzin.
C'est un peu le François Fillon du XXIIIème siècle Mr Spock, les oreilles pointues en plus.
Sinon, le reste de l'équipage est rigolo, y a l'asiatique qui parle presque sans accent et qu'est le seul à se faire blesser, la black qu'a un putain d'accent martiniquais en VF, mort de rire, y a le russe qui parle normal, le vieux médecin irlandais qu'est rappelé de force, et après un rasage qui passe son temps à faire des vannes bof bof mais bon comme c'est le seul, heureusement qu'il est là, le jeune poulain fougueux qu'est dégoutté parce qu'il aurait dû être capitaine à la place du capitaine (un peu le JF Coppé du XXIIIème siècle) et sa nana qui a pas le droit d'avoir de mec ni de cheveux mais qui est forte en calcul mental.
Ils vont donc à la rencontre de la force mystérieuse qui est sur le chemin de la Terre, ils lui disent coucou, se prennent une torpille dans la gueule, redisent coucou mais en langage machine, se refont pas atomiser, la nana qu'a pas de cheveux se fait enlever, est remplacée par la même nana sauf que c'est un robot, qu'elle a une espèce de blouse qui lui arrive au ras des fesses et un diamant SM à la place de la thyroïde qui clignote. Tu sens les scénaristes qui fantasment bien sur les dominatrices, parce qu'elle commence à donner des ordres dans tous les sens, soi-disant que la grosse puissance bleue c'est 'VIGER" et faut faire plein de trucs pour elle comme dans une soirée sado-maso.
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Je vous dis pas la fin, elle est originale. Enfin, la fin, non, elle est pas originale, mais de la nature de la menace venue du fin fond de la galaxie si.
Le passage le plus drôle est quand ils passent en hyper espace. Ils pouvaient pas dire "passage en hyper espace", alors ils disent "parabole 1". Et là les points lumineux peuvent pas devenir des raies blanches tout autour du vaisseau, alors y a plein de raies multicolores qui se pointent autour.
De toute façon les images sont très colorées, très flashy dans ce film. Ça sent bon les années 80.
Je me demande toujours ce que venaient faire les Klingons là-dedans. Réponse peut-être dans le 2 ou le 3 ? Je les ai enregistrés. Oui, je sais, je suis masochiste.
(rassurez-vous, je ne compte pas en parler ici, ni nulle part ailleurs)
"La stratégie la plus dangereuse consiste à enjamber un précipice en deux sauts." Benjamin Disraeli
Allez voir ici si j'y suis, et chantez les louanges du condor, du boxeur, de Cecilia, du gamin à problèmes ou du bébé pilote.
Allez voir ici si j'y suis, et chantez les louanges du condor, du boxeur, de Cecilia, du gamin à problèmes ou du bébé pilote.
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Ils étaient là pour tester leur nouveaux vaisseaux de combat, avant de se faire démonter la tronche.Mr Sylvestre a écrit :Je me demande toujours ce que venaient faire les Klingons là-dedans. Réponse peut-être dans le 2 ou le 3 ?
C'est vrai qu'avec le recul, ça fait cheap comme effet spéciaux (imagine la série TV qui a moins de budget !) et pourtant en 80 ce film a reçu un oscar du meilleur film à effet spéciaux ! Mais bon malgré tout, cela confirme la loi des films de Star Trek.
- Mr Sylvestre
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Tester leurs nouveaux vaisseaux de combat ? Ils tiraient pas sur quelque chose ? Rien compris. Quelque chose me dit que ce n'est pas important. Ni que j'aurais compris en regardant le 2. Oui, j'ai préféré regarder la Graine et le Mulet ce soir, à la place de Star Trek 2.
Hum. Comment dire. Des gens ont dit qu'il avait failli avoir la palme d'or ou de je sais pas quoi à Cannes, mais que le film de l'allemand ou de l'autrichien déprimant était passé devant. Ça n'augure rien de très bon pour la vie d'Adèle, palme d'or de cette année.
Le film se raconte très vite. C'est un mec de 61 ans qui perd son boulot dans l'industrie navale et qui cherche à ouvrir un bateau restaurant. Comme les huiles ne lui font pas confiance, il les invite sur son bateau, sauf qu'au bout d'une heure il s'aperçoit qu'il n'a pas de couscous (la graine, le mulet c'est un poisson qu'il sert avec le couscous, lui, si vous voulez tout savoir).
Heureusement, sa copine qui tient un hotel à côté en a chez elle, et pendant que sa fille jouée par Hafsia Erzi enflamme le dancefloor en faisan la danse du ventre, elle va en chercher pour que les notables puissent y gouter avant de rentrer se pieuter et peut-être un jour filer la thune.
Ça dure 2 heures 30, à la fin j'ai passé pas mal de bouts en avance rapide.
Apparemment Star Trek 2 c'est nul, aussi. Sinon, Blanche Neige et le Chasseur c'est un très très bon film, joli, rigolo, bien fait, j'espère que vous l'avez vu. Si "Kristen Stewart" dans "film" -> regarder.
Si "film" = "Twilight" -> ne pas regarder.
Hum. Comment dire. Des gens ont dit qu'il avait failli avoir la palme d'or ou de je sais pas quoi à Cannes, mais que le film de l'allemand ou de l'autrichien déprimant était passé devant. Ça n'augure rien de très bon pour la vie d'Adèle, palme d'or de cette année.
Le film se raconte très vite. C'est un mec de 61 ans qui perd son boulot dans l'industrie navale et qui cherche à ouvrir un bateau restaurant. Comme les huiles ne lui font pas confiance, il les invite sur son bateau, sauf qu'au bout d'une heure il s'aperçoit qu'il n'a pas de couscous (la graine, le mulet c'est un poisson qu'il sert avec le couscous, lui, si vous voulez tout savoir).
Heureusement, sa copine qui tient un hotel à côté en a chez elle, et pendant que sa fille jouée par Hafsia Erzi enflamme le dancefloor en faisan la danse du ventre, elle va en chercher pour que les notables puissent y gouter avant de rentrer se pieuter et peut-être un jour filer la thune.
Ça dure 2 heures 30, à la fin j'ai passé pas mal de bouts en avance rapide.
Apparemment Star Trek 2 c'est nul, aussi. Sinon, Blanche Neige et le Chasseur c'est un très très bon film, joli, rigolo, bien fait, j'espère que vous l'avez vu. Si "Kristen Stewart" dans "film" -> regarder.
Si "film" = "Twilight" -> ne pas regarder.
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- missElder
- Aventurier
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Je confirme, je l'ai regardé il y a quelques jours et c'était plutôt potable. En toute honnêteté j'ai trouvé le jeu de Kristen Stewart assez... limité (c'est censé être une Blanche-Neige en mode Jeanne d'Arc et, hmm, disons qu'elle n'est pas très crédible). Pourtant dans The Runaways elle jouait plutôt bien, dommage.Mr Sylvestre a écrit :Sinon, Blanche Neige et le Chasseur c'est un très très bon film, joli, rigolo, bien fait, j'espère que vous l'avez vu. Si "Kristen Stewart" dans "film" -> regarder.
Si "film" = "Twilight" -> ne pas regarder.
Le film en lui-même se laisse apprécier comme un bon divertissement, sans être transcendant. Ils essaient de renouveler un peu l'histoire et le conte en le rendant plus sombre mais aussi plus fantasy (les nains sont très très tolkieniens, enfin Tolkien version Peter Jackson), avec des fées, une ambiance plus sombre, des paysages enneigés et crades qui ne dépareraient pas dans Game of Thrones.
La méchante est étonnamment intéressante (normal dirais-je, c'est Charlize Theron, et Charlize Theron c'est le bien, cette fille est un caméléon fou), avec presque une vraie psychologie. Du point de vue de l'analyse féministe (oui, on a ses marottes ou on ne les a pas), c'est presque bien, il y a plus de deux personnages féminins, qui ont une vraie psychologie et de vraies discussions, elles ne servent pas uniquement de faire-valoir, et sortent des clichés qui peuvent par exemple sous-tendre tous les méchant(e)s Disney. Maintenant ça reste un film hollywoodien adapté d'un vieux conte, n'en attendons pas des merveilles, mais l'effort est là et ça fait toujours plaisir. Je préfère un film qui tente des choses et se rate qu'un film qui se montre pusillanime et n'ose rien du tout, même s'il est finalement relativement réussi.
Les scènes de combat se tiennent, la relation avec le chasseur est intéressante (elle sauve même sa vie, yiha! pour une fois que ce n'est pas l'inverse), il y a une tentative de varier le folklore (des trolls sur un pont, des fées, même un dieu cerf piqué à Princesse Mononoké), et même de zoulies armures post-médiévales. Ils tentent même une relecture de la célèbre scène où Blanche-Neige se fait attaquer par les arbres (totalement terrifiante et réussie dans le Disney originel). Et les nains sont franchement rigolos.
Maintenant, soyons sérieux 5 minutes, ça reste assez primaire. L'histoire se finit un peu en queue de poisson (ma petite soeur était très frustrée par l'issue de la romance, c'est vous dire), en fait c'est surtout la fin du film qui est bâclée, on a des tas de scènes de combat pour un affrontement final assez... ridicule (notamment parce que Kristen Stewart est trèèèès crédible en guerrière furax), et assez simpliste, toutes les possibilités d'intrigue secondaire ne sont finalement pas exploitées. Dommage parce que ça commençait bien. Et puis les thèmes sont quand même assez débiles, le discours aussi, l'histoire (excepté donc les méchants, bien pensés, et le chasseur) est hyper simpliste, ça reste un blockbuster hollywoodien et rien d'autre.
Mais pour passer un bon moment devant sa télé, il y a bien pire que ça, en toute honnêteté. J'ai été assez agréablement surprise.
En RP, Eldrina s'exprime en 3DB220.
Modératrice des sections The Witcher et Divinity, et super-modo à mes heures perdues.
Always look on the bright side of life.
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J'ai vu Shokuzai, celles qui ne voulaient pas se souvenir.
C'est un très bon film.
Il est difficile de résumer ce film, car les deux parties sont assez différentes.
Le synopsis général, c'est qu'une petite fille est assassinée, et que ses 4 amies ont vu l'assassin juste avant le meurtre.
Par peur de ne pas être considérée (le film dit beaucoup, en creux, de la société japonaise et de ses blocages), ou par peur tout court, ou du fait du choc, elles disent ne rien avoir vu ni ne rien savoir.
La mère de la petite fille assassinée, folle de rage, les "maudit" en affirmant que ses pensées sera constamment sur eux, jusqu'à ce qu'elles trouvent l'assassin, ou qu'elle leur fasse un "dédommagement" conséquent.
Passé cette introduction brutale et rapide, le film nous amène 15 ans après, et déroule l'histoire de ces 4 personnes.
Je n'ai vu donc, que le chapitre 1 et 2 , qui relatent les histoires de deux. En l'occurrence qui ne cherchent pas à oublier, mais plutôt à vivre avec. A vivre, tout court.
Je ne peux que vous recommander d'aller le voir, même s'il m'est difficile d'en dire plus sans révéler l'histoire.
C'est un très bon film.
Il est difficile de résumer ce film, car les deux parties sont assez différentes.
Le synopsis général, c'est qu'une petite fille est assassinée, et que ses 4 amies ont vu l'assassin juste avant le meurtre.
Par peur de ne pas être considérée (le film dit beaucoup, en creux, de la société japonaise et de ses blocages), ou par peur tout court, ou du fait du choc, elles disent ne rien avoir vu ni ne rien savoir.
La mère de la petite fille assassinée, folle de rage, les "maudit" en affirmant que ses pensées sera constamment sur eux, jusqu'à ce qu'elles trouvent l'assassin, ou qu'elle leur fasse un "dédommagement" conséquent.
Passé cette introduction brutale et rapide, le film nous amène 15 ans après, et déroule l'histoire de ces 4 personnes.
