La Couronne de Cuivre

Saiko fut de retour le lendemain. Il alla voir Saladrex qui jugeait l'arête d'une épée fraichement forgée en y faisant coulisser le doigt. Le fait qu'il porte immédiatement son foigt à sa bouche laissa supposer qu'elle était effectivement acérée.

- Salutations, forgeron. Je vous avais laissé une fronde il n'y a pas longtemps... Vous avez pu en faire quelquechose ? S'enquérit Saiko
- Mmh oui, je vais la chercher...

Saladrex semblait s'y retrouver parfaitement dans tout le chaos qui regnait dans la forge car il alla directement la trouver en pensant qu'il devrai faire preuve de moins de zèle.

- La voici. Pas de symbole de Manost, désolé...

Saiko regarda la fronde. Il s'abaissa pour ramasser une bille de plomb, la plaça dans sa fronde. Sur un arbre, toutes les feuilles étaient tombées à l'exception d'une qui tremblotait, attendant sa destinée. Saiko plissa des yeux, commença le mouvement de rotation qu'il induisit à la fronde et d'un coup tendit tous ses muscles vers l'avant, propulsant la bille qui alla trancher net la queue de la feuille. Tandis que la feuille virevoltait pour rejoindre ses congénères, il se dit que cette fronde et lui allaient s'aimer encore plus.

Saiko releva la tête pour resaluer le demi-orque puis sortit de la forge, laissant pendre de manière visible sa nouvelle fronde.

HRP: J'ai pas d'employés

Ayant réglé cette affaire et estimant l'heure de la pause venue, Saladrex se dirigea vers l'auberge en laissant sur le comptoir le panneau "Je suis à la taverne".
Thorvald montait la garde.

Peu après que Saiko soit passé, Sire de la Canne s'en retourna à la forge pour s'enquérire de l'avencement de son arme.

Entrant : Salut le caillou. Observant le panneau. A ce que je vois ton maître n'est pas là. Bon. Je crois que voilà l'occasion d'aller voir à quoi ressemble cet endroit dont tout le monde parle tant.

Il sortit et demanda la direction du Loyal paladin.

[Quête : Vol d'une Relique]

Arrivée du Loyal Paladin

Le sourire de Saladrex s'élargit en entendant les paroles de Lothringen.

- Parfait ! Je suis honoré d'avoir des invités ! Vous savez tous où se trouve la forge.

Saladrex sortit, suivi par le semi-drow, en direction de la forge qui se trouvait juste en face de la taverne. Arrivé là, le demi-ogre s'adressa à son invité :

- Tiens, Loth', reste ici pendant que je vais préparer une chambre en haut. Tu peux jouer avec Thorvald, si tu veux, dit-il en montrant l'ombre des roches.

[Quête : Vol d'Une Relique]

[Arrive du Loyal Paladin]

Puisqu’on l’y invitait, Lothringen examina l’ombre des roches d’un peu plus près. Elle lui rappelait des heures sombres, et de longues années d’esclavage dans une contrée à l’air raréfié, à la nuit éternelle. Les ombres des roches étaient les alliés préférés des Illithids, c’est-à-dire des ennemis les plus redoutés des elfes noirs. Elles hantaient leurs cavernes, prêtes à massacrer le malheureux qui ne saurait résister à leur regard. Il avait eu beaucoup de peine à leur échapper lors de son évasion, malgré la potion d’invisibilité qu’il avait pris soin de voler. C’était le refoulé de son histoire.
Il pensa quelques instants céder à la mélancolie, mais sa soif de savoir prit bientôt le dessus.

« Voyons, imaginons que j’aie à affronter une telle bestiole, que faire ? Sachant que je n’ai pas le niveau nécessaire pour un globe mineur d’invulnérabilité, et pas assez d’argent pour les potions usuelles, je n’ai plus qu’à hausser tant que je peux mes jets de sauvegarde et à me mettre en mesure d’attaquer le premier : un sort de poussière aveuglante, par exemple. Ou de sommeil. Ou un jet de pierre, pour détourner son attention : ce ne sont pas les plus malins des nuisibles... Sans oublier l’image miroir, elle ne saurait plus où regarder… Peut-être pourrais-je tout simplement fermer les yeux et frapper à l’instinct ?»

