[Lieu-dit] Les ruelles des Bas Quartiers

[Aramus Korvin]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Une pointe de lame l'avait touché au flanc droit,Ayant passé entre les plaques de sa lourde armure...heureusement qu'il portait sa chemise de cuir renforcée mais néanmoins il sentit clairement la lame le piquer...un peu plus de force et c'était sur que la lame allait passer...Aramus lâcha un grognement de douleur....La douleur est une illusion des sens...C'était a quoi il pensait et s'accrochait alors que pleuvait coups de bâton et poignards...D'autres manants tombaient sous les répliques guère précises du croisé mais privé de la vue...Ce dernier ne parvenait pas a conserver sa ligne défensive...Et le voici dos au mur...Au sens propre comme au figuré...Il avait pourtant juré que la porte se trouvait derrière lui...Il a du légérement dévié quand il a reculé....Et voila que le Cyrite se remets a incanter...Il va falloir jouer le tout pour le tout,Ne serais que pour s'échapper momentanément!Aramus fit quelques pas de côté vers la gauche en espérant que la porte se trouve vers le côté gauche...au pire...Il se défendra comme il le pourra...Mais ayant le dos au mur cela ne peut que l'aider!

(HRP: Je crois pas avoir d'autres sorts disponibles,Aramus étant mon premier palouf en V5. )

[Le Façonneur]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

La gauche donc... Aramus, collé au mur, commença à se rendre dans cette direction. Sa botte butta contre une pierre, ce qui ne l’aidait guère à se faire une idée s’il était ou non sur la bonne voie. Il était loin d’avoir mémorisé chaque détail du décor et une bonne partie de sa concentration était dévolue à rester en vie.
Autour de lui, des cris, des coups. Dans le tumulte, cependant, il lui sembla discerner une voix l’apostropher. Elle n’était qu’un murmure et pourtant, il la comprit.

« Par ici ! Sur votre droite ! »

À cet instant, Antonin acheva son nouveau sort et le croisé ressenti une douleur traverser son corps, le tout accompagné par un crépitement de mauvaise augure. Sans doute venait-il d’être la cible d’une attaque magique. Il était encore sur pieds mais impossible de nier que le combat était très mal engagé.

[Aramus Korvin]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Une vive douleur s'empara de son corps...Un sortilège de foudre?Il ne pouvait être certain...Tant la douleur était présente et tant les coups continuaient de pleuvoir...Néanmoins une voix l'appela..D'ou exactement il ne pouvait le dire,mais cette voix l'incitait a se diriger vers la droite...Le combat était bien mal engagé de toute manière et il devait se replier...Alors il fit ce qui lui dit la voix...Faire des pas de côté sur la droite...Il devait parvenir a la porte...Et a se replier...Il n'aurait de toute façon pas d'autre chance...Et cela il s'en doutait clairement...Aramus aurait bien du mal a supporter une autre attaque magique!

[Le Façonneur]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Fort heureusement, la voix s’avéra être de bon conseil car Aramus devina bientôt un passage dans son dos. La porte, enfin !
Un petit décalage avait failli lui coûter la vie. Cela dit, il n’était pas encore sorti d’affaire.
La horde de fanatiques ne désiraient pas qu’il s’en aille. Les coups pleuvaient toujours. Certains faisaient mouches. Le croisé sentait pesé sur lui le poids de sa propre armure. Il dépensait une énergie folle pour tenter de compenser la perte de vision.

Il batailla donc encore alors qu’Antonin, bien tranquille derrière ses marionnettes, avaient tout le loisir de préparer un troisième sort.
Enfin, le passage se libéra, un peu plus vite même que ne l’espérait Aramus. Avait-il joué de chance ? Ou était-on encore en train de l’aider ? Il parvint à s’engager dans le bâtiment. Devinant aucune menace dans son dos, sa défense s’en retrouva plus aisée. Il marchait sur un cadavre. Son épée à deux mains sifflaient dans l’air. Des cris s’élevaient, du sang giclaient.
« Suivez-moi, murmura encore la voix. Vous ne vaincrez pas cette nuit. »
Ce fut cet instant que choisi la vision du croisé pour revenir. L’aveuglement magique prenait fin.

[Aramus Korvin]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Avant de suivre son "bienfaiteur"...Barricader autant que faire se peut la porte!!Gagner un peu de temps et retarder leurs poursuivants...C'est ce que mis a faire le croisé après que le sortilège de cécité se soit enfin dissipé...Il était temps..Le clerc Cyrite s'en tirait a bon compte pour cette fois...La prochaine fois,Le croisé compte bien lui rendre gorge...Mais sur un tout autre terrain...Une fois la porte Barricadée,Aramus regardait tout au tour de lui pour essayer d'apercevoir son bienfaiteur du soir...

(HRP: Une barricade de fortune sur la porte,Bout de bois qui traine...Cadavre,Tout moyen est bon avant de prendre la fuite. )

[Le Façonneur]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

« Ne perdez pas trop de temps avec cette porte, fit la voix, plus tangible, plus concrète, dans le dos du croisé. Ils peuvent passer par la ruelle. »
Contre la porte, déjà les coups se multipliaient. Sans la barricade de fortune dressée en toute hâte par Aramus, elle aurait déjà cédé. Mais même ainsi renforcée, ce n’était qu’une question de secondes avant qu’elle ne laisse passer une horde de fous furieux.
Dehors, un son étrange parvint à passer le tumulte des voix. Antonin devait avoir achevé un nouveau sortilège.
En se retournant, Aramus aperçut une silhouette derrière lui, un homme apparemment, drapé dans un manteau, tenant une épée longue. La posture droite, il semblait néanmoins stressé. Il fit un geste vers la sortie du bâtiment.
« Il est temps de disparaître, si vous voulez voir le soleil se lever. »
Sur ce, l’inconnu tourna les talons et suivit ses propres conseils en se dirigeant vers l’avant du bâtiment.

[Aramus Korvin]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]


Le bienfaiteur n'avait guère tort....Ils pouvaient également passés par la ruelle mais fanatisés...un bon nombre d'entre eux se seront sans doute agglutinés autour de la porte pour la réduire en copeaux...Toujours était t'il qu'Aramus suivit aussi vite qu'il le pouvait son sauveur d'un soir...Essayant d'échapper a la foule de cultistes...

[Le Façonneur]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

L’inconnu se mouvait avec aisance et discrétion, tout le contraire d’Aramus qui pouvait difficilement passer inaperçu avec ses pas pesants, son essoufflement et le cliquetis de son armure malmenée par le combat. Il n’avait pas encore rejoint la rue qu’il entendait la porte craquer et une horde se déverser dans la bâtisse en ruine.
La voix mauvaise d’Antonin l’accompagnait :
« 25 pièces d’or à celui qui me le ramène ! Il me le faut, bougez-vous, c’est le Soleil Noir qui l’ordonne ! »
Voilà le croisé dans la rue. Quelques gueux avaient eu la présence d’esprit de passer par la ruelle. L’inconnu s’opposa à eux, ôtant des vies avec une précision fébrile. Ce n’était pas un expert de l’escrime, mais au moins savait-il se battre. De sa main libre il désigna le bout de la rue.
« Partez ! Je vous retrouverais à l’Auberge des Charognards ! »

[Aramus Korvin]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

L'étrange homme se déplaçait avec rapidité et aisance et si il n'était pas un escrimeur fort talentueux,Il était néanmoins capable de s'en sortir honorablement façe a plusiers bouseux fanatisés...Mais le bruit de la porte barricadée entrain de céder et les injonctions du prêtre cyrite rappelait au croisé sa situation des plus précaires...Il lui fallait fuir...

"Partez!Je vous retrouverais a l'auberge des charognards!"

Déclara l'homme en pointant du doigt le fond de la ruelle...Et le croisé ne se fit pas prier...il se mit a courir aussi vite qu'il le pouvait,Bien que fourbu a travers la ruelle...Malheureusement l'obscurité n'aidait pas a se diriger dans la ruelle...C'est dans une telle situation qu'Aramus enviait clairement les demi humains....Tout en essayant de trouver son chemin pour l'auberge des charognards...

[Le Façonneur]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Aramus fut happé par la malsaine obscurité des bas-fonds. Sous ses lourdes bottes, la fange clapotait. Derrière lui, les bruits de combat s’éloignaient. Il y eut des cris, des courses, mais les ruelles tortueuses aimaient distordre les perceptions.
Où se trouvait l’auberge des Charognards ? Était-on en train de le poursuivre ?

HRP : fais-moi un jet de dé 20, stp. :diable :

[Aramus Korvin]

(HRP: Ouuuuuuh le joli fumble,1 T T)

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Aramus courait aussi vite qu'il le pouvait...Mais dans l'obscurité...Il était même pas certain de trouver son chemin...Il pouvait très bien se perdre...Sans parler d'avoir peut-être toute une horde de cultistes sur le dos...Il essayait de rester autant que possible,Alerte et en mouvement...Et ce malgré être dans une obscurité quasi complète...

[Le Façonneur]

HRP : bon ben...

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Devant Aramus, les ruelles s’enchainaient. Il devait tourner au gré de leur angoissante fantaisie et, le noir aidant, elles donnèrent vite l’impression d’être un inextricable dédale. Le croisé eut tôt fait d’être désorienté. Courait-il seulement encore dans la bonne direction ?
Le seul point positif, c’était qu’il semblait avoir distancé ses éventuels poursuivants. Le coup de main de l’inconnu avait décidément été salvateur.
Mais voilà qu’Aramus débouchait dans une impasse. La lueur d’une lanterne l’ébloui. Une voix rocailleuse et menaçante s’éleva :

« Mais c’est qui, celui-là ? »

Le croisé finit par distinguer trois personnes. La première était allongée dans la boue, dans une flaque de sang, et poussait des râles d’agonie. La deuxième était un petit bossu. C’était lui qui tenait la lanterne. Impossible de voir son visage sous le capuchon qui le masquait. La troisième était un géant de plus de deux mètres. Massif, musculeux, il portait une armure lourde et une énorme hache à deux mains.

« Le boss a dit pas de témoins. Butte-le ! » glapit le bossu.

[Aramus Korvin]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Soit Dame Bashaba avait décidée de s'amuser des problèmes déjà importants du croisé bainite...Soit dans l'obscurité il s'est tout simplement perdu et il a pris le mauvais chemin...hélas...deux hommes étaient entrain d'en tuer un autre...Un bossu et surtout un homme quasi aussi imposant que lui armé d'une hache a deux mains des plus imposantes et lourde....Aramus se doutait qu'il ne pourrait fuir cet affrontement...Tout ce qu'il espérait c'était que la meute ne l'attraperait pas au tournant...Ce fût ses pensées alors qu'il se mit en garde prêt a croiser le fer avec son adversaire....

[Le Façonneur]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Le colosse en armure toisa le croisé avec intérêt. Un instant plus tôt, il semblait passablement s’ennuyer. Le mourant n’avait clairement pas son gabarie, sans doute n’avait-il pas pu opposer une vraie résistance. En revanche, ce nouveau venu inattendu n’était apparemment pas fait du même bois. Tant mieux ! Pour quelqu’un qui, visiblement, adorait se battre, la vision qu’offrait Aramus avait de quoi enthousiasmer.
Le colosse s’approcha, brandit sa hache...
« Amuse-moi ! » rugit-il.
Et il frappa.
Le croisé réalisa alors qu’il avait affaire à quelqu’un d’extrêmement fort physiquement, mais également expérimenté. Si le croisé avait été en pleine forme, ce colosse aurait déjà été un redoutable adversaire. Or présentement, à cause de la fatigue, le duel s’annonçait difficile, pour le moins, et sans compter une éventuelle intervention du bossu.

[Aramus Korvin]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Immédiatement Aramus tenta d'esquiver le coup de son adversaire pour contre attaquer dès que cela serait possible...Le croisé transpirait fortement...Il était fourbu et affaibli par les attaques magiques du Cyrite auparavant...Et impossible de savoir si le bossu allait rester passif ou si il allait lui aussi entrer dans cette danse macabre...

Il était néanmoins sur d'une chose: C'est qu'il devait abréger et remporter rapidement le combat si il voulait s'en sortir!

[Le Façonneur]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

La contre-attaque d’Aramus mourut contre la lame de la hache venue s’interposer. Parer avec une hache n’était pas l’exercice le plus aisé qui soit, mais le colosse n’était définitivement pas un amateur. Déjà il manœuvrait pour se dégager. Un pas latéral et voilà une frappe circulaire aussi puissante que précise. Le croisé put la dévier avec son épée, mais le choc le fit reculer.
Pendant ce temps, le bossu avait sortit un long poignard, mais il hésitait à aller au contact. Pourtant, il lui aurait été facile de prendre Aramus en tenaille. Il s’était mis à l’observer. Et finalement, il demanda :
« Depuis quand le clergé de Baine s’occupe-t-il des affaires courantes des bas-fonds ? »

[Aramus Korvin]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

"Le clergé de Baine n'a pas de comptes a rendre a qui que ce soit...bossu,Je ne vous cherchais nullement querelle...*Souffle,essaye de reprendre sa respiration.*Mais puisque vous m'avez pris pour un ennemi eh bien soit...Continuons donc ce ballet mortuaire si telle est la chose que vous souhaitez... même si...*respire.*Tu aurais pris part a ce combat depuis déja un moment je me trompe?"

Répondit un Aramus néanmoins prêt a se défendre en cas de nouvelle attaque du colosse...Malgré tout le bossu voulait savoir ce que fessait le croisé Bainite dans les parages et ce dernier fit en sorte de ne trop en dire...qui c'est si ce n'était pas des Cyrites?Il avait bien assez de problèmes comme ça....

[Le Façonneur]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

« Par Beshaba ! s’écria le bossu. Cher confrère, mon petit doigt me dit que notre ami dans sa belle armure noire est arrivé là par le plus grand des hasard.
- Et ça change quoi ? demanda le colosse qui envoya un nouveau coup de hache à Aramus, coup paré non sans difficulté.
- Je ne sais pas, moi, le clergé de Baine pourrait être reconnaissant qu’on ne d’essime pas ses effectifs.
- Le patron a dit : pas de témoins !
- Mais il ne connaît même pas notre cible ! Je me trompe ? »

[Aramus Korvin]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]


"Je ne crois pas avoir la même cible que vous...Et j'ai déja mes propres problèmes...Alors?Continuons a nous battre ou chacun part de son côté de façon digne?"

Répondit Aramus qui ne voyait pas de quoi les deux compères parlaient...cela serait le plus grand des hasards si eux aussi cherchaient a prendre la vie du Cyrite...Et si c'était le cas...peut-être pouvaient t'ils se rendre utiles?...même si Aramus n'était pas habitué a agir avec la ruse et de façon détourné...Pour le cas du Cyrite...il serait prêt a jouer au même jeu que ce dernier...A grand regret...Mais la fin justifie parfois les moyens....

[Le Façonneur]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Le bossu entreprit de se curer les dents avec sa courte lame. Une manière fort peu élégante qui semblait être chez lui un tic illustrant une intense réflexion. Pendant ce temps, son compère, bien plus décidé, poursuivait un duel qui, s’il se prolongeait de trop, pourrait vraiment mal se terminer pour Aramus. Trop fatigué, le croisé ne pouvait plus que se défendre contre ce colosse en armure et aux dons de guerrier indéniables.
« C’est ennuyeux, dit finalement le bossu. Moi, enfin nous, dans l’absolu, on serait pas contre vous laisser partir. Après tout, chacun sa route. Mais... on nous a dit pas de témoin. Or, vous êtes un témoin. Notre boss, il est pas cool lorsqu’on lui désobéit. D’un autre côté, se mettre à dos l’église de Baine, est-ce bien prudent ? Mais, me direz-vous, comment pourrait-elle apprendre ce qui s’est passé, ici ? On pourrait très bien vous tuer, se faire une fortune en vendant votre équipement. Vous auriez des arguments pour nous convaincre du contraire ? »
Aramus avait à faire à des assassins crapuleux qui devaient chercher à tirer profit de la situation. Après tout, ils étaient en position de force, c’était la loi des bas-fonds.

[Aramus Korvin]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

"Peut-être,Du moins pour vous en tout cas...Vous êtes effectivement en position de force et moi de faiblesse,Hors...Si il y a bien une chose qui caractérisent mes coreligionnaires...C'est de n'avoir qu'une parôle en bien ou en mal...Je vous propose donc la chose suivante:Une forme de"Protectorat." de mon église...Et également a rencontrer votre chef,Il peut y gagner lui aussi...Surtout si ses ennemis ont aussi un mécène qui les protègent ou du moins les aident en cas de problèmes n'est ce pas,Chose qui arrive dans les guerres de l'ombre je me trompe?Seulement vous aurez un sur qui vous pourrez compter si jamais les choses tournent mal,Qu'en dites vous?vous avez plus a y gagner que moi de toute manière...Seulement je vous propose une chose qui peut s'avérer profitable sur le long terme,Aussi bien pour vous que votre chef,Surtout si ses affaires ne se déroulent pas comme il le souhaiterait..Avoir des guerriers bainites comme moi peut s'avérer utile quand on désire faire un exemple de ses ennemis....Et nul besoin que mon église soit au courant de vos petites affaires...cela ne les intéresseraient en rien ou alors bien peu..Comme je le suis actuellement."

Déclara un Aramus fourbu au duo...De toute manière il y jouait la sa dernière carte dans son gantelet de toute manière...Il ne pourrait pas continuer ainsi...Son adversaire était bien plus frais que lui et surtout pas bléssé...En temps normal ça serait un duel des plus rudes...Mais la...Le croisé bainite sait que la mort rôde très prêt et qu'au pire il ne fera que retarder l'inévitable...

(HRP: Bon ben p'tit marché qui peut servir le duo comme leur boss,Avoir un "protecteur" dans les hautes sphères...Les bainites sont du genre a accorder leur aide a bien des organisations...tant que ça les aident dans leurs buts:En gros savater du Cyrite...Tenir en lèse les autres religions...Le tout sur le très long terme...En gros aider une guide de voleurs ça va pas les emmerder...Surtout si ces derniers sont en mauvaise passe Et ou luttent contre une guilde rivale un brin trop puissante.)

[Le Façonneur]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Le bossu fit un geste à l’intention du colosse. Ce dernier marqua une hésitation, puis d’une manœuvre fort bien exécutée, se désengagea du corps à corps. Il se teint encore sur ses gardes cependant, anticipant un coup bas.
Déjà le bossu se frottait les mains, sa dague ayant disparût dans les plis de son manteau.
« Intéressant ! Très intéressant ! Je suppose que notre boss sera ravi. Laisser partir un témoins, c’est embarrassant. Laisser partir un associé, c’est du bon sens. Pouvons-nous connaître votre nom et un moyen de vous rencontrer ? »

[Aramus Korvin]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

"Aramus Korvin de l'ordre de la main noire...Venez non loin du temple de Baine...Demain vers midi...Je vous y attendrez,Vous me conduirez ensuite a votre chef...je dois lui parler...Je pense que nous pouvons tous trouver un arrangement pour nos problèmes respectifs."

Déclara le croisé bainite au duo...Restant néamoins sur ses gardes avec le colosse a moins de trois mètres en face de lui...

[Le Façonneur]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

« Et qu’est-ce qui nous dit qu’il dit la vérité ? demanda le colosse en question.
- C’est un Bainite, il est de parole, répondit le bossu. Les Bainites, ce sont des gens bien. Je le sais, mon frère était Bainite.
- Je croyais que ton frère était un salopard.
- Un salopard de parole. Très bien, Aramus, nous serons au rendez-vous. Maintenant, on va faire comme si vous n’étiez pas venu dans cette impasse. Filez. Certains de nos collègues doivent arriver sous peu, ils ne doivent pas vous voir. »
Le colosse se décida enfin à baisser sa hache.

[Aramus Korvin]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

"Soit sans crainte guerrier,Si il y a bien une chose qui nous caractérise nous autres...C'est que nous savons tenir parôle...A l'inverse d'autres qui hésitent pas a trahir la leur...*baisse a son tour son arme.*Tu me trouvera bien au noyau occulte de la cité...Non loin du temple de mon dieu a l'heure dite...*au colosse.*Effectivement cela serait plus sage...*Au bossu..Sort rapidement une torche de son sac et l'allume aussi vite que possible...*Je vous dit a très bientôt..."

Sur ces parôles et après avoir allumer une torche pour reprendre sa route et également y voir quelque chose...Aramus décida a partir tout en gardant aussi bien le bossu comme le colosse en vue jusqu'a une certaine distance...Et trouver l'auberge des charognards...

[Le Façonneur]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Le bossu et le colosse échangèrent quelques mots à voix basses, mais ne firent rien de plus. Bientôt Aramus les perdait de vue, ayant passé l’angle de l’impasse. Dés lors tenta-t-il de s’extirper de ce dédale de minuscules ruelles, parfait coupe-gorge dans lequel le croisé avait failli y rester à cause d’un coup de malchance.
Non sans quelques va et viens hasardeux, il trouva enfin une rue un peu plus large et put penser à la suite qu’il allait donner à ces événements. Rejoindre l’auberge des charognards... Très bien, mais où diable pouvait-elle se trouver ? Maintenant, Aramus n’en avait plus la moindre idée. Pour dire vrai, il ne savait même plus dans quelle direction il devait aller pour sortir au plus vite des bas-fonds. La nuit, ici, tout avait une fâcheuse tendance à se ressembler.

[Aramus Korvin]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Aramus vint rapidement a la conclusion qu'il était bel et bien perdu dans les ruelles des taudis...Foutu quartier de miséreux...Tout se ressemble...Et pourtant il se devait de rechercher l'auberge des charognards...ou au pire des cas...Quitter le quartier si jamais cela lui était impossible de trouver cette foutue auberge...

C'est ainsi qu'il se remit en route...Gardant "Haine Salvatrice"en main avec sa torche...

[Le Façonneur]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Aramus débuta ce qu’il fallait bien qualifier d’errance. Le bon sens lui fit ne s’engager que dans des rues pas trop étroites, histoire d’éviter de nouvelles impasses où l’on s’égorgeait joyeusement sous le couvert de la nuit complice. Mais, malgré tout, à la lueur de sa torche et des rares autres lumières de l’endroit, une fois ses points de repaires perdus, il était difficile de les retrouver. Tout se ressemblait, rien n’était vraiment droit... Tourner en rond, demi-tour, voilà à quoi l’on était condamné. Pire, sans doute, était l’impression d’être tout le temps épié. Antonin la Malice et ses sbires étaient toujours dans le quartier. Ce serait fâcheux de retomber sur eux...

HRP : un petit jet de dé, stp.

[Aramus Korvin]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

(HRP: Mieux que le fumble,15 :P)

Aramus continua a progresser dans les ruelles des taudis avec autant de vigilance que possible...En espérant cette fois que les dieux ne seraient pas trop dur avec lui...La prochaine rencontre qu'il ferait se solderait peut-être par sa mort....

[Le Façonneur]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Fort heureusement, les dieux furent cléments, tout du moins, en partie.
Aramus parvint à repérer une rue moins dépavée que les autres et il la remonta, par chance, dans le bon sens. Autour de lui, ce qu’il pouvait voir des édifices lui permit d’acquérir la certitude qu’il était en train de quitter les bas-quartiers. En effet, les façades devenaient moins lépreuses, la chaussée commençait à ressembler à quelque chose, l’odeur devenait aussi plus supportable. A priori, le croisé était hors de danger. Quoi que de nuit, à Melandis, était-on vraiment en sécurité quelque part ?
Il était fatigué, pour ne pas dire épuisé. Sa lourde armure lui pesait sur les épaules. Il n’avait pas trouvé l’auberge des charognards et sans doute son mystérieux sauveur avait-il cessé de l’attendre. Minuit était passé depuis longtemps...