Je n'ai vu donc, que le chapitre 1 et 2 , qui relatent les histoires de deux. En l'occurrence qui ne cherchent pas à oublier, mais plutôt à vivre avec. A vivre, tout court.
Je ne peux que vous recommander d'aller le voir, même s'il m'est difficile d'en dire plus sans révéler l'histoire.
"Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit"
Molière - Don Juan -
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Dans le genre rien à voir, j'ai été voir Epic avec ma fille de 6 ans et demi, mercredi passé...
Je suis généralement hyper bon public pour les dessins animés, donc je m'attendais à passer un bon moment, et puis... c'était vraiment pas terrible. En deux mots, ça raconte l'histoire d'une ado qui se retrouve projetée dans le combat éternel qui oppose, dans la forêt, les Hommes Feuilles, défenseurs de la vie, aux Bogans, hérauts de la pourriture. Les images sont très belles (pour qui aime ce style, évidemment), il y a pas mal de créativité esthétique, la musique de Danny Elfman fait son office... Mais le scénario est vraiment pauvre, les personnages très clichés, on a la sensation d'avoir tout vu mille fois déjà. Les relations sont à peine esquissées mais tellement typiques qu'on est censés accepter leur évolution sans se poser de questions, le duo "comic relief" est à peine drôle, la romance entre les deux héros... invisible et obligatoire à la fois... Bon, on ne s'ennuie pas et c'est joli. Ma fille a trouvé ça super, évidemment (mais très peu de références, aussi...). Bref, une vraie déception dans le domaine
Je suis généralement hyper bon public pour les dessins animés, donc je m'attendais à passer un bon moment, et puis... c'était vraiment pas terrible. En deux mots, ça raconte l'histoire d'une ado qui se retrouve projetée dans le combat éternel qui oppose, dans la forêt, les Hommes Feuilles, défenseurs de la vie, aux Bogans, hérauts de la pourriture. Les images sont très belles (pour qui aime ce style, évidemment), il y a pas mal de créativité esthétique, la musique de Danny Elfman fait son office... Mais le scénario est vraiment pauvre, les personnages très clichés, on a la sensation d'avoir tout vu mille fois déjà. Les relations sont à peine esquissées mais tellement typiques qu'on est censés accepter leur évolution sans se poser de questions, le duo "comic relief" est à peine drôle, la romance entre les deux héros... invisible et obligatoire à la fois... Bon, on ne s'ennuie pas et c'est joli. Ma fille a trouvé ça super, évidemment (mais très peu de références, aussi...). Bref, une vraie déception dans le domaine
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J'ai été voir le chapitre 2 de Shokuzai, (en fait je me rends compte que je me suis embrouillé, car j'ai mis "celles qui ne veulent pas se souvenir dans ma critique, alors qu'en fait, c'était "celles qui ne veulent pas oublier", puisque c'est "celles qui ne veulent pas se souvenir le deuxième épisode).
Le film est un peu comme un mille feuille, et peut se lire au travers de multiples prismes. A la fois sociétal, à la fois sur le rôle des femmes dans la société, à la fois comme une histoire d'amour tragique, ou comme un policier. Il y a aussi du film d'horreur (on sent beaucoup la patte de Kiyoshi Kurosawa, qui a produit de très bons films d'horreurs à côté de ça, comme Charisma, Cure, ou Kaïro, que j'ai vu), pas mal d'absurde quelques scènes d'antologie.
Je ne connais pas grand monde qui n'a pas aimé ce film, c'est vraiment de mon point de vue un très bon film. Malheureusement, je crois qu'il ne passe plus en salle le 1er épisode, mais il a plutôt bien marché, considérant qu'il n'a pas été diffusé dans beaucoup de salles...
Le film est un peu comme un mille feuille, et peut se lire au travers de multiples prismes. A la fois sociétal, à la fois sur le rôle des femmes dans la société, à la fois comme une histoire d'amour tragique, ou comme un policier. Il y a aussi du film d'horreur (on sent beaucoup la patte de Kiyoshi Kurosawa, qui a produit de très bons films d'horreurs à côté de ça, comme Charisma, Cure, ou Kaïro, que j'ai vu), pas mal d'absurde quelques scènes d'antologie.
Je ne connais pas grand monde qui n'a pas aimé ce film, c'est vraiment de mon point de vue un très bon film. Malheureusement, je crois qu'il ne passe plus en salle le 1er épisode, mais il a plutôt bien marché, considérant qu'il n'a pas été diffusé dans beaucoup de salles...
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Mr Sylvestre a écrit :Ouaah, Mud, trop envie de le voir celui-là. Take Shelter j'avais pas trop apprécié, j'avais trouvé ça très froid. Mais haletant aussi. Très bien fait.
Y a plein de films que j'aimerais évoquer ici, mais le dernier que j'ai vu est... Star Trek. Je sais pas trop pourquoi je voulais le voir, j'ai jamais regardé un épisode de la série en entier, je sais très bien que les effets spéciaux sont complètement cheap et que les dialogues sont ni fait ni à faire, mais bon, ça passait sur Arte, et j'ai foi en Arte. Il y avait un T dans Télérama. Normalement, science-fiction+Arte+Télérama, ça me suffit.
Ouaaah. la claque.
Déjà, comme prévu, des effets spéciaux hilarant, des Klingons (des méchants à mon avis mais je suis pas sûr) sont dans des vaisseaux spatiaux, genre des gigantesques sèche-cheveux dans une espèce de méduse galactique bleue sur fond noir (l'espace). Ils disent des trucs en klingon, et les sous-titres traduisent un truc comme "verrouillez la cible et balancez les torpilles". Mais alors là, gros fail, les torpilles c'est des grosses boules d'étincelles rouges et quand elle finissent par toucher un autre vaisseau (au bout de je sais pas combien de temps), l'équipe technique savait pas faire les explosions, ou alors ils avaient pas le budget, le vaisseau touché disparaît.
Un rapport est quand même envoyé, une force très puissante et mystérieuse envahit la galaxie et se dirige vers... la Terre. Et le seul vaisseau dans le coin, capable de les arrêter, je vous le donne en mille, l'USS Enterprise. Sauf qu'il est pas encore super super rôdé, mais bon, le captain Kirk arrive à son bord, et vu que c'est un peu le Sarkozy du XXIIIème siècle l'Enterprise il a intérêt à décoller fissa si ses membres veulent pas se retrouver dans un centre de rétention pour immigrés vu qu'ils ressemblent à une pub benneton.
Et bim, panne des moteurs, heureusement Mr Spock, un vulcanien (le seul extraterrestre du bord) monte à bord comme par hasard pour réparer le bouzin.
C'est un peu le François Fillon du XXIIIème siècle Mr Spock, les oreilles pointues en plus.
Sinon, le reste de l'équipage est rigolo, y a l'asiatique qui parle presque sans accent et qu'est le seul à se faire blesser, la black qu'a un putain d'accent martiniquais en VF, mort de rire, y a le russe qui parle normal, le vieux médecin irlandais qu'est rappelé de force, et après un rasage qui passe son temps à faire des vannes bof bof mais bon comme c'est le seul, heureusement qu'il est là, le jeune poulain fougueux qu'est dégoutté parce qu'il aurait dû être capitaine à la place du capitaine (un peu le JF Coppé du XXIIIème siècle) et sa nana qui a pas le droit d'avoir de mec ni de cheveux mais qui est forte en calcul mental.
Ils vont donc à la rencontre de la force mystérieuse qui est sur le chemin de la Terre, ils lui disent coucou, se prennent une torpille dans la gueule, redisent coucou mais en langage machine, se refont pas atomiser, la nana qu'a pas de cheveux se fait enlever, est remplacée par la même nana sauf que c'est un robot, qu'elle a une espèce de blouse qui lui arrive au ras des fesses et un diamant SM à la place de la thyroïde qui clignote. Tu sens les scénaristes qui fantasment bien sur les dominatrices, parce qu'elle commence à donner des ordres dans tous les sens, soi-disant que la grosse puissance bleue c'est 'VIGER" et faut faire plein de trucs pour elle comme dans une soirée sado-maso.
Et ils bavardent, ils bavardent... entre mecs, de toute façon y a pas vraiment de femmes sur le vaisseau.
Je vous dis pas la fin, elle est originale. Enfin, la fin, non, elle est pas originale, mais de la nature de la menace venue du fin fond de la galaxie si.
Le passage le plus drôle est quand ils passent en hyper espace. Ils pouvaient pas dire "passage en hyper espace", alors ils disent "parabole 1". Et là les points lumineux peuvent pas devenir des raies blanches tout autour du vaisseau, alors y a plein de raies multicolores qui se pointent autour.
De toute façon les images sont très colorées, très flashy dans ce film. Ça sent bon les années 80.
Je me demande toujours ce que venaient faire les Klingons là-dedans. Réponse peut-être dans le 2 ou le 3 ? Je les ai enregistrés. Oui, je sais, je suis masochiste.
(rassurez-vous, je ne compte pas en parler ici, ni nulle part ailleurs)
Moi qui suis un grand trekkie devant l'éternel, ce film trouve une prolongation dans la série Star Trek nouvelle génération avec patrick Steward, le spin off Star Trek Voyager et le second film de la nouvelle génération.
Sinon dans le genre aventure dans les étoiles j'ai vu INTERSTELLA 5555, le film animé par le créateur de Goldorak sur la musique de Daft Punk. un groupe de rock de schtroumphs géants se fait enlever et amener sur Terre par un mec bizarre qui leur efface la mémoire et les fait passer pour un nouveau groupe terrien qui marche du tonnerre.
grande originalité du film, il n'y a aucun dialogue c'est la musique qui guide l'histoire ce qui donne beaucoup de poésie à l'ensemble.
Ce genre de projets est beaucoup trop rare pour ne pas être apprécié à sa juste valeur.
Auteur des Chroniques des Soeurs du Premier Sang
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
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Héhé, toi quelque chose me dit que tu vas pas tarder à aller voir Star Trek Into Darkness.Ugo a écrit :Moi qui suis un grand trekkie devant l'éternel, ce film trouve une prolongation dans la série Star Trek nouvelle génération avec patrick Steward, le spin off Star Trek Voyager et le second film de la nouvelle génération.
Je sais pas, moi ça ne me dit rien. Un super méchant va tout détruire pour le plaisir de faire le super méchant (ou alors il avait une raison cachée qu'on ne découvrira qu'à la fin) et Kirk va l'arrêter. Hum. Ah, et on verra une fille en sous-vetements immaculés, baaah, c'est dans la bande-annonce. ET JJ ABRAMS REALISERA LE PROCHAIN STAR WARS, LE SEPT !!!
Qui sait, ils feront peut-être autant de Star Wars qu'ils ont fait de Star Trek
Je viens de voir "Fenêtres sur cour" d'Hitchcock, géniaaal ! Bon, traitez-moi de noob, mais je pensais qu'Hitchcock faisait des films chiant, comme Kubrick, le genre 3T dans Télérama, oeuvre majeure du 7ème art, mais tellement peu digeste.
Et bah non, fenêtre sur cour, c'est frais comme un gardon qui sort du congélo, léger comme une mousse à la framboise, ça se boit comme un malibu-orange un jour de canicule.
A cause de la situation : un sémillant photographe vient de se casser une jambe et passe ses journées et ses nuits à espionner ses voisins d'en face du haut de son appart, dans un quartier pas super super chic. Il se persuade qu'un de ses voisins à l'air patibulaire a tué sa femme, et va tout faire pour le prouver, entrainant avec lui Grace Kelly qui change de robe tout le temps et lit des policiers (ce qui est très utile) et une infirmière chargée de s'occuper de lui.
Que vient faire Grace Kelly chez le photographe ? Heu, on ne sait pas vraiment, il semblerait qu'elle soit amoureuse de lui. La pauvre. Finir avec le prince de Monaco.
