La Couronne de Cuivre

Levant son épée en garde l'acien marin nereconnut persone dans les rangs e leurs agresseurs. Et aucun officier à l'horizon.

Heuuu, le salon de l'agriculture c'est bien ici ?

Laissez tomber Monsieur Astaldo, ces type sont des services techniques, à part le salon du carosse ils ne connaissent rien.

Alors on va procéder à une petite révision ! Taïaut ! Montjoie ! Saint-Genis ! (Désignant Marcel du doigt) Qu'il trépasse si je faiblit !

D'un vigoureux coup de pied il envoya un pot de fleur à la tête d'un advsersaire et se rua sur ses petits copains l'arme a clair. Il y allait avoir de l'hémoglobine au repas. Marcel, moins démonstratif, s'avançait patiemment vers l'ennemi.

Urk Urk Urk.

Les armes de Marcel se levèrent trois fois et elles envoyèrent trois pas beaux de plus en enfer .

Deux Yaaaaha , cinq Zblam et douze Arrrrrg plus tard Astaldo fit remarquer à juste titre qu'ils étaient déja mort et qu'il ne servait à rien de taper dans le vide.

- On fait quoi maintenant ? continua Astaldo
- Euuuuuuuh , on fouille l'immeuble et on massacre tout le monde
- Ouuuué reprit Astaldo avant de se raviser , mais ya mieux à faire , notre devoir n'est-il pas de sauver la veuve et l'orphelin ?
- On a pas ça ici grogna Marcel ! Bastooooon
- Mais je suppose que le maréchal Hasriel ne serait pas vraiment content si on massacrait toute son agence d'agents tout risques , il y a surement mieux à faire
- J'ait entendu des agents qui parlaient d'une mutinerie répondit lentement Marcel , faisant appel a sa mémoire très ancienne , celle qui date de plus de deux heures , une bande de rebelles ont du semer la zizanie ici et tu connais les agents , ils se méfient tous de tout , alors ça as du dégénérer en pugilat général , sans oublier les réglements de compte personnels .
- Nous devons retrouver le chef , lui fera cesser les combats .

Dans un coin de la salle un blessé essayait de prendre la fuite , une hache bien lancée le remit à sa place .
- Mais Marcel on aurait pu le questionner !
- Et merrrde , yen a pas d'autres ? reprit le garde , faussement culpabilisé

Ils fouillèrent la salle en mettant des baffes aux cadavres jusqu'a trouver celui qui répondit légérement à l'appel .
- Zêtes de quelle faction demanda Marcel ?
- Rebelle , yaaaha nous vaincrons
- *Zbammeuh* Ou est le chef des SRL ?
- Vous le saurez jamais niark niark !
- *Zbammeuh*
- Deuxième étage porte gauche
- Merci *Zbammeuh*

Et ils partirent vers les hauteurs

Essuyant sa lame sur le caleçon d'une victime coupée en quarante-huit par Marcel, Astaldo étudia la question avec soin, mâchonnant un bout de pain trouvé sur une table. Il fallait faire vite. Pour s'aider il prépara un peu de thé.

Aloooors, le deuxième étage c'est entre le trosième et le premier, et la porte gauche est en face de la porte droite. Pour moi c'est limpide. Si le chef est là haut on va se payer tous les combats en chemin.

Alors qu'ils sirotaient leur boisson dans le petit salon, avec quelques biscuits, faisant le plus vite possible pour trouver une solution miracle.

Si c'est vraiment le bazar on peut passer par les bureaux, ils sont tous reliés entre eux; ou alors on passe dans le tas. T'en penses quoi ?

Lorsque l'on laissait le choix à Marcel entre tout démolir et une fourbe ruse , la réponse lui semblait tellement évidente qu'il ne savait plus quoi répondre.
Voyant le piège à l'horizon il choisit la solution qui lui plaisait le moins , mais qui était certainnement celle qu'aurait voulut Astaldo .

- Passons par les bureaux ! dit-il à contrecoeur
- Sage décision ...

