La Couronne de Cuivre

La bataille était terminée, les quelques cadavres et autres squelettes, animés par une sinistre force obscure, avaient été réduits en poussière. Un silence de mort règnait à nouveau dans la salle, seulement perturbé par les échos de quelques hurlements abominables poussés au loin.

Les Melandiens avaient emprunté le couloir du centre, il restait donc celui de gauche et celui de droite. Chacun aussi ténébreux et inquiétant que l'autre. Mais il fallait se décider rapidement.

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En surface, les hordes de morts-vivants, jusque la repoussées semblaient s'activer. Se préparant peu à peu à lancer une offensive majeure dans le but d'éradiquer définitivement les défenseurs de la cité en effervescence, qui par on ne sait quel miracle tenaient encore héroïquement.

- Bon, c'est pas tout ça, mais on se les gèle ici, j'en ai marre de reflechir, suivez moi ou mourrez, peu m'importe.

Matteo prit le couloir de guauche en marchant assez vite, sans se retourner, il entendit des bruits de pas derrière lui, sans un mot, les autres l'avait suivi

Matteo faillit leur dire que leur docilité s'ameliorait, mais il ne voulait pas causer une nouvelle dispute, il n'avait ni le temps ni l'energie pour cela

Une étrange tension planait dans l’atmosphère glaciale, comme si un nouveau mystère allait peu à peu se dévoiler au groupe de Melandiens. Une obscurité terrifiante avait envahi les couloirs remplis du silence de la mort, d’énormes toiles d’araignées étendaient leurs mortels linceuls dans les angles du passage ravagé par une force inconnue. Les Talosiens pressèrent encore le pas, aucun d’eux ne tenait spécialement à rencontrer les monstruosités ayant pu tisser de pareils enchevêtrements…

Quelques dizaines de mètres plus loin, le sol se fit moins accidenté et d’antiques dalles de pierre recouvertes d’un voile funeste de poussière firent leur apparition. Ils approchaient d’une salle qui devait encore bénéficier d’une conservation relativement plaisante par rapport à la majorité des lieux ravagés de l’endroit, éloge de maléfices effroyables… Les compagnons découvrirent avec stupeur, juste après un brusque virage du couloir, une pièce rectangulaire éclairée par des torches flamboyantes. Mis à part cela, ce lieu-dit ne semblait guère contenir quoi que ce soit digne d’intérêt : des jarres et des amphores détruites, une pléthore de gravats dû à de nombreux effondrements successifs et un bric-à-brac de bibelots en tout genre…

Intrigués, le groupe pénétra avec prudence dans la pièce illuminée par des éclats providentiels et bienfaiteurs, chassant quelque peu l’ère glaciaire qui s’était installée dans le dédale morbide. Alors qu’ils s’apprêtaient à repartir, une affreuse sensation de dépit leur taraudant le cœur. Un vieillard se situait au milieu de la salle, paisiblement assis sur un caveau dévasté ! Les Talosiens auraient juré que l’individu ne se trouvait pas la lorsqu’ils étaient entrés. Ils le scrutèrent avec attention :

D’énormes rides cisaillant le front du vieil homme ainsi que l’expression de lassitude planant au fond de ses pupilles ternes laissaient présager que ce dernier devait être d’un âge incroyablement élevé. Il portait une courte barbe blanche, qui à vue d’œil semblait aussi rêche que nombres de broussailles des arides terres du basilic, sa peau paraissait par moment affreusement pâle, mais les lueurs flamboyantes des tisons brunissaient légèrement son épiderme cadavérique, ce qui lui donnait immédiatement une teinte plus chaleureuse. Le vieillard était vêtu d’une longue robe vermeille dont l’aspect délavé prouvait clairement qu’il devait la revêtir depuis des lustres. Ses mains fébriles se trémoussaient dans l’air glacé, cherchant désespérément une prise immatérielle. Les yeux vides de l’homme fixaient avec une fascination exacerbée un point imperceptible à une vision normale…

Brutalement, le vieil être foudroya du regard les intrus, ses phalanges blanchirent alors qu’il se maintenant sur la pierre tombale. Les Talosiens remarquèrent alors qu’une minuscule sphère ardente scintillait au fond des pupilles noires du vieillard. Quel être bien étrange ! Ce dernier prit soudainement la parole.