En tout cas, les dialogues sont savoureux, on ne sait jamais ce que va faire le ou la voisine (ma préférée, la voisine vieille fille qui fait des diners au chandelle toute seule avant de se finir à l'alcool), Hitchcock nous conforte dans notre statut de voyeur et on en redemande. Même la fin est rigolote ! (enfin un peu)
Voilà, vous pouvez parler du dernier Star Trek si vous voulez maintenant.
"La stratégie la plus dangereuse consiste à enjamber un précipice en deux sauts." Benjamin Disraeli
Allez voir ici si j'y suis, et chantez les louanges du condor, du boxeur, de Cecilia, du gamin à problèmes ou du bébé pilote.
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J' ai vu les deux versions de Blanche-Neige au cinéma l' an dernier et je confirme elles sont toutes les deux assez sympas. Celle avec Lily Collins est légère, celle avec Kristen Stewart et Charlize Therond plus...sombre. Mais elle se laisse regarder effectivement et on passe un bon moment. Les rebondissements sont pas mal faits ainsi que les scènes de bataille. L' affrontement final entre K Stewart et Ch Therond tient la route.missElder a écrit :Je confirme, je l'ai regardé il y a quelques jours et c'était plutôt potable. En toute honnêteté j'ai trouvé le jeu de Kristen Stewart assez... limité (c'est censé être une Blanche-Neige en mode Jeanne d'Arc et, hmm, disons qu'elle n'est pas très crédible). Pourtant dans The Runaways elle jouait plutôt bien, dommage.
Le film en lui-même se laisse apprécier comme un bon divertissement, sans être transcendant. Ils essaient de renouveler un peu l'histoire et le conte en le rendant plus sombre mais aussi plus fantasy (les nains sont très très tolkieniens, enfin Tolkien version Peter Jackson), avec des fées, une ambiance plus sombre, des paysages enneigés et crades qui ne dépareraient pas dans Game of Thrones.
La méchante est étonnamment intéressante (normal dirais-je, c'est Charlize Theron, et Charlize Theron c'est le bien, cette fille est un caméléon fou), avec presque une vraie psychologie. Du point de vue de l'analyse féministe (oui, on a ses marottes ou on ne les a pas), c'est presque bien, il y a plus de deux personnages féminins, qui ont une vraie psychologie et de vraies discussions, elles ne servent pas uniquement de faire-valoir, et sortent des clichés qui peuvent par exemple sous-tendre tous les méchant(e)s Disney. Maintenant ça reste un film hollywoodien adapté d'un vieux conte, n'en attendons pas des merveilles, mais l'effort est là et ça fait toujours plaisir. Je préfère un film qui tente des choses et se rate qu'un film qui se montre pusillanime et n'ose rien du tout, même s'il est finalement relativement réussi.
Les scènes de combat se tiennent, la relation avec le chasseur est intéressante (elle sauve même sa vie, yiha! pour une fois que ce n'est pas l'inverse), il y a une tentative de varier le folklore (des trolls sur un pont, des fées, même un dieu cerf piqué à Princesse Mononoké), et même de zoulies armures post-médiévales. Ils tentent même une relecture de la célèbre scène où Blanche-Neige se fait attaquer par les arbres (totalement terrifiante et réussie dans le Disney originel). Et les nains sont franchement rigolos.
Maintenant, soyons sérieux 5 minutes, ça reste assez primaire. L'histoire se finit un peu en queue de poisson (ma petite soeur était très frustrée par l'issue de la romance, c'est vous dire), en fait c'est surtout la fin du film qui est bâclée, on a des tas de scènes de combat pour un affrontement final assez... ridicule (notamment parce que Kristen Stewart est trèèèès crédible en guerrière furax), et assez simpliste, toutes les possibilités d'intrigue secondaire ne sont finalement pas exploitées. Dommage parce que ça commençait bien. Et puis les thèmes sont quand même assez débiles, le discours aussi, l'histoire (excepté donc les méchants, bien pensés, et le chasseur) est hyper simpliste, ça reste un blockbuster hollywoodien et rien d'autre.
Mais pour passer un bon moment devant sa télé, il y a bien pire que ça, en toute honnêteté. J'ai été assez agréablement surprise.
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Tu as gagné le gros lot, bien que je ne sois pas un fan pur et dur qui se déguise en officier de Starfleet ou en klingon à la moindre occasion, je fais partie de cette frange qui n'apprécie pas que l'on s'écarte des codes de l'univers Star trek comme ils avaient voulu le faire avec la dernière série, Star Trek Entreprise avec Scott Bakula où ils modifiaient toute la mythologie.Mr Sylvestre a écrit :Héhé, toi quelque chose me dit que tu vas pas tarder à aller voir Star Trek Into Darkness.
Alors oui JJAbrams modifie aussi la mytho, mais lui au moins il a trouvé le bon truc pour contenter les fans .
Auteur des Chroniques des Soeurs du Premier Sang
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
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The Grand Masters : un film chinois ou kung fu et spiritualité ne font qu'un, les scènes de combat sont impressionnantes, l'histoire est sympathique et ne manque pas de profondeur, visiblement elle est basé sur certains fait réel mais j'avoue ne pas m'y connaitre assez pour démêler tout ça (ni être un puriste ) bref je le conseil fortement http://www.premiere.fr/jwplayer/embed/3659556/external
Le vrai pouvoir se cache dans l'ombre.
La bio de Umbre, Tieffline demi Elfe de Lune et moine de la Lune Noire: ici
Quêtes en cour: Le voyage de l'Ombre et Le réveil de l'Ombre couleur RP: #FFCC33
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Derniers films vus au cinéma :
- La Grande Boucle : avec Clovis Cornillac. Un cycliste indépendant ( C Cornillac ) participe au tour de France alors que sa femme ( Elodie Bouchez ) excédée par sa passion exclusive le quitte avec leur fils. Film sympathique, centré sur l' exploit sportif sans dopage et sur les rapports humains. Un coureur va s' affirmer sur la Grande boucle sans sponsors, sans écurie, simplement à l' aide de sa famille et de ses amis ( anciens et nouveaux )...Dynamique, sympathique, avec un bon rythme.
- Les Beaux Jours : Une ex - dentiste jeune retraité ( Fanny Ardant ) noue une liaison avec un jeune professeur d' informatique de son club de loisirs pour jeunes séniors. Mais elle doit gérer cette liaison alors qu' elle est mariée à un homme plus que compréhensif ( Patrick Chesnais ).
Film sympathique qui aborde avec délicatesse le thème des jeunes séniors qui continuent à avoir une vie créative et amoureuse et qui ne finissent pas leur existence au fond d' une chambre dans une maison de repos sans jamais en sortir, dès l' âge de 60 ans...
- Mariage à l' anglaise : avec Simon Baker ( Mentalist ).
De nos jours à Londres un couple marié depuis 1 an ne veut pas admettre les difficultés conjugales qu' il traverse. Les choses se compliquent quand 1 homme et 1 femme extérieurs au couple font leur apparition. Le mariage des 2 amoureux du début du film va - t il survivre une année entière ?
Comédie typiquement " british " avec quiproquos, retournements de situations etc. Amusant
- Iron Man 3 : suite encore plus explosive et " intense " des aventures de Tony Stark. Tony Stark voit son domicile personnel détruit et lui - même est contraint à la fuite et à la clandestinité.
De nombreuses scènes d' action spectaculaires succèdent à des moments où le héros fait fonctionner son imagination pour mettre au point ou réparer ses équipements de combats ( notamment sa fameuse armure ). Une bonne continuation de la série Iron Man.
- Superman Man of Steel. Nouveau volet des aventures de Superman après le retour du justicier kryptonien sur grand écran en 2006. Cette fois-ci Superman est tout sauf un Super héros sans complexes ni interrogations. Il préfère au contraire se cacher des humains, jusque au jour où le retour d' un vieil ennemi de son père va l' obliger à sortir de sa solitude.
Au delà des exploits habituels des héros de comics-SC Marvel qui sauvent le monde entre le petit - déjeuner et le repas de midi ( ), on a droit à un héros modeste, " humain " dans sa manière d' être, qui se pose des questions et qui n' utilise ses pouvoirs qu' à contre-coeur.
A noté la présence de Kevin Costner et Chris Méloni ( Law & Order SVU ) tout à fait crédibles l' un dans le rôle de Jonathan Ckent et l' autre dans la peau d' un officier US qui accepte d' aider Superman.
De même Loïs Lane et le directeur du Daily Planet sont convaincants.
- Belle du Seigneur. Adapté ( librement ) du chef d' oeuvre d' Albert Cohen. Au milieu des années 30 en pleine montée des périls, un jeune diplomate juif en poste à la SDN à Genève, noue une relation passionnée avec l' épouse d' un autre diplomate, lui beaucoup plus accommodant face aux régimes totalitaires ( notamment l' attaque de l' Italie fasciste contre l' Ethiopie ). En même temps qu' il mène un combat politique pour défendre les idéaux de la sécurité collective, le personnage principal doit se battre contre ...lui-même afin de savoir où en est sa relation extra - conjugale. Pas mal fait, pas de longueurs, mais moralement un peu " violent ". Les deux amants poursuivent une liaison amoureuse fondée sur des sentiments amoureux réels de part et d' autre mais cette liaison finit par les meurtrir moralement tous les deux. A voir mais un peu sombre donc.
- La Grande Boucle : avec Clovis Cornillac. Un cycliste indépendant ( C Cornillac ) participe au tour de France alors que sa femme ( Elodie Bouchez ) excédée par sa passion exclusive le quitte avec leur fils. Film sympathique, centré sur l' exploit sportif sans dopage et sur les rapports humains. Un coureur va s' affirmer sur la Grande boucle sans sponsors, sans écurie, simplement à l' aide de sa famille et de ses amis ( anciens et nouveaux )...Dynamique, sympathique, avec un bon rythme.
- Les Beaux Jours : Une ex - dentiste jeune retraité ( Fanny Ardant ) noue une liaison avec un jeune professeur d' informatique de son club de loisirs pour jeunes séniors. Mais elle doit gérer cette liaison alors qu' elle est mariée à un homme plus que compréhensif ( Patrick Chesnais ).
Film sympathique qui aborde avec délicatesse le thème des jeunes séniors qui continuent à avoir une vie créative et amoureuse et qui ne finissent pas leur existence au fond d' une chambre dans une maison de repos sans jamais en sortir, dès l' âge de 60 ans...
- Mariage à l' anglaise : avec Simon Baker ( Mentalist ).
De nos jours à Londres un couple marié depuis 1 an ne veut pas admettre les difficultés conjugales qu' il traverse. Les choses se compliquent quand 1 homme et 1 femme extérieurs au couple font leur apparition. Le mariage des 2 amoureux du début du film va - t il survivre une année entière ?
Comédie typiquement " british " avec quiproquos, retournements de situations etc. Amusant
- Iron Man 3 : suite encore plus explosive et " intense " des aventures de Tony Stark. Tony Stark voit son domicile personnel détruit et lui - même est contraint à la fuite et à la clandestinité.
De nombreuses scènes d' action spectaculaires succèdent à des moments où le héros fait fonctionner son imagination pour mettre au point ou réparer ses équipements de combats ( notamment sa fameuse armure ). Une bonne continuation de la série Iron Man.
- Superman Man of Steel. Nouveau volet des aventures de Superman après le retour du justicier kryptonien sur grand écran en 2006. Cette fois-ci Superman est tout sauf un Super héros sans complexes ni interrogations. Il préfère au contraire se cacher des humains, jusque au jour où le retour d' un vieil ennemi de son père va l' obliger à sortir de sa solitude.
Au delà des exploits habituels des héros de comics-SC Marvel qui sauvent le monde entre le petit - déjeuner et le repas de midi ( ), on a droit à un héros modeste, " humain " dans sa manière d' être, qui se pose des questions et qui n' utilise ses pouvoirs qu' à contre-coeur.
A noté la présence de Kevin Costner et Chris Méloni ( Law & Order SVU ) tout à fait crédibles l' un dans le rôle de Jonathan Ckent et l' autre dans la peau d' un officier US qui accepte d' aider Superman.
