Oh, et double-post, mais c'est pour la bonne cause.
Je n'ai pas trop suivi le contexte de la discussion, mais, y a-t-il une raison particulière pour laquelle le document doit être partagé au format ODT ?
Parce qu'en théorie, ce format (comme d'ailleurs les formats .doc(x) de Microsoft Office et autres du même style) sont des formats de « travaux en cours », avec notamment une mise en page qui peut varier d'une machine à l'autre. Pour ce type de raisons, il est conseillé de les garder pour soi et pour les gens avec qui on bosse, mais de ne pas les partager (à moins qu'il y ait vraiment besoin que les destinataires modifient le document fini, et encore).
Pour partager à des gens qui ne devraient que lire, c'est plutôt recommandé d'utiliser un format de « document fini » comme le PDF, conçu pour embarquer tout ce dont il a besoin et donc apparaître environ de la même façon partout. Et un des gros avantages pour ça pour ce qui nous intéresse ici est que le PDF n'accepte pas tous les formats d'images à l'intérieur et que la conversion du document lui-même peut donc inclure une conversion automatique des images, sans avoir à se battre contre LibreOffice pour ça.
J'ai rapidement testé de mon côté, en prenant juste les options de bases sans chercher le moins du monde à optimiser le bousin, LibreOffice me sort un PDF d'un peu moins de 5 Mio (mais un soupçon plus que 5 Mo, donc il faut voir si notre limite d'envoi compte en mébis ou en mégas).
En complément pour les gens qui n'ont pas tout compris aux deux derniers posts, je rajoute quelques liens vers des B.D. de Gee qui parlent de ça :
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Bit, byte, bitten (c'est quoi un bit ?),
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Dites adieu aux kilos en trop (différence méga/mébi),
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Un demi de compression (principe général de la compression de données),
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Une pinte de compression (différence avec et sans perte).