« Fhaiejh Lfégrâert Mnhâlöhj Sidiarletég Fhg Sähjd … »

Voyant l’air ahuri des Melandiens, le vieil homme repris.

« Ah les cultures s’évanouissent, nourrissant les inconscients … »

Il ne laissa pas le temps aux Talosiens de rétorquer qu’il enchaînait déjà. L’homme semblait acculé par une terrible torpeur psychique, conséquence de la lugubre solitude, fléau des sages isolés.

« Je sais pourquoi vous êtes ici, les ignares payent enfin leur oisiveté passive… D’antiques secrets resurgissent… »

Il partit dans un petit rire hystérique. Les Melandiens étaient indécis quant au comportement à adopter face à ce singulier personnage, à la fois vertueux et intriguant.

« Je puis vous aider, tuez le pillard et brisez le sceptre ! Mais méritez vous mon aide ? »

Il se tu, se plongeant dans le labyrinthe de pensées torturées de son esprit malade.

En Nessus il gouverne, monarque haï,
Diable brandissant le sceptre rubis maudit,
Ravageur damné triomphant de l’Expiation,
Détruisant à jamais les légions de démons.

Souffle et chant effroyable qui l'engendre,
Souverain froid, terrible et quasi irréel,
Ne rencontrez point son chemin plein de cendres,
Car sa pensée millénaire est sans appel.

Le vieillard fixa le petit groupe, il avait prononcé ces quelques vers d’une voix emplie de respect et de crainte. Puis il ferma les yeux et un silence profond envahi la salle, vaguement perturbé par le crépitement des flambeaux. Les paroles damnées et millénaires semblaient avoir fait croître les ténèbres opprimantes et une frayeur intense émergea au plus profond de l’esprit des Melandiens. Le sinistre sage attendait une réponse patiemment, il semblait communier avec les ombres tumultueuses de la pièce et son visage affichait une expression sereine, bien qu’un observateur attentif eut pu y déceler aisément les traces d’une terrible malédiction.

Khan regarda le viel homme avec étonnement. Il ne comprenait pas du tout ce que le viellard voulait dire, lui il était plus partisant du taper d'abbort puis poser les question aprés, mais il voyait bien que cela ne serait pas du tout malin de jouer à ce petit jeu là.
Il se tourna vers Matteo et lui glissa à l'oreille:
"Bon, il est temps de prouver que tu est le plus inteligent du groupe comme tu n'arrete pas de le dire...
A mon avis c'est à toi de lui répondre, si j'ai bien compris, il sait des choses et peut nous aider aors on compte sur toi pour le convaincre."

Matteo dis a voix basse

- Je pense avoir compris ce qu'il veux entendre... c'est le plus important. Mais je crois qu'il veut dire par "méritez vous mon aide ? " que si nous ne le comprenons pas, c'est tant pis. Je vais tout de même essayer.

Il s'adressa alors au vieillard

- Pardonnez notre ignorance, vieil homme, mais celle-ci a l'air de vous exasperer. Le meilleur moyen de l'effacer ne serait elle pas de nous expliquer avec moins de mystère ce qu'il se passe ici ?
De plus, vous nous dites que ceci est le résultat de notre désoeuvrement, mais comment aurions nous pu agir si nous somme ignorants ?
Si notre ignorance vous gène, instruisez nous, nous cherchons le savoir...

Le vieillard n'avait pas bougé et avais laissé ses yeux fermé, Matteo poursuivit alors

- Tiens, d'ailleurs, en parlant de savoir, j'ai noté quelques petites choses que j'ai vu sur une porte, je ne comprend absolument rien de cette langue, pourriez vous me déchiffrer celà ? Vous avez parlé une langue qui m'a l'air d'être la même que sur ces notes il y'a quelques minutes de celà.

Matteo souffla avec un ton d'auto reproche

- Quel idiot je fais ! C'est une énigme !
Je n'en suis pas certain, je crois tenir la réponse, il parle de celui qui règne sur Nessus, la 9ème strate des neuf enfers, a ma conaissance il n'y en a eu qu'un... je ne suis même plus sur de son nom, je vais tout de même essayer... ne m'en voulez pas si la réponse est fausse

Vieillard, parlez vous d'Asmodée ? Le diable régnant sur Nessus ?