De même Loïs Lane et le directeur du Daily Planet sont convaincants.
- Belle du Seigneur. Adapté ( librement ) du chef d' oeuvre d' Albert Cohen. Au milieu des années 30 en pleine montée des périls, un jeune diplomate juif en poste à la SDN à Genève, noue une relation passionnée avec l' épouse d' un autre diplomate, lui beaucoup plus accommodant face aux régimes totalitaires ( notamment l' attaque de l' Italie fasciste contre l' Ethiopie ). En même temps qu' il mène un combat politique pour défendre les idéaux de la sécurité collective, le personnage principal doit se battre contre ...lui-même afin de savoir où en est sa relation extra - conjugale. Pas mal fait, pas de longueurs, mais moralement un peu " violent ". Les deux amants poursuivent une liaison amoureuse fondée sur des sentiments amoureux réels de part et d' autre mais cette liaison finit par les meurtrir moralement tous les deux. A voir mais un peu sombre donc.
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Je viens à l'instant de finir de voir le reboot de Evil Dead.
Et j'ai vraiment pas trouvé ça "intéressant". C'est un fourre-tout d'action et de gore. Les acteurs sont moyens (en dehors de l'actrice qui joue "Deadite"...et seulement dans ce rôle car dans son rôle de Mia c'est pas terrible), l'intrigue insipide, l'ambiance "pas effrayante", les dialogues transparents, des personnages avec un charisme de moules (encore une fois, sauf "Deadite")...Le jeu de lumière est bien par contre (avec de la mise en scène moderne).
Si je compare à la magnifique trilogie de Sam Raimi, le reboot est plus mauvais que l'opus 3...Bruce Campbell manque énormément au reboot (son charisme est juste légendaire). J'ai été très déçu de ne voir aucune pointe d'humour si chère aux Evil Dead ("horror movies....serious buziness !").
Les films d'horreur des années 80 avaient ce petit truc trash/gore/humour qui les rendaient si exceptionnels....Les films d'horreur actuels se veulent tellement "réalistes", blindés de ketchup et le pire de tout : faut toujours une bande d'abruti d'adulescents. Heureusement ici on échappe pour une *si rare* fois à l'enchainement : coin perdu maudit->teuf méga lol->alcool->sexe->des morts trash...Ici on passe direct du coin perdu aux morts trash !
Et ce final.....mais mon dieu quel saccage (et pas dans le bon sens) ! J'ai carrément été blasé de voir ZE emblème de Evil Dead -la tronçonneuse- n'être que du simple fan-service à deux sous.
Je parle même pas de Deadite qui finit d'une façon....ptoyablement iridicule.
Bref très déçu, je préfère largement les bons vieux ED à ce reboot (qui ressemble plus à un Silent Hill 3D qu'à ED).
Et j'ai vraiment pas trouvé ça "intéressant". C'est un fourre-tout d'action et de gore. Les acteurs sont moyens (en dehors de l'actrice qui joue "Deadite"...et seulement dans ce rôle car dans son rôle de Mia c'est pas terrible), l'intrigue insipide, l'ambiance "pas effrayante", les dialogues transparents, des personnages avec un charisme de moules (encore une fois, sauf "Deadite")...Le jeu de lumière est bien par contre (avec de la mise en scène moderne).
Si je compare à la magnifique trilogie de Sam Raimi, le reboot est plus mauvais que l'opus 3...Bruce Campbell manque énormément au reboot (son charisme est juste légendaire). J'ai été très déçu de ne voir aucune pointe d'humour si chère aux Evil Dead ("horror movies....serious buziness !").
Les films d'horreur des années 80 avaient ce petit truc trash/gore/humour qui les rendaient si exceptionnels....Les films d'horreur actuels se veulent tellement "réalistes", blindés de ketchup et le pire de tout : faut toujours une bande d'abruti d'adulescents. Heureusement ici on échappe pour une *si rare* fois à l'enchainement : coin perdu maudit->teuf méga lol->alcool->sexe->des morts trash...Ici on passe direct du coin perdu aux morts trash !
Et ce final.....mais mon dieu quel saccage (et pas dans le bon sens) ! J'ai carrément été blasé de voir ZE emblème de Evil Dead -la tronçonneuse- n'être que du simple fan-service à deux sous.
Je parle même pas de Deadite qui finit d'une façon....ptoyablement iridicule.
Bref très déçu, je préfère largement les bons vieux ED à ce reboot (qui ressemble plus à un Silent Hill 3D qu'à ED).
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Hannah Arendt, de Margarethe Von Trotta : Ce film se consacre à la période de la vie de la philosophe tournant autour du procès d'Eichmann. Quand elle apprend que le Mossad a capturé l'ex-SS et compte lui faire un grand procès, elle propose au New Yorker d'aller y assister en tant que représentante du journal, et de leur en faire un compte-rendu. Elle qui est la première et la plus grande des penseurs du totalitarisme et de toutes les horreurs du XXe siècle, il lui faut aller voir cela en vrai, observer, déduire. Le problème, c'est que ses conclusions dérangent, que sa vision qui ne s'embarrasse pas de bien-pensance parce qu'elle cherche à penser bien en choque plus d'un. Elle est juive, on l'accuse de ne pas aimer Israël, on lui rappelle qu'elle a étudié avec Heidegger, on lui reproche son arrogance... Pourtant elle ne fait que vouloir dégager les mécanismes qui peuvent amener des hommes banals à commettre des actes horribles, vouloir comprendre cette période est essentiel, alors que tous préfèrent l'enfouir dans le passé émotionnel et réécrit.
Une seule chose à dire : c'est bien. La réalisation n'est pas transcendante mais les acteurs sont bons et le sujet est maîtrisé. Ça fait du bien d'aller au cinéma pour penser. Et à force de les entendre parler de Arendt, de Heidegger, et citer Saint Augustin, s'interroger, se poser des tas de questions essentielles et passionnantes, ça donne sacrément envie d'aller se plonger dans tout ça et lire, penser, réfléchir. Ça tombe bien, j'avais prévu de lire La cité de Dieu cet été.
Bambi, de Sébastien Lifshitz : documentaire sorti tout à fait récemment et consacré à Bambi, une des premières transexuelles françaises. Né en 1935, en Algérie, il rejoint le Carroussel, célèbre revue parisienne composée de travestis chantant, dansant, et faisant tout ce qui peut divertir la bonne société venue applaudir ceux qui demeurent à leurs yeux des bêtes de foire. Bambi côtoie entre autres la célèbre Coccinelle qui finira d'ailleurs par se marier (avec un homme), prend des hormones, rencontre l'amour en la personne d'un fils de bonne famille venu assister au spectacle et qui tombe sous le charme. Puis il saute le pas et, comme Coccinelle, subit l'opération qui la fait donc devenir enfin elle. Ensuite, à 33 ans, Bambi passe le bac, va à la Sorbonne, devient professeur et enseigne dans un collège près de Cherbourg. Une vie bien remplie et un documentaire tout à fait passionnant, entre images d'archives, chansons d'époque, et interviews actuelles de Bambi qui raconte ses peurs, ses espoirs, son monde, ses amours, sa vie. C'est franchement passionnant et tout à fait éclairant et instructif sur un monde révolu, sur une époque révolue, sur des gens qu'on connaît finalement très peu et des sujets qu'il peut être très intéressants de connaître.
Kill Bill, de Tarantino (1 et 2): je n'ai jamais été particulièrement fan de Tarantino, Pulp Fiction m'a beaucoup déçue, alors je ne m'attendais pas à grand-chose de Kill Bill. Et pourtant je crois bien que c'est mon préféré, et de loin. C'est même un très bon film. Ultra violent comme à son habitude, mais aussi très esthétisé, avec beaucoup d'inventivité visuelle. Des acteurs au top (Uma Thurman :l: ), une bande-son qui dépoutre. C'est un western en fait, Tarantino en récupère tous les codes, mais comme il ne prétend jamais faire autre chose que ça, le film est parfaitement maîtrisé, sans propos rajouté dessus ou autre (contrairement à Inglorious Basterds qui bascule aisément dans le mauvais goût et la surenchère). J'ai vraiment bien aimé en fait. Un western sauce Tarantino avec Uma Thurman et des katanas, ça me va.
Sherlock Holmes, de Guy Ritchie : alors là, divertissement total. Robert Downey Jr et Jude Law qui cabotinent à mort, des effets spéciaux et la caméra folle de Guy Ritchie, un scénario totalement abracadabrant à base de francs-maçons, de rituels occultes et de rats morts, une jolie-fille-pas-tout-à-fait-potiche-mais-pas-mal-quand-même , des costumes vaguement victoriens et du fun, du fun, du fun. C'est pour le coup un film totalement décérébré, mais bon dans son genre. Un bon moment de divertissement en somme.
Drive : il était temps que je le voie, celui-là ! Alors déjà : super BO. Il faut quand même le préciser. Ensuite, bon, ça reste un film policier (ou de gangster, ou ce que vous voulez, bref, vous voyez le genre) assez classique dans le déroulement, dans l'histoire d'amour à moitié muette et tragique et romantique, avec des course-poursuites en voiture et même quelques morts sanglantes, et des gens qui se trahissent pour l'argent, et des mafieux, tout ça tout ça. Mais comme le tout est maîtrisé avec brio, très bien joué, et surtout comme le film possède une sorte d'ambiance envoûtante, un peu hypnotique, qui lui est propre, ça le fait passer directement dans la catégorie « qualité supérieure ». Pas un chef-d'oeuvre, mais un très bon film.
Une seule chose à dire : c'est bien. La réalisation n'est pas transcendante mais les acteurs sont bons et le sujet est maîtrisé. Ça fait du bien d'aller au cinéma pour penser. Et à force de les entendre parler de Arendt, de Heidegger, et citer Saint Augustin, s'interroger, se poser des tas de questions essentielles et passionnantes, ça donne sacrément envie d'aller se plonger dans tout ça et lire, penser, réfléchir. Ça tombe bien, j'avais prévu de lire La cité de Dieu cet été.
Bambi, de Sébastien Lifshitz : documentaire sorti tout à fait récemment et consacré à Bambi, une des premières transexuelles françaises. Né en 1935, en Algérie, il rejoint le Carroussel, célèbre revue parisienne composée de travestis chantant, dansant, et faisant tout ce qui peut divertir la bonne société venue applaudir ceux qui demeurent à leurs yeux des bêtes de foire. Bambi côtoie entre autres la célèbre Coccinelle qui finira d'ailleurs par se marier (avec un homme), prend des hormones, rencontre l'amour en la personne d'un fils de bonne famille venu assister au spectacle et qui tombe sous le charme. Puis il saute le pas et, comme Coccinelle, subit l'opération qui la fait donc devenir enfin elle. Ensuite, à 33 ans, Bambi passe le bac, va à la Sorbonne, devient professeur et enseigne dans un collège près de Cherbourg. Une vie bien remplie et un documentaire tout à fait passionnant, entre images d'archives, chansons d'époque, et interviews actuelles de Bambi qui raconte ses peurs, ses espoirs, son monde, ses amours, sa vie. C'est franchement passionnant et tout à fait éclairant et instructif sur un monde révolu, sur une époque révolue, sur des gens qu'on connaît finalement très peu et des sujets qu'il peut être très intéressants de connaître.
Kill Bill, de Tarantino (1 et 2): je n'ai jamais été particulièrement fan de Tarantino, Pulp Fiction m'a beaucoup déçue, alors je ne m'attendais pas à grand-chose de Kill Bill. Et pourtant je crois bien que c'est mon préféré, et de loin. C'est même un très bon film. Ultra violent comme à son habitude, mais aussi très esthétisé, avec beaucoup d'inventivité visuelle. Des acteurs au top (Uma Thurman :l: ), une bande-son qui dépoutre. C'est un western en fait, Tarantino en récupère tous les codes, mais comme il ne prétend jamais faire autre chose que ça, le film est parfaitement maîtrisé, sans propos rajouté dessus ou autre (contrairement à Inglorious Basterds qui bascule aisément dans le mauvais goût et la surenchère). J'ai vraiment bien aimé en fait. Un western sauce Tarantino avec Uma Thurman et des katanas, ça me va.
