Oyez, oyez !
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[THEMA] Derniers films vus ...
- Dreiyan
- Blême
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Attention, changement de style...
Je suis tombé sur cet OVNI hier soir, sur les recommandations d'un ami: un cours métrage de 30 minutes nommé Kung Fury.
En résumé : un flic maitrisant l'art du kung-fu (après avoir été frappé par la foudre et mordu par un cobra, simultanément) remonte le temps à l'aide d'un hacker pour aller assassiner Hitler. C'est... 30 minutes de n'importe quoi, mais du très très bon n'importe quoi. A voir absolument, et c'est disponible (officiellement) sur youtube: https://www.youtube.com/watch?v=bS5P_LAqiVg
Je suis tombé sur cet OVNI hier soir, sur les recommandations d'un ami: un cours métrage de 30 minutes nommé Kung Fury.
En résumé : un flic maitrisant l'art du kung-fu (après avoir été frappé par la foudre et mordu par un cobra, simultanément) remonte le temps à l'aide d'un hacker pour aller assassiner Hitler. C'est... 30 minutes de n'importe quoi, mais du très très bon n'importe quoi. A voir absolument, et c'est disponible (officiellement) sur youtube: https://www.youtube.com/watch?v=bS5P_LAqiVg
Et il a dit: "Kapoué!"
- Ailyn
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Tu ne sais que ça existe que depuis 3 jours ?Dreiyan a écrit :Attention, changement de style...
Je suis tombé sur cet OVNI hier soir, sur les recommandations d'un ami: un cours métrage de 30 minutes nommé Kung Fury.
En résumé : un flic maitrisant l'art du kung-fu (après avoir été frappé par la foudre et mordu par un cobra, simultanément) remonte le temps à l'aide d'un hacker pour aller assassiner Hitler. C'est... 30 minutes de n'importe quoi, mais du très très bon n'importe quoi. A voir absolument, et c'est disponible (officiellement) sur youtube: https://www.youtube.com/watch?v=bS5P_LAqiVg
Hi hi hi, ici, il était attendu comme le messie .
C'est surtout du très bon vrai faux années 80, avec les bornes d'arcades, les blousons en cuir, les bandanas rouges qui flottent au vent... avec quelques références très eighties là encore (genre K2000). Le clip de la musique du film avec David Hasselhoff vaut aussi son pesant de cacahuètes pour ceux qui n'auraient pas le courage de survivre à ça pendant 30 min.
Perso, ça me rappelle Street of Rage .
RP : Ailyn, ensorceleuse entropiste déjantée. Quête : La morsure du cobra Calimshite
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- missElder
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Derniers films vus :
Love, de Gaspar Noé. Pour ceux qui n'en ont pas entendu parler : c'est l'histoire d'un certain Murphy, qui un jour reçoit un appel de la mère de son ex, Electra, avec qui il a rompu il y a plus de deux ans. La mère s'inquiète de la disparition de sa fille et Murphy se plonge alors dans les souvenirs de leur relation passionnée.
La spécificité du film, c'est que le réalisateur se donnait comme objectif de réhabiliter le sexe au cinéma, ou plutôt, de montrer que cela pouvait être un outil narratif comme un autre, sans qu'on soit nécessairement obligé de le reléguer dans la catégorie de la pornographie ou de la vulgarité. (du coup il y a eu quelques polémiques avec des associations d'extrême-droite le faisant interdire aux moins de 18 ans, si j'ai bien suivi, bref peu importe)
Bon. Pour cet aspect, honnêtement, je dirais que c'est plutôt bien réussi. Les scènes sont bien filmées et participent clairement de la narration du film, sans paraître déplacées ou inutiles. Noé se prend tout de même un peu trop pour un réalisateur anticonformiste et se lance dans une ou deux scènes quelque peu too much (surtout vécues en 3D par le spectateur, hm), mais dans l'ensemble, le propos est réussi, je trouve.
Le problème c'est le reste du film, en fait. Le personnage principal est un mec assez détestable, ignoble, tout sauf safe, et du coup, toute cette histoire de passion amoureuse se transforme en une histoire assez malsaine, ce qui n'est pas du tout censé être l'objectif et qui crée du coup un net malaise (du moins, c'est ce que j'ai ressenti avec l'amie qui m'accompagnait, on a été assez traumatisées par le degré de détestabilité du mec.). C'est franchement dommage, j'aimais beaucoup les partis pris esthétiques du film, la qualité du jeu d'acteurs et la réalisation, mais là, j'avais surtout envie d'insulter le personnage principal. Le film porte assez mal son nom, finalement, car d'amour il n'y a guère, juste un caractère possessif et égoïste. Mais, visuellement, esthétiquement, dans la démarche, ça reste un film intéressant.
American Ultra, de je ne sais plus qui, avec Jesse Eisenberg, Kristen Stewart et Connie Britton. Un pur film d'action dont le scénario se résume à : notre personnage principal est un loser attachant qui fume des joints et n'arrive pas à quitter sa ville, jusqu'à ce qu'il découvre qu'il est le résultat d'un programme d'entraînement de la CIA, qu'il sait extrêmement bien se battre et qu'une partie de la CIA en a après lui. Du coup, tout le monde se bat et il se passe des trucs barrés.
C'est franchement un bon divertissement. Un film survolté, avec une dose d'humour absurde, un bon casting, des personnages féminins intéressants (Kristen Stewart campe une petite amie parfaitement capable de se défendre toute seule et, c'est bête mais ça fait plaisir), une bonne bande-son alternant entre du jazz old school et de l'électro marrante, pas mal de couleurs flashy, de néons, de personnages marrants, et du sang, pas mal de sang. Un bon film estival et une vraie bonne surprise. Le film n'a aucune prétention par ailleurs mais il est bien fait, le scénario n'en fait pas trop, l'esthétique est soignée et il a une vraie âme. Un petit plaisir.
Love, de Gaspar Noé. Pour ceux qui n'en ont pas entendu parler : c'est l'histoire d'un certain Murphy, qui un jour reçoit un appel de la mère de son ex, Electra, avec qui il a rompu il y a plus de deux ans. La mère s'inquiète de la disparition de sa fille et Murphy se plonge alors dans les souvenirs de leur relation passionnée.
La spécificité du film, c'est que le réalisateur se donnait comme objectif de réhabiliter le sexe au cinéma, ou plutôt, de montrer que cela pouvait être un outil narratif comme un autre, sans qu'on soit nécessairement obligé de le reléguer dans la catégorie de la pornographie ou de la vulgarité. (du coup il y a eu quelques polémiques avec des associations d'extrême-droite le faisant interdire aux moins de 18 ans, si j'ai bien suivi, bref peu importe)
Bon. Pour cet aspect, honnêtement, je dirais que c'est plutôt bien réussi. Les scènes sont bien filmées et participent clairement de la narration du film, sans paraître déplacées ou inutiles. Noé se prend tout de même un peu trop pour un réalisateur anticonformiste et se lance dans une ou deux scènes quelque peu too much (surtout vécues en 3D par le spectateur, hm), mais dans l'ensemble, le propos est réussi, je trouve.
Le problème c'est le reste du film, en fait. Le personnage principal est un mec assez détestable, ignoble, tout sauf safe, et du coup, toute cette histoire de passion amoureuse se transforme en une histoire assez malsaine, ce qui n'est pas du tout censé être l'objectif et qui crée du coup un net malaise (du moins, c'est ce que j'ai ressenti avec l'amie qui m'accompagnait, on a été assez traumatisées par le degré de détestabilité du mec.). C'est franchement dommage, j'aimais beaucoup les partis pris esthétiques du film, la qualité du jeu d'acteurs et la réalisation, mais là, j'avais surtout envie d'insulter le personnage principal. Le film porte assez mal son nom, finalement, car d'amour il n'y a guère, juste un caractère possessif et égoïste. Mais, visuellement, esthétiquement, dans la démarche, ça reste un film intéressant.
American Ultra, de je ne sais plus qui, avec Jesse Eisenberg, Kristen Stewart et Connie Britton. Un pur film d'action dont le scénario se résume à : notre personnage principal est un loser attachant qui fume des joints et n'arrive pas à quitter sa ville, jusqu'à ce qu'il découvre qu'il est le résultat d'un programme d'entraînement de la CIA, qu'il sait extrêmement bien se battre et qu'une partie de la CIA en a après lui. Du coup, tout le monde se bat et il se passe des trucs barrés.
C'est franchement un bon divertissement. Un film survolté, avec une dose d'humour absurde, un bon casting, des personnages féminins intéressants (Kristen Stewart campe une petite amie parfaitement capable de se défendre toute seule et, c'est bête mais ça fait plaisir), une bonne bande-son alternant entre du jazz old school et de l'électro marrante, pas mal de couleurs flashy, de néons, de personnages marrants, et du sang, pas mal de sang. Un bon film estival et une vraie bonne surprise. Le film n'a aucune prétention par ailleurs mais il est bien fait, le scénario n'en fait pas trop, l'esthétique est soignée et il a une vraie âme. Un petit plaisir.
En RP, Eldrina s'exprime en 3DB220.
Modératrice des sections The Witcher et Divinity, et super-modo à mes heures perdues.
Always look on the bright side of life.
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- Dreiyan
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Bin oui, j'étais coupé du monde pendant 3 mois, perdu au milieu de la jungle péruvienne... après il m'a fallu le temps de rattraper mon retardAilyn a écrit :Tu ne sais que ça existe que depuis 3 jours ?
Hi hi hi, ici, il était attendu comme le messie .
C'est surtout du très bon vrai faux années 80, avec les bornes d'arcades, les blousons en cuir, les bandanas rouges qui flottent au vent... avec quelques références très eighties là encore (genre K2000). Le clip de la musique du film avec David Hasselhoff vaut aussi son pesant de cacahuètes pour ceux qui n'auraient pas le courage de survivre à ça pendant 30 min.
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Et il a dit: "Kapoué!"
- Althéa
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Les virtuoses de Mark Herman avec Ewan Mac Gregor, Tara Fitzgerald etc ...
C'est un film dans la lignée de Calendar Girls, Billy Eliott, Full Monty et autres comédies sociales anglaises. Cette fois, il s'agit d'une fanfare dont les musiciens sont des mineurs de charbon aux portes du chômage. Plus très motivés alors que leur mine est menacée de fermeture (comme plein d'autres dans le nord du pays) ils ne sont plus très motivés pour jouer. Arrive alors une jeune femme (la seule de l'orchestre), une trompettiste émérite qui revient s'installer dans la région et jouer avec eux. J'ai vraiment beaucoup aimé le film et sa galerie de personnages de la tête de lard au père de famille (qui veut ménager à la fois sa femme et ses quatre enfants et son père le chef d'orchestre qui ne vit que pour sa musique), à l'amoureux transi. J'ai beaucoup ri, beaucoup pleuré aussi. Un très bon film en tout cas.
Balada triste de Alex de la Iglesia : âmes sensibles s'abstenir. C'est sombre, violent, sans espoir. C'est l'histoire d'un gamin qui a vu son père (un clown) arrêté par les soldats de Franco et condamné à édifier un monument en compagnie d'autres républicains. Bien des années plus tard, il deviendra clown à son tour mais clown triste. Il intègre alors une troupe et tombe amoureux d'une jeune et belle acrobate. Hélas, elle est avec l'auguste qui boit et la bat dès qu'il en a l'occasion. Ne regardez pas ce film si vous êtes déprimés. Il n'y a aucun espoir, aucune lueur. Mais j'ai pourtant trouvé que c'était un bon film.
C'est un film dans la lignée de Calendar Girls, Billy Eliott, Full Monty et autres comédies sociales anglaises. Cette fois, il s'agit d'une fanfare dont les musiciens sont des mineurs de charbon aux portes du chômage. Plus très motivés alors que leur mine est menacée de fermeture (comme plein d'autres dans le nord du pays) ils ne sont plus très motivés pour jouer. Arrive alors une jeune femme (la seule de l'orchestre), une trompettiste émérite qui revient s'installer dans la région et jouer avec eux. J'ai vraiment beaucoup aimé le film et sa galerie de personnages de la tête de lard au père de famille (qui veut ménager à la fois sa femme et ses quatre enfants et son père le chef d'orchestre qui ne vit que pour sa musique), à l'amoureux transi. J'ai beaucoup ri, beaucoup pleuré aussi. Un très bon film en tout cas.
Balada triste de Alex de la Iglesia : âmes sensibles s'abstenir. C'est sombre, violent, sans espoir. C'est l'histoire d'un gamin qui a vu son père (un clown) arrêté par les soldats de Franco et condamné à édifier un monument en compagnie d'autres républicains. Bien des années plus tard, il deviendra clown à son tour mais clown triste. Il intègre alors une troupe et tombe amoureux d'une jeune et belle acrobate. Hélas, elle est avec l'auguste qui boit et la bat dès qu'il en a l'occasion. Ne regardez pas ce film si vous êtes déprimés. Il n'y a aucun espoir, aucune lueur. Mais j'ai pourtant trouvé que c'était un bon film.
Super modératrice (oui, ça pète ) et modératrice de Pillars of Eternity, de la section cinéma et littérature. J'interviens dans cette couleur.
Mon personnage rp : entre ombre et lumière, entre été et hiver : Angèle d'Aulfray, paladine de Tyr.