Ils partirent vers les bureaux , et traversèrent plusieurs pièces sans trop combattre ( hormis une demi liche , trois dragons , un sanglier et un sosie de Perdigan Foxglove ). A leur grand étonnement ils n'avaient encore rencontrer aucun piège et ils furent presques rassurés de voir une fiole d'acide tomber du plafond . Ils l'esquivèrent de peu mais ils savaient à quoi s'attendre désormais .

De nouvelles mesures de précautions s'imposaient , on n'ouvrirait plus les portes , Marcel enverrait sa hache les pulvérisait , on ne passera plus dans une salle , on y jetterait un cadavre pour activer toute lame suspendue , toute bombe incendiaire , ces règles fonctionnèrent à merveille et auraient encore fonctionnaient jusqu'a ce qu'ils trouvèrent Leila et Heilou , les charmantes secrètaires d'Astaldo , dans une mauvaise posture . En effet elles étaient attachés à des chaises et des hommes avec des cagoules mises à l'envers les menaçait avec des armes . Notre agent , perdu tout contrôle de lui même et lâcha un grand

- Raaaaaaaaaaaaaaaaaah les salopards , ils ont cassés mon bureau !

Et il s'élanca à la rescousse des deux jeunes elfes

Le bureau passait encore, Link l'avait également ravagé à de nombreuse reprise et l'ancien marin avait une carte de fidélité auprès des décorateurs d'intérieurs. Qu'on pille son stock de sucettes l'énervait déjà fortement, masi qu'on s'en prenne à son personnel le mettait un tantinet hors de lui. Ces lâches menaçaient ses secrétaires mais, dans un réflexe militaire, ils mirent en garde à son approche.

Marcel, emmène les filles dans l'entrée du bâtiment et envoie-les chercher les réguliers du Maréchal, moi je retiens ceux-là un moment, mais ne traine pas !

Tandis que le portier des SRL prenait les jeunes filles dans ses bras Astaldo para une première attaque. Puis une autre, encore une et bientôt la lutte fut serrée. Il ne put contenir ses agresseurs précisément à l'entrée du bureau et préféra reculer.

Marcel ! Je vais pas pouvoir jouer comme ça très longtemps, ils m'acculent au mur !

Aussitôt une silhouette massive sembla se dresser derrière les combattants ennemis. L'ombre leva les bras et un murmure rauque vint souffler à leurs oreilles.

Sok soooooook.......

Un revers puissant brisa la ligne de front des assaillants tandis que de son autre bras armé il déviait la plupart des coups destinés à son supérieur.

Les petites sont parties en sécurité Monsieur Astaldo !

Tuons ces traîtres !

Reprenant le combat il parvint à envoyer brouter les pissenlits par la racine d'autres agresseurs et la tempête d'acier, de sueur, et de sang s'estompa. Un rescapé, désarmé par une parade musclée du jeune homme, s'enfuit en courant. Marcel s'apprêtait à le suivre au pas de charge mais l'ancien marin, que sa cheville recommençait à faire souffrir, le retint.

Laisse-le aller, il va sûrement aller faire son rapport à son supérieur, ils ne s'attendaient pas à nous voir débarquer ici donc il leur faut de nouvelles instructions. Profitons-en pour le suivre.

Clopin clopant, s'appuyant sur les murs pour récupérer plus vite il suivit son subordonné qui ouvrait la marche, pistant leur proie et veillant sur son compagnon d'armes amoindri. Et dire qu'ils étaient à peine à l'entrée du premier étage...

:8: :8: :8: :8: :8: :8:

"C'est quoi ce foutoir ?!!"

La petite patrouille venait d'arriver sur les lieux pour découvrir ce à quoi ils ne s'étaient absolument pas préparés.

