Une porte bien mystérieuse...

[Le Façonneur]

Comme c’est étrange…

Ce n’est pas la première fois que vous passez devant ce mur et vous êtes quasiment certain qu’il ne devrait normalement posséder aucune ouverture. Et pourtant, aujourd’hui, il y en a une. Il s’agit d’une lourde porte de chêne massif, curieusement ornementée, sur laquelle est apposée une plaque de cuivre. On peut y lire :

L’Antre du Façonneur

Achat et vente d’objets magiques en tous genres
Identification d’objets à bon prix

Si vous actionnez la poignée et franchissez le seuil, vous arrivez… ici.

[Echo]

Chance examinait chacune des lettres gravées dans la plaque qui ornait la porte, dans l'espoir peut-être d'y trouver un sens. Le problème, quand on ne savait pas lire, c'est qu'il fallait trouver d'autres moyens d’acquérir l'information que l'on cherchait. Par exemple, lorsqu'il s'agissait d'une boutique, la vitrine était un bon indicateur de ce que l'on pouvait y trouver, pas besoin de savoir lire la pancarte à l'entrée. Mais pour une boutique sans vitrine, sans fenêtre, sans rien du tout, c'était déjà un peu plus compliqué. Chance avait une technique pour ce genre de situation : elle ouvrait la porte et passait discrètement sa tête dans l'embrasure. Dès lors, les paris étaient ouverts et elle s'amusait à deviner le genre d'articles qu'elle trouverait à l'intérieur. Oui, on s'amusait comme on pouvait, à Melandis.

Mais pour l'heure, Chance était devant cette porte qu'elle n'avait toujours pas osé ouvrir. Elle ne savait pas trop pourquoi, mais elle la mettait mal à l'aise. Et si, après tout, il ne s'agissait pas d'un magasin de chaussures, comme elle l'espérait, mais d'un cabinet de dentiste ? Elle aurait l'air fine, c'est sûr. Enfin, le meilleur moyen d'être fixé, c'était encore d'entrer dans cette étrange bâtisse. Elle respira à fond, se saisit de la poignée, ouvrit la porte et s'engouffra à l'intérieur.

[Claris de Corvimande]

Trop jeune, et puis quoi, encore ?

La plupart de ses camarades d'entraînement étaient partis. Certes, ils étaient plus vieux ; mais Claris les bâtait à plate couture. Enfin, au moins certains d'entre eux. Disons qu'ils avaient demandé grâce à plusieurs reprises, même si pas forcément à chaque fois. Plusieurs, ça commençait bien à partir de deux, non ?

Bref, Claris était en colère : d'autres étaient partis affronter les ennemis de Melandis et défendre l'honneur de la Cité ; mais il lui était interdit d'en faire de même, et il fallait rester là à s'ennuyer, en attendant les nouvelles qui ne tarderaient pas à parvenir pour annoncer les défaites successives de Manost. Attendre que la guerre – la seule guerre avant bien longtemps, puisque, la victoire passée, Melandis règnerait sur l'ensemble du continent – soit gagnée, et le soit sans son intervention. C'était désespérant.

Claris avançait dans les rues de la Cité, sans trop savoir où ses pas se dirigeaient ; sans trop penser à la route parcourue. Son esprit était concentré sur tout autre chose. À peine cette concentration fut-elle troublée par la réflexion que cette porte n'aurait jamais dû être là. Elle y était, pourtant, comme attendant d'être franchie.

Claris la poussa, en effet. Machinalement ; l'esprit toujours en train de ruminer le fait que l'on l'ait jugé trop jeune. Cela ressemblait à une échoppe. Peut-être que dépenser un peu de la fortune familiale pourrait lui changer les idées ?

[Asmodeus]

Asmodeus s’était couvert d’un grand manteau à capuche trouvé fort pratiquement dans les affaires laissées par son prédécesseur. Il s’était ensuite risqué à emprunter le passage secret reliant son repaire à la maison qu’il venait d’acquérir en surface. Et, à la tombée de la nuit, il était sorti dans la rue pour la première fois depuis sa mort et la transformation qu’il avait subie.

D’abord pondéré et quelque peu anxieux d’être découvert, il avait avancé avec prudence et se tenant à l’écart des rares passants puis il avait progressivement regagné toute son assurance pour se diriger d’un bon pas vers le quartier indiqué par son ami Lord Ebenezer. Comme il valait mieux éviter d’attirer une attention malvenue sur lui, il avait pris tous les renseignements nécessaires pour ne pas avoir à demander son chemin et c’est donc une heure plus tard environ qu’il se présentait devant la porte menant à la boutique du Façonneur. Il y frappa trois coups secs et attendit une réponse avant d’entrer.

[Aramus Korvin]

Depuis:batiment-temple-de-baine-21.html#post435372

Aramus marcha un peu au hasard dans le quartier...perdu légérement dans ses pensées...La vague d'énergie profane...Divine...Qu'importe,Magique l'avait peu a peu changé et il avait également gagné des capacités dont il en avait jusque la ignoré l'existance...Il était devenu un champion mortel de sa divinité...Et il se devait être a la hauteur de sa nouvelle charge...C'est sur de telles pensées qu'il remarqua au détour d'une ruelle une bien étrange porte...comme si elle ne devait même pas être la...étonné et plutôt curieux...Le croisé Bainite se décida a s'avancer et s'approcher de la porte..Et y lut l'écriteau...

<Hm!Un vendeur d'objets magiques...Intéressant...je peux toujours jeter un oeil a son échoppe voir ce que ce dernier a a vendre...>

Sur une telle pensée...Le croisé du dieu de la Tyrannie et de la haine ouvrit la porte pour pénétrer a l'intérieur...

[Aramus Korvin]

Depuis: l-antre-du-faconneur-7.html#post435543

Aramus revint a l'endroit exact ou il avait pris l'étrange porte...Le voici de nouveau dans l'étrange ruelle...au quartier Occulte de la sombre cité...Il était temps de traquer un autre hérétique de l'imposteur qui s'est déclaré seule grande puissance des divinités noires...Balivernes!Ce"dieu"est apparu il a quasiment 25 ans maintenant...Aramus comme beaucoup de Bainites a toujours pensé que ce..."Cyric"était en réalité un mortel ayant été au bon endroit au bon moment...Lors du temps apocalyptique qu'ont été le temps des troubles...Deux mortels seraient devenus des dieux pour remplacer en partie ce qui fût une hécatombe divine...De nombreux dieux et déesses avaient disparus...Certains revinrent...D'autres furent remplacés...Et l'imposteur était l'un des deux mortels parvenus au rang de dieu...Toujours était t'il que ce prêtre de l'imposteur devait passer de vie a trépas...Et c'était une chose dont le croisé se ferait une joie non dissimulée d'offrir...davantage pour la gloire de son suzerain divin plutôt que ce petit gnome bien qu'il avait conclu un accord,Qui serait de toute façon avenu.

Sur de telles pensées,Le croisé Bainite commence ses recherches et il sait ou commencer...Les taudis de la cité...dont il en prend le chemin...

[Le Façonneur]

Aramus se mit donc en route, une route que rien ne vint entraver.

Vers ici.

[Aramus Korvin]

Depuis ici:temple-de-baine-21.html#post456428

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Quelques heures plus tard...La toute fin de journée...Non loin de l'étrange porte...

C'est un Aramus reposé mais pas encore remis complétement qui s'avance vers l'étrange porte du marchant gnomique...Il a la preuve de la mort de l'hérétique..Sa tête qui commence a sentir et le morceau de miroir...Il avait encore une heure auparavant regarder de plus prêt cet éclat de miroir a la puissance visiblement divine...Et il était vrai qu'il pouvait être tentant de se laisser hypnotiser par son pouvoir...Mais cela valait t'il la peine de trahir son engagement pour se voir poursuivre tel un chien enragé?...De laisser tout honneur ce fessant?...En son fort intérieur...Le croisé bainite est d'autant plus convaincu de la vacuité de l'Hérétique...A quoi pensait t'il?Qu'il échapperait a la colère du vendeur gnomique?Surtout que ce dernier avait plus que les moyens de s'acheter des tueurs et autres assassins si il le désirait...Ce n'était au final qu'une question de temps...Et comme il le lui avait dit...Il s'était de fait condamné lui même...C'est sur une telle pensée que le croisé continua d'avancer...En demeurant sur ses gardes malgré tout...

[Aramus Korvin]

[Quête : Le Prélat des Mensonges]

Devant l'étrange porte...

Eh voila...Sa quête était littéralement accomplie...certes le sang avait couler...Et de toute manière...Le gnome n'avait pas semblé très regardant a ce sujet...Toujours était t'il que le croisé avait les deux parties de son contrat...Maintenant...La question qui se posait était la suivante...Le gnome allait t'il réellement lui céder la barde enchantée?...Ou le trahir a son tour?...Gardant cette pensée dans un coin de la tête...

Aramus ouvrit la dite porte et pénétra a l'intérieur....De nouveau il se trouva devant le petit réseau de portes...Et alla directement vers celle ou se trouvait l'écriteau décrivant la boutique du Façonneur...Le croisé Bainite sera très vite fixé si le gnome va honorer sa part du marché ou non..