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Hey, ça donne envie "les virtuoses".
Moi avant-hier soir j'ai vu "Heimat" sur Arte. Bon, a priori, 3h45 en noir et blanc et en allemand sous-titré (oui, quand même, il y avait des sous-titres) ça fait pas sauter au plafond.
Mais c'est vachement beau en fait, et on rentre bien dedans même si c'est assez austère. L'histoire se passe en 1842 dans le machinruer, de toute façon vous connaitrez pas, où la famine, la maladie et l'immigration massive frappe. Ça raconte l'histoire de Jakob, surnommé "l'indien", parce qu'il a beau être fils de forgeron il parle un nombre de langues incalculable et est fasciné par les coutumes et les langages des peuples amazoniens. Il détient un savoir incroyable dessus, il parle que de ça, il se procure toujours de nouveaux livres dessus, on sait pas comment.
Il rencontre Jefflen, je crois, 'fin les femmes ont toutes des noms à coucher dehors, pareil que le pays, et là, c'est le grand amour. Mais c'est beaaaauuu, beaaaaauuuuuu ! Vous pouvez pas vous imaginer. Genre il est contre un arbre à bouquiner et à révasser, il regarde un oiseau dans le ciel, l'oiseau lui lâche une plume, il tombe de son arbre dans les hautes herbes, et là y a deux filles qu'arrivent et qui se mettent à poil et roulent dans l'herbe, parce que se foutre à oilp et faire du roulé-boulé c'est rigolo, elles le grillent, se rhabillent, il va les voir en s'excusant, ils font connaissance, Jakob offre la plume à Jefflen et lui dit deux trois mots d'une langue indienne bizarre, Jefflen est sous le charme même si elle fait style elle l'a pas calculée.
Bon, je peux pas raconter la suite, parce que c'est looong, même si on voit pas le temps passer. Juste que le protestantisme et le schnaps dans la campagne allemande au XIXème siècle ne font pas bon ménage.
Ce qu'il manque à ce film quand même c'est un bon conseiller d'orientation, et une MJC pour apprendre aux jeunes à danser, là on pouvait s'attendre à une fin pas trop pourrie (fin que je n'ai pas vue d'ailleurs, mais vu le ton global du film je me doute légèrement de comment ça finit, vie de merde)
Ce qui est beau aussi c'est que leur histoire est quand même tellement touchante que jusqu'à la fin tu te dis non mais c'est pas possible, ils vont réagir, reprendre leur vie en mains, ils vont enfin avoir un coup de bol, mais c'est la résignation et le poids de la société qui est plus fort. Je crois que "Heimat" fait référence à la patrie, c'est un film qui s'interroge sur ce qu'est vraiment votre foyer, qu'est-ce que ça veut dire "appartenir à un endroit" ? Si on veut à tout prix quitter l'endroit où on a grandi (le brésil n'est jamais loin), où est vraiment son chez soi ? Qu'est-ce que l'autre, l'indien, a de si différent de nous ? En fait en s'intéressant à lui, on en apprend aussi beaucoup sur nous-mêmes, on change notre façon de voir les choses à son contact.
Les questions soulevées sont très intéressantes, à peu près autant que le film est beau
Moi avant-hier soir j'ai vu "Heimat" sur Arte. Bon, a priori, 3h45 en noir et blanc et en allemand sous-titré (oui, quand même, il y avait des sous-titres) ça fait pas sauter au plafond.
Mais c'est vachement beau en fait, et on rentre bien dedans même si c'est assez austère. L'histoire se passe en 1842 dans le machinruer, de toute façon vous connaitrez pas, où la famine, la maladie et l'immigration massive frappe. Ça raconte l'histoire de Jakob, surnommé "l'indien", parce qu'il a beau être fils de forgeron il parle un nombre de langues incalculable et est fasciné par les coutumes et les langages des peuples amazoniens. Il détient un savoir incroyable dessus, il parle que de ça, il se procure toujours de nouveaux livres dessus, on sait pas comment.
Il rencontre Jefflen, je crois, 'fin les femmes ont toutes des noms à coucher dehors, pareil que le pays, et là, c'est le grand amour. Mais c'est beaaaauuu, beaaaaauuuuuu ! Vous pouvez pas vous imaginer. Genre il est contre un arbre à bouquiner et à révasser, il regarde un oiseau dans le ciel, l'oiseau lui lâche une plume, il tombe de son arbre dans les hautes herbes, et là y a deux filles qu'arrivent et qui se mettent à poil et roulent dans l'herbe, parce que se foutre à oilp et faire du roulé-boulé c'est rigolo, elles le grillent, se rhabillent, il va les voir en s'excusant, ils font connaissance, Jakob offre la plume à Jefflen et lui dit deux trois mots d'une langue indienne bizarre, Jefflen est sous le charme même si elle fait style elle l'a pas calculée.
Bon, je peux pas raconter la suite, parce que c'est looong, même si on voit pas le temps passer. Juste que le protestantisme et le schnaps dans la campagne allemande au XIXème siècle ne font pas bon ménage.
Ce qu'il manque à ce film quand même c'est un bon conseiller d'orientation, et une MJC pour apprendre aux jeunes à danser, là on pouvait s'attendre à une fin pas trop pourrie (fin que je n'ai pas vue d'ailleurs, mais vu le ton global du film je me doute légèrement de comment ça finit, vie de merde)
Ce qui est beau aussi c'est que leur histoire est quand même tellement touchante que jusqu'à la fin tu te dis non mais c'est pas possible, ils vont réagir, reprendre leur vie en mains, ils vont enfin avoir un coup de bol, mais c'est la résignation et le poids de la société qui est plus fort. Je crois que "Heimat" fait référence à la patrie, c'est un film qui s'interroge sur ce qu'est vraiment votre foyer, qu'est-ce que ça veut dire "appartenir à un endroit" ? Si on veut à tout prix quitter l'endroit où on a grandi (le brésil n'est jamais loin), où est vraiment son chez soi ? Qu'est-ce que l'autre, l'indien, a de si différent de nous ? En fait en s'intéressant à lui, on en apprend aussi beaucoup sur nous-mêmes, on change notre façon de voir les choses à son contact.
Les questions soulevées sont très intéressantes, à peu près autant que le film est beau
"La stratégie la plus dangereuse consiste à enjamber un précipice en deux sauts." Benjamin Disraeli
Allez voir ici si j'y suis, et chantez les louanges du condor, du boxeur, de Cecilia, du gamin à problèmes ou du bébé pilote.
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J'avais vu Heimat au cinéma quand il est passé, j'ai trouvé ça extrêmement beau, aussi, mais aussi très "académique", en gros, t'as l'impression de voir un bon élève qui fait tout bien, propre sur lui et tout, mais au final, me suis fait grave chier, je n'ai pas pu tenir jusqu'au bout, tellement les histoires sont à rallonngeeeee ! Au bout d'un moment, tu as l'impression d'être à "plus moche la vie" (parce que bon, faut pas déconner, c'est trop la rigolade là bas à cette époque).
(Je note que ce commentaire très constructif fait de moi un "Troll", puisque j'ai passé le cap des 1400. J'aime déjà ce grade !)
(Je note que ce commentaire très constructif fait de moi un "Troll", puisque j'ai passé le cap des 1400. J'aime déjà ce grade !)
"Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit"
Molière - Don Juan -
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Pride de Matthew Warchus
En 1984 pendant que Tatcher est au pouvoir, le syndicat des mineurs vote la grève. Lors de la gay pride de la même année, un groupe d'activistes homosexuels décide de fonder le LGSM (lesbian, gay support the miners) afin de récolter des fonds aider les mineurs. Tous refusent à part une petite communauté minière du Pays de Galles. Débute alors une association improbable est pourtant bien réelle. Pride est tiré d'une histoire vraie, les leadeurs des mouvements dont il est question dans le film ont vraiment existé. C'est un film dans la lignée des Virtuoses, Calendar Girls, Full Monty et autres Billy Elliott que j'adore. Donc je n'ai pas boudé mon plaisir. Le film, tout comme les autres alterne entre des moments de franche rigolade, de pure émotion (mention spéciale pour une certaine chanson reprise progressivement par toute la communauté minière ou encore la fin) mais aussi de passages plus tristes ou amères (l'hostilité homophobe de certaines personnes, le sida). J'ai ri et j'ai pleuré et même des fois, j'ai fait les deux à la fois En tout cas, j'ai adoré. Mon seul regret est de ne pas l'avoir vu en VO mais ce n'est que partie remise.
En 1984 pendant que Tatcher est au pouvoir, le syndicat des mineurs vote la grève. Lors de la gay pride de la même année, un groupe d'activistes homosexuels décide de fonder le LGSM (lesbian, gay support the miners) afin de récolter des fonds aider les mineurs. Tous refusent à part une petite communauté minière du Pays de Galles. Débute alors une association improbable est pourtant bien réelle. Pride est tiré d'une histoire vraie, les leadeurs des mouvements dont il est question dans le film ont vraiment existé. C'est un film dans la lignée des Virtuoses, Calendar Girls, Full Monty et autres Billy Elliott que j'adore. Donc je n'ai pas boudé mon plaisir. Le film, tout comme les autres alterne entre des moments de franche rigolade, de pure émotion (mention spéciale pour une certaine chanson reprise progressivement par toute la communauté minière ou encore la fin) mais aussi de passages plus tristes ou amères (l'hostilité homophobe de certaines personnes, le sida). J'ai ri et j'ai pleuré et même des fois, j'ai fait les deux à la fois En tout cas, j'ai adoré. Mon seul regret est de ne pas l'avoir vu en VO mais ce n'est que partie remise.
Super modératrice (oui, ça pète ) et modératrice de Pillars of Eternity, de la section cinéma et littérature. J'interviens dans cette couleur.
Mon personnage rp : entre ombre et lumière, entre été et hiver : Angèle d'Aulfray, paladine de Tyr.
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Je viens d'aller voir Le tout nouveau Testament, de Van Dormael, avec Benoit Poelvoorde, Catherine Deneuve, etc, etc.
Bon... hum. Je sors tout juste du film, et j'en ai l'esprit un peu brouillé. Je vous explique.
Le film commence comme une comédie: Dieu existe, il habite à Bruxelles, au dernier étage d'un immeuble miteux avec sa femme et sa fille, et passe ses journées à édicter des lois pour rendre la vie des gens plus difficiles... bref, c'est du Poelvoorde, c'est sympa, c'est drôle, c'est léger (même si les moments les plus drôles étaient presque tous dans la bande annonce).
Mais Dieu est tyrannique, Dieu est aussi un mauvais mari et un mauvais père. Suite à une engueulade avec sa fille, celle-ci décide de se venger: elle hack l'ordinateur de Dieu (oui, vu que Dieu dirige le monde depuis son ordinateur) et l'utilise pour envoyer par SMS la date de leur mort à tous les terriens. Et elle s'échappe ensuite dans la ville, avec la ferme conviction d'écrire un Tout Nouveau Testament pour contrer son père, le Dieu si odieux. Mais pour ça, elle doit trouver 6 nouveaux apôtres.
La suite du film nous prend de court, tellement elle tranche avec la comédie qu'on nous a vendue dans la promotion du film. On passe en revue la vie des 6 apôtres, et la façon dont ils ont réagi après l'annonce de la date de leur mort. Des personnages tristes, seuls, sombres: une femme amputée d'un bras qui vit seule, sans amis, méprisée par ses voisins. Un obsédé sexuel frustré, désillusionné, seul. Un soixantenaire, célibataire sans enfants, qui gâche sa vie en faisant un boulot de merde. Un enfant malade, aux parents névrosés. A ce moment là on se dit que ce n'est pas une comédie en fait, que c'est un drame, tellement la vision de notre société qui est dépeinte est sombre et triste. Puis il y a la 6ème apôtre, jouée par Deneuve, qui (bien évidemment) vit malheureusement avec son vieil époux. Elle l'a appris par SMS: elle n'a plus que 5 ans à vivre. Elle va au cirque, se changer les idées. Dans une cage, un gorille. Et là... elle achète le gorille au cirque pour le ramener chez elle. Dans son salon. Et là... le spectateur qui croyait être embarqué dans une comédie sombre mystico-philosophique n'y comprend rien.
Catherine Deneuve au lit avec un gorille.
Ben oui. C'était peut-être sensé être drôle, c'est de l'humour absurde, je sais pas. Mais à ce moment là du film, le spectateur n'est pas trop dans l'ambiance comédie et n'y comprend rien. Ou peut-être que le réalisateur avait un costume de gorille en rab' et voulait à tout prix le caser dans son film. Le film termine bien, la fin est bien kitsch, la fille de Dieu, ses 6 apôtres et le gorille échappent à leur mort programmée et le spectateur sort du cinéma, perplexe, ne sachant toujours pas si il a vu une comédie ou un drame noir. Désorienté, en quête de réponses, pris de fous rires nerveux à l'évocation de la scène du gorille, il rentre chez lui et décide de partager sa confusion sur un forum sur internet.
Voila.
Bon... hum. Je sors tout juste du film, et j'en ai l'esprit un peu brouillé. Je vous explique.
