[Bâtiment] Les bains publics

[Brutus]

Prologue de quète,La morsure du cobra calimshite:Sylveneige,Talianna.

*Par la vierge noire?!Elle a encore faim??ça doit faire un peu moins de deux heures qu'on s'est déja restaurées!Qu'on me dise ou passe la nourriture qu'elle ingurgite!*Oo**

Telle est la pensée d'Adrastia alors que Sylveneige vient de lui déclarée qu'elle a faim alors qu'elles s'en retournent toutes les deux au vestiaire des femmes,Certes,Nager dans l'eau donne faim soit...Mais au vu de son appétit déja redoutable en temps normal...et le fait qu'elle demeure toujours aussi mince...Adrastia se demande si L'estomac de son amie et soeur d'âme ne soit pas semblable a un sac a contenance...le genre de sac sans fond bien commode que bien des aventuriers s'arrachent a prix d'or,Talianna de son côté rejoint rapidement ses deux amis,Lumi ayant fait de même et réclame quelques attentions une fois que Sylveneige se soit apprêtée,Une fois prêtes et ayant rangées les serviettes,Le trio de jeunes filles elfes quittent les thermes...Ne se doutant pas que par les mains particulièrement graciles de la jeune rôdeuse,Elles ont possiblement sauvées une a plusiers vies...

"Bien,Je crois qu'a part envoyé le joli coeur aquafondien a l'auberge de notre étrange duo,Nous ne pouvons faire guère plus,Pour l'instant du moins."

"Certes ma soeur."

"Une idée de notre prochaine destination?"

"Sylveneige a une certaine idée."

"Eh bien soit."

Sur de telles paroles les deux soeurs de clan amazones s'apprêtent a suivre leur amie rôdeuse-bardesse.

(Hrp:Je considère qu'une quète secondaire vient d'être réussie la rune:Amitié renforcée auprès de Talianna et Adrastia,Avec possibilité d'apprendre le language de bataille de leur clan,dérivée de la langue des signes drow.)

[Féérune]

- Ah... Trop tôt pour manger ? Bon...

Sylveneige poussa un tel soupir qu'elle eut l'impression de l'entendre se répercuter sur les murs des vestiaires.

- Faisons ce que vous jugerez utile... Quelque chose qui me fasse oublier ma faim !

[Brutus]

Prologue de quète:La morsure du cobra calimshite;Sylveneige,Talianna...

Décidément,Sylveneige est incroyable,Mais après tout...la chaleur de la pièce chaude des thermes et l'eau froide lui auront creusée l'appétit...sur de telles pensées,Le trio fait route alors vers le quartier du port...et plus précisément...la-taverne-de-la-bienveillance-67.html#post420360

[Voyageuse]

RP : crise politique à Lumenis

Les ruelles miteuses et boueuses avaient laissé place à des rues pavées, et Jordin se retrouva face à un grand bâtiment à colonnades, au fronton de marbre blanc, entouré d'un jardin bien entretenu, le tout détonnant un peu au milieu des pauvres demeures du quartier.
Il s'agissait des bains publics -un écriteau l'indiquait clairement. Et ce n'était pas tout à fait sa destination. Mais la description donnée par la jeune serveuse était floue et rien, dans les environs immédiat, ne ressemblait à des entrepôts.

[Vel Cheran]

Morbleu, où aller maintenant ? Avec des rues aussi vides, il allait devenir difficile de trouver quelqu'un à qui demander un renseignement. À court d'idées, Jordin décida de se risquer à chercher du personnel dans les bains publics qui pourrait lui indiquer la direction à prendre.

[Voyageuse]

Il n'y avait personne devant l'entrée des bains publics, et il dût pénétrer dans le bâtiment pour espérer trouver quelqu'un. Mais ie grand hall d'entrée ne comportait pas vraiment de comptoir d'accueil. Il y avait simplement des plaques, à l'entrée de chaque porte et de chaque couloir, pour indiquer la fonction de la pièce : gymnase, bains, vestiaires.
L'endroit, cependant, n'était pas désert : une jeune femme passait énergiquement la serpillière sur les marches d'un escalier, et un petit groupe de jeunes gens discutait devant l'entrée des vestiaires.

[Vel Cheran]

HRP : les amoureux qui s'bécotent dans les bains publics, bains publics, bains publics...
Ouais, ça valait le coup d'attendre un mois pour sortir un jeu de mots pareil.