A son retour, Saladrex le trouva assis en tailleur sur un tonneau, caressant distraitement l’ombre des roches dont il cherchait toujours les mille et une façons de massacrer les semblables.

Arrivant du Loyal Paladin

[Quête : Vol d'Une Relique]

Saiko entra peu après Lothringen et Saladrex dans la Forge.

De nouveau son passé lui revint à la mémoire. Cette période d'esclavagisme dans les forges clandestines de Mélandis repassait devant ses yeux et la chaleur des fours le rendit mal à l'aise.

Il décida d'attendre à l'extérieur et d'attendre la suite des évènements en caressant l'échine de ses créatures.

Saladrex s'approcha de Lothringen.

- Tu m'avais dit que tu avais des armes à aiguiser ? Si tu veux aussi de l'équipement neuf, sers-toi, dit-il en montrant les étagères.

Attendant la réponse de Lothringen, il attrapa une hache à deux mains sur une étagère et l'examina. Travail récent, il l'avait probablement faite dans la semaine. Il la fit tournoyer dans ses mains comme si elle n'était pas plus lourde qu'un brin de paille.
Il la reposa sur son étagère et promena sa main le long de celle-ci, semblant choisir quel objet il allait prendre. Il se décida sur une épée courte. Oui, il se souvenait : c'était celle-là même que son maître Al Thar El Mir avait forgée pour lui. Tiens, où était-il, son maître, à présent ? Les nains avaient laissées leurs marchandises qui étaient à présent bien au chaud dans de lourds coffres scellés au fond de la forge. Mais Al Thar El Mir n'était toujours pas revenu.
Lothringen commença à déballer les armes ayant besoin d'être reforgées. Pendant ce temps, Saladrex alla voir une autre de ses étagères, celle où les armures étaient exposées. Il souleva une armure de plates avec facilité puis la soupesa.

- Hum, encore trop lourde.

Il la reposa puis retourna vers Lothringen.

Shangalar apparut dans un anneau de magie bleutée.

Si j'avais su que la forge était si près de la taverne, je n'aurais pas fait ça ! Je suis si distrait des fois...

Regardant à l'intérieur

Très peu pour moi, cette chaleur m'insupporte. Je vais méditer un peu.

Il commenca à se balancer, la lumière de ses yeux changeant de couleur à plusieurs reprises : blanc, vert, bleu, rouge, blanc, vert, bleu, blanc, rouge, brun, puis plus rien. La liche était dans le monde connu d'elle seule: sa tête.

[Quête: Vol d'une Relique]

Lothringen avait fini d'examiner les armes disponibles. Non, décidément, il préférait ses propres armes; ce n'est au moment de partir en quête qu'il faut se lancer dans une nouvelle spécialisation martiale.

- Bon, alors au travail! J'ai là deux haches de bataille, une pour chaque main, complètement émoussées pour avoir fendu trop souvent autre chose que de la chair de gobelin; il faudrait que tu les affûtes un peu.

Puisque Saladrex lui avait déjà donné un petit nom, il n'allait plus se gêner pour le tutoyer.

- Puis, si tu avais cela, je serais très intéressé par une réserve de flèches simples: disons, une petite centaine. Je te paierai, évidemment.

Saladrex prit les haches et les examina un peu, d'un air surpris.

- Me payer ? Non, pas la peine. Comme nous partons en expédition, il est préférable d'avoir du bon matériel. Par contre, ces haches...

Il appuya très légèrement la lame d'une des haches qui commença à se tordre, puis se fendre.

- Je crois qu'il serait mieux de reforger tout ça avec un nouveau métal. Celui-là est trop vieux. Thorvald, allume le feu.

L'ombre des roches commença son travail pendant que Saladrex observa les différents métaux à sa disposition. Autant en prendre un solide. Il prit une barre de mithril fraîchement arrivée et en mit la moitié dans le feu, tenue par un étau. Il prit ensuite les deux haches de Lothringen et retira les lames des manches.
Une fois que le mithril fut rouge, il le tira du feu et le posa sur son enclume en le travaillant. Il dut le replonger dans l'âtre brûlant plusieurs fois, et une fois le résultat souhaité obtenu, il la plongea la lame de hache dans un large seau d'eau. La forge fut envahie par la fumée.
Il enchâssa la première lame dans le manche pour observer le résultat. Il retira la lame, puis prit le manche et commença à confectionner tout d'abord un rembourrage sur à peu près la moitié du manche avec une lanière de cuir, avant d'enchâsser à une extrémité du manche un renforcement en métal et de le clouer.
Il enchâssa enfin la lame avant de clouer celle-ci aussi. Il répéta les mêmes actions pour la deuxième hache.

- Voilà. Pas facile à travailler, ce métal nain, mais le résultat en vaut la peine. Tu voulais quoi avec ? Des flèches, oui. J'ai ça.

Il attrappa un des nombreux carquois attachés aux murs et le tendit à Lothringen.

- Tiens, Loth, des flèches de première main.

Lothringen était passé par tout l’éventail des réactions possibles.
Il avait pâli en voyant le semi-ogre briser ses lames comme si elles avaient été en bois.
Il avait admiré en silence le travail de l’artiste.
Et enfin, il avait contemplé le résultat en connaisseur.

Les haches étaient légères, souples, et leur tranchant sifflait dans l'air.
Leur métal brillait comme un clair de lune.

Saladrex avait utilisé du mithril ! Voilà qu’il n’aurait jamais pu s’offrir, serait-ce avec plusieurs années de salaire.
Rien que pour cela, il trouvait qu’il avait été bien inspiré d’accepter cette quête.

- Parfait, souffla-t-il.

- Bon. Tu permets, je vais aller chercher mon armure.

Saladrex se rendit dans la remise et ouvrit un lourd coffre en bois renforcé d'acier à l'aide d'une clé. Il en sortit une énorme armure de plates à sa taille et l'enfila, en prenant le heaume sous son bras. Il sortit de la remise ainsi vêtu.

- Comment tu me trouves ?

[Quête: Vol d'une Relique]

Dinguedepi arriva un peu après les autres. Il pressait le pas, croyant être arrivé en retard. Mais voyant qu'il manquait encore du monde, il ralentit.

Ils avaient tous l'air motivé et l'elfe se dit que ce serait agréable de faire équipe avec eux. D'ailleurs il connaissait déjà Saiko l'homme-panthère pour avoir parlé avec lui au Loyal Paladin.

- Me voici, dit-il.

Puis restant sur le pas de la porte, il obsevait ses futurs compagnons dans l'ombre de son capuchon.

Sortant de sa torpeur, Shangalar examina le nouveau venu. Ses orbites brûlèrent à nouveau de leur feu rougeoyant et il s'adressa directement au personnage encapuchonné. Sa voix résonna dans la ruelle de manière pratiquement surnaturelle :

Qui es-tu ?

L'elfe fut surprit par le changement de couleur des yeux de l'archiliche, mais il se ressaisit rapidement et commença à se présenter

-Je me nomme Dinguedepi, Monsieur. je suis un elfe des bois comme vous l'avez sans doute remarqué. J'ai un peu étudié la magie durant mon adolescence et j'ai une certaine maîtrise de l'école de l'illusion. J'ai également quelques compétences en armes contondantes mais quasiment rien. Ma seule arme est ce bâton enchanté qui possède un sort de charme.

Puis il s'arrêta un moment, et repris:

-Et puis-je vous retourner votre question?

[Quête: Vol d'une Relique]

Quand le semi-ogre sortit de la remise dans cette armure, Lothringen réprima un sourire amusé. Il ressemblait à un mégalithe qui aurait sorti son tricot du soir.
Pourquoi fallait-il qu’un ogre éprouve le besoin de se barder de fer, alors que le chétif guerrier-mage qu’il était devait se contenter de ses vêtements ordinaires ?

Mais, dès qu’il vit le forgeron approcher, il prit une mine plus grave.

- Comment tu me trouves ?

Le semi-drow soupira :

- En faufilant une flèche entre ces deux plaques. Il y a comme un défaut… là, précisa-t-il en appuyant le doigt sur une mince fente qui, sur le flanc droit, laissait la chair à nu. Ça fait désordre, non ?

Le semi-ogre eut l’air un peu penaud. il y avait *vraiment* un léger jeu dans les plaques de sa belle armure.

- [color=7AC5CD]Bon, ce n’est pas si grave[/color], ajouta Lothringen en riant. Tout le monde n’a pas la vue aussi perçante qu’un semi-elfe, et le matin est encore loin, n’est-ce pas ?

Saladrex parut étonné de voir ses trous dans son armure. Il s'était pourtant appliqué, nom de nom !

- Hum, ouais bon. On a encore le temps pour la reforger un peu...

Il se mit au travail.

(Quêtes: Vol d'une relique)


(Revient de la boutique :l’œil fertile)

Les Manostiens semblaient beaucoup plus actifs que d’habitude, c’était le détail que l’humaine avait remarqué en se dirigeant vers la forge pour rejoindre ses compagnons. En marchant, elle pensait à comment ils pourraient capturer ces voleurs, le groupe n’avait qu’une broche comme indice. Ils devraient aller au quartier culturel pour y chercher de l’information…

Irathal avançait pas à pas en direction d’un endroit qu’elle avait visité à son entrée dans la grande cité, elle y avait acheté tout l’équipement qu’elle portait présentement. Ne regrettant pas son achat, cela lui plaisait d’y retourner bien que ce n’était pas pour dépenser de l’or.

L’établissement où les armes étaient fabriquées se tenait maintenant devant la novice. Il faisait encore nuit mais l’aube n’allait pas tarder. Elle décida de pousser la porte lentement pour ensuite y entrer. La femme entra et vit les quelques membres du groupe et dit :

-AA vous êtes déjà là! Moi qui pensait prendre de l’avance. Il ne manque presque personne et l’heure n’est même pas venue. Je vais en profiter pour me détendre un peu.

Elle s’adossa à un des murs et ferma légèrement les yeux tout en pensant à diverses choses…

Ignorant totalement le remue-ménage des êtes présents, Shangalar se concentra sur l'apprenti mage qui lui faisait face avec respect.

Dinguedepi, c'est cela. Bien bien. Novice encore ? Impeccable. Eh bien, étant donné la manière avec laquelle tu t'es adressé à moi, cher Dinguedepi, je vais te répondre. Je suis Shangalar, Archiliche du Cormyr. Mes pouvoirs sont suffisants pour terrasser les êtres qui me font face, tu n'as pas besoin d'en savoir plus pour le moment, tu verras en temps voulu. Je serai l'atout de cette partie de cartes, puisque les instances du Coeur Radieux m'ont demandé de ne pas faire trop usage de mes compétences. Cela pourrait provoquer la panique... Je te suivrai pendant cette mission, petit elfe, sois-en sûr.

Le regard de la liche devint pressant. Avec son apparence droite et ses beaux atours, ses os couleur cuivre et ses orbites de sang, il avait tout pour faire peur.

Je pourrai peut-être t'aider à approfondir tes connaissances...

Shangalar se rapprocha du mage et ôta enfin son capuchon, laissant voir son visage de squelette couronné. Sa voix et son aura glaciales étaient presque palpables.

Si tu le désires...

[Quête: Vol d'une Relique]

L'elfe eut un mouvement de recul quand Shangalar retira son capuchon.
Il essayait de se remettre de ses émotions et finit par articuler:

- Bien... bien sûr... enfin ce serait un immense honneur. Mais nous verrons cela sur le terrain.

Puis après un moment d'arrêt, il reprit:

- Quel est votre avis sur ce vol? Qui pensez-vous que sont les voleurs qui sont en plus des meurtriers?

Enfin quelqu'un semblait s'interesser au problème de fond, les voleurs. Quand il entendit Dinguedepi engager cette conversation, il se leva brusquement de sa pierre et rejoignit l'archiliche et l'apprenti mage.

- Irathal, si c'est bien son nom, ne nous a pas encore parlé des indices trouvés sur les lieux. Personnellement je pense que nous avons affaire à des voleurs sans scrupules. Le vol est souvent considéré comme un art, et ceux-là ont trop de sang sur leur tableau...

Marquant une pause, Saiko se tourna en particulier vers l'archiliche, qui connaissait le mieux Manost.

- Je suppose que les voleurs ont leur guilde, n'est-ce pas ? Si c'est le cas, nous devrions aller là-bas...

[Quête: Vol d'une Relique]

Lothringen laissa Saladrex à son travail et monta rapidement les marches en direction de la chambre que le forgeron lui avait préparée. Si ses compagnons préféraient commencer leur quête par une nuit blanche, grand bien leur fasse : mais ce n’était guère prudent. Du reste, la voie était toute tracée, puisque leur seul indice était cette fameuse fibule. Il n'y avait plus qu'à espérer qu'elle constitue un élément d'uniforme d'une secte quelconque.

Il se lava un peu plus sommairement qu’il ne l’avait souhaité et s’allongea tout du long sur le lit, certain de se réveiller à l’instinct quand il le faudrait.

A peine avait-il fermé les yeux qu’il fit des rêves de grandeur : ravi de voir les coupables confondus, le Cœur Radieux lui offrait un bac en mithral avec, à l’intérieur, de l’eau chaude parfumée où flottaient des pixies tourbillonnantes…
Grotesque, songea-t-il. Pourquoi lui fallait-il subir l’humiliation de s’abandonner au sommeil ?

[HRP : @ Saiko : Irathal nous a dit : « Notre seul indice est une broche que les gardes ont trouvée à l’endroit du crime. »]

[Quête: Vol d'une Relique]

Dinguedepi, qui avait déjà réfléchit sur le sujet, reprit:

-Personnellement, je ne pense pas que la guilde des voleurs ait quelque chose à voir avec cette affaire: il ne volerait toute même pas une relique sacré sans scrupules et surtout en laissant deux morts?

Et puis on ne sait d'ailleurs pas quelle est exactement cette relique ni comment ont-été tué ces malheureux apprentis !?!
il faudrait poser la question à Irathal, puis après avoir jeté un coup d'oeil dans le direction de l'humaine il ajouta, mais plus tard, elle se repose (ou réfléchit) pour le moment.

Personnellement je me fiche de savoir qui a fait le coup, le tout est de retrouver la relique et de punir le coupable. Et croyez-moi, il sera puni comme il faut.

Il ne me semble pas que la guilde des voleurs soit impliquée, ils sont plus malins qu'en ce cas présent de barbarie. Quelqu'un sait dans quel état on a retrouvé les deux cadavres ?

- Je vois effectivement mal la guilde des voleurs tolérer de telles actions. Cependant les voleurs doivent bien se connaître entre eux. Je suis sûr qu'ils auraient quelques personnes à nous conseiller. Surtout que ça les arrangerait que l'on trouve les coupables : la guilde des voleurs n'aimeraient pas se mettre l'Ordre du Coeur Radieux sur le dos...

(HRP = Mon perso n'a pas entendu le truc de la broche pour l'instant. Et un autre indice à été trouvé par Hughes de Breizh sur les lieux du crime : un morceau d'etoffe violet sombre, dont Irathal n'a pas parlé -Hughes ne lui a pas dit en fait-)

[Quête: Vol d'une Relique]

-Cela m'étonnerait qu'une information si importante ne sois donnée comme ça !...mais on ne perds rien à essayer.

- Exact. Je n'ai pas dit qu'ils nous offriraient la solution, mais je suis sur que certains d'entre nous peuvent se montrer tres persuasifs.

Il re-regarde l'archiliche

- On est dans une cité neutre, non ? Je n'ai pas beaucoup de scrupules...

Ses yeux s'enflamment

Je pourrais faire parler un balrog et je ne crains pas de menace, personne ne peut se vanter d'être mon "supérieur hiérarchique". Je préfère ne pas en venir à cela si possible, mais c'est une possibilité intéressante.

Arrivant de son agence, sire de la Canne se rendit compte qu'il ne serait pas seul sur cette affaire et tant mieux après tout car ça risquait d'être dur.

Il reconnu tout de suite Saiko qu'il avait déja vu en ce même lieu et entendit Saladrex travaillant joyeusement dans sa forge. Les autres lui étaient totalement inconnus un elf et une liche. Au moins leur groupe ne passera pas innaperçu...

- Bonjour la compagnie. A ceux qui ne me connaissent pas, je suis sire de la Canne. A qui ais-je l'honneur? Dit-il en s'addressant à Dinguedepi et Shangalar.