Sherlock Holmes, de Guy Ritchie : alors là, divertissement total. Robert Downey Jr et Jude Law qui cabotinent à mort, des effets spéciaux et la caméra folle de Guy Ritchie, un scénario totalement abracadabrant à base de francs-maçons, de rituels occultes et de rats morts, une jolie-fille-pas-tout-à-fait-potiche-mais-pas-mal-quand-même , des costumes vaguement victoriens et du fun, du fun, du fun. C'est pour le coup un film totalement décérébré, mais bon dans son genre. Un bon moment de divertissement en somme.
Drive : il était temps que je le voie, celui-là ! Alors déjà : super BO. Il faut quand même le préciser. Ensuite, bon, ça reste un film policier (ou de gangster, ou ce que vous voulez, bref, vous voyez le genre) assez classique dans le déroulement, dans l'histoire d'amour à moitié muette et tragique et romantique, avec des course-poursuites en voiture et même quelques morts sanglantes, et des gens qui se trahissent pour l'argent, et des mafieux, tout ça tout ça. Mais comme le tout est maîtrisé avec brio, très bien joué, et surtout comme le film possède une sorte d'ambiance envoûtante, un peu hypnotique, qui lui est propre, ça le fait passer directement dans la catégorie « qualité supérieure ». Pas un chef-d'oeuvre, mais un très bon film.
En RP, Eldrina s'exprime en 3DB220.
Modératrice des sections The Witcher et Divinity, et super-modo à mes heures perdues.
Always look on the bright side of life.
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Freddy, les griffes de la nuit, Nightmare on Elm Street. C'est le premier volume de la saga Freddy, le monstre qui hante les rêves des gens. Le croque mitaine au visage brûlé, aux mains prolongées par des lames de rasoir et ... à l'immonde pull ... A l'époque, il m'avait terrifiée. Mais ça va mieux Je l'ai trouvé assez bien fait mais il a vieilli. Par contre, je n'oserai pas regarder le remake. C'est la première apparition de Johnny Depp dans un film (d'ailleurs, ça ne lui réussit par car son personnage se fait manger ... par son lit).
Super modératrice (oui, ça pète ) et modératrice de Pillars of Eternity, de la section cinéma et littérature. J'interviens dans cette couleur.
Mon personnage rp : entre ombre et lumière, entre été et hiver : Angèle d'Aulfray, paladine de Tyr.
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Ah oui, l'un des meilleurs Tarantino, j'ai vu le 2 il y a pas longtemps et waw.missElder a écrit :Kill Bill[/B], de Tarantino (1 et 2): je n'ai jamais été particulièrement fan de Tarantino, Pulp Fiction m'a beaucoup déçue, alors je ne m'attendais pas à grand-chose de Kill Bill. Et pourtant je crois bien que c'est mon préféré, et de loin. C'est même un très bon film. Ultra violent comme à son habitude, mais aussi très esthétisé, avec beaucoup d'inventivité visuelle. Des acteurs au top (Uma Thurman :l: ), une bande-son qui dépoutre. C'est un western en fait, Tarantino en récupère tous les codes, mais comme il ne prétend jamais faire autre chose que ça, le film est parfaitement maîtrisé, sans propos rajouté dessus ou autre (contrairement à Inglorious Basterds qui bascule aisément dans le mauvais goût et la surenchère). J'ai vraiment bien aimé en fait. Un western sauce Tarantino avec Uma Thurman et des katanas, ça me va.
Et je ne me rappelle pas des derniers films que j'ai vu, c'est bête.
Auteur des Chroniques des Soeurs du Premier Sang
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
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- Mr Sylvestre
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J'hésite à aller voir Frances Ha (parce qu'il a une bonne critique dans télérama), j'hésitais à voir Ma meilleure amie, sa soeur et moi (parce qu'il avait une bonne critique dans télérama, mais je viens de voir la bande annonce, en fait non) et j'hésite à aller voir Pacific Rim, parce que la bande annonce troue le cul, comme dirait Cartman.
Et puis c'est bizarre, Guillermo del Toro il fait pas des films étranges/d'art et d'essai ?
J'ai l'impression que le scénario a été pompé sur Evangelion, sauf que là les grosses créatures de l'apocalypse sortent de la flotte et pas des tréfonds de l'espace.
Quelqu'un pourrait aller le voir et me dire si il vaut le coup ? Il est sorti aujourd'hui.
Et puis c'est bizarre, Guillermo del Toro il fait pas des films étranges/d'art et d'essai ?
J'ai l'impression que le scénario a été pompé sur Evangelion, sauf que là les grosses créatures de l'apocalypse sortent de la flotte et pas des tréfonds de l'espace.
Quelqu'un pourrait aller le voir et me dire si il vaut le coup ? Il est sorti aujourd'hui.
"La stratégie la plus dangereuse consiste à enjamber un précipice en deux sauts." Benjamin Disraeli
Allez voir ici si j'y suis, et chantez les louanges du condor, du boxeur, de Cecilia, du gamin à problèmes ou du bébé pilote.
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- missElder
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J'ai vu Frances Ha très récemment donc ça tombe bien, tu vas pouvoir avoir un avis !
J'ai beaucoup aimé ce film. C'est l'histoire d'une fille qui doit avoir entre 25 et 30 ans, qui vit en coloc avec une amie à New York et qui est danseuse apprentie dans une troupe. Sauf que la vie n'est pas si simple, entre les petits amis qui veulent qu'on emménage chez eux, les gens qui grandissent sans qu'on s'en aperçoive et les autres qui restent encore des enfants, et puis le temps passe et ça fait peur, et qu'est-ce qu'on va faire de sa vie, et puis grandir c'est pas forcément si joyeux que ça en a l'air, elle qui a l'air d'une looseuse à un moment (scènes assez sarcastiques où elle est dans une famille de bourges et qu'elle n'arrête pas de faire des bourdes, de bavasser comme pas possible, de glousser et raconter des anecdotes un peu débiles, comme si elle avait 15 ans) alors que sa pote va se marier, ben finalement, elle ne se débrouille pas forcément si mal que ça. Un film hyper délicat, en noir et blanc, sur le passage du temps, cet âge de la vie où on devient adulte, mais c'est différent pour tout le monde, qu'est-ce que ça veut dire grandir, comment ça se fait, qu'est-ce qu'il faut faire? Et puis on voit New York et Paris et la bande-son est super. On me l'avait annoncé comme un film très Woody Allen-ien, mais fort heureusement pour moi ce n'est absolument pas l'impression que j'ai eue. Une bonne surprise, toute en délicatesse et en élégance.
Pour Pacific Rim, Sylv, je ne l'ai pas vu mais je te propose à tout hasard cette vidéo d'un podcasteur que j'aime bien et qui fait des vidéos sur le cinéma, il a vu Pacific Rim et il en donne un petit avis (sans spoilers) : ici.
J'ai aussi vu Virgin Suicides et Marie-Antoinette de Sofia Coppola. Ben c'est toujours pareil que ce que j'avais pu en voir dans Lost in Translation, en moins bien: c'est lent, un peu vide, un peu superficiel, avec de jolis plans et de bons acteurs. Marie-Antoinette m'a totalement horripilée, j'ai rarement vu un film aussi vide et superficiel, sans parler de l'histoire qu'on viole allègrement. On voit Kirsten Dunst nue mais c'est le seul bon point (j'ai l'impression de dire ça à chacun de ses films, déjà dans Melancholia c'est ce que j'en avais retenu). Virgin Suicides est plus intéressant mais un peu bizarre, un peu dérangeant, j'ai eu du mal à cerner vraiment ce que c'était et quel était le propos. Pour un premier film c'est un bon début prometteur, malheureusement la suite prouve que Sofia Coppola a plus persévéré dans ses défauts que dans ses qualités. Enfin je suppose que si on aime son cinéma, on aimera ces films.
A part ça, Cosmopolis de David Cronenberg. Je précise que je l'ai visionné à 2h du mat dans un état de fatigue certain, ce qui a pu influer mon opinion. Mais j'ai beaucoup aimé ce film, alors que dans mes souvenirs les critiques étaient assez mitigées et qu'il ne me faisait pas vraiment envie. Mais j'ai trouvé intéressant ce traitement sur ces gens qui ont tout et que tout ennuie, ce désir de destruction pour se sentir vivant, ce type ultra riche qui décide soudain de partir en vrille. Ces discussions hallucinantes sur le sens du capitalisme, d'un ton blasé, lent, dans leur limousine, alors qu'autour d'eux c'est l'émeute, que des gens taguent leur voiture, que des anarchistes manifestent. Ce moment où ils discutent du sens de la vie d'un ton blasé encore, détaché, alors qu'en bas dans la salle qu'ils surplombent des gens font la fête dans la boîte de nuit, déchaînement de musique, de lumière, d'énergie. Ce film a une ambiance envoûtante certaine, bien aidée par la bande-son que j'ai adorée. Je n'ai pas l'impression qu'il ait plu à tout le monde mais pour ma part j'ai été étonnamment conquise. Et pourtant Pattinson ne joue pas particulièrement bien, enfin sans plus quoi.
J'ai beaucoup aimé ce film. C'est l'histoire d'une fille qui doit avoir entre 25 et 30 ans, qui vit en coloc avec une amie à New York et qui est danseuse apprentie dans une troupe. Sauf que la vie n'est pas si simple, entre les petits amis qui veulent qu'on emménage chez eux, les gens qui grandissent sans qu'on s'en aperçoive et les autres qui restent encore des enfants, et puis le temps passe et ça fait peur, et qu'est-ce qu'on va faire de sa vie, et puis grandir c'est pas forcément si joyeux que ça en a l'air, elle qui a l'air d'une looseuse à un moment (scènes assez sarcastiques où elle est dans une famille de bourges et qu'elle n'arrête pas de faire des bourdes, de bavasser comme pas possible, de glousser et raconter des anecdotes un peu débiles, comme si elle avait 15 ans) alors que sa pote va se marier, ben finalement, elle ne se débrouille pas forcément si mal que ça. Un film hyper délicat, en noir et blanc, sur le passage du temps, cet âge de la vie où on devient adulte, mais c'est différent pour tout le monde, qu'est-ce que ça veut dire grandir, comment ça se fait, qu'est-ce qu'il faut faire? Et puis on voit New York et Paris et la bande-son est super. On me l'avait annoncé comme un film très Woody Allen-ien, mais fort heureusement pour moi ce n'est absolument pas l'impression que j'ai eue. Une bonne surprise, toute en délicatesse et en élégance.
Pour Pacific Rim, Sylv, je ne l'ai pas vu mais je te propose à tout hasard cette vidéo d'un podcasteur que j'aime bien et qui fait des vidéos sur le cinéma, il a vu Pacific Rim et il en donne un petit avis (sans spoilers) : ici.
J'ai aussi vu Virgin Suicides et Marie-Antoinette de Sofia Coppola. Ben c'est toujours pareil que ce que j'avais pu en voir dans Lost in Translation, en moins bien: c'est lent, un peu vide, un peu superficiel, avec de jolis plans et de bons acteurs. Marie-Antoinette m'a totalement horripilée, j'ai rarement vu un film aussi vide et superficiel, sans parler de l'histoire qu'on viole allègrement. On voit Kirsten Dunst nue mais c'est le seul bon point (j'ai l'impression de dire ça à chacun de ses films, déjà dans Melancholia c'est ce que j'en avais retenu). Virgin Suicides est plus intéressant mais un peu bizarre, un peu dérangeant, j'ai eu du mal à cerner vraiment ce que c'était et quel était le propos. Pour un premier film c'est un bon début prometteur, malheureusement la suite prouve que Sofia Coppola a plus persévéré dans ses défauts que dans ses qualités. Enfin je suppose que si on aime son cinéma, on aimera ces films.