Le film commence comme une comédie: Dieu existe, il habite à Bruxelles, au dernier étage d'un immeuble miteux avec sa femme et sa fille, et passe ses journées à édicter des lois pour rendre la vie des gens plus difficiles... bref, c'est du Poelvoorde, c'est sympa, c'est drôle, c'est léger (même si les moments les plus drôles étaient presque tous dans la bande annonce).
Mais Dieu est tyrannique, Dieu est aussi un mauvais mari et un mauvais père. Suite à une engueulade avec sa fille, celle-ci décide de se venger: elle hack l'ordinateur de Dieu (oui, vu que Dieu dirige le monde depuis son ordinateur) et l'utilise pour envoyer par SMS la date de leur mort à tous les terriens. Et elle s'échappe ensuite dans la ville, avec la ferme conviction d'écrire un Tout Nouveau Testament pour contrer son père, le Dieu si odieux. Mais pour ça, elle doit trouver 6 nouveaux apôtres.
La suite du film nous prend de court, tellement elle tranche avec la comédie qu'on nous a vendue dans la promotion du film. On passe en revue la vie des 6 apôtres, et la façon dont ils ont réagi après l'annonce de la date de leur mort. Des personnages tristes, seuls, sombres: une femme amputée d'un bras qui vit seule, sans amis, méprisée par ses voisins. Un obsédé sexuel frustré, désillusionné, seul. Un soixantenaire, célibataire sans enfants, qui gâche sa vie en faisant un boulot de merde. Un enfant malade, aux parents névrosés. A ce moment là on se dit que ce n'est pas une comédie en fait, que c'est un drame, tellement la vision de notre société qui est dépeinte est sombre et triste. Puis il y a la 6ème apôtre, jouée par Deneuve, qui (bien évidemment) vit malheureusement avec son vieil époux. Elle l'a appris par SMS: elle n'a plus que 5 ans à vivre. Elle va au cirque, se changer les idées. Dans une cage, un gorille. Et là... elle achète le gorille au cirque pour le ramener chez elle. Dans son salon. Et là... le spectateur qui croyait être embarqué dans une comédie sombre mystico-philosophique n'y comprend rien.
Catherine Deneuve au lit avec un gorille.
Ben oui. C'était peut-être sensé être drôle, c'est de l'humour absurde, je sais pas. Mais à ce moment là du film, le spectateur n'est pas trop dans l'ambiance comédie et n'y comprend rien. Ou peut-être que le réalisateur avait un costume de gorille en rab' et voulait à tout prix le caser dans son film. Le film termine bien, la fin est bien kitsch, la fille de Dieu, ses 6 apôtres et le gorille échappent à leur mort programmée et le spectateur sort du cinéma, perplexe, ne sachant toujours pas si il a vu une comédie ou un drame noir. Désorienté, en quête de réponses, pris de fous rires nerveux à l'évocation de la scène du gorille, il rentre chez lui et décide de partager sa confusion sur un forum sur internet.
Voila.
Et il a dit: "Kapoué!"
- Ailyn
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Film très mauvais pour la santé mentale, donc
Courage Dreiyan, peut-être que tu t'en remettras, mais rien qu'à ta façon de raconter, ça fait pas envie , même pour tout le WTF du monde, ça me tente pas plus que ça, mais ton cerveau s'en relèvera, j'en suis sûre .
J'ai fini la rétrospective complète sur la Planète des Singes (tout ce qui est sorti avant Burton quoi) et franchement, même si le dernier film fait flipper tellement ça manque de moyens, il y a plein de choses à retenir de cette saga, et des choses qu'on ne fait plus ou qu'on fait beaucoup moins dans les films de science fiction de maintenant, comme si on n'osait plus...
Courage Dreiyan, peut-être que tu t'en remettras, mais rien qu'à ta façon de raconter, ça fait pas envie , même pour tout le WTF du monde, ça me tente pas plus que ça, mais ton cerveau s'en relèvera, j'en suis sûre .
J'ai fini la rétrospective complète sur la Planète des Singes (tout ce qui est sorti avant Burton quoi) et franchement, même si le dernier film fait flipper tellement ça manque de moyens, il y a plein de choses à retenir de cette saga, et des choses qu'on ne fait plus ou qu'on fait beaucoup moins dans les films de science fiction de maintenant, comme si on n'osait plus...
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Alors oui ce n'est pas le meilleur endroit pour poster cela, mais une histoire racontée sur une scène ou sur un écran reste une histoire .
LA VENUS A LA FOURRURE: Hier j'ai été voir ma première pièce de théâtre dite sérieuse, voir titre ;-).
Le pitch est à priori très simple au début, un metteur en scène vient de terminer des auditions pour l'actrice qui va jouer le rôle principal de la pièce qu'il est en train de monter et est très énervé car elles se sont révélées plus nulles les unes que les autres. Il va partir quand arrive une candidate très en retard. D'abord réticent à l'auditionner, il va finir par lui donner sa chance. L'audition finit par tourner à un débat de point de vue sur la pièce, le livre dont elle est tirée et les relations hommes-femmes.
C'était court (1h25) et ça s'est senti car il n'y a pas beaucoup de temps mort qui ralentisse la pièce. C'est une comédie qui lorgne vers le surréalisme ou l'absurde dans certaines scènes. Marie Gillain est absolument sublime et son interprétation en fait une candidate sérieuse pour les Molières dans un rôle qui n'est pas le genre habituel qu'on lui connaît (Elle assume pleinement sa féminité, il y a 10 ans je ne suis pas sur qu'elle aurait osé jouer ce personnage). On rit, on s'interroge, on sourit j'ai passé une bonne soirée et vu la durée des applaudissements l'assistance en général a apprécié le spectacle.
LA VENUS A LA FOURRURE: Hier j'ai été voir ma première pièce de théâtre dite sérieuse, voir titre ;-).
Le pitch est à priori très simple au début, un metteur en scène vient de terminer des auditions pour l'actrice qui va jouer le rôle principal de la pièce qu'il est en train de monter et est très énervé car elles se sont révélées plus nulles les unes que les autres. Il va partir quand arrive une candidate très en retard. D'abord réticent à l'auditionner, il va finir par lui donner sa chance. L'audition finit par tourner à un débat de point de vue sur la pièce, le livre dont elle est tirée et les relations hommes-femmes.
C'était court (1h25) et ça s'est senti car il n'y a pas beaucoup de temps mort qui ralentisse la pièce. C'est une comédie qui lorgne vers le surréalisme ou l'absurde dans certaines scènes. Marie Gillain est absolument sublime et son interprétation en fait une candidate sérieuse pour les Molières dans un rôle qui n'est pas le genre habituel qu'on lui connaît (Elle assume pleinement sa féminité, il y a 10 ans je ne suis pas sur qu'elle aurait osé jouer ce personnage). On rit, on s'interroge, on sourit j'ai passé une bonne soirée et vu la durée des applaudissements l'assistance en général a apprécié le spectacle.
Auteur des Chroniques des Soeurs du Premier Sang
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
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Dernier film vu:
Automata avec Antonio Banderas.
Le concept du film et son début étaient plutôt prometteurs.... et.... c'est tout...
Le reste n'est malheureusement pas à la hauteur... C'est un genre de I-Robot sans-le-sous....
Et déjà que je trouvais I-Robot creux comme film.. ben là c'est pas mieux...
Le film souffre d'un manque de moyens, d'une mise en scène mollassonne et alors que cela démarrait bien, l'histoire s'engouffre leeeeentemeeeent vers un truc sans queue ni tête...
Les affrontements vers la fin ne sont pas du tout crédibles, aucun rebondissement, tout est très prévisible, les acteurs pas au mieux de leur forme et des flashback qui ne servent strictement à rien...
De plus, le débat sur l'I.A. et la réflexion sur ce qu'est une forme de vie ou non a déjà été abordé maintes et maintes fois... ce film n'apporte vraiment rien de nouveau...
Film très decevant
Automata avec Antonio Banderas.
Le concept du film et son début étaient plutôt prometteurs.... et.... c'est tout...
Le reste n'est malheureusement pas à la hauteur... C'est un genre de I-Robot sans-le-sous....
Et déjà que je trouvais I-Robot creux comme film.. ben là c'est pas mieux...
Le film souffre d'un manque de moyens, d'une mise en scène mollassonne et alors que cela démarrait bien, l'histoire s'engouffre leeeeentemeeeent vers un truc sans queue ni tête...
Les affrontements vers la fin ne sont pas du tout crédibles, aucun rebondissement, tout est très prévisible, les acteurs pas au mieux de leur forme et des flashback qui ne servent strictement à rien...
De plus, le débat sur l'I.A. et la réflexion sur ce qu'est une forme de vie ou non a déjà été abordé maintes et maintes fois... ce film n'apporte vraiment rien de nouveau...
Film très decevant
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Comme le titre l'indique j'ai vu Scouts Guide to the Zombie Apocalypse
Film dans la droite lignée, de Shaun of the Dead, Bienvenue à Zombieland ou encore Tucker et Dale fightent le mal sans pour autant les égaler, il est quand même pas mal drôle.
Certes beaucoup de blagues sont en dessous de la ceinture, et par moment on dirait qu'on regarde une sorte "d' American Pie sous invasion zombie", mais il y a de vraies bonnes trouvailles.
Il y a vraiment des fulgurances et des moments tellement WTF !!!
Sans spoiler je pense, au moment "Britney Spears", ou au trampoline...
C'est pas le film de l'année, mais j'ai bien rigolé en le matant, dans le groupe de films à regarder entre potes.
P.S. Sinon j'ai revu Captain Orgasmo, Sancho est toujours...Sancho !!
Ou Kung Fury qui me fait marrer à chaque fois, mais qui fait prendre conscience que tout ce qu'on a aimé "gamins" ça volait pas très haut
Film dans la droite lignée, de Shaun of the Dead, Bienvenue à Zombieland ou encore Tucker et Dale fightent le mal sans pour autant les égaler, il est quand même pas mal drôle.
Certes beaucoup de blagues sont en dessous de la ceinture, et par moment on dirait qu'on regarde une sorte "d' American Pie sous invasion zombie", mais il y a de vraies bonnes trouvailles.
Il y a vraiment des fulgurances et des moments tellement WTF !!!
Sans spoiler je pense, au moment "Britney Spears", ou au trampoline...
C'est pas le film de l'année, mais j'ai bien rigolé en le matant, dans le groupe de films à regarder entre potes.
P.S. Sinon j'ai revu Captain Orgasmo, Sancho est toujours...Sancho !!
Ou Kung Fury qui me fait marrer à chaque fois, mais qui fait prendre conscience que tout ce qu'on a aimé "gamins" ça volait pas très haut
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Ha oui et j'oubliais de parler de Seul sur Mars avec Matt Damon que j'ai vu il y a quelques temps.
Moins bien que Mission to Mars mais bien mieux que Gravity (enfin selon moi, après je trouve que Gravity était tellement une bouse !!!)
Matt Damon est impeccable, comme à son habitude, et je salue sa transformation physique, qui n'a pas du être simple... (je ne l'avais jamais vu avec la peau sur les os )
Pas mal d'humour, du suspens... tout y est pour en faire un bon film.
Moins bien que Mission to Mars mais bien mieux que Gravity (enfin selon moi, après je trouve que Gravity était tellement une bouse !!!)
Matt Damon est impeccable, comme à son habitude, et je salue sa transformation physique, qui n'a pas du être simple... (je ne l'avais jamais vu avec la peau sur les os )
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Juste une interviewd'Adèle Haenel, double Césarisé (notamment pour Les Combattants, que j'ai personnellement beaucoup aimé et que je vous recommande), une actrice que j'espère qui fera long chemin car elle joue vraiment bien et c'est une personne intelligente et avec des convictions. Je l'ai vue à un festival de cinéma et elle m'avait fait une vraiment bonne impression.
J'avoue que je suis assez surpris que ce soit Madame Figaro qui le fasse, même si je retrouve parfois des articles avec une tonalité assez féministe (ce qui est assez étonnant connaissant le Figaro, mais pas si étonnant quand on sait qu'il y a assez peu de lien finalement entre les deux rédactions, et que c'est plus une preuve du mépris du figaro pour sa contrepartie "magazine féminin" qui permet cette relative liberté qu'autre chose! Mais ceci dit, parfois on retrouve des articles qui relèvent plus de Causette que du Figaro !).
Rien à voir, mais, sinon, je suis allé voir Ce Sentiment de l’Été et The Revenant
Autant je recommande chaudement le premier, autant j'ai trouvé le 2ème lourdingue, assez incroyable, malgré l'acteur principal super bon, et les décors et la photo en général magnifique. C'est LONG. Et surtout, c'est de plus en plus incroyable. Et le bandeau "tiré d'une histoire vraie" n'y change pas grand chose...Au bout de la Xème cascade, blessure mortelle, chute mortelle, embuscade évitée miraculeusement on qu'une envie, que ces presque 3 heures se FINISSENT enfin. J'ai lu je sais plus où que le film était une succession de scènes super léchée. C'est vrai, et c'est un peu ça. Le film accumule les scènes magnifiques, mais globalement, je trouve que ça ne fait pas du film un très bon film, parce qu'il n'y a pas de lien entre elles.
Au sujet du premier film, si vous aimez les films intelligents, ça pourrait vous plaire.