Déranger quelqu'un en plein travail, ou un groupe de jeunes ? Sans réfléchir outre mesure, le moine se dirigea vers la jeune femme et se racla la gorge.

"Excusez-moi, je suis nouveau dans le quartier et on m'a dit qu'il y avait d'anciens entrepôts de marbrerie non loin d'ici. Est-ce que vous sauriez quelle direction je dois prendre ?"

[Voyageuse]

La jeune femme releva la tête, essuyant une goutte de sueur qui perlait à son front.
" Une marbrerie ? C'est un endroit où on taille du marbre je suppose ? Cela ne me dit rien... mais il n'y a pas longtemps que je suis ici, moi aussi...."
Elle s'exprimait avec un accent marqué, peut-être de Dorrandin.
" Mais c'est probablement les entrepôts vides qui sont de l'autre côté de la rue Bichon... C'est juste au sud d'ici, vous prenez à droite en sortant des thermes, la rue Bichon est la deuxième rue que vous allez traverser. Vous la prenez à gauche et vous allez les apercevoir. Ils sont haut comme une bâtisse à étage, avec de grandes baies en hauteur pour laisser entrer la lumière."

[Vel Cheran]

Remerciant son interlocutrice, Jordin tourna les talons et sortit du bâtiment. Il jeta un œil alentour, et prit à droite, suivant les indications qu'il venait de recevoir. Dans le même temps, il tenta de se remémorer le chemin qu'il avait suivi pour venir jusqu'ici : il s'agissait de ne pas se perdre au retour, ce serait idiot.

[Voyageuse]

HRP : J'ai oublié de me moquer de ton jeu de mot dont tu as si honte que tu l'écris de la même couleur que le fond

Le quartier était un labyrinthe de petites ruelles, mais il y avait cependant quelques artères principales qui permettaient de ne pas s'égarer. La rue Bichon, notamment, s'enfonçait tout droit vers l'est et rejoignait, tout au bout, le mur d'enceinte de la ville. Elle devait fatalement passer non loin de l'auberge où il résidait. Il suffisait d'emprunter la bonne ruelle au bon moment... Mais le quartier était si mal fichu qu'il pouvait très bien dépasser le secteur sans le reconnaître. Au pire, au bout de la rue, il tournerait à gauche pour rejoindre les Portes de la Ville.

Les entrepôts étaient un vaste complexe fermé d'une lourde porte de bois, qui donnait apparemment sur une cour entourée de bâtiments. Sur les côtés se trouvaient d'immenses baies vitrées -ou plutôt habillées de papier huilé translucide, pour la plupart. Ces ouvertures, pratiquées à plus de deux mètres de hauteur, étaient inaccessibles, empêchant malheureusement d'en distinguer l'intérieur. Et la porte, bien sûr, était fermée par un verrou monumental. Mais l'ensemble occupait tout l'espace entre deux rues, et Jordin put en faire le tour, observer l'agencement des fenêtres -l'ensemble devait être très lumineux-, et estimer qu'il y avait là largement l'espace suffisant pour ses projets. C'était même probablement trop grand.

[Vel Cheran]

HRP : merci de ta mansuétude



Bon. Au moins, ils ne manqueraient pas de place. C'était même plutôt l'inverse. Cela étant, si l'achat ou la location des lieux étaient dans ses frais, Jordin pourrait dans un premier temps n'aménager qu'un petit espace, et l'école s'étendrait ensuite au fur et à mesure, en supposant que les élèves s'y présentent.

Satisfait, le moine tourna les talons et s'efforça de retrouver son chemin. La serveuse lui avait parlé de la marbrerie, près du cimetière, ou quelque chose dans ce goût-là. Autant y faire un saut, et on verrait bien.

[Voyageuse]

Le cimetière était l'un des endroits plus plus simples à trouver : n'importe quel lumenien pouvait lui en indiquer la route, et, de surcroit, quelques panneaux de bois l'indiquaient sur les artères principales.
Il reprit donc son chemin en direction du nord de la ville, longeant d'abord le Grand Parc Verdoyant, puis une zone d'entrepôts et d'industries en bordure du quartier nord. Il entendait des bruits de scie, de marteaux, le tintement du métal contre le métal. Il y avait par là des forges, des scieries, de l'activité. Puis il devina les hauts murs du cimetière.