A part ça, Cosmopolis de David Cronenberg. Je précise que je l'ai visionné à 2h du mat dans un état de fatigue certain, ce qui a pu influer mon opinion. Mais j'ai beaucoup aimé ce film, alors que dans mes souvenirs les critiques étaient assez mitigées et qu'il ne me faisait pas vraiment envie. Mais j'ai trouvé intéressant ce traitement sur ces gens qui ont tout et que tout ennuie, ce désir de destruction pour se sentir vivant, ce type ultra riche qui décide soudain de partir en vrille. Ces discussions hallucinantes sur le sens du capitalisme, d'un ton blasé, lent, dans leur limousine, alors qu'autour d'eux c'est l'émeute, que des gens taguent leur voiture, que des anarchistes manifestent. Ce moment où ils discutent du sens de la vie d'un ton blasé encore, détaché, alors qu'en bas dans la salle qu'ils surplombent des gens font la fête dans la boîte de nuit, déchaînement de musique, de lumière, d'énergie. Ce film a une ambiance envoûtante certaine, bien aidée par la bande-son que j'ai adorée. Je n'ai pas l'impression qu'il ait plu à tout le monde mais pour ma part j'ai été étonnamment conquise. Et pourtant Pattinson ne joue pas particulièrement bien, enfin sans plus quoi.
En RP, Eldrina s'exprime en 3DB220.
Modératrice des sections The Witcher et Divinity, et super-modo à mes heures perdues.
Always look on the bright side of life.
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- Anios
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Hier soir, je voulais des p'tits films pépères et j'ai trouvé dans le fond de mes DD : Piranha 3DD et White Fire.
J'avais bien apprécié le premier Piranha et la suite. J'avais pas souvenir du 3D donc bon à priori ça me semblait pas trop mal pour la suite du 3D.
Oui car ce 3DD est une suite du 3D...mais que dalle ! En fait le double D ça doit faire juste référence à la taille de bonnet minimum pour apparaître dans le film...Car sur ce point c'est gonflé à bloc. Faut dire le reste est simplement à jeter aux requins : scénario-confetti-plus-débile-tu-meurs, effets spéciaux aux rabais (tant sur la 3D que sur les piranhas en caoutchouc), acteurs minables (special guest de David Hasseloff...ça veut tout dire) et dialogues de dégénérés (mention spéciale au "[...] Y a quelquechose qui est sorti de mon v*gin et qui a bouffé la b*te à machin ! [...]" ).
Bref, celui là c'est direction poubelle (mais faudra que je check le Piranha 3D quand même ).
White Fire par contre, c'est à part. C'est un bijou mais dans un style particuliers. C'est du bon gros nanard, une pépite à se tordre de rire (qui est classé d'ailleurs comme icône du site nanarland ). Je saurais même pas tout énoncé tellement c'est épique...Entre les 2 héros -un frère et sa soeur- à la relation clairement et quasi ouvertement incestueuse, les méchants à 90% des moustachus qui font des bonds et des toupies en mourant (notamment à la fin où c'est des vrais artistes de cirques), les trucs qu'on comprend même ce que ça vient faire là (mention spécial au mec qui tronçonne 4 bouts de bois DANS UN PORT ) et des dialogues de folie ("Ma patience a des limites mais il ne faut pas exagérer.")
Aller pour le plaisir, la baston au port avec la tronçonneuse :
http://www.dailymotion.com/video/x1k9k3 ... fAx6kBTY3g
Franchement ce film, c'est un monument. Je vous conseille de le choper/voir/revoir/re-revoir (histoire de louper aucun détail !) pour une bonne barre de rire.
http://www.youtube.com/watch?v=eCCKVpYsKns
J'avais bien apprécié le premier Piranha et la suite. J'avais pas souvenir du 3D donc bon à priori ça me semblait pas trop mal pour la suite du 3D.
Oui car ce 3DD est une suite du 3D...mais que dalle ! En fait le double D ça doit faire juste référence à la taille de bonnet minimum pour apparaître dans le film...Car sur ce point c'est gonflé à bloc. Faut dire le reste est simplement à jeter aux requins : scénario-confetti-plus-débile-tu-meurs, effets spéciaux aux rabais (tant sur la 3D que sur les piranhas en caoutchouc), acteurs minables (special guest de David Hasseloff...ça veut tout dire) et dialogues de dégénérés (mention spéciale au "[...] Y a quelquechose qui est sorti de mon v*gin et qui a bouffé la b*te à machin ! [...]" ).
Bref, celui là c'est direction poubelle (mais faudra que je check le Piranha 3D quand même ).
White Fire par contre, c'est à part. C'est un bijou mais dans un style particuliers. C'est du bon gros nanard, une pépite à se tordre de rire (qui est classé d'ailleurs comme icône du site nanarland ). Je saurais même pas tout énoncé tellement c'est épique...Entre les 2 héros -un frère et sa soeur- à la relation clairement et quasi ouvertement incestueuse, les méchants à 90% des moustachus qui font des bonds et des toupies en mourant (notamment à la fin où c'est des vrais artistes de cirques), les trucs qu'on comprend même ce que ça vient faire là (mention spécial au mec qui tronçonne 4 bouts de bois DANS UN PORT ) et des dialogues de folie ("Ma patience a des limites mais il ne faut pas exagérer.")
Aller pour le plaisir, la baston au port avec la tronçonneuse :
http://www.dailymotion.com/video/x1k9k3 ... fAx6kBTY3g
Franchement ce film, c'est un monument. Je vous conseille de le choper/voir/revoir/re-revoir (histoire de louper aucun détail !) pour une bonne barre de rire.
http://www.youtube.com/watch?v=eCCKVpYsKns
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Ca n'intéresse personne, mais ce mec parle exactement comme mon cousin.missElder a écrit : Pour Pacific Rim, Sylv, je ne l'ai pas vu mais je te propose à tout hasard cette vidéo d'un podcasteur que j'aime bien et qui fait des vidéos sur le cinéma, il a vu Pacific Rim et il en donne un petit avis (sans spoilers) : ici.
Je sais pas si il encourage les gens à aller le voir ou pas par contre. Et il parle de Hell Boy 2 comme d'un chef d'oeuvre, ou au moins comme un bon film. Hum. Faut voir, si y a rien d'autre à voir au cinéma, que la salle est climatisé et qu'il fait plus de 30 degrés.
Moi j'ai vu un autre film de Michel Leclerc, celui qui a fait "Le nom des gens", "Télé Gaucho", et c'est trooop marrant, surtout si vous êtres gauchiste.
En fait c'est l'histoire d'un mec qui trouve du boulot à HT1 (une grosse chaine de télé) parce qu'il est de bure-sur-yvette comme le mec qui le recrute, et qui parallalèment travaille à Télé Gaucho avec Elmosnino qui est le patron. Ou presque. Enfin un truc comme ça.
Le début est super frais, super drôle, y a des gags de la mort qui tue toutes les minutes, mais à partir des deux tiers je dirais, ça s’essouffle. C'est pas cadré politiquement. Ca raconte plus rien de précis. La fin est... abrupte. Dommage.
C'est quand même un bon moment de télé, personnages de Sara Forestier, de Maïwenn, de Zinedine Soualem et d'Eric Elmosnino très marquant.
(sinon Anios, en effet White Fire donne très envie )
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Allez voir ici si j'y suis, et chantez les louanges du condor, du boxeur, de Cecilia, du gamin à problèmes ou du bébé pilote.
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Récemment j'ai vu quelques films où votre cerveau ne sera pas mise à rude épreuve.
Tout d'abord Pacific Rim, en 3D s'il vous plaît. Les effets spéciaux sont terribles, et c'est à peu près tout car la trame de l'histoire ressemble à Top Gun, avec :
- Maverick / le rebelle qui se révèle le sauveur (mais cette fois de l'humanité entière, on est américain ou on l'est pas)
- Iceman / le rival sauvé par le rebelle est représenté lui aussi...
- Viper / le commandant en chef implacable qui vole à la fin avec ces recrues est là aussi
- et il fallait un peu de fun donc ils ont rajouté quelques savants fous histoire d'avoir quelques répliques "humoristiques"
Bref, un bon gros blockbuster de l'été.
Et en suivant, je me suis farci le nouveau Wolverine, en 3D également. Une journée bien remplie, mes cocos. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, c'est un film de filles. En effet mesdames, sachez que Hugh Jackman est à demi-nu les 3/4 du film ; vous pourrez apprécier sa plastique superbe. Côté scénar', rien à signaler si ce n'est pour les inconditionnels : le film se situe après le dernier X-men et juste avant le prochain. Tout ça vous est expliqué en 2h (ça aurait pu être torché en 5 mn).
A côté de ces bouses, Sang Froid (produit par Tarantino) fait bonne figure. Vu en DVD car il n'est plus tout jeune. Grosso modo, c'est l'histoire d'une jeune femme (Gabriela) obnubilée par les scènes de crimes non élucidés. Et justement, pim, y'a le tueur du bottin mondain qui sévit au même moment dans la ville. Histoire de se forger une idée du tueur, Gabriela se fait embaucher dans une entreprise de nettoyage de scènes de crimes. Ca ne dure qu'1 h 25 mn, et ça se laisse regarder.
-----------------------
Après cette consternante série, Citizen Kane et Take Shelter sont au programme, en attendant le remake des Men-In-Black (RIPD), Elysium et KickAss 2.
Tout d'abord Pacific Rim, en 3D s'il vous plaît. Les effets spéciaux sont terribles, et c'est à peu près tout car la trame de l'histoire ressemble à Top Gun, avec :
- Maverick / le rebelle qui se révèle le sauveur (mais cette fois de l'humanité entière, on est américain ou on l'est pas)
- Iceman / le rival sauvé par le rebelle est représenté lui aussi...
- Viper / le commandant en chef implacable qui vole à la fin avec ces recrues est là aussi
- et il fallait un peu de fun donc ils ont rajouté quelques savants fous histoire d'avoir quelques répliques "humoristiques"
Bref, un bon gros blockbuster de l'été.
Et en suivant, je me suis farci le nouveau Wolverine, en 3D également. Une journée bien remplie, mes cocos. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, c'est un film de filles. En effet mesdames, sachez que Hugh Jackman est à demi-nu les 3/4 du film ; vous pourrez apprécier sa plastique superbe. Côté scénar', rien à signaler si ce n'est pour les inconditionnels : le film se situe après le dernier X-men et juste avant le prochain. Tout ça vous est expliqué en 2h (ça aurait pu être torché en 5 mn).
A côté de ces bouses, Sang Froid (produit par Tarantino) fait bonne figure. Vu en DVD car il n'est plus tout jeune. Grosso modo, c'est l'histoire d'une jeune femme (Gabriela) obnubilée par les scènes de crimes non élucidés. Et justement, pim, y'a le tueur du bottin mondain qui sévit au même moment dans la ville. Histoire de se forger une idée du tueur, Gabriela se fait embaucher dans une entreprise de nettoyage de scènes de crimes. Ca ne dure qu'1 h 25 mn, et ça se laisse regarder.
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Après cette consternante série, Citizen Kane et Take Shelter sont au programme, en attendant le remake des Men-In-Black (RIPD), Elysium et KickAss 2.