Le vieil homme sembla se délecter des paroles de Matteo, une étrange expression rayonnait sur son visage émacié par des années de pérégrinations incessantes. Soudain, il ouvrit ses yeux, l’intrigante lueur paraissait s’être amplifiée et irradiait des rayonnements ardents le long de ses pupilles noires comme le jais. Il fixa le Talosien avec assiduité.

« Bien… Connaissance sera votre Délivrance… Et ne m’appelez pas vieillard ! »

Il foudroya subitement le Melandien du regard, comme si ce dernier venait d’accomplir un crime atroce. Finalement, après quelques secondes d’un silence angoissant, il reprit la parole.

« Ahhhahaa, suivez-moi donc ! Si Talam me voyait ! »

Il éclata à nouveau d’un rire hystérique tout en s’engageant par le passage d’où les Melandiens étaient venus. Peu de temps plus tard, ils débouchèrent dans la salle de l’ettin, l’immense carcasse gisait dans une mare de sang noirâtre. Au grand damne des Melandiens, le vieillard s’engagea dans le seul couloir qu’ils n’avaient pas encore exploré, celui de droite…

Le déjanté personnage semblait chasser le sépulcre de ténèbres par sa seule présence et le chemin en parut grandement raccourci, ils arrivèrent alors dans une pièce circulaire de taille moyenne. Sur les murs, des milliers de symboles avaient été gravés laborieusement ainsi que sur le sol de pierre. Ces étranges arabesques marquaient clairement que ce lieu devait être dédié à la pratique de sombres rituels oubliés depuis des temps immémoriaux. Mais le vieil homme ne montra pas le moindre signe de panique et se retourna vers les Melandiens qui scrutaient attentivement les fresques, comme pour percer la brume de mystères entourant la myriade de sigles.

« Bienfaisance de ce paroxysme du savoir me rend la vigueur perdue… »

Il en avait quasiment oublié les Talosiens, mais finalement il s’aperçut de leur présence.

« Bon, de quoi arguions-nous déjà ? »

Il réfléchit quelques instants en se triturant la broussaille aride lui servant de barbe.

« Ah je vois, … »

Une expression machiavélique germa sur son visage alors qu’il commençait à brasser les énergies magiques dans une terrible incantation. Peu à peu, des traits de magie purs se formaient autour du vieillard, virevoltant dans l’air glacé et convergeant au fur et à mesure. Le vieil homme agitait les bras tout en récitant un rituel dans une langue oubliée, il paraissait être doté d’une vigueur surnaturelle. Puis soudain, une violente déflagration magique marqua le terme de l’invocation, les Talosiens furent brièvement aveuglés par un flash lumineux d’une violence inouïe. Lorsqu’ils regardèrent à nouveau vers le vieillard, celui-ci se tenait à côté d’un cercle de téléportation aux teintes polaires.

« Voilà… Cela faisait plus d’un demi millénaire que je n’avais usité cette formule ! »

Il eut un faible sourire, mais qui disparut rapidement, remplacé par un rictus blafard.

« Alors, le responsable de tout ceci est le voleur, le pilleur, le saccageur, l’infâme scélérat ! »

Les joues de l’homme s’empourprèrent alors qu’il déversait sa colère.

« Tuez-le et brisez le sceptre !

…Alors dévastation dans les légions se propagera… »

Il avait prononcé ces derniers mots d’un ton empli d’une joie lugubre. Mais quelque chose semblait le tracasser par-dessus tout.

« Mais Il restera indélogeable sans l’oraison ouvrant l’antique Rempart. »

Le vieillard contemplait tristement un objet invisible.

« Maintenant allez-y ! »

Il désigna le portail crépitant qu'il venait d'ouvrir de sa main cadavérique.


[2e message faisant suite à celui pour demain !]

Les Talosiens, d’abord méfiants à l’idée de s’engager dans le cercle magique, durent se rendre à l’évidence, ils n’avaient pas d’autre choix que de suivre les dires du vieillard. Mus par la force du désespoir, ils s’engagèrent dans le portail, le vieil homme n’avait pas bougé d’un poil…

Ils furent violemment happé dans les méandres sinueux de la téléportation et se retrouvèrent dans une petite pièce vétuste et malpropre, ils savaient qu’ils étaient à Melandis car ils pouvaient entendre les clameurs des combats au loin. Ils devaient se trouver dans une sorte de cave car la salle ne possédait pas de fenêtre, juste une porte qui se trouvait en face d’eux. Prudemment, ils l’ouvrirent, le spectacle qui les attendait les laissa bouche bée…

Ils étaient à l’orée d’une grande salle (15 mètres sur 30 mètres), elle était remplie de chaises, de tables et même d’un petit bar. Mais une dizaine de cadavres jonchaient le sol dans des mares de sang, assassinés de façon violente. Au vu de leurs vêtements souillés et déchirés de part en part, il s’agissait de loqueteux et de brigands. Peut-être la salle de réunion d’une des nombreuses sectes de pacotille parsemant la cité ?

Alors que le groupe de Melandiens progressait attentivement dans la vaste salle, il déboucha dans la pièce par une porte de bois vermoulu en face d’eux…

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Herdual contempla avec haine les intrus, comment avaient-ils pu pénétrer dans le quartier général de la confrérie ? Les idiots sont parfois si étranges. De toute façon ils allaient mourir alors… Il contempla avec avidité le sceptre jaunâtre qu’il tenait fébrilement dans sa main droite, le bout était maculé du sang de ses anciens compagnons qu’il avait dû abattre, il s’était bien trop longtemps entiché de pareils crétins. Maintenant c’était fini, il allait quitter cette infecte ville perdue et arpenter les royaumes à la recherche des richesses qu’il méritait depuis tant d’années ! Si ce bâtard adipeux ne l’avait jamais menacé, il serait parti depuis longtemps. Il darda un regard triomphant sur un des cadavres baignant dans une flaque d’hémoglobine noirâtre. Mais maintenant la donne avait changé, il était omnipotent et tout le reste n’était que vermines ! Il jeta un regard noir à ses adversaires, il allait prendre un plaisir fou à entendre leurs crânes se briser sous les coups de masses.

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Qui pouvait donc bien être ce sinistre personnage, cette pensée assaillit la curiosité des Talosiens. Ses vêtements étaient d’aussi mauvaise qualité que ceux des cadavres emplissant la pièce. Dans tout les cas, il portait le fameux sceptre dont le vieillard leur avait parlé. Ils n’avaient pas le choix, ils allaient devoir le tuer et briser ce qui paraissait être un artefact de grande puissance. Mais avant qu’ils n’aient pu faire quoi que ce soit, le lugubre personnage les assaillait déjà.

Herdual >> flou (incantation rapide)
Herdual >> peau de pierre

Un derme de pierre se forma autour du pillard alors que sa silhouette devenait floue. Un affreux rictus apparut sous le masque de roche qui enveloppait son cruel et glacial visage.

« Idiots ! »

L’homme se rua sur les Talosiens en brandissant le sceptre !


HRP : voir message dans la foire à potina pour quelque précisions

Matteo regardait Chaos aux prise avec le brigand, celui ci était plus fort, on le voyait dans son assurance dans les gestes, et a la fracture laissée sur le crane du voleur, il avait une force de frappe étonnante, il avait aussi cette peau de pierre, il se dit qu'il devait réagir dans ce combat inégal avant que le groupe perde un de leur meilleurs combatants

Matteo chargea, il plongea sous les pattes du brigand avec une grande force, puis placa sa lame d'uranium entre le sol de pierre et le pied du brigand, le sort peau de pierre ne protégeant pas les parties du corps en contact avec la roche, il releva son épée, sa lame était enfoncée du pied jusqu'au genou, le brigand hurla de douleur et porta un coup rageur en pleine tête du jordan, qui esquiva, non sans peine, pendant que Chaos, toujours au corps a corps avec l'homme, explosait ses peaux de pierres une a une, aidé par le jordain avec sa main droite, pendant que la lame d'uranium charcutait totalement ce qui se trouvait sous le genou droit de l'homme, qui saignait a présent abondamment, laissant une mare de sang a terre.
Le brigand souffrait a tel point que ses coups en était affectés, il essaya a maintes reprise de toucher le jordain, qui esquivait ses coups, sans lacher prise avec sa lame d'uranium, jusqu'au moment où elle siffla, un nouvel effet entropique se produisit

Matteo------> mouvement sauvage---------> brume de dissimulation

Matteo, voyant la purée de poix devant lui, Matteo regretta amèrement le métal se sa lame, les effets entropiques arrivaient bien trop souvent ! Mais celui ci pourrait être uttilisé a leur aventage, mais il pourrait les tuer tout aussi bien...

En effet, le jordain ne voyait plus du tout la masse de l'ennemi, qui lancait des coups rageurs. Le jordain luta pour déplanter sa lame d'uranium de la jambe de l'ennemi, qui avait perdu toutes ses peaux de pierre, quand la masse le frappa en pleine tête, Matteo volplana sur deux mètres, et se cogna contre un mur, il fut tué sur le coup.

Quand Khan vit Matteo mort, il sentit le sang se glacer dans ses veines. Il n'aimait pas le jordain, mais à force il lui semblait amusant, et le voir mort le mit dans une rage incoyable. Il prit alors les forces qu'il garder en reserve pour aller frapper son adversaires le plus fort et rapidement possible pour vanger Matteo:

Khan--->Tornade de fer--->Khan

Avec un grand cri de guerre il se jetta sur son adversaire, il portait des coups à une incoyable vitesse et une force terrifiante. Mais son adversaire semblait ne pas s'en soucier, il parait les coups avec une incoyable facilité et avait le temps d'en rendre en plus. Touché au ventre lors du combat contre le combattant scelette, Khan avait de plus en plus de mal à lui résister et ce repliait maintenat devant l'incroyable humain qui affichait un rictus de satisfaction.
Soudain, son adversaire lui donna un violent coup d'épée dans les cotes, son armure, déjà trés abimée par ses nombreux combats, vola en éclat et Khan sentit l'horrible morcure du métal dans son ventre. la violence du coup le fit rouler à l'autre bout de la pièce, une plaie béhante au ventre...

Radamanthys attaqua encore et toujours, voyant que Chaos avait le dessous, mais sans pour autant blesser de beaucoup son adversaire car la douleur de son épaule se faisait de plus en plus insupportable, alors, voyant sa maîtresse en difficultés Aeglis se jeta sur le brigand laissant le temps a Radamanthys de mettre en place la régénération de ces cellules. Le brigand se débâti et envoya la panthère contre un mur au pieds duquel elle tomba inanimé. C'est alors mue par une rage folle que personne n'avait vu chez elle, l'alu-fielonne se jeta mares ses blessures sur son adversaire et malgré la fatigue parut avoir une force surhumaine et réussit a blesser le brigand a la joue. Continuant le combat elle vit que la blessure qu'elle avait faite au brigand se refermait doucement et alors elle comprit que celui ci avait les mêmes capacités physiques qu'elle et qu'il n'était pas un être ordinaire. Alors elle baissa sa dague et se recula. Le brigand fonça sur elle mais au moment où il allait la toucher elle s'écarta a nouveau. Cela continua pendant quelques temps et le brigand commençait à s’essouffler, ce qu'elle attendait. Alors qu'elle paraissait être épuisée, elle fonça dans le brigand et d'un geste inattendu elle le blessa profondément au torse. Sa colère était calmée mais le combat continuait plus acharné qu’avant.

( :off: je sais que ma réaparition risque de faire drole a certains mais comme on prle de moi je suis là !!!)

La première vision de Khan quand il reprit ses esprits aurait put lui retourner les trippes, si ce n'était pas les siennes qu'il voyait sous ses yeux.
Il ne réfléchit pas trés longtemps et posa immédiatement ses mains au niveau de la blessure sur son ventre.

Khan---->Guerrison par Imposition des mains--->Khan

Ses vicèrent rerentrèrent dans son corps et la blessure cicatrisa trés vite, mais le sort ne fut pas assés puissants pour refermer entièrement la blessure. Mais c'était sufisant pour qu'il puisse repartire au combat. Il se releva et vit l'étendue de la bataille, il comprit trés vite qu'ils ne pourrais pas le vaincre par la force brute ou même la ruse. Il leur faudrait de la magie, et une magie divine pour réussire.
Il n'avait que trés rarement utilisé ses sorts de paladin au combat, que dans des cas désespérés, ce qui se passait en ce moment.
D'abbort il falait rendre le brigant plus facile à toucher, il se consentra et rechercha dans sa mémoire la vielle capasité qu'il connaissait:

Khan--->Dissipation de magie--->Herdual

Le flou du voleur disparut et il fut bien plus facile à toucher. khan vit l'état de son armure et compris qu'il ne pourrait pas continuer à combattre avec, il arracha les derniers morceaux de métales qui lui tenaient sur le torse et se mit à psalomier:

Khan--->Armure spirituelle--->Khan

Une armure blanche transparente apparut sur lui, il se sentait à nouveau la force de repartir au combat. Il se ruat donc sur le brigant étonné de le revoir en forme...
L'anti-paladin lui donna un violent coup d'épée latérale, que le voleur para mais bien plus lentement, il fit plusieurs moulinets avec son épée et frappa par le haut, la racaille se degageat de nouveau, mais cette fois le triumphe avait quitté son regard, cette fois il se battait vraiment...

Lorsque Radamanthys se réveilla enfin elle vit Aeglis en position défensive devant elle. Elle mit un peu de temps à reprendre complètement ses esprits et lorsque cela fut fait elle trouva Khan, de nouveau sur pied, et Chaos devant la dépouille du pillard qui baignait dans une grande marre de sang noir. Elle se releva et rassura sa panthère puis se dirigea vers le corps sans vie d'Herdual toujours crispé sur le sceptre maudit.

- Tout est il bien fini ? C'est le sceptre la source du mal qui nous a envahit, il faut le détruire a tout prit mais comment ?

Elle regarda ensuite Khan la dernière fois qu'elle l'avait vu il était par terre le ventre ouvert. Elle se dirigea ensuite vers le sceptre et fit un geste pour le prendre ...

Thanatos arriva en courant de son tribunal la tête baissé par le souvenir de ce cri.
Le hurlement déchirant qu'il avait entendu l'en tira. Jamais il n'avait entendu un cri mental exprimant autant de douleur. La puissance qui quittait se monde en cet instant devait etre d'une puissance extraordinaire. Thanatos pensa tout de suite à ses amis enfoui sous terre. Quelles soufrances avait-ils dut enduré pour détruire une puissance pareil? Nul ne le sera tant qu'ils ne seront pas rentrés.

Soudain Thanatos releva la tête et sortit brusquement son épée. Une lueur violette s'engouffra dans la rue sombre mais ce fut inutile, aucun squellette ne vint attaqué. Etrange... Il referma les yeux comme pour faire une prière. Quelque seconde apres il les réouvra. Il ne sentait presque plus aucun des zombis composant l'armé des ténébres. Il sentait les pauvres corps des derniers morts vivants resortit des tombes, partir en fumé lentement.

Soudain Thanatos ce précipitat dans une ruelle. Il sentait une grande consentration de corps inanimés dans cette zone et étrangement leur nouvelle vie ne s'échapait pas de leurs os blanchis.
Il regarda avec stupeur les morceaux de chair humaines animé par magi se désintégrés peu à peu devant ses yeux ébahis.

Comme il l'avait pensé l'esprit qu'il avait entendu hurlé pendant son passage à la mort était l'esprit du monstre qui dirigeait cette armé d'ame corrompu à la vie apres la mort. Cette guerre inutile allait donc enfin finir. Il fallait maintenant s'occuper de tout reconstruire... Mais cela seul les esclaves s'en occuperont. Le travail des maître est enfin fini. Tout va recommencer.

Thanatos ne put s'empecher de prononcer dans cette éternel nuit seulement brisé par la lueur de l'épée du juge:
Voila, tout est enfin fini. Le temps va enfin pouvoir reprendre pocession de ses défain...

Et il remit l'épée au fourreau dans un long mouvement mélancolique redonnant instantément ses droits à la nuit noir.

La porte d'une maison trembla un peu puis vola en éclats, des guerriers se retournèrent prés à détruire les créatures ayant survécus au massacre. Mais ils virent alors sortire des décombres d'une pièce pleine de cadavres, Khan sans armure, une blessure au ventre dont coulait un bon filet de sang, dans ses bras ils portait le corps sans vie de Matteo. Il était suivit de Rhadamantys la Sombre et de Morlak qui soutenaient l'assassin Chaos qui tenait à peine sur ses jambes. Ils semblaient tous êtres exténué et bléssé, mais ils avaient tous dans leurs yeux le sentiment du devoir accomplit. Tous comprirent alors pourquoi l'armée des morts vivants avait disparut, les aventuriers vaient réussis leur mission dans la faille.
Au prix de mille perils et des milles soufrances, ils avaient sauvé les restes de Mélandis.

Khan se tourna vers les guerrier et dit avec une voix trés faible en désigant le corps qu'il tenait dans ses bras:
"Un pretre, vite... Il nous faux un prete qui puisse ramener les morts..."

Matteo se reveilla dans un endroit qu'il ne conaissait pas, un guerisseur penché sur lui, la vie qui l'avait quitté revint a son propriétaire, le guérisseur lui adressa alors la parole, mais Matte n'avait pas que ça a faire, et quitta la salle sans un mot, vexant le guérisseur

Il jeta alors un oeuil sur ses boules bleuatres

- Pfouh, faut aussi que je vende ces machins là, ah non, elles ont pris l'humidité Matteo jetta alors cette substance extrèmement dangereuse a terre, cela tuerait peut être quelques animaux curieux, marrant

- Bon... je suis venu a mélandis pour l'armée, je vais oublier ses morts vivants Matteo se rendit compte qu'il parlait encore tout seul, normal, a passer deux ans dans la nature a tuer tout ceux qui le voient pour ne pas être dérangé, parler tout seul devient vite un reflexe

Un halo de lumière se forma à proximité de l’ouverture béante de la faille, illuminant les environs de la noirceur de la ville endormie. Une fois la lumière blanche dissipée, l’œil attentif aurait pu reconnaître là Beorn, Bagronk, Crikorrin Lymody et Kowan Steen se tenant les uns aux autres. Très vite, le groupe se dirigea vers la faille.

Voyant là le Juge de Mélandis, Beorn l’interpela.

« Ola, Thanatos ! Viens ici et suis nous ! nous aurons besoin de toi ! »

Voyant que ce que le dirigeant venait de dire était un ordre et non une proposition, Thanatos n’eut d’autre choix que de suivre le groupe dans l’immonde dédale de roche. Beorn et Bagronk, parlant par le gestuel drow convinrent que la direction à prendre était certainement celle jonchée de cadavres. Ils partirent alors dans une course folle, usant toute l’agilité de leur race, mettant vite une distance non négligeable entre eux et le reste du groupe, voyant aussi bien ici que par un jour de plein soleil. Ils durent donc s’arrêter pour attendre leur compagnons.

Suivant une route sinueuse, à une vitesse incroyable, le groupe dû, à plusieurs reprise, rebrousser chemin, arrivant dans une impasse.
Beorn eut alors une idée. Les animaux ayant un meilleur sens de l’orientation et un flaire non négligeable sauraient retrouver la trace des autres Mélandiens qui avaient passé ici bien plus facilement que si le groupe le faisait, bien que les sens des deux drow et ceux de Crikorrin étant fortement développé.

Beorn convocation d'allié de la nature

Un nuage de vapeur rouge écarlate se forma alors et un magnifique tigre se matérialisa à deux pas des Talosiens. Beorn lui parla dans une langue incompréhensible pour le reste des compagnons le tigre, tout comme l’ours qu’ils avaient rencontré, sembla comprendre la totalité des paroles du druide.

Il s’élança dans le sinueux dédalle avec une agilité phénoménale, suivit de prêt par le groupe, les deux drows en tête. Ils coururent ainsi pendant une heure, à une allure qui leur permirent cependant d’échanger certaines paroles. Beorn expliqua leur périple à Thanatos qui en resta stupéfait.

Ils tournèrent ainsi pendant bien du temps, mais sans trouver la moindre trace des Talosiens. Ils ressortirent donc quatre heures plus tard, pensant être arriver trop tard pour aider leur amis.
Mais au moment ou ils sortait, un guerrier qui courrait dans une direction leur dit qu’on les avait retrouvé, et qu’un prêtre devait impérativement être dépêché. Ni une ni deux, ils partirent, suivant le guerrier.

Il arrivèrent alors que Khan s’évanouissait. Beorn s’agenouilla auprès de se dernier et lança immédiatement un sort de Soins modérés. Se réveillant, Khan ne distigua pas grand chose, si ce n’est la potion qu’on lui tendait.

Beorn vit alors le corps sans vie Matteo, et ne pu s’empêcher de laisser échapper un soupire de désolation… Se concentrant, il posa ses mains sur le torse de Matteo et incanta longuement. Son énergie vitale sembla passer dans le cadavre. Quelques minutes plus tard, il releva les mains et rouvrit les yeux. Il semblait totalement épuisé.

C’est alors que deux autres prêtres arrivèrent pour soigner le reste des blessés.

[hrp] en fait ce poste devit venir avant, mais ma connection à foiré hier soir, et j'avais la flem de réécrir