C'est l'histoire d'un mec (Lawrence, un norvégien qui parle super bien Français, Anglais, et...Italien, je crois, aussi, chapeau l'acteur !) dont la copine décède brutalement d'une rupture d'anévrisme (enfin, je pense, c'est jamais dit). Il croise à plusieurs reprises la soeur de la défunte. L'histoire du film est, sur 3 années différentes, dans 3 villes différentes (Berlin, où commence l'histoire, puis Paris et Annecy, puis enfin New York) la vie de ces deux personnages, qui se croisent, s'apprécient.
Le film est tourné en pellicule, et en technicolor, et ça se voit un peu, c'est assez joli, comme image, les couleurs notamment (le film n'a été tourné que durant l'été, et notamment le soir, qui donne une lumière très agréable, et qui accompagne très bien le film)
Je trouve très très bien que
[si vous envisagez de voir le film, peut être vous pouvez passer la fin de mon post même si ça ne change pas grand chose]
- Un film sur le deuil nous épargne les épisodes démonstratifs à l'américaine où on voit les personnages pleurer de manière TRES démonstrative pendant 5 minutes, puis ne l'évoque plus jamais pendant le film. Ici, j'ai trouvé ça vraiment réaliste, car, sans être le centre de l'histoire, la mort de la fille continue de hanter les deux personnages principaux, par petite touche, par épisode, à certains moments précis.
- Un film tournant autour d'un homme et d'une femme et de leur relation qui ne va pas dans la facilité de 99,99% des films où ils finissent ensemble. Oui, oui, ils sont juste amis. Il y a une forme d'ambiguïté qui dure un temps, mais les personnages ont la sagesse de l'éviter.
- Un film qui n'a pas besoin d'expliquer toutes les choses, tous les sous entendus. Globalement, j'aime bien qu'on ne me prenne pas pour un idiot quand je vais au cinéma et qu'on me laisse deviner/réfléchir sur les rapports et pas devoir me taper une scène où les personnages expliquent ce qu'ils ressentent juste pour être sûr que tout le monde a bien compris.
J'avoue que je suis assez surpris que ce soit Madame Figaro qui le fasse, même si je retrouve parfois des articles avec une tonalité assez féministe (ce qui est assez étonnant connaissant le Figaro, mais pas si étonnant quand on sait qu'il y a assez peu de lien finalement entre les deux rédactions, et que c'est plus une preuve du mépris du figaro pour sa contrepartie "magazine féminin" qui permet cette relative liberté qu'autre chose! Mais ceci dit, parfois on retrouve des articles qui relèvent plus de Causette que du Figaro !).
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Autant je recommande chaudement le premier, autant j'ai trouvé le 2ème lourdingue, assez incroyable, malgré l'acteur principal super bon, et les décors et la photo en général magnifique. C'est LONG. Et surtout, c'est de plus en plus incroyable. Et le bandeau "tiré d'une histoire vraie" n'y change pas grand chose...Au bout de la Xème cascade, blessure mortelle, chute mortelle, embuscade évitée miraculeusement on qu'une envie, que ces presque 3 heures se FINISSENT enfin. J'ai lu je sais plus où que le film était une succession de scènes super léchée. C'est vrai, et c'est un peu ça. Le film accumule les scènes magnifiques, mais globalement, je trouve que ça ne fait pas du film un très bon film, parce qu'il n'y a pas de lien entre elles.
Au sujet du premier film, si vous aimez les films intelligents, ça pourrait vous plaire.
C'est l'histoire d'un mec (Lawrence, un norvégien qui parle super bien Français, Anglais, et...Italien, je crois, aussi, chapeau l'acteur !) dont la copine décède brutalement d'une rupture d'anévrisme (enfin, je pense, c'est jamais dit). Il croise à plusieurs reprises la soeur de la défunte. L'histoire du film est, sur 3 années différentes, dans 3 villes différentes (Berlin, où commence l'histoire, puis Paris et Annecy, puis enfin New York) la vie de ces deux personnages, qui se croisent, s'apprécient.
Le film est tourné en pellicule, et en technicolor, et ça se voit un peu, c'est assez joli, comme image, les couleurs notamment (le film n'a été tourné que durant l'été, et notamment le soir, qui donne une lumière très agréable, et qui accompagne très bien le film)
Je trouve très très bien que
[si vous envisagez de voir le film, peut être vous pouvez passer la fin de mon post même si ça ne change pas grand chose]
- Un film sur le deuil nous épargne les épisodes démonstratifs à l'américaine où on voit les personnages pleurer de manière TRES démonstrative pendant 5 minutes, puis ne l'évoque plus jamais pendant le film. Ici, j'ai trouvé ça vraiment réaliste, car, sans être le centre de l'histoire, la mort de la fille continue de hanter les deux personnages principaux, par petite touche, par épisode, à certains moments précis.
- Un film tournant autour d'un homme et d'une femme et de leur relation qui ne va pas dans la facilité de 99,99% des films où ils finissent ensemble. Oui, oui, ils sont juste amis. Il y a une forme d'ambiguïté qui dure un temps, mais les personnages ont la sagesse de l'éviter.
- Un film qui n'a pas besoin d'expliquer toutes les choses, tous les sous entendus. Globalement, j'aime bien qu'on ne me prenne pas pour un idiot quand je vais au cinéma et qu'on me laisse deviner/réfléchir sur les rapports et pas devoir me taper une scène où les personnages expliquent ce qu'ils ressentent juste pour être sûr que tout le monde a bien compris.
"Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit"
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Bon, je dépoussière un peu le topic.
Trick'r treat de Michael Dougherty.
Bon, comme le film ne l'indique pas forcément, c'est un film d'épouvante qui a pour cadre la fête Halloween. En gros le sujet c'est : malheur à ceux qui ne respectent pas les traditions de ce jour particulier car il risque fort de leur arriver des bricoles.
Moi, ce que j'ai adoré dans le film c'est le scénario qui est composé d'une multitude d'histoires qui se croisent et s'entrecroisent tout au long du film. Genre : un gars tue quelqu'un et cache le corps, trois gamins frappent à sa porte, les gamins tendent un piège à une gamine qui croise les protagoniste d'une autre petite histoire ... Ce qu'il y a de sympa est qu'on démarre avec une histoire et on finit par la même histoire.
J'ai bien aussi aimé l'aspect graphique de l'image. ça se présente un peu comme un comics. D'ailleurs, parfois on a des incursions de bande-dessinée dans les images.
Bon, si vous n'aimez pas les films d'épouvante passez votre chemin. Par contre, si c'est un genre qui vous plaît, le film vous ravira.
Trick'r treat de Michael Dougherty.
Bon, comme le film ne l'indique pas forcément, c'est un film d'épouvante qui a pour cadre la fête Halloween. En gros le sujet c'est : malheur à ceux qui ne respectent pas les traditions de ce jour particulier car il risque fort de leur arriver des bricoles.
Moi, ce que j'ai adoré dans le film c'est le scénario qui est composé d'une multitude d'histoires qui se croisent et s'entrecroisent tout au long du film. Genre : un gars tue quelqu'un et cache le corps, trois gamins frappent à sa porte, les gamins tendent un piège à une gamine qui croise les protagoniste d'une autre petite histoire ... Ce qu'il y a de sympa est qu'on démarre avec une histoire et on finit par la même histoire.
J'ai bien aussi aimé l'aspect graphique de l'image. ça se présente un peu comme un comics. D'ailleurs, parfois on a des incursions de bande-dessinée dans les images.
Bon, si vous n'aimez pas les films d'épouvante passez votre chemin. Par contre, si c'est un genre qui vous plaît, le film vous ravira.
Super modératrice (oui, ça pète ) et modératrice de Pillars of Eternity, de la section cinéma et littérature. J'interviens dans cette couleur.
Mon personnage rp : entre ombre et lumière, entre été et hiver : Angèle d'Aulfray, paladine de Tyr.
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Vu hier, sur Arte : Bagdad Café.
Un superbe film sorti en 1987, qui raconte l'histoire d'un café perdu en plein désert du Mojave, dont la propriétaire, Brenda, débordée et un peu déjantée, voit soudain débarquer une bavaroise étrange mais attachante. Jasmin Muenchsttetner, c'est son nom, vient de se disputer avec son mari et se retrouve donc paumée, la valise pleine de vêtements d'homme, vêtue de sa tenue traditionnelle bavaroise, dans ce microcosme un peu absurde et coupé du monde.
Les couleurs sont superbes, un peu saturées. Les plans, du grand art. Le rythme, lent et contemplatif parfois. Le Mojave, beau et désertique, forme un décor passionnant et hors du monde, dont les habitants et l'atmosphère sont traités presque comme un monde post-apo (coucou Fallout New Vegas), alors que tout est parfaitement contemporain (ah, ce look de la fin des années 80, comme je l'aime !). Les acteurs sont excellents, à commencer par nos deux actrices principales, charismatiques en diable. Le tout forme un film atypique, hors du monde, sur la beauté des relations humaines, sur des personnages un peu destroy, un peu étranges, loin de toute société construite, qui apprennent à se découvrir et créer ensemble une humanité fragile.
Et puis, cette chanson originale, si belle, si magnifiquement utilisée. Une seule chanson, un thème lancinant, répété à plusieurs moments du film, et tout y est. Calling you, puisque tel est son nom, fut même nominée pour l'Oscar de la meilleure bande originale, avec raison. Bref, je ne connaissais pas, et je suis bien heureuse d'avoir pu découvrir cette petite perle.
Un superbe film sorti en 1987, qui raconte l'histoire d'un café perdu en plein désert du Mojave, dont la propriétaire, Brenda, débordée et un peu déjantée, voit soudain débarquer une bavaroise étrange mais attachante. Jasmin Muenchsttetner, c'est son nom, vient de se disputer avec son mari et se retrouve donc paumée, la valise pleine de vêtements d'homme, vêtue de sa tenue traditionnelle bavaroise, dans ce microcosme un peu absurde et coupé du monde.
Les couleurs sont superbes, un peu saturées. Les plans, du grand art. Le rythme, lent et contemplatif parfois. Le Mojave, beau et désertique, forme un décor passionnant et hors du monde, dont les habitants et l'atmosphère sont traités presque comme un monde post-apo (coucou Fallout New Vegas), alors que tout est parfaitement contemporain (ah, ce look de la fin des années 80, comme je l'aime !). Les acteurs sont excellents, à commencer par nos deux actrices principales, charismatiques en diable. Le tout forme un film atypique, hors du monde, sur la beauté des relations humaines, sur des personnages un peu destroy, un peu étranges, loin de toute société construite, qui apprennent à se découvrir et créer ensemble une humanité fragile.
Et puis, cette chanson originale, si belle, si magnifiquement utilisée. Une seule chanson, un thème lancinant, répété à plusieurs moments du film, et tout y est. Calling you, puisque tel est son nom, fut même nominée pour l'Oscar de la meilleure bande originale, avec raison. Bref, je ne connaissais pas, et je suis bien heureuse d'avoir pu découvrir cette petite perle.
En RP, Eldrina s'exprime en 3DB220.
Modératrice des sections The Witcher et Divinity, et super-modo à mes heures perdues.
Always look on the bright side of life.
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Au milieu des comics blockbusters qui bourgeonnent ces dernières semaines, je suis allé voir le dernier Shane Black : The Nice Guys, avec Russel Crowe et Ryan Gosling.
C'est une comédie policière réalisée par celui qui a fait l'Arme fatale 1 et 2, le dernier samaritain, Iron man 3... mouais mouais, pas des super films profonds... j'avais néanmoins gardé un bon souvenir de Kiss kiss bang bang.
Russel Crowe fait du Russel Crowe, et Ryan Gosling a pour une fois un rôle avec bien plus de dialogues que dans tous ses précédents films réunis (enfin du moins ceux que j'ai vus). Le synopsys :
Je ne suis pas un adepte des comédies américaines, mais il avait plutôt de bonnes critiques.
C'est une comédie policière réalisée par celui qui a fait l'Arme fatale 1 et 2, le dernier samaritain, Iron man 3... mouais mouais, pas des super films profonds... j'avais néanmoins gardé un bon souvenir de Kiss kiss bang bang.
Russel Crowe fait du Russel Crowe, et Ryan Gosling a pour une fois un rôle avec bien plus de dialogues que dans tous ses précédents films réunis (enfin du moins ceux que j'ai vus). Le synopsys :
fait un peu penser à L.A. confidential niveau enquête à tiroirs. Y'a quelques bonnes trouvailles (comme le coup de la cravate, ou encore le résultat de la plongée de 2 gars par une fenêtre), c'est un film "cool". L'action se situe à la fin des années 70 dont on retrouve la mode, les musiques et peut-être même le Los Angeles de l'époque.Los Angeles. Années 70. Deux détectives privés enquêtent sur le prétendu suicide d’une starlette. Malgré des méthodes pour le moins « originales », leurs investigations vont mettre à jour une conspiration impliquant des personnalités très haut placées…
Je ne suis pas un adepte des comédies américaines, mais il avait plutôt de bonnes critiques.
- Mr Sylvestre
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Ah ouais, j'en ai entendu que des bonnes critiques de ce film, même au masque et la plume, c'est dire.
Suite à la découverte d'un sondage "quels sont vos films préférés avec Kristen Stewart ?", j'ai découvert Sils Maria et Speak, bon, qui m'ont donné envie, parce qu'en vrai elle en a fait plein d'autres.