- Galathée
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J'ai enfin vu Moonrise Kingdom, du Wes Anderson pur jus, avec sa mise en scène artificielle, ses plans super étudiés, ses images et ses personnages complètement décalés, et en même temps de belles performances et de l'émotion juste, bref, un petit bijou cinématographique comme je les aime. J'ai vu qu'on en parlait déjà beaucoup plus haut dans le sujet, et mieux, donc je ne m'étends pas mais je le recommande à ceux et celles qui apprécient le cinéma qui s'assume au-delà d'un cadre ouvert sur une histoire. En plus, c'est avec Edward Norton, que j'aime depuis toujours (Edward, si tu me lis, envoie-moi un MP )
J'ai aussi vu Mud et contrairement à la critique et aux personnes qui l'ont vu ci-dessus, j'ai pas trouvé ça transcendant, sans doute, justement, parce que j'avais des attentes faramineuses, après tout ce que j'en avais entendu... Bon, une partie de ça tient à ma sensibilité personnelle : moi les ados du Midwest, c'est pas forcément ma tasse de thé, et je déteste les films où on sait que tôt ou tard, les vilains trafiquants de drogue vont tomber sur le paletot des héros et que ça va saigner (ça me stresse, faut croire ). Mais je dirais qu'à mon sens, les grands défauts du film sont : pas de point de vue (on switche d'un personnage à un autre, en narrateur omniscient, mais pas franchement assumé, puisque 80% est quand même lié au gamin principal) ce qui occasionne... pas de secrets. Tout est dit. Les personnages sont frontaux et se lâchent tout comme si de rien n'était. Bref, bof. Pour moi, il y a aussi des absurdités scénaristiques (ou des ficelles grosses comme des maisons... genre le trou à serpents), mais je me rends bien compte que le réalisateur n'a pas forcément voulu faire une intrigue bien ficelée, mais plutôt une sorte de parabole... Et la fin est ratée (mais là encore, et bien... pas de secrets... ça reste dans la lignée du reste).
J'ai perdu la main sur les critiques cryptiques, mais comme ça, je participe
J'ai aussi vu Mud et contrairement à la critique et aux personnes qui l'ont vu ci-dessus, j'ai pas trouvé ça transcendant, sans doute, justement, parce que j'avais des attentes faramineuses, après tout ce que j'en avais entendu... Bon, une partie de ça tient à ma sensibilité personnelle : moi les ados du Midwest, c'est pas forcément ma tasse de thé, et je déteste les films où on sait que tôt ou tard, les vilains trafiquants de drogue vont tomber sur le paletot des héros et que ça va saigner (ça me stresse, faut croire ). Mais je dirais qu'à mon sens, les grands défauts du film sont : pas de point de vue (on switche d'un personnage à un autre, en narrateur omniscient, mais pas franchement assumé, puisque 80% est quand même lié au gamin principal) ce qui occasionne... pas de secrets. Tout est dit. Les personnages sont frontaux et se lâchent tout comme si de rien n'était. Bref, bof. Pour moi, il y a aussi des absurdités scénaristiques (ou des ficelles grosses comme des maisons... genre le trou à serpents), mais je me rends bien compte que le réalisateur n'a pas forcément voulu faire une intrigue bien ficelée, mais plutôt une sorte de parabole... Et la fin est ratée (mais là encore, et bien... pas de secrets... ça reste dans la lignée du reste).
J'ai perdu la main sur les critiques cryptiques, mais comme ça, je participe
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Blade Runner: je ne vous présente pas ce film, j'espère. Sinon, sachez juste que c'est un classique de la SF adapté de Philippe K. Dick, avec Harrison Ford, et que c'est absolument mythique. Je m'attendais à un bon film mais absolument pas à une telle claque. La perfection de bout en bout, et il est étonnamment peu daté pour un film très 80's. En plus Sean Young est magnifique dedans, quel dommage qu'elle n'ait pas fait grand-chose d'autre. Bref, de la vraie bonne SF comme je l'aime. Des oeuvres de SF (livres, films ou BD), j'en ai consommées beaucoup, pas mal d'indigestes, pas mal aussi de moyennes et de qualité. Mais des réussites pareilles, je les compte sur le doigt d'une main.
Sin City: adapté d'une BD de Frank Miller. Un film co-réalisé par Frank Miller, Quentin Tarantino et Robert Rodriguez (le grand pote de Tarantino, réalisateur de Machete entre autres). Quatre histoires successives, quatre segments qui ont comme principal point commun de se dérouler dans la même ville: Sin City, la ville du péché. Un univers entièrement noir où le crime règne, où bien et mal ne sont pas délimités par des frontières simples, un monde en noir et blanc (comme dans la BD), un monde ultra-violent.
De manière générale, Sin City est un monde "ultra". Encore plus dans le film que dans la BD, je trouve. Ultra esthétisé, ultra violent, ultra théâtral, ultra sombre. Les hommes sont ultra virils, taiseux, costauds et torturés. Les femmes sont ultra sexys, dénudées, tristes, violentes, se battent comme des tigresses et sont les seuls ancrages des hommes. Oui, c'est ultra sexiste aussi en un sens, mais l'univers de Frank Miller est ainsi.
Parfois une trace de rouge ou de jaune éclabousse l'écran, et c'est mauvais signe, ça sent le sang.
Un policier essaie d'arrêter un pédophile qui a des appuis hauts placés et de sauver une jeune fille. Une sorte de brute un peu fou sur les bords croise la route d'une femme qui embellit sa nuit et sa vie avant de mourir dans ses bras - il va chercher à trouver pourquoi et à la venger. Un tueur se promène dans les rues. Un homme aide les prostituées de la vieille ville à affronter la mafia et la police. Ils se croisent vaguement les uns les autres. Tous vivent à Sin City, en noir et blanc esthétisé.
Le casting, aussi, est ultra: Bruce Willis, Mickey Rourke, Brittany Murphy, Jessica Alba, Clive Owen, Elijah Wood, Rosario Dawson... Le film est esthétiquement magnifique. La violence est moins difficile à supporter que dans la BD, je trouve, même si ça reste très sombre. J'ai beaucoup aimé ce film. La présence de Bruce Willis y est peut-être pour quelque chose. En tout cas, une vraie réussite technique. Un film noir, un film d'action, un thriller, très intéressant. Mais il faut être prévenu: c'est très très particulier.
Hiroshima mon amour, d'Alain Resnais. Grands dieux que c'est beau. Le scénario étant de Marguerite Duras, j'avais la tête emplie de clichés et je m'attendais à un truc très Nouvelle Vague et très intello, un peu fumeux ou déstructuré, je ne sais pas trop. A la place j'ai eu une superbe histoire d'amour sur fond de mémoire, d'oubli, d'Histoire, de Seconde Guerre Mondiale et de sens ténu de la vie. Un classique. Une claque. Il fait définitivement partie des meilleurs films qu'il m'ait été donné de voir. Dialogues superbes, passé la perplexité des quelques premières minutes.
Les Sept Samouraïs, d'Akira Kurosawa. Encore un classique du cinéma. Très intéressant, notamment parce qu'au-delà de l'histoire des samouraïs qui défendent un village contre des brigands, et donc des scènes de combat et autres, il y a une vraie réflexion, notamment sociale, sur le rapport dominant/dominé, sur les inégalités de la société japonaise féodale, la responsabilité des uns et des autres, la méfiance entre les classes sociales, etc. Un film de guerre, un film d'action, un film de samouraïs, un film avec des paysans qui crèvent de faim, un film japonais en noir et blanc, un film sur les rapports de classe, bref, un bon film. M'a donné envie de voir son remake américain (Les Sept Mercenaires) pour voir ce qu'ils en ont fait.
Sin City: adapté d'une BD de Frank Miller. Un film co-réalisé par Frank Miller, Quentin Tarantino et Robert Rodriguez (le grand pote de Tarantino, réalisateur de Machete entre autres). Quatre histoires successives, quatre segments qui ont comme principal point commun de se dérouler dans la même ville: Sin City, la ville du péché. Un univers entièrement noir où le crime règne, où bien et mal ne sont pas délimités par des frontières simples, un monde en noir et blanc (comme dans la BD), un monde ultra-violent.
De manière générale, Sin City est un monde "ultra". Encore plus dans le film que dans la BD, je trouve. Ultra esthétisé, ultra violent, ultra théâtral, ultra sombre. Les hommes sont ultra virils, taiseux, costauds et torturés. Les femmes sont ultra sexys, dénudées, tristes, violentes, se battent comme des tigresses et sont les seuls ancrages des hommes. Oui, c'est ultra sexiste aussi en un sens, mais l'univers de Frank Miller est ainsi.
Parfois une trace de rouge ou de jaune éclabousse l'écran, et c'est mauvais signe, ça sent le sang.
Un policier essaie d'arrêter un pédophile qui a des appuis hauts placés et de sauver une jeune fille. Une sorte de brute un peu fou sur les bords croise la route d'une femme qui embellit sa nuit et sa vie avant de mourir dans ses bras - il va chercher à trouver pourquoi et à la venger. Un tueur se promène dans les rues. Un homme aide les prostituées de la vieille ville à affronter la mafia et la police. Ils se croisent vaguement les uns les autres. Tous vivent à Sin City, en noir et blanc esthétisé.
Le casting, aussi, est ultra: Bruce Willis, Mickey Rourke, Brittany Murphy, Jessica Alba, Clive Owen, Elijah Wood, Rosario Dawson... Le film est esthétiquement magnifique. La violence est moins difficile à supporter que dans la BD, je trouve, même si ça reste très sombre. J'ai beaucoup aimé ce film. La présence de Bruce Willis y est peut-être pour quelque chose. En tout cas, une vraie réussite technique. Un film noir, un film d'action, un thriller, très intéressant. Mais il faut être prévenu: c'est très très particulier.
Hiroshima mon amour, d'Alain Resnais. Grands dieux que c'est beau. Le scénario étant de Marguerite Duras, j'avais la tête emplie de clichés et je m'attendais à un truc très Nouvelle Vague et très intello, un peu fumeux ou déstructuré, je ne sais pas trop. A la place j'ai eu une superbe histoire d'amour sur fond de mémoire, d'oubli, d'Histoire, de Seconde Guerre Mondiale et de sens ténu de la vie. Un classique. Une claque. Il fait définitivement partie des meilleurs films qu'il m'ait été donné de voir. Dialogues superbes, passé la perplexité des quelques premières minutes.
Les Sept Samouraïs, d'Akira Kurosawa. Encore un classique du cinéma. Très intéressant, notamment parce qu'au-delà de l'histoire des samouraïs qui défendent un village contre des brigands, et donc des scènes de combat et autres, il y a une vraie réflexion, notamment sociale, sur le rapport dominant/dominé, sur les inégalités de la société japonaise féodale, la responsabilité des uns et des autres, la méfiance entre les classes sociales, etc. Un film de guerre, un film d'action, un film de samouraïs, un film avec des paysans qui crèvent de faim, un film japonais en noir et blanc, un film sur les rapports de classe, bref, un bon film. M'a donné envie de voir son remake américain (Les Sept Mercenaires) pour voir ce qu'ils en ont fait.
En RP, Eldrina s'exprime en 3DB220.
Modératrice des sections The Witcher et Divinity, et super-modo à mes heures perdues.
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Surtout pas !missElder a écrit :Les Sept Samouraïs, d'Akira Kurosawa. Encore un classique du cinéma. Très intéressant, notamment parce qu'au-delà de l'histoire des samouraïs qui défendent un village contre des brigands, et donc des scènes de combat et autres, il y a une vraie réflexion, notamment sociale, sur le rapport dominant/dominé, sur les inégalités de la société japonaise féodale, la responsabilité des uns et des autres, la méfiance entre les classes sociales, etc. Un film de guerre, un film d'action, un film de samouraïs, un film avec des paysans qui crèvent de faim, un film japonais en noir et blanc, un film sur les rapports de classe, bref, un bon film. M'a donné envie de voir son remake américain (Les Sept Mercenaires) pour voir ce qu'ils en ont fait.
Ce serait une faute de très mauvais goût après tes derniers choix : Les Sept Mercenaires ne valent pas un pet de lapin si tu as vu les Samuraïs avant !
Autant ne pas interrompre ton sans-faute cinématographique !
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Les sorcières d'Eatswick : alors, trois jeunes femmes s'ennuient dans leur ville où ils ne se passe pas grand chose. Il y a la violoncelliste coincée (qui pourrait ressembler au cliché de la bibliothécaire en fait), la veuve et la jeune mère célibataire qui vit avec ses six enfants (dont des triplés). Elles ont quelques petits pouvoirs de sorcellerie, et la pratique un peu les jeudis soirs en buvant des martinis. Un jour, elles pensent à l'homme idéal (pour elles) et un homme débarque. Bon, il est assez étrange mais les séduit toutes les trois. Bon, le seul petit hic, c'est que c'est un démon et qu'il met un peu la pagaille dans leur vie.
Alors ... pour moi, ce n'est pas le film du siècle mais il m'a tout de même beaucoup fait rire. La distribution : Cher (bon, oki, ça, c'est pas génial), Susan Sarandon, Michele Pfeiffer quand elles étaient jeunes et ... Jack Nicholson (!!!) s'en donnent à coeur joie dans un truc qui n'a presque ni queue ni tête. Enfin si ... Enfin ... Non, je ne dirai rien. Mais c'est un ovni qu'il faut voir au moins une fois dans sa vie.
Les bêtes du Sud sauvage : Hushpussy vit avec son papa dans "le bassin", c'est à dire en Louisiane, dans le Bayou. Ils vivent dans le dénuement quasi total mais coulent des jours heureux au fil de l'eau. Mais la fonte des glaces fait monter le niveau de la mer et leur vie devient encore plus précaire ... Parallèlement, les glaces des pôles ont libéré des aurochs.
Là, j'ai du mal à définir ou à résumer le film parce que je suis encore un peu déboussolée ... Je l'ai trouvé vraiment magnifique même si très triste. J'ai trouvé les acteurs (surtout celle qui joue Huspussy : Quvenzhané Wallis, primée aux oscars depuis) vraiment bons. C'est assez onirique, parfois très beau aussi. La solidarité entre les personnages m'a beaucoup touchée. Enfin voila ... Je crois qu'il faut que je le regarde une autre fois pour en dire un peu plus
Black Swan : Nina est une jeune danseuse étoile qui obtient le rôle titre dans le ballet : Le lac des Cygnes. Mais au yeux de Thomas, le chorégraphe, elle est trop pure, trop parfaite et trop rigide pour devenir le cygne noir, le double maléfique du cygne blanc. Nina travaille son rôle ... jusqu'à la folie ...
J'ai entendu de tout sur ce film : du bien, du mal. Du très mal. Mais j'avoue que j'ai été totalement bluffée et que j'ai beaucoup aimé. Le jeu des acteurs (Nathalie Portman, Mila Kunis, Vincent Cassel en tête) parfait. Il y a des moments totalement flippants où l'on confond le rêve et la réalité. Mais wah, la claque !
Alors ... pour moi, ce n'est pas le film du siècle mais il m'a tout de même beaucoup fait rire. La distribution : Cher (bon, oki, ça, c'est pas génial), Susan Sarandon, Michele Pfeiffer quand elles étaient jeunes et ... Jack Nicholson (!!!) s'en donnent à coeur joie dans un truc qui n'a presque ni queue ni tête. Enfin si ... Enfin ... Non, je ne dirai rien. Mais c'est un ovni qu'il faut voir au moins une fois dans sa vie.
Les bêtes du Sud sauvage : Hushpussy vit avec son papa dans "le bassin", c'est à dire en Louisiane, dans le Bayou. Ils vivent dans le dénuement quasi total mais coulent des jours heureux au fil de l'eau. Mais la fonte des glaces fait monter le niveau de la mer et leur vie devient encore plus précaire ... Parallèlement, les glaces des pôles ont libéré des aurochs.
Là, j'ai du mal à définir ou à résumer le film parce que je suis encore un peu déboussolée ... Je l'ai trouvé vraiment magnifique même si très triste. J'ai trouvé les acteurs (surtout celle qui joue Huspussy : Quvenzhané Wallis, primée aux oscars depuis) vraiment bons. C'est assez onirique, parfois très beau aussi. La solidarité entre les personnages m'a beaucoup touchée. Enfin voila ... Je crois qu'il faut que je le regarde une autre fois pour en dire un peu plus
Black Swan : Nina est une jeune danseuse étoile qui obtient le rôle titre dans le ballet : Le lac des Cygnes. Mais au yeux de Thomas, le chorégraphe, elle est trop pure, trop parfaite et trop rigide pour devenir le cygne noir, le double maléfique du cygne blanc. Nina travaille son rôle ... jusqu'à la folie ...
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Super modératrice (oui, ça pète ) et modératrice de Pillars of Eternity, de la section cinéma et littérature. J'interviens dans cette couleur.
Mon personnage rp : entre ombre et lumière, entre été et hiver : Angèle d'Aulfray, paladine de Tyr.
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Oh t'y vas un peu fort là... Tu nous la ferait pas un peu "amis de la poésie bonsoir", pour reprendre Coluche ? Ok d'accord, les 7 samourais de Kurosawa est un excellent film, super génial, en noir et blanc pour les soirées ciné-club avec débat à la fin. OK, d'accord. Les Sept mercenaires version cow-boy, c'est du divertissement - et je ne comprends toujours pas que ce mot ait un sens si péjoratif dans la bouche des amateurs de cinéma :Freddy :
Ce serait une faute de très mauvais goût après tes derniers choix : Les Sept Mercenaires ne valent pas un pet de lapin si tu as vu les Samuraïs avant !
- C'est du divertissement ? Oh mon dieu, mais c'est terrriiiible !
Ben oui, c'est du divertissement. Donc ça divertit, et des fois c'est sympa de ne faire QUE de se divertir. On met les neurones un peu de côté, et on les récupère à la fin du film.
Pour en revenir au Sept "magnificient", y'a des scènes vraiment sympas, surtout au début, avec Steve Mc Queen et Yul Brynner; et John Sturges, ce n'est quand même pas un guignol ("Un homme est passé" , "Le trésor de pendu", "Règlement de comptes à OK Corral", "Le dernier train de Gun Hill"...)
Je dirais donc, pour finir de taquiner Freddy Gwendo : Ce serait une faute de très mauvais goût de ne PAS voir les Sept Mercenaires de John Sturges !
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Alors pour info, je comptais simplement voir Les Sept Mercenaires par curiosité intellectuelle, vu qu'il s'agit exactement de la même histoire transposée au Far West par des Américains, je suis intriguée de savoir ce qu'ils auront conservé, modifié, altéré, etc. Ce qu'ils auront sélectionné comme essentiel et viré comme superflu ou gênant. Est-ce que le film aura perdu toute sa réflexion sociale qui justement faisait sa valeur - la complexité de l'intrigue qui fait qu'on ne le résume pas à un film de baston et de héros solitaires, même si c'est aussi ce qu'il est et qu'il l'est admirablement bien - , est-ce qu'ils auront essayé de faire pareil mais que ce sera devenu tout à fait manichéen? Bref, quel est l'intérêt de ce remake aux yeux de ses créateurs.Luren a écrit :Oh t'y vas un peu fort là... Tu nous la ferait pas un peu "amis de la poésie bonsoir", pour reprendre Coluche ? Ok d'accord, les 7 samourais de Kurosawa est un excellent film, super génial, en noir et blanc pour les soirées ciné-club avec débat à la fin. OK, d'accord. Les Sept mercenaires version cow-boy, c'est du divertissement - et je ne comprends toujours pas que ce mot ait un sens si péjoratif dans la bouche des amateurs de cinéma :
- C'est du divertissement ? Oh mon dieu, mais c'est terrriiiible !
Ben oui, c'est du divertissement. Donc ça divertit, et des fois c'est sympa de ne faire QUE de se divertir. On met les neurones un peu de côté, et on les récupère à la fin du film.
Pour en revenir au Sept "magnificient", y'a des scènes vraiment sympas, surtout au début, avec Steve Mc Queen et Yul Brynner; et John Sturges, ce n'est quand même pas un guignol ("Un homme est passé" , "Le trésor de pendu", "Règlement de comptes à OK Corral", "Le dernier train de Gun Hill"...)
Je dirais donc, pour finir de taquiner Freddy Gwendo : Ce serait une faute de très mauvais goût de ne PAS voir les Sept Mercenaires de John Sturges !
Et puis regarder un western de plus, voir si je l'aime autant que les Sergio Leone. Les Leone sont aussi du divertissement, mais intelligent et de qualité. C'est un peu la distinction que j'établirais entre les Batman de Tim Burton et celui avec Val Kilmer: les trois sont de bons divertissements, mais ceux de Burton sont excellents, intelligents, tout est maîtrisé et réfléchi et soigné. Alors que Batman Forever est sympa à regarder, j'aime bien, mais ce n'est ni une grande réalisation ni un grand scénario, ni un grand film.
Je prends note de vos avis à tous les deux en tout cas, je reviendrai peut-être donner le mien ici une fois que je l'aurai visionné
Je parle de Batman parce que ce sont les derniers films que j'ai vus et grands dieux c'est génial. Batman et Batman, le défi donc, de Tim Burton. Une grande maîtrise technique, un scénar intelligent, des méchants ultra charismatiques, un bon Batman, une ambiance et une esthétique de folie. J'ai préféré le deuxième et je crois que c'est entièrement dû à la présence charismatique et sexy en diable de Michelle Pfeiffer en Catwoman. Les répliques des deux films sont ciselées à la perfection, mais celles de Catwoman sont les meilleures. De manière générale l'humour noir et un peu glauque de ces deux films joue beaucoup dans leur qualité. Ayant revu par ailleurs la trilogie de Nolan, la comparaison du point de vue du sexisme est assez ravageuse pour cette dernière: les films de Burton, s'ils ne sont pas vraiment féministes, ne sont en tout cas pas sexistes ; et ça, grands dieux, ça fait du bien, de temps en temps, de pouvoir se sentir posé comme ça et de ne pas être déçu par un film qu'on aime. Alors que ceux de Nolan, hem, en plus d'être politiquement assez conservateurs ... (mais les deux derniers restent quand même de très bons films, attention)
Sinon j'ai vu aussi Fight Club, de David Fincher. C'était bizarre et prétentieux, assez vide, j'ai assez vite compris qui Tyler était réellement (ce qui n'est pas peu dire vu que je ne devine habituellement jamais rien), mais Helena Bonham Carter, Brad Pitt et Edward Norton jouent bien et la réalisation est soignée. Avis assez mitigé donc, ce film est connu pour être totalement culte mais... pfiou, ça m'a saoulée pendant les 100 premières minutes, excepté les scènes avec HBC. Je n'ai pas du tout aimé cette ambiance pseudo anticonformiste. C'est un peu comme Black Swan en fait (désolée pour la comparaison, c'est la première qui me vienne à l'esprit), en moins prétentieux sans doute, et avec plus de répliques calibrées pour être cultes.
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Je pense que ce film est culte parce que bon nombre de personnes ne s'attendent pas du tout au revirement final. Alors si tu l'as deviné, ça gâche un peu tout.missElder a écrit :Sinon j'ai vu aussi Fight Club, de David Fincher. C'était bizarre et prétentieux, assez vide, j'ai assez vite compris qui Tyler était réellement (ce qui n'est pas peu dire vu que je ne devine habituellement jamais rien), mais Helena Bonham Carter, Brad Pitt et Edward Norton jouent bien et la réalisation est soignée. Avis assez mitigé donc, ce film est connu pour être totalement culte mais... pfiou, ça m'a saoulée pendant les 100 premières minutes, excepté les scènes avec HBC. Je n'ai pas du tout aimé cette ambiance pseudo anticonformiste. C'est un peu comme Black Swan en fait (désolée pour la comparaison, c'est la première qui me vienne à l'esprit), en moins prétentieux sans doute, et avec plus de répliques calibrées pour être cultes.
En RP, je joue Séraphine Pierrejoyeuse, dont la couleur est : #D0C07A ainsi que Frère Jordin : #FF9966
Et, il y a longtemps, j'incarnais Vel'Cheran.
Venez lire nos aventures dans l'univers d'Ambre !
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