Ce sont deux secrétaires particulièrement affolées que Daneghar avait intercepté alors qu'il faisait tranquillement quelques courses en ville. A travers les explications un tantinet erratiques qu'elles lui fournirent, il parvint tout de même à discerner qu'une sorte de mutinerie avait éclaté au SRL. Sûrement quelques employés exaspérés de la dictature de leur supérieur (ils réclamaient peut-être plusieurs distributeurs de sucettes). Daneghar jeta son cadi de côté et parti immédiatement en direction de la rue Elminster, emportant avec lui une patrouille de six soldats, réquisitionnés au passage.

Ils ne s'attendaient pas vraiment à tomber sur un champ de battaille.

"Elles appelle ça une mutinerie ? Mais c'est la révolution ici. Décidément, peut pas faire les choses à moitié le boiteux..."

Sur ces mots, Daneghar mena ses hommes vers l'entrée de la bâtisse. Des débris et des corps étaient éparpillés jusque dans la rue. L'extérieur n'était rien comparé à l'étendu du chaos qui régnait dans les couloirs et les pièces.

'Va pas chômer le croque-mort' pensa le demi-orque. 'Bon, c'est par où le haut ? A oui, le plafond...'

La première chose était de trouver des survivants et surtout le responsable des SRL. Il était sûrement dans le pétrin profond. Bien heureusement, le preux Daneghar venait à sa rescousse. Non, il s'était trompé : la première des choses n'était pas de trouver des survivants, mais de rester survivant soit même. Alors que la petite patrouille pénétrait dans une grande pièce qui semblait servir de salle de réunion, un groupe de rebelles, huit pour être précis, leur tombèrent dessus. Ce qu'ils faisaient avant, le rôdeur n'en avait aucune idée. Peut-être une partie de carte. Mais puisqu'eux-mêmes étaient sept, l'ennemi se devait bien de les agresser avec des forces supérieur. Malheureusement pour le premier d'entre eux, Daneghar avait dégainé son épée à deux mains (trois, pour être humains :notme: ). Le pauvre rebelle vint accidentellement s'empaler sur 1m36,5 d'acier. Le demi-orque repoussa négligemment le corps qui vint s'écraser contre deux des assaillants. Ils n'avaient pas touché terre que deux des soldats étaient sur eux pour leur trancher la gorge. Daneghar se débarrassait de deux pauvres sirs d'un revers ennuyé quand soudainement tout s'arrêta. Plus un rebelle ne remuait.

"On peut continuer maintenant ?"

Les autres pièces ne se révélèrent pas plus intéressantes. Finalement, la petite équipe se retrouva dans la salle principale. S'asseyant sur un corps, Daneghar se mit à réfléchir, chose qui ne lui venait pas naturellement. Comment savoir ou était qui que se soit à part fouiller chaque étage méthodiquement et ainsi risquer d'arriver trop tard ? *tilt* !

"Je sais ! On peut questionner quelqu'un !"

"Heu, chef ? Vous avez souvent questionné des morts ?"

"Triple buse ! T'a pas un sors de résurrection sur toi ? Non ? Mais c'est quoi cette équipe d'incompétents ? Va falloir que je m'en occupe moi-même."

Le demi-orque se leva et commença à faire le tour de la pièce. Dans le nombre de corps qui gisait il devait bien y en avoir un répondrait une légère tapette sur la joue, non ? Il souleva un premier candidat *SBAF* ! La tête vola à travers la salle.

"Oups. De toute façon il voulait rien entendre..."

Il continua sa quête. Finalement un répondit. Le rôdeur commençait à peine à le soulever lorsqu'il ouvrit soudain des yeux affolés à travers un visage déjà pas mal amoché :

" Ouijesuisrebel(yaaahanousvaincrons)deuxièmeétageportegauchepitiémefrappezpas!!!"
"Merci." *Zbammeuh*

Et ils partirent vers les hauteurs.

En approche du deuxième étage, Astaldo avait opté pour une approche prudente de la chose. C'est-à-dire que lui Marcel vérifiait que chaque distributeur était bien rempli et qu'il n'y avait pas de menue monnaie qui trainait par terre.