J'ai donc regardé Sils Maria, un vrai nom de chanson islandaise, voire de groupe islandais, un trio d'actrices époustouflant (Juliette Binoche, Kristen Stewart, Chloé Grace Moritz), les alpes suisses.
En fait ça suffisait, que ce monde prépare la réadaptation d'une pièce de théâtre à l'endroit où elle a été écrite, bof, je sais pas, je m'en fichais un peu. Ça m'a fait penser à Birdman, un mec qui filme la réalisation d'une pièce de théâtre. Ça me passe au-dessus.
Par contre, les alpes suisses, là... là.... non, juste pour les paysages, et puis j'ai bien aimé la musique quand on voit le serpent de brumes et Juliette Binoche qui se casse. Et puis il faut bien admettre que Kristen Stewart est au somment de son art, elle pourrait me parler d'un annuaire téléphonique ou d'une brosse à dent je serais fasciné.
Juliette Binoche s'en tire pas mal, en fait je la considérais pas autant avant de l'avoir vue là-dedans, c'est vrai que c'est un monstre sacré du cinéma. Et puis Chloé Grace Moritz joue les garces, d'ailleurs c'est compliqué quand on écrit son nom d'écrire "grace" et pas garce.
Y a aussi la musique au moment critique du film, là, mais j'en ai déjà parlé. Je sais pas comment retrouver le titre de l'oeuvre.
J'ai vu Warcraft aussi ! Au cinéma, of course. Les spectateurs avaient pas l'air emballés des masses, y avait pas grand monde, mais j'ai beaucoup apprécié. Il reste assez fidèle à l'esprit du premier jeu warcraft, même si il y a de grosses divergences, le scénario a été réécrit, dans ce que je me rappelle.
Le tout tient bien, surtout grâce à Travis Fimmel, aux images et surtout grâce au scénario.
Le côté direct, sauvage des orcs est bien retranscrit, on se prend à les préférer aux humains quelque part. Dommage qu'ils n'aient pas introduit les trolls lanceurs de haches, les gobelins, les ogres à deux têtes, ça aurait été marrant, côté humain on voit un peu les nains et un tout petit les elfes (qui sont vener à la table des négociations), c'était une base de warcraft, l'alliance entre différentes races contre une menace commune, c'est un peu remplacé par le conflit humains/orcs et sa résolution comme si c'était le conflit israëlo-palestinien.
Dans le jeu je me souviens pas exactement pourquoi les orcs envahissaient Azeroth, ils manquaient de territoires, et il y avait aussi le prestige. Mais je crois que c'était Doomhammer le chef indiscuté de la horde. Ce sera peut-être dans le 2, peut-être que je confonds warcraft 1 et 2. Là j'ai l'impression qu'ils ont rajouté cette histoire de "Fel", me souviens pas de ça, les orcs faisaient pas spécialement de prisonniers. Z'étaient là pour se foutre sur la gueule. Bof, ça n'enlève rien, ça n'apporte rien.
J'ai l'impression que les orcs n'étaient pas aussi gros dans le jeu, enfin qu'un fantassin humain était à peu près de la taille d'un grunt orc. Là, loool, ils ont pris des *** de stéroïdes les peaux vertes.
Je croyais aussi que Lothar était le roi d'Azeroth.
Bref, faudrait que je rejoue à warcraft 1, mais ça risquerait de trop me piquer les yeux, et je n'ai pas envie de devenir aveugle. Le film est très bien ! Allez-y
(pouce en haut)
Suite à la découverte d'un sondage "quels sont vos films préférés avec Kristen Stewart ?", j'ai découvert Sils Maria et Speak, bon, qui m'ont donné envie, parce qu'en vrai elle en a fait plein d'autres.
J'ai donc regardé Sils Maria, un vrai nom de chanson islandaise, voire de groupe islandais, un trio d'actrices époustouflant (Juliette Binoche, Kristen Stewart, Chloé Grace Moritz), les alpes suisses.
En fait ça suffisait, que ce monde prépare la réadaptation d'une pièce de théâtre à l'endroit où elle a été écrite, bof, je sais pas, je m'en fichais un peu. Ça m'a fait penser à Birdman, un mec qui filme la réalisation d'une pièce de théâtre. Ça me passe au-dessus.
Par contre, les alpes suisses, là... là.... non, juste pour les paysages, et puis j'ai bien aimé la musique quand on voit le serpent de brumes et Juliette Binoche qui se casse. Et puis il faut bien admettre que Kristen Stewart est au somment de son art, elle pourrait me parler d'un annuaire téléphonique ou d'une brosse à dent je serais fasciné.
Juliette Binoche s'en tire pas mal, en fait je la considérais pas autant avant de l'avoir vue là-dedans, c'est vrai que c'est un monstre sacré du cinéma. Et puis Chloé Grace Moritz joue les garces, d'ailleurs c'est compliqué quand on écrit son nom d'écrire "grace" et pas garce.
Y a aussi la musique au moment critique du film, là, mais j'en ai déjà parlé. Je sais pas comment retrouver le titre de l'oeuvre.
J'ai vu Warcraft aussi ! Au cinéma, of course. Les spectateurs avaient pas l'air emballés des masses, y avait pas grand monde, mais j'ai beaucoup apprécié. Il reste assez fidèle à l'esprit du premier jeu warcraft, même si il y a de grosses divergences, le scénario a été réécrit, dans ce que je me rappelle.
Le tout tient bien, surtout grâce à Travis Fimmel, aux images et surtout grâce au scénario.
Le côté direct, sauvage des orcs est bien retranscrit, on se prend à les préférer aux humains quelque part. Dommage qu'ils n'aient pas introduit les trolls lanceurs de haches, les gobelins, les ogres à deux têtes, ça aurait été marrant, côté humain on voit un peu les nains et un tout petit les elfes (qui sont vener à la table des négociations), c'était une base de warcraft, l'alliance entre différentes races contre une menace commune, c'est un peu remplacé par le conflit humains/orcs et sa résolution comme si c'était le conflit israëlo-palestinien.
Dans le jeu je me souviens pas exactement pourquoi les orcs envahissaient Azeroth, ils manquaient de territoires, et il y avait aussi le prestige. Mais je crois que c'était Doomhammer le chef indiscuté de la horde. Ce sera peut-être dans le 2, peut-être que je confonds warcraft 1 et 2. Là j'ai l'impression qu'ils ont rajouté cette histoire de "Fel", me souviens pas de ça, les orcs faisaient pas spécialement de prisonniers. Z'étaient là pour se foutre sur la gueule. Bof, ça n'enlève rien, ça n'apporte rien.
J'ai l'impression que les orcs n'étaient pas aussi gros dans le jeu, enfin qu'un fantassin humain était à peu près de la taille d'un grunt orc. Là, loool, ils ont pris des *** de stéroïdes les peaux vertes.
Je croyais aussi que Lothar était le roi d'Azeroth.
Bref, faudrait que je rejoue à warcraft 1, mais ça risquerait de trop me piquer les yeux, et je n'ai pas envie de devenir aveugle. Le film est très bien ! Allez-y
(pouce en haut)
"La stratégie la plus dangereuse consiste à enjamber un précipice en deux sauts." Benjamin Disraeli
Allez voir ici si j'y suis, et chantez les louanges du condor, du boxeur, de Cecilia, du gamin à problèmes ou du bébé pilote.
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- Anios
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J'ai encore perdu une belle soirée avec une brochette de gros films nazes.
Warcraft, je l'ai aussi vu. Et j'ai pas aimé. Ca se laisse regardé c'est sûr, mais c'est complètement creux à mes yeux. Personnages inintéressant et très mal ficelés (j'veux dire les changements qu'ils ont fait sont pas géniaux....surtout Garona).
J'ai vu le dernier Ghostbuster. C'est comme Warcraft, c'est mauvais mais ça se laisse regarder (si manger de la daube ne fait pas vomir quoi). Et non, j'osef complet que le casting soit féminin. Contrairement à toute la flame war qu'il y a eût à ce sujet, ça aurait pû être sympa.
Mais le film est mauvais sur tout le reste. Déjà un "remake"...franchement, je n'aime déjà pas beaucoup ça dans les JV, puisqu'il n'y aucune surprise ni de vrai intérêt si on a déjà vu l'original...alors dans les films. C'est encore pire quand l'original est encore et toujours excellent ; du coup, la comparaison est immanquable, et pas en faveur du remake. Les blagues sont fades, peu drôle, le nouveau "générique" immonde, les actrices moyennes...
Bon bah l'histoire, même si différente suit le même principe donc ça, ça va. La technique est bien évidemment bonne ; les effets spéciaux et CGI sont impecc'....Parfois je suis nostalgique de nos vieux animatronics en cartons d'avant...mais bref ! La technique n'est pas en défaut ici, heureusement.
Et...ben c'est tout. Mais juste pour pointer le sexisme que s'est mangé le film....j'ai beaucoup apprécié qu'ils aient retourné le rôle du secrétaire mâle bogoss complètement idiot. Ca change !
Le film aurait sûrement gagné plus d'intérêt en étant un reboot et non un remake.
Enfin dernier film, London Has Fallen.
Encore un film complètement hollywoodien, abrutissant, stéréotypé et "fuck-yeah-"MURICA !". (moi avec le titre je m'attendais à un truc genre 2012 :/ ) Allez je vous la fait à l'américaine ;
l'histoire, c'est un p'tain de hardcore papa héros agent secret bodyguard et copain proche du président américain qui doit sauver le-dit président belle-gueule, qui est le seul à avoir survécu à une attaque meurtrière (quasiment tous les haut placés mondiaux sont mort sauf le -god bless- président américain !) de vilains terroristes à la peau très bronzée, durant un enterrement national. Et pis y à des explosions, des terroristes qui meurt, des flingues partout, des américains blancs corrompus par l'argent qui meurt aussi. Les terroristes sont vachement balèzes en plus, ils ont déjà calculés tous les endroits possible où le président pourrait faire....un hélico d'urgence à 20km de l'attentat ? Pas de problème, ils ont déjà placés en avance un mec avec un RPG sur un toit d'immeuble pile poil à l'endroit où les hélico fuyaient. Malins et partout ces bronzés !
Et pis à la fin, on fait passer un gros message -par le motherfreakin' Morgan Freeman quoi- pour rappeller qu'on est les freakin' USA quoi, on pose nos balloches où on veut, on est les policiers du monde quoi ! C'est nous la justice et la démocratie car "On nous reprochera de s'être mêlée d'affaire qui ne nous regarde pas. C'est peut-être vrai, mais parfois il vaut mieux agir que ne rien faire." (fait un coucou à l'Irak)
Bref, tout cela, à la poubelle.
Warcraft, je l'ai aussi vu. Et j'ai pas aimé. Ca se laisse regardé c'est sûr, mais c'est complètement creux à mes yeux. Personnages inintéressant et très mal ficelés (j'veux dire les changements qu'ils ont fait sont pas géniaux....surtout Garona).
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J'ai vu le dernier Ghostbuster. C'est comme Warcraft, c'est mauvais mais ça se laisse regarder (si manger de la daube ne fait pas vomir quoi). Et non, j'osef complet que le casting soit féminin. Contrairement à toute la flame war qu'il y a eût à ce sujet, ça aurait pû être sympa.
Mais le film est mauvais sur tout le reste. Déjà un "remake"...franchement, je n'aime déjà pas beaucoup ça dans les JV, puisqu'il n'y aucune surprise ni de vrai intérêt si on a déjà vu l'original...alors dans les films. C'est encore pire quand l'original est encore et toujours excellent ; du coup, la comparaison est immanquable, et pas en faveur du remake. Les blagues sont fades, peu drôle, le nouveau "générique" immonde, les actrices moyennes...
Bon bah l'histoire, même si différente suit le même principe donc ça, ça va. La technique est bien évidemment bonne ; les effets spéciaux et CGI sont impecc'....Parfois je suis nostalgique de nos vieux animatronics en cartons d'avant...mais bref ! La technique n'est pas en défaut ici, heureusement.
Et...ben c'est tout. Mais juste pour pointer le sexisme que s'est mangé le film....j'ai beaucoup apprécié qu'ils aient retourné le rôle du secrétaire mâle bogoss complètement idiot. Ca change !
Le film aurait sûrement gagné plus d'intérêt en étant un reboot et non un remake.
Enfin dernier film, London Has Fallen.
Encore un film complètement hollywoodien, abrutissant, stéréotypé et "fuck-yeah-"MURICA !". (moi avec le titre je m'attendais à un truc genre 2012 :/ ) Allez je vous la fait à l'américaine ;
l'histoire, c'est un p'tain de hardcore papa héros agent secret bodyguard et copain proche du président américain qui doit sauver le-dit président belle-gueule, qui est le seul à avoir survécu à une attaque meurtrière (quasiment tous les haut placés mondiaux sont mort sauf le -god bless- président américain !) de vilains terroristes à la peau très bronzée, durant un enterrement national. Et pis y à des explosions, des terroristes qui meurt, des flingues partout, des américains blancs corrompus par l'argent qui meurt aussi. Les terroristes sont vachement balèzes en plus, ils ont déjà calculés tous les endroits possible où le président pourrait faire....un hélico d'urgence à 20km de l'attentat ? Pas de problème, ils ont déjà placés en avance un mec avec un RPG sur un toit d'immeuble pile poil à l'endroit où les hélico fuyaient. Malins et partout ces bronzés !
Et pis à la fin, on fait passer un gros message -par le motherfreakin' Morgan Freeman quoi- pour rappeller qu'on est les freakin' USA quoi, on pose nos balloches où on veut, on est les policiers du monde quoi ! C'est nous la justice et la démocratie car "On nous reprochera de s'être mêlée d'affaire qui ne nous regarde pas. C'est peut-être vrai, mais parfois il vaut mieux agir que ne rien faire." (fait un coucou à l'Irak)
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J'ai le même avis que toi et j'ai même poussé le vice jusqu'à voir ce film au cinéma. :oops: L'idée de départ est intéressante mais tout est tellement téléphoné et peu crédible que je me suis ennuyé ferme et ai vite regretté le prix de mon billet.Anios a écrit :Enfin dernier film, London Has Fallen.
Encore un film complètement hollywoodien, abrutissant, stéréotypé et "fuck-yeah-"MURICA !". (moi avec le titre je m'attendais à un truc genre 2012 :/ ) Allez je vous la fait à l'américaine ;
l'histoire, c'est un p'tain de hardcore papa héros agent secret bodyguard et copain proche du président américain qui doit sauver le-dit président belle-gueule, qui est le seul à avoir survécu à une attaque meurtrière (quasiment tous les haut placés mondiaux sont mort sauf le -god bless- président américain !) de vilains terroristes à la peau très bronzée, durant un enterrement national. Et pis y à des explosions, des terroristes qui meurt, des flingues partout, des américains blancs corrompus par l'argent qui meurt aussi. Les terroristes sont vachement balèzes en plus, ils ont déjà calculés tous les endroits possible où le président pourrait faire....un hélico d'urgence à 20km de l'attentat ? Pas de problème, ils ont déjà placés en avance un mec avec un RPG sur un toit d'immeuble pile poil à l'endroit où les hélico fuyaient. Malins et partout ces bronzés !
Et pis à la fin, on fait passer un gros message -par le motherfreakin' Morgan Freeman quoi- pour rappeller qu'on est les freakin' USA quoi, on pose nos balloches où on veut, on est les policiers du monde quoi ! C'est nous la justice et la démocratie car "On nous reprochera de s'être mêlée d'affaire qui ne nous regarde pas. C'est peut-être vrai, mais parfois il vaut mieux agir que ne rien faire." (fait un coucou à l'Irak)
Bref, tout cela, à la poubelle.
Un meilleur souvenir reste "Il était une fois dans l'Ouest", un western de légende diffusé jeudi soir sur France 3. Il raconte l'arrivée d'un joueur d'harmonica dans une petite ville où une famille vient d'être massacrée. Quel film! Des images magnifiques, des personnages attachants et une ambiance oppressante à souhait. Et puis le regard de Claudia Cardinale justifie le visionnage du film à lui seul. :l:
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LuluBalayette a écrit :J'ai le même avis que toi et j'ai même poussé le vice jusqu'à voir ce film au cinéma. :oops: L'idée de départ est intéressante mais tout est tellement téléphoné et peu crédible que je me suis ennuyé ferme et ai vite regretté le prix de mon billet.
Juste pour info, si vous ne saviez pas, London Has Fallen est la suite de Olympus Has Fallen qui est sorti il y a quelques années à peu près à la même période que "La chute de la Maison blanche" et dont le scénario est quasiment identique au dernier nommé.Anios a écrit : Enfin dernier film, London Has Fallen.
Encore un film complètement hollywoodien, abrutissant, stéréotypé et "fuck-yeah-"MURICA !". (moi avec le titre je m'attendais à un truc genre 2012 :/ ) Allez je vous la fait à l'américaine ;
l'histoire, c'est un p'tain de hardcore papa héros agent secret bodyguard et copain proche du président américain qui doit sauver le-dit président belle-gueule, qui est le seul à avoir survécu à une attaque meurtrière (quasiment tous les haut placés mondiaux sont mort sauf le -god bless- président américain !) de vilains terroristes à la peau très bronzée, durant un enterrement national. Et pis y à des explosions, des terroristes qui meurt, des flingues partout, des américains blancs corrompus par l'argent qui meurt aussi. Les terroristes sont vachement balèzes en plus, ils ont déjà calculés tous les endroits possible où le président pourrait faire....un hélico d'urgence à 20km de l'attentat ? Pas de problème, ils ont déjà placés en avance un mec avec un RPG sur un toit d'immeuble pile poil à l'endroit où les hélico fuyaient. Malins et partout ces bronzés !
Et pis à la fin, on fait passer un gros message -par le motherfreakin' Morgan Freeman quoi- pour rappeller qu'on est les freakin' USA quoi, on pose nos balloches où on veut, on est les policiers du monde quoi ! C'est nous la justice et la démocratie car "On nous reprochera de s'être mêlée d'affaire qui ne nous regarde pas. C'est peut-être vrai, mais parfois il vaut mieux agir que ne rien faire." (fait un coucou à l'Irak)
Bref, tout cela, à la poubelle.
Je n'ai pas vu London Has Fallen, mais je vous crois sur parole, le premier volet ne cassant pas des briques non plus...
Sauf que !!!
L'idée de départ est très bonne, c'est juste mal exploité.
Honnêtement quand j'ai maté Olympus has Fallen, je me disais que c'était le scénario parfait pour Die Hard 5, au lieu de la grosse merde qu'il nous ont pondu...
A la place du Gerard Butler, j'aurais bien vu John Mc Lane,venant à la maison blanche à l'improviste en mode détente, ou alors étant invité pour recevoir une médaille récompensant ses états de services. Puis attaque de la Maison, John bute tous les terroristes et sauve le président, un genre de sortie en beauté...
Ca aurait aussi été un super clin d'oeil sur le fait qu'il se retrouve toujours au mauvais endroit au mauvais moment...
Au lieu de ça, ils ont sorti une demi bouse avec Olympus has Fallen, et ont saccagé la série des Die HARD... la vie n'est pas toujours bien faite...
Vise les yeux Bouh !! VISE LES YEUX !!!
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Cette semaine, je me suis dit "tiens, ça fait très longtemps, si j'allais au cinéma ?"
J'ai regardé ce qui passait, j'ai pleuré un peu, j'ai choisi vaguement au hasard... et donc je suis allée voir Suicide Squad.
Le pitch : après la mort de Superman, tout le monde pleure, et on s'inquiète de savoir si le prochain métahumain qui va débouler sur terre sera un Hitler en puissance ou pas... Alors le gouvernement américain (USA rules, please !) décide de former une Team avec les méchants qu'ils ont coffrés en tôle pour lutter contre... bah euh, en l'occurrence, le terrorisme quoi, puisque toute attaque de métahumain sera considéré comme ça.
On réunit une team de méchant et tiens, super, cool on a besoin d'eux !
Parmi eux, vous trouverez : Deadshot, Harley Quinn, Killer Croc, El Diablo, un gangster australien qui fait joujou avec des boomrangs dont je me souviens pas bien , une espèce de samouraï japonaise du nom de Katana...
Bref, euh, moi c'est DC, je m'attendais, je sais pas moi, à trouver là-dedans Lex Luthor, Poison Ivy, l'Homme Mystère... Mais euh là, il en fut pour mes frais.
Avant de passer à une partie très spoiler, je vous dis simplement. J'y suis allée sans avoir rien vu de l'aspect marketing qui a fait tout un foin sur Internet (ni bande-annonce, ni image, etc.), et dans cet état d'esprit :
- Je ne vais pas voir un vrai film de méchants : à moins d'avoir un Nolan, un Tarantino ou un audacieux aux commandes, c'est impossible avec les conventions hollywoodiennes actuelles.
- Je ne vais pas voir un film logique : après avoir tenté Avenger, et d'autres films de super héros plus ou moins bien ficelés, je savais que la cohérence du récit était impossible à obtenir.
- Surtout, ne pas trop m'attacher au joker de Heath Ledger (que j'ai beaucoup apprécié), ni à celui de Jack Nicholson (que j'ai aimé aussi, et qui arbore un style plus roots, plus années 50, notamment parce que plus ancien) pour le visionnage.
Et heureusement que j'y suis allée dans cet état d'esprit là : ça m'a permis d'apprécier le film comme une débauche d'action et un récit capilotracté à mort. Pas d'attente, pas de déception, et finalement un assez bon moment.
Je détaille un peu plus dans cette seconde partie, et je vous mets des spoilers, histoire que si par hasard vous avez envie d'aller voir (enfin, choisissez peut-être autre chose, ça vous plaira plus...), vous ayez vaguement de la découverte.
Le scénario
Les personnages
Harley Quinn
Et grâce à ça... Le beau moment de gêne du film
Ah oui, du coup, venons en au Joker, j'espère que vous y aller pas pour le voir, parce qu'on doit le voir, tout cumulé à l'écran peut être... je sais pas, 10 min ?
Dans les bonnes choses, je trouve que le récit de l'installation du leadership de Deashot sur l'équipe est plutôt bon. Ca, ça vaut le détour.
Encore dans les bons points (je ne crois pas que c'était une visée du film, mais il me semble que ce doit être souligné), on voit les gardiens qui traitent les détenus comme de la merde, et on éprouve de l'empathie pour eux. Ca peut amener à se poser des questions sur la violence carcérale, ce qui la génère, et éventuellement sur la réinsertion (bah oui, comment dans l'idée on pourrait réinsérer nos super vilains).
Les mauvais points sont malheureusement légions (comme je l'ai souligné dans les spoilers), et l'un d'entre eux loin d'être négligeable est l'humour. Y a quelques trucs qui font rire, mais ça s'arrête là. Le reste pèse une tonne, mais genre tellement lourd que vous vous demandez si vous êtes dans la réalité. Ouai, carrément, ouai.
J'ai appris après l'avoir vu, qu'après le sérieux de Batman VS Super (je savais pas qu'il était "si sérieux" ), ils avaient envie de légèreté pour cet opus. Loupé les gars . Ils ont, paraît-il, modifié une grande partie du film à cette fin. Pas sûre que le film ait gagné au change .
Bref, quand on y regarde de près, y a une impression de gâchis. Comme avec beaucoup de film que l'on voit en ce moment au cinoche.
Quand on y regarde de pas trop près, notamment au premier (et seul visionnage, pour votre santé mentale), ça passe. Dommage que tout ce qu'il y ait à dire ce soit ça.
J'ai regardé ce qui passait, j'ai pleuré un peu, j'ai choisi vaguement au hasard... et donc je suis allée voir Suicide Squad.
Le pitch : après la mort de Superman, tout le monde pleure, et on s'inquiète de savoir si le prochain métahumain qui va débouler sur terre sera un Hitler en puissance ou pas... Alors le gouvernement américain (USA rules, please !) décide de former une Team avec les méchants qu'ils ont coffrés en tôle pour lutter contre... bah euh, en l'occurrence, le terrorisme quoi, puisque toute attaque de métahumain sera considéré comme ça.
On réunit une team de méchant et tiens, super, cool on a besoin d'eux !
Parmi eux, vous trouverez : Deadshot, Harley Quinn, Killer Croc, El Diablo, un gangster australien qui fait joujou avec des boomrangs dont je me souviens pas bien , une espèce de samouraï japonaise du nom de Katana...
Bref, euh, moi c'est DC, je m'attendais, je sais pas moi, à trouver là-dedans Lex Luthor, Poison Ivy, l'Homme Mystère... Mais euh là, il en fut pour mes frais.
Avant de passer à une partie très spoiler, je vous dis simplement. J'y suis allée sans avoir rien vu de l'aspect marketing qui a fait tout un foin sur Internet (ni bande-annonce, ni image, etc.), et dans cet état d'esprit :
- Je ne vais pas voir un vrai film de méchants : à moins d'avoir un Nolan, un Tarantino ou un audacieux aux commandes, c'est impossible avec les conventions hollywoodiennes actuelles.
- Je ne vais pas voir un film logique : après avoir tenté Avenger, et d'autres films de super héros plus ou moins bien ficelés, je savais que la cohérence du récit était impossible à obtenir.
- Surtout, ne pas trop m'attacher au joker de Heath Ledger (que j'ai beaucoup apprécié), ni à celui de Jack Nicholson (que j'ai aimé aussi, et qui arbore un style plus roots, plus années 50, notamment parce que plus ancien) pour le visionnage.
Et heureusement que j'y suis allée dans cet état d'esprit là : ça m'a permis d'apprécier le film comme une débauche d'action et un récit capilotracté à mort. Pas d'attente, pas de déception, et finalement un assez bon moment.
Je détaille un peu plus dans cette seconde partie, et je vous mets des spoilers, histoire que si par hasard vous avez envie d'aller voir (enfin, choisissez peut-être autre chose, ça vous plaira plus...), vous ayez vaguement de la découverte.
Le scénario
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Encore dans les bons points (je ne crois pas que c'était une visée du film, mais il me semble que ce doit être souligné), on voit les gardiens qui traitent les détenus comme de la merde, et on éprouve de l'empathie pour eux. Ca peut amener à se poser des questions sur la violence carcérale, ce qui la génère, et éventuellement sur la réinsertion (bah oui, comment dans l'idée on pourrait réinsérer nos super vilains).
Les mauvais points sont malheureusement légions (comme je l'ai souligné dans les spoilers), et l'un d'entre eux loin d'être négligeable est l'humour. Y a quelques trucs qui font rire, mais ça s'arrête là. Le reste pèse une tonne, mais genre tellement lourd que vous vous demandez si vous êtes dans la réalité. Ouai, carrément, ouai.
J'ai appris après l'avoir vu, qu'après le sérieux de Batman VS Super (je savais pas qu'il était "si sérieux" ), ils avaient envie de légèreté pour cet opus. Loupé les gars . Ils ont, paraît-il, modifié une grande partie du film à cette fin. Pas sûre que le film ait gagné au change .
Bref, quand on y regarde de près, y a une impression de gâchis. Comme avec beaucoup de film que l'on voit en ce moment au cinoche.
Quand on y regarde de pas trop près, notamment au premier (et seul visionnage, pour votre santé mentale), ça passe. Dommage que tout ce qu'il y ait à dire ce soit ça.
RP : Ailyn, ensorceleuse entropiste déjantée. Quête : La morsure du cobra Calimshite
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J'avoue j'ai peur d'aller le voir, ce Suicide Squad...non pas que j'ai des attentes faramineuses, mais globalement j'ai été déçu d'à peu près tous les films de comics depuis le premier Avengers (avec quelques exceptions comme Deadpool, Guardian of Galaxy ou encore Sin City 2). Je verrais bien un jour...
Sinon moi j'ai encore vu de belles bouses en films. Mais aussi des films moins mauvais, voir bon (pour une fois !)
The Door.
Un film que j'ai apprécié. C'est un film d'horreur lambda qui tente de faire du The Ring mais qui au final se base plus sur des jump scar qu'autrechose. Malgré tout, j'aime bien l'ambiance, ça me fait penser à du Wess Craven façon Wishmaster. Plutôt sympa si on en attends rien, en somme.
Le Livre de la Jungle.
Un "live-movie" sur le Livre de la Jungle, l'idée m'a fait peur au début. Ca sentait le full CGI non-stop et j'ai toujours peu apprécié les enfants en perso principal (bien sûr, y a des exceptions. Goonies <3).
Et pourtant le film est réussi je trouve. Evidemment, le full CGI est de mise, mais il s'intègre assez bien au reste "réel". L'acteur qui joue Mowgli est très convaincant (même enfant oblige, il me tape un peu sur le système quoi). L'histoire est bien menée et à part quelques chansons qui piquent, on se replonge bien dans l'univers. Je ne m'attendais pas à passer un bon moment à regarder le film, et pourtant si !
La Tour 2 Contrôle Infernale.
La "suite" du film de Eric&Ramzy ; La Tour Montparnasse. Pas terrible du tout. L'histoire est bien sûr à mettre de côté ; mais ça on s'en fiche un peu, on est surtout là pour la franche rigolade, après tout ! Ouep, ben là non plus c'est mort. C'est rarement drôle, ça tombe souvent à plat et ça part beaucoup plus dans le comique exagéré et irréaliste, là où La Tour Montparnasse faisait dans le comique de situation et était plus drôle à mon goût (avec des passages cultes ).
Les Visiteurs 3.
Vous avez aimé les Bronzés 3 ? Oui ? Alors vous aimerez Les Visiteurs 3. Non ? Alors comme moi, vous détesterez les Visiteurs 3. C'est pareil ! Le film n'est pas drôle ; mais alors vraiment PAS...le seul truc drôle c'est de voir ce film dans la case comédie. Les dialogues sont comme le scénario ; chiant à souhait. Même les acteurs ont à l'impression qu'ils ont été emprisonné durant toute la durée de tournage du film (voir même plus). J'ai même eût pitié de ce pauvre Jean Reno parfois (la scène tous ensemble dans la calèche... ). Je ne parlerais même pas des incohérences de l'histoire, ça serait vouloir donner un bain à Jacquouille.
Si vous pensiez que Les Visiteurs en Amérique était le pire de tous, allez voir ce Visiteurs 3...ça vous fera changer d'avis !
Les Tortues Ninja 2.
Prenez toutes les horreurs du premiers opus et faites encore pire. Voilà, c'est ça le film. C'est toujours moche à regarder (non mais ce design des tortues quoi), blindé de bling-bling, avec un humour au moins aussi bon que celui des Visiteurs 3. Megan Fox ne sert toujours à rien, à part avoir le quota "Bimbo-tais-toi-et-soit-belle" dans tous film produit par M. Bay...mais cette fois elle a aussi un acolyte bogoss qui sert à rien aussi (ah si, faire genre c'est un dieu de la crosse). Vous aimez Schredder ? Arf....dommage pour vous si c'est le cas. Il apparaît un peu plus dans le film là, mais il sert encore plus à rien par contre ! Mais littéralement, à rien. Ca aurait été un random guignol appelé Jean-Marie Konnar, ça aurait été pareil.
Il n'y a que 3 bonnes choses à ce film ; Beebop, Rocksteady, Krang. Punaises yeeeeeeeeeees, enfin on les (re)voit à l'écran ! Et au contraire des tortues, ils sont vachement fidèles au cartoon et bien fichus. Léger bémol quand même, Krang se fait déboîter bien trop facilement. Mais bon, on pardonnera ceci parce que on le voit enfin se battre, et avec presque le Technodrome quoi ! <3
Sinon moi j'ai encore vu de belles bouses en films. Mais aussi des films moins mauvais, voir bon (pour une fois !)
The Door.
Un film que j'ai apprécié. C'est un film d'horreur lambda qui tente de faire du The Ring mais qui au final se base plus sur des jump scar qu'autrechose. Malgré tout, j'aime bien l'ambiance, ça me fait penser à du Wess Craven façon Wishmaster. Plutôt sympa si on en attends rien, en somme.
Le Livre de la Jungle.
Un "live-movie" sur le Livre de la Jungle, l'idée m'a fait peur au début. Ca sentait le full CGI non-stop et j'ai toujours peu apprécié les enfants en perso principal (bien sûr, y a des exceptions. Goonies <3).
Et pourtant le film est réussi je trouve. Evidemment, le full CGI est de mise, mais il s'intègre assez bien au reste "réel". L'acteur qui joue Mowgli est très convaincant (même enfant oblige, il me tape un peu sur le système quoi). L'histoire est bien menée et à part quelques chansons qui piquent, on se replonge bien dans l'univers. Je ne m'attendais pas à passer un bon moment à regarder le film, et pourtant si !
La Tour 2 Contrôle Infernale.
La "suite" du film de Eric&Ramzy ; La Tour Montparnasse. Pas terrible du tout. L'histoire est bien sûr à mettre de côté ; mais ça on s'en fiche un peu, on est surtout là pour la franche rigolade, après tout ! Ouep, ben là non plus c'est mort. C'est rarement drôle, ça tombe souvent à plat et ça part beaucoup plus dans le comique exagéré et irréaliste, là où La Tour Montparnasse faisait dans le comique de situation et était plus drôle à mon goût (avec des passages cultes ).
Les Visiteurs 3.
Vous avez aimé les Bronzés 3 ? Oui ? Alors vous aimerez Les Visiteurs 3. Non ? Alors comme moi, vous détesterez les Visiteurs 3. C'est pareil ! Le film n'est pas drôle ; mais alors vraiment PAS...le seul truc drôle c'est de voir ce film dans la case comédie. Les dialogues sont comme le scénario ; chiant à souhait. Même les acteurs ont à l'impression qu'ils ont été emprisonné durant toute la durée de tournage du film (voir même plus). J'ai même eût pitié de ce pauvre Jean Reno parfois (la scène tous ensemble dans la calèche... ). Je ne parlerais même pas des incohérences de l'histoire, ça serait vouloir donner un bain à Jacquouille.
Si vous pensiez que Les Visiteurs en Amérique était le pire de tous, allez voir ce Visiteurs 3...ça vous fera changer d'avis !
Les Tortues Ninja 2.
Prenez toutes les horreurs du premiers opus et faites encore pire. Voilà, c'est ça le film. C'est toujours moche à regarder (non mais ce design des tortues quoi), blindé de bling-bling, avec un humour au moins aussi bon que celui des Visiteurs 3. Megan Fox ne sert toujours à rien, à part avoir le quota "Bimbo-tais-toi-et-soit-belle" dans tous film produit par M. Bay...mais cette fois elle a aussi un acolyte bogoss qui sert à rien aussi (ah si, faire genre c'est un dieu de la crosse). Vous aimez Schredder ? Arf....dommage pour vous si c'est le cas. Il apparaît un peu plus dans le film là, mais il sert encore plus à rien par contre ! Mais littéralement, à rien. Ca aurait été un random guignol appelé Jean-Marie Konnar, ça aurait été pareil.
Il n'y a que 3 bonnes choses à ce film ; Beebop, Rocksteady, Krang. Punaises yeeeeeeeeeees, enfin on les (re)voit à l'écran ! Et au contraire des tortues, ils sont vachement fidèles au cartoon et bien fichus. Léger bémol quand même, Krang se fait déboîter bien trop facilement. Mais bon, on pardonnera ceci parce que on le voit enfin se battre, et avec presque le Technodrome quoi ! <3
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Purée j'ai été voir aucun des films que vous citez... serais-je trop vieux ?
J'ai trouvé qu'il n'y avait pas grand chose à se mettre sous la dent cet été... surtout quand on part du principe de ne pas aller voir des films français.
J'ai vu coup du coup Nos amis les bêtes (nettement pour les petits) et Le monde de Dory (quelques blagues pour réveiller les grands) ; c'était mignon.
J'ai aussi vu le dernier Jason Bourne... comme les précédents.
Sorti récemment, Comancheria renouvelle un peu le genre du western moderne à la sauce indé. Jeff Bridges s'est largement inspiré du Texas ranger connu à travers tous les Etats-Unis pour illustrer son personnage, et les 2 gredins tiennent plutôt la route dans notre époque. Morale gauchisante (les banques nous ont roulés !), un soleil écrasant, des balles qui sifflent... on peut parfaitement identifier le Texas d'aujourd'hui (j'imagine). Plutôt pas mal, mais je ne lui mettrais pas un 4 comme sur Allociné (faut dire que la moyenne des autres films est scandaleusement haute).
Enfin, je me suis fait violence pour aller voir Un petit boulot, mais c'est pour la bonne cause : Romain Duris est impeccable comme d'hab, et Michel Blanc dans un rôle qui lui va comme un gant.
Une comédie bien dans l'air de notre temps que je vous recommande.
J'ai trouvé qu'il n'y avait pas grand chose à se mettre sous la dent cet été... surtout quand on part du principe de ne pas aller voir des films français.
J'ai vu coup du coup Nos amis les bêtes (nettement pour les petits) et Le monde de Dory (quelques blagues pour réveiller les grands) ; c'était mignon.
J'ai aussi vu le dernier Jason Bourne... comme les précédents.
Sorti récemment, Comancheria renouvelle un peu le genre du western moderne à la sauce indé. Jeff Bridges s'est largement inspiré du Texas ranger connu à travers tous les Etats-Unis pour illustrer son personnage, et les 2 gredins tiennent plutôt la route dans notre époque. Morale gauchisante (les banques nous ont roulés !), un soleil écrasant, des balles qui sifflent... on peut parfaitement identifier le Texas d'aujourd'hui (j'imagine). Plutôt pas mal, mais je ne lui mettrais pas un 4 comme sur Allociné (faut dire que la moyenne des autres films est scandaleusement haute).
Enfin, je me suis fait violence pour aller voir Un petit boulot, mais c'est pour la bonne cause : Romain Duris est impeccable comme d'hab, et Michel Blanc dans un rôle qui lui va comme un gant.
Une comédie bien dans l'air de notre temps que je vous recommande.
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Si ça peut te rassurer, le dernier film que je suis allé voir au cinéma, c'est GreaseGraoumf a écrit :Purée j'ai été voir aucun des films que vous citez... serais-je trop vieux ?
Elzen (mon blog, le Livre d'Argent). Statut : Plus ou moins dispo.
RP : Angus Mivert, barde bricoleur (#3CB371 – ma fiche).
Auteur de la Gigue des Ombres ; initiateur de feu le Projet nBg.
Supercalifragilisticexpialidocious, Kupo !!
RP : Angus Mivert, barde bricoleur (#3CB371 – ma fiche).
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Supercalifragilisticexpialidocious, Kupo !!
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J'ai vu il y a quelques jours "The Witch" (sur l'affiche, le VVitch vient de l'usage en anglais ancien de faire, littéralement, un "double V" pour faire un w)
https://www.youtube.com/watch?v=-BzpEEA ... 6QOsWnuDDJ
Le film se passe en 1630. Une famille, vivant dans une colonie Anglaise du tout début des Etats-Unis, se fait exclure du village d'où ils viv(ai)ent. Ils s'installent dans les bois.
Malheureusement, ce bois est aussi le lieu de vie d'une sorcière...très rapidement, le bébé de la famille est enlevé, et la famille se déchire lentement, sur fond toujours de tension qui va aller jusqu'à la fin.
Que dire sur ce film ? Il a eu des notations très diverses. Les critiques presses ont été très bonnes, les critiques spectateurs assez moyennes. Je pense que le problème de fond vient de son genre, et de son orientation.
C'est CLAIREMENT un film d'auteur et pas un film à grand spectacle (surtout dans ce genre). Dans ce sens, ça n'a STRICTEMENT rien à voir avec des films comme Blair Witch ou Paranormal Activity. Il n'y a pas de "Jump Scares" par exemple. Et je pense que vu comme la bande annonce était mal faite (donnant l'impression qu'il s'agissait d'un film "classique" de sorcière) ça a attiré les mauvaises personnes (pour l'aimer), qui ont dû être assez surprises.
Sur le thème, d'abord. On peut dire en quelque sorte que c'est le film de sorcière le plus réaliste que j'ai vu. Réaliste dans le fantastique, bien sûr. La connaissance de la religion (ici, protestantisme puritain très très fort) est un plus mais non obligatoire. Les notions de mal, de bien, de péché, sont toujours présentes, et quelques notions de religion permettront de mieux comprendre certains dialogues.
Sur l'ambiance. Autant l'ambiance visuelle n'est pas géniale (couleurs assez ternes et grises, qui vont avec le film), les costumes, les intérieures, sont niquels, rien à dire de ce côté là. De plus j'ai beaucoup aimé la mise en scène qui arrive bien à mettre en valeur tout ça.
J'ai beaucoup apprécié également le respect de la langue de l'époque (le voir en VO est un plus, et si vous connaissez bien l'anglais, c'est un vrai régal aussi, c'est tout plein de "Thou canst" et de "Thou wouldst" !).
Une partie de la musique est écoutable ici. C'est un mélange entre des chants anglais de la renaissance, et des pistes franchement flippantes (notamment celleci ou ce genre)
Sur l'histoire. C'est difficile d'en parler, en fait, car le principal ne réside pas dans l'histoire en elle-même, mais de la façon dont elle se déroule. C'est une histoire sur le péché, sur le mal, dans un environnement claustro-phobique.
Je vous le recommande vivement !
J'ai vu il y a quelques temps, dans un genre différent mais lié, un autre film, "The Strangers", un film policier coréen, et fantastique lui aussi. C'est un très bon film, qui fait assez peur, même s'il n'est pas gore. Ce film raconte l'histoire d'un esprit maléfique (ou pas?) qui est arrivé (ou pas?) dans un village, et le mal se répand de manière incompréhensible, des gens qui commettent des assassinats avant de se suicider. Au début, on ne comprend pas comment ça arrive, le film est même assez comique (le réalisateur a l'habitude de peindre des personnages d'idiots, et ce film ne déroge pas !). Mais rapidement, on tombe dans une ambiance de plus en plus noire. Je ne peux/veux pas vous dévoiler l'intrigue, mais c'est un film qui est vraiment un des meilleurs du genre. Au final, tout peut s'expliquer mais si vous ne vous êtes pas accroché pendant, il faut y réfléchir pour donner du sens à tout ça.
Ce que j'aime particulièrement, c'est que le réalisateur n'hésite pas à ne pas donner toutes les réponses, ou ne pas tenir par la main le spectateur (comme un film américain le ferait) en lui surlignant 14 fois le moindre évènement pour être bien sûr qu'il a tout compris. Ici, on ne comprend pas forcément tout dans la 2ème partie du film, et on a le doute sur qui est mauvais, qui ne l'est pas, pendant l'essentiel du film. De plus et comme dans tous les autres films du réalisateur (que je vous recommande : The Chaser et The Murderer deux très bons films), les fins ne sont pas toujours celles qu'on croit ! Et j'aime bien les quelques allusions discrètes à l'Exorciste (même si c'est pour mieux s'en détourner, d'ailleurs).
https://www.youtube.com/watch?v=-BzpEEA ... 6QOsWnuDDJ
Le film se passe en 1630. Une famille, vivant dans une colonie Anglaise du tout début des Etats-Unis, se fait exclure du village d'où ils viv(ai)ent. Ils s'installent dans les bois.
Malheureusement, ce bois est aussi le lieu de vie d'une sorcière...très rapidement, le bébé de la famille est enlevé, et la famille se déchire lentement, sur fond toujours de tension qui va aller jusqu'à la fin.
Que dire sur ce film ? Il a eu des notations très diverses. Les critiques presses ont été très bonnes, les critiques spectateurs assez moyennes. Je pense que le problème de fond vient de son genre, et de son orientation.
C'est CLAIREMENT un film d'auteur et pas un film à grand spectacle (surtout dans ce genre). Dans ce sens, ça n'a STRICTEMENT rien à voir avec des films comme Blair Witch ou Paranormal Activity. Il n'y a pas de "Jump Scares" par exemple. Et je pense que vu comme la bande annonce était mal faite (donnant l'impression qu'il s'agissait d'un film "classique" de sorcière) ça a attiré les mauvaises personnes (pour l'aimer), qui ont dû être assez surprises.
Sur le thème, d'abord. On peut dire en quelque sorte que c'est le film de sorcière le plus réaliste que j'ai vu. Réaliste dans le fantastique, bien sûr. La connaissance de la religion (ici, protestantisme puritain très très fort) est un plus mais non obligatoire. Les notions de mal, de bien, de péché, sont toujours présentes, et quelques notions de religion permettront de mieux comprendre certains dialogues.
Sur l'ambiance. Autant l'ambiance visuelle n'est pas géniale (couleurs assez ternes et grises, qui vont avec le film), les costumes, les intérieures, sont niquels, rien à dire de ce côté là. De plus j'ai beaucoup aimé la mise en scène qui arrive bien à mettre en valeur tout ça.
J'ai beaucoup apprécié également le respect de la langue de l'époque (le voir en VO est un plus, et si vous connaissez bien l'anglais, c'est un vrai régal aussi, c'est tout plein de "Thou canst" et de "Thou wouldst" !).
Une partie de la musique est écoutable ici. C'est un mélange entre des chants anglais de la renaissance, et des pistes franchement flippantes (notamment celleci ou ce genre)
Sur l'histoire. C'est difficile d'en parler, en fait, car le principal ne réside pas dans l'histoire en elle-même, mais de la façon dont elle se déroule. C'est une histoire sur le péché, sur le mal, dans un environnement claustro-phobique.
Je vous le recommande vivement !
J'ai vu il y a quelques temps, dans un genre différent mais lié, un autre film, "The Strangers", un film policier coréen, et fantastique lui aussi. C'est un très bon film, qui fait assez peur, même s'il n'est pas gore. Ce film raconte l'histoire d'un esprit maléfique (ou pas?) qui est arrivé (ou pas?) dans un village, et le mal se répand de manière incompréhensible, des gens qui commettent des assassinats avant de se suicider. Au début, on ne comprend pas comment ça arrive, le film est même assez comique (le réalisateur a l'habitude de peindre des personnages d'idiots, et ce film ne déroge pas !). Mais rapidement, on tombe dans une ambiance de plus en plus noire. Je ne peux/veux pas vous dévoiler l'intrigue, mais c'est un film qui est vraiment un des meilleurs du genre. Au final, tout peut s'expliquer mais si vous ne vous êtes pas accroché pendant, il faut y réfléchir pour donner du sens à tout ça.
Ce que j'aime particulièrement, c'est que le réalisateur n'hésite pas à ne pas donner toutes les réponses, ou ne pas tenir par la main le spectateur (comme un film américain le ferait) en lui surlignant 14 fois le moindre évènement pour être bien sûr qu'il a tout compris. Ici, on ne comprend pas forcément tout dans la 2ème partie du film, et on a le doute sur qui est mauvais, qui ne l'est pas, pendant l'essentiel du film. De plus et comme dans tous les autres films du réalisateur (que je vous recommande : The Chaser et The Murderer deux très bons films), les fins ne sont pas toujours celles qu'on croit ! Et j'aime bien les quelques allusions discrètes à l'Exorciste (même si c'est pour mieux s'en détourner, d'ailleurs).
"Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit"
Molière - Don Juan -
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Donc The descent (partie un et deux) : C'est le film qui non seulement te fait sursauter mais fait aussi sursauter la personne qui ne regarde pas le film et qui est tranquillement en train de jouer aux jeux vidéos à coté de toi ... J'ai testé ... Donc un groupe de copines (dont une a un passé traumatisant) va faire de la spéléo dans le massif des Appalaches. On nous les présente sadiquement pendant quarante minutes environ pour qu'on s'attache à elle ou tout du moins pour qu'on se sente concerné par ce qui leur arrive et puis, elles descendent dans la grotte. Le truc, c'est que celle qui était supposé les guider a choisi une grotte qu'elle ne connaît pas pour avoir la primeur de la découverte et surtout que des créatures se cachent dans le noir ... Le film est bien flippant. Très souvent, on se surprend à retenir son souffle pour sursauter la seconde d'après. La deuxième partie reprend là où le premier film s'était arrêté. On a moins l'effet de surprise mais il reste toujours l'angoisse. Par contre, faites gaffe, c'est tout de même un peu gore à des moments. Claustrophobes s'abstenir.
Et Grabbers ... Une petite île au large de l'Irlande, de la musique irlandaise, un pub, de la bière (de la Guiness ?), une petite communauté vieillissante et puis ... un monstre ! Bon, le monstre n'était pas exactement prévu au tableau. Il est gros, moche et a des tentacules mais surtout, il a les crocs (au sens propre comme au figuré d'ailleurs). Le truc, c'est qu'il est allergique à l'alcool. Voici donc la petite communauté retranchée dans le pub et obligée de ... boire pour survivre. Bon, Grabbers c'est avant tout une comédie à l'image de Shaun of the dead ou Tucker and dale fightent le mal. Il y a tout de même quelques petit moments où on sursaute comme il faut (pour ma part, j'ai bondi en criant à un moment ). Les attaques du monstres sont assez originales. Mention spéciale pour le pauvre personnage qui est littéralement éjecté du film (vous verrez). Les acteurs sont bons et ont l'air de croire à ce qui arrive à leurs personnages. Parmi eux, il y a quelques têtes connues que j'ai eu plaisir à revoir. Enfin voilà ... Tout ça pour vous dire que si vous aimez la guiness ... Enfin, si vous aimez les films qui parlent de guiness ...et de monstres. Grabbers est fait pour vous.
Et Grabbers ... Une petite île au large de l'Irlande, de la musique irlandaise, un pub, de la bière (de la Guiness ?), une petite communauté vieillissante et puis ... un monstre ! Bon, le monstre n'était pas exactement prévu au tableau. Il est gros, moche et a des tentacules mais surtout, il a les crocs (au sens propre comme au figuré d'ailleurs). Le truc, c'est qu'il est allergique à l'alcool. Voici donc la petite communauté retranchée dans le pub et obligée de ... boire pour survivre. Bon, Grabbers c'est avant tout une comédie à l'image de Shaun of the dead ou Tucker and dale fightent le mal. Il y a tout de même quelques petit moments où on sursaute comme il faut (pour ma part, j'ai bondi en criant à un moment ). Les attaques du monstres sont assez originales. Mention spéciale pour le pauvre personnage qui est littéralement éjecté du film (vous verrez). Les acteurs sont bons et ont l'air de croire à ce qui arrive à leurs personnages. Parmi eux, il y a quelques têtes connues que j'ai eu plaisir à revoir. Enfin voilà ... Tout ça pour vous dire que si vous aimez la guiness ... Enfin, si vous aimez les films qui parlent de guiness ...et de monstres. Grabbers est fait pour vous.
Super modératrice (oui, ça pète ) et modératrice de Pillars of Eternity, de la section cinéma et littérature. J'interviens dans cette couleur.
Mon personnage rp : entre ombre et lumière, entre été et hiver : Angèle d'Aulfray, paladine de Tyr.
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Identity de James Mangold. Bon, quand je prononce le titre ça sonne un peu comme "Hyde and Titi" donc c'est beaucoup mieux à l'écrit. Donc en gros c'est l'histoire de huit personnes qui se retrouvent coincées ensemble dans un hôtel un soir d'orage pendant que des inondations leur coupent toute retraite. L'un d'entre eux est assassiné, puis un autre ...
Vu comme ça, c'est un peu comme les Dix petits nègres mais ce serait limiter quelque peu le scénario qui m'a tenu en haleine et qui m'a beaucoup plu. Une chouette réussite, donc.
Vu comme ça, c'est un peu comme les Dix petits nègres mais ce serait limiter quelque peu le scénario qui m'a tenu en haleine et qui m'a beaucoup plu. Une chouette réussite, donc.
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J'ai été voir Miss Peregrine et les Enfants Particuliers, avec ma maman et ma fille, grandes fans, l'une et l'autre, du roman original.
J'ai bien accroché. Très joli esthétiquement, burtonien sans l'être trop, un très bon moment inter-générationnel Heureusement qu'il y a encore quelques films pas trop dégueus, qu'on peut partager en famille... Après, on peut pinailler sur les failles du scénario, mais en ce qui me concerne, ça n'a en rien gâché mon plaisir.
J'ai bien accroché. Très joli esthétiquement, burtonien sans l'être trop, un très bon moment inter-générationnel Heureusement qu'il y a encore quelques films pas trop dégueus, qu'on peut partager en famille... Après, on peut pinailler sur les failles du scénario, mais en ce qui me concerne, ça n'a en rien gâché mon plaisir.
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