Bon, si j'en crois le prospectus trouvé à l'entrée, au deuxième c'est l'armurerie, l'infirmerie et les sales d'interrogatoires; on devrait trouver notre bonheur.

Même pas un petit bistrot :snif: ...

On trouvera bien de l'alcool pur dans une armoire à pharmacie.

Chemin faisant il passa devant un autre escalier, d'où provenait le vacarme d'une petite troupe en marche. A vue d'oreille le meneur braillait sur ses hommes au sujet d'une équipe d'incompétent et d'un caddy garé en double file qui l'attendait à la supérette du coin.

Vite, faisons les morts ! (qui a dic que l'héroïsme passif n'existait pas ? ).

Se jetant au sol et se calant la tête le plus confortablement possible sur l'abdomen de son compagnon, l'ancien marin observa la scène d'un seul oeil. Le chef de file était un semi-orc, mais allié ou pas ? Dans le doute il imita le cri du phoque d'eau douce, car seul un gentil peut reconnaître ce cri particulier :fleur: .

Ewena avait été emmenée dans une salle dite d'interrogatoire. Elle ne savait pas pourquoi elle était là puisqu'elle n'avait posé aucun problème à Lumenis. Peut-être savaient-ils pour son passé...Si c'était ça, elle était très mal partie. En tout cas, elle devait avoir une sérieuse réputation pour être escortée par autant de gardes.
A peine était-elle arrivée qu'on l'avait abandonné ici, sans aucunes explications, les mains attachées à une chaise de bois.

Depuis le départ des gardes, des bruits suspect se faisaient entendre dans les couloirs, tel que des arghhh pitié, et autre... On se battait à quelques mètres, il n'y avait aucun doute là dessus.

"Mais c'est quoi ce ****?"

Une fois les bruits un peu dissipés, et après maintes contorsions parfois douloureuses, elle se retrouva face à la chaise qu'elle put saisir, il ne lui restait plus qu'a la briser contre un mur. Elle s'appretait à le faire lorsque les bruits se rapprochèrent encore un peu plus, elle ne pouvait prendre le risque d'être remarquer...quoique, elle n'avait pas l'intention de passer le restant de sa vie ici. Elle frappa de toute ses forces la chaise sur la table plusieurs fois, jusqu'à ce que la chaise cède. La voila enfin libérée, enfin, il restait à sortir d'ici, il lui suffissait de crocheter la serrure. Après plusieurs tentatives, elle comprit que ça ne serait pas aussi facile, il lui faudrait un bon moment avant de venir à bout du mécanisme.

L'étage semblait plus calme, pour l'instant... Prudemment, le demi-orque en tête, la petite patrouille fini de gravire les dernières marches. A peine arrivé qu'un son famillier parveint aux oreilles entraînées du rôdeur. On aurait dit une balaine castrée et moitié aphone qui faisait des vocalises.

"Astaldo ! Vieux gland. Mais qu'est... euh... t'es où ? je te vois pas ? T'es mort ?"

Seul des cadavres traînaient dans le couloir. C'était asser déconcertant...

Se relevant d'un bond en entendant cette voix familière, Astaldo ne put qu'exprimer sa joie.

Daneghar ! F'est toi ? Est-fe que tu as croifé mes fecrétaires ? C'est tout fe qu'on a comme renforts ? F'est pas beaucoup, enfin, on fait comme on peut...

L'émotion aidant il ne s'était pas aperçu que le pied gauche d'une de ses victimes étaient encore dans sa bouche. Son camouflage était vraiment au point. Il recracha son accessoire sanguinolant et repris.

Content de te voir vieille branche, bon, jusque là on s'en est bien tirés avec Marcel mais il y a encore plus de monde dans les étages à venir et leur chef détient le nôtre en otage. Mais au fait, Marcel ? Maaaarceeeel ? Il est où le kiki ?

Marcel était en manque de sucettes , et quand Marcel était en manque de sucettes l'instant était grave . Avant il avait une vie quasiment normal , le jour il travaillait aux SRL et le soir il participait à des tournois de catch ou des combats de coq. Maintenant c'était quasiment pareil , sauf qu'il avait constamment une sucette à la bouche . Il avait tout essayer , la psychologie , la médecine karaturienne , les patchs que vantaient les journaux melendiens ( depuis l'arrivée d'Astaldo le marché de la sucette avait pris des proportions dantesques ) mais a bout de méthodes il était passer du côté obscur de la force et tournait aux alentours de 4 paquets par jour .

Notre héros Sucettholic était reparti dans les couloirs , direction la grande salle .

Il s'engouffra dans un dédale dont peu de personnes connaissaient l'existence , en fait il était le seul , une cachette secrète ou Marcel planquait ses reserves de sucettes .

Fort et bien audible : "Kiki ? Je suis pas ton pote non plus, he ! C'est à officier de l'armé que tu t'adresse. Et il exige un minimum de respect !"

Bas dans l'oreil du marin : "Au moins évite devant les hommes. Ca fou mal ma réput'.."

"Crétin, c'est pas à toi que je causais, mais à l'autre gorille sucettovore. Un véritable trou noir dans le budget de l'agence."

"A ok." Plusieurs des mots utilisés par Astaldo semblait un peu trop scientifique pour le pauvre demi-orque mais il avait compris l'essentiel (je crois...). "Bon, maintenant que t'es sauvé on fait quoi ? On dératise les autres étages ? Avec l'équipe qu'on a on devrais s'en sortir sans trop de problème on est bien en inferiorité numérique, on à l'aventage ( :..: )."

Marcel était arrivé au bout du couloir , il était aussi enthousiasme que si le saint graal était à porté de main . La porte était en vue , celle qui menait au tunnel , qui menait au souterrain , qui menait à la chambre forte , qui menait au coffre fort , le dit coffre fort qui contenait les paquets de sucettes de Marcel. Mais . La porte était ouverte .

Marcel bondit comme un seul homme , ce qui tombe bien puisqu'il était un seul homme . Il traversa le tunnel , le sousterrain et atterit dans la chambre forte . Un homme se tenait de dos , devant le coffre fort , qui lui était ouvert , il tenait à deux mains une coupe en or .

- RETIRE TES SALES MAINS DE LA beugla t'il tout en dégainant sa hache , tout en faisant un saut de 4 mètres de haut , tout en programmant de ne pas se faire mal en retombant .

Heureusement pour lui le voleur amorti la chute , Marcel n'avait rien mais le voleur était en pièces détachées , pas grave c'était surement un rebelle mais trop tard pour le faire avouer .

Il remit délicatement la coupe dans le coffre et le ferma à octotours , après avoir pris une petite boite remplie de sucettes , pour la route .

Puis il remonta dans les étages supérieurs , la vraie mission l'attendait

Méditant sur se déveine qui lui avait apporté et Daneghar, et Marcel; celui-ci revenait à présent en caressant un paquet de sucettes, pronoçants des ineptis sur un "précieux", Astaldo se dit que finalement on allait faire dans le simple.

Bon, je propose de faire dans le simple.

Maintenant trouver ce que ça voulait dire....

Si quelqu'un a une idée...

Non, ça marche pas si c'est lui qui propose. Aloooors, le passage en force c'est l'idée de Marcel...*GLONG*...L'encercelement par infériorité numérique une trouvaille de Daneghar...*GLONG*...La fuite une vive recommandation des hommes de ce dernier...*GLONG*...

Raaaaaaah mais comment voulez-vous que je trouve une idée géniale si un abruti arrête pas de faire ...*GLONG* quand je réfléchis ?!?

Il indiqua la porte d'une salle d'interrogations, d'où semblait venir le tapage.

Tous avec moi ! On va lui apprendre à respecter l'interdiction de tapage nocturne de nuit !

"OUAIS !!! Euh... si on tappe quelqu'un pendant la nuit, ça compte pas j'espère?"

"Mais non, on est des militaires. La loi c'est pour les moindres civils. T'y va ou pas ?"

"Ouaipe. YAAA ! BANZAI ! CARAMBA ! ALALY ! FEUER FRY ! o, puis zut..."

*ZKABLOUY* La porte volla en éclats. L'instant d'après les GLONG avaient cessés. L'instant suivant c'était un autre CRASH alors que le demi-orque s'arrétait en douceur contre le mur d'en face. Se retournant, il découvrit une masse informe étendue sur le sol.

"Euh, c'est bon, je crois qu'on a réglé ce problème là. Tu peux jouer l'infirmier. Tu pourra interroger le suspect."

S'approchant de la masse inerte, Astaldo lui sauta à pieds joints dessus.

SBLORCH

Alors, comme ça on entravait la marche victorieuse des SRL ? Voyons un peu à quoi tu ressembles...

Il se pencha et fit un rapide tour d'horizon du prisonnier.

Hmmmm...Des cheveux blonds...Un tatouage sur le côté gauche du visage qui va jusqu'à l'épaule...Des bouts de pâtes fraiches collés entre les molaires du fond...

Un horrible sentiment l'envahit.

Dis-moi, si je dis que tu es Ewena et que tu réponds que j'ai vu juste; j'ai gagné quoi ?

Ewena entrouvrit difficilement les yeux les yeux, ce n'est pas tous les jours qu'on lui saute dessus..., et soupira.

"ho non, c'est pas vrai.... dîtes moi que je rêve, je veux me reveiller! Et maitenant!"

Puis, comprenant que c'était bel et bien la réalité, elle se redressa en grimaçant. Il fallait trouver un moyen pour qu'il ne l'interroge pas...

"Astaldo? J'aurai mieux fais de rester couchée ce matin moi...Mais qu'est ce que tu fais là? Je t'ai attendue à la maison, alors c'est ici que tu preferes trainé! Ha bah bravo! Bon alors je peux avoir des explications??"

Mais avant qu'il ait pu répondre, il se retrouva à terre un bras à moitié retourné.

"Ca c'est pour m'avoir sautée dessus, t'as vraiment de la chance que je t'aime bien..."

Léchouillant le sol de la pièce l'ancien marin put quand même s'exprimer à peu près correctement.

Moi aussi je suis content de te voir; enfin façon de parler, j'ai pas des yeux dans le dos.

Voyant que Marcel était absorbé par ses sucettes et que Daneghar comptait méticuleusement ses hommes pour voir s'il en avait pas perdu un, Astaldo devina qu'il fallait se débrouiller seul sur ce coup.

Bon, pour être franc je savais qu'on allait venir vous chercher et j'ai pas voulu interférer avec les collègues ni passer pour un lâcheur à vos yeux. Promis juré je ne suis au courant de rien d'autre, je bosse comme...consultant ici.

"C'est ça, au courant de rien.... Et un consultant? Et dis moi en quoi? En décoration d'intérieur? OU alors peut-être en plantes d'intérieur? Et moi je suis en visite touristique ici! Bon maintenant ça suffit, dis moi tout de suite ce qui se passe, pourquoi je suis ici, pour toi aussi tu y es, et arrete de me vouvoyer! je deteste ça!"

De rage, elle donna un grand coup de pied dans ce qui restait de la table qui alla s'écrasser contre un des murs de la pièce.

C'est à ce moment précis que Marcel et les autres décidèrent d'aller aux waters, au cas où une envie soudaine les prendrai au mauvais moment.

Je suis consultant en équipement et techniques opérationnelles, je me charge d'équiper et de former ces hommes.

La jeune femme maintenant sa pression sur son bras, et c'était pas vraiment le moment d'attirer l'attention en la repoussant énergiquement.

Je propose que nous mettions ça de côté et que nous nous concentrions sur la mission. Soit vous venez soit vous partez mais arrêter nous ralentir à découvert !

Ewena le lacha brusquement et se redressa.

"Tu étais plus chaleureux l'autre soir..."

Elle passa la tête dans le couloir puis la rentra vivement. La situation était pire qu'elle ne le pensait.

"Bon, j'aurai besoin d'une arme, je pense qu'on ne peut plus penser sortir d'ici sans se battre...Il y a bien une armurerie quelque part non?"

Elle se demandait si elle le laissait là où si elle venait avec lui pour le surveiller.

Daneghar et Marcel étaient de retour , suivies par la bande de Village People dont l'orque était le farouche capitaine .

- Nous entamons la dernière étape de notre quête entama Daneghar , aujourd'hui nous aiderons la liberté et la gloire lumenienne à triompher ou nous périrons lamentablement comme des mouches sur un pare brise ! Mais ne vous inquiétez pas
- En résumé continua Marcel , on défonce tout et on sauve le patron .
- Zauriez pas une armurerie ? demanda Ewena , ces rustres m'ont piqués tout mon armement !
- PAS BESOIN D'ARMURERIE grogna Marcel , S'IL FAUT ON Y VA FINIT AVEC LES DENTS

Ewena trouva finalement une épée enfoncée dans l'abdomen d'un soldat malchanceux et décida de s'en faire une arme , provisoirement .

Ils partirent quand même vers l'armurerie , car Marcel avait perdu sa hache et son fléau était abimé , seulement il y avait une embûche supplémentaire sur leur chemin , un groupe d'espions rebelles( ouuuévivalarevolucionousgagneronsmesfrères)

Astaldo se releva, s'épousseta et demanda aux soldats du semi-orc d'arrêter d'imiter les cafards, ça le faisait pas dans un bureaux neuf. Et leur imitation était ratée. Quant à Marcel et Daneghar ils bavaient d'écume à l'idée de se battre...

Bon, apparemment ils sortent de l'armurerie, il doit donc y en avoir à l'intérieur. Celui de gauche a la clé de l'armoire à poison, il ne fait pas le rater. Ewena, passez derrière cette patrouille et une fois en place tuez-le pendant l'assaut de Marcel.

Il désigna Daneghar, ses hommes, et mima une porte qui s'effondre de la main avant de se désigner lui-même.

Avec le semi-orc je m'occuperai de ceux à l'intérieur. Maintenant allez Ewena, ouvrez le bal.

"D'accord d'accord, je vais faire ce que je peux avec ça" dit-elle en désignant son épée.
Quelle idée de travailler avec du mauvais matériel....pfff.

Elle s'avança silencieusement mais pourtant rapidement et se plaça comme le lui avait "ordonné" Astaldo. Personne ne l'avait remarquée, elle n'avait pas perdue la main...

Elle attendit pendant quelques minutes le bon moment, puis trancha d'un geste rapide la gorge de sa victime qui n'eut même pas le temps d'emettre un bruit. Elle recuper vite la clef tout en jetant le corps inanimé de l'homme vers ses camarades...

Alors qu'ils s'étaient déja lancés pour étriper la jeune femme ils furent piétiner à revers par un bufle lancé à pleine puissance qui hurlait : Pooooooooooour Le Comtéééééééééééé ( son fromage préféré )

Il les découpa , façon puzzle quinze milles pièces , laissant trois cadavres qui seraient une nouvelle énigme pour les criminologues .

- Heureusement que j'avais la clé , fit remarquer Ewena , vous auriez était capable de la briser dans votre élan .
Ewena faillit gouter aux joies reservées aux personnes qui ont perdus un membre de manière atroce mais Astaldo survint , empêchant sa femme de finir en morceaux .
- Bon bon , conduisons nous comme des adultes annonça t-il , Ewena donne moi la clé et allons tous ensemble nous armer pour durer un siège .
Ce point ci mettez au moins d'accord Ewena et Marcel et ils partirent tous chercher assez de matériel pour ouvrir une forge

Pendant que Marcel braillait ses goûts culinaire et qu'Ewena lançait des regards noirs, Astaldo et compagnie avaient pacifié l'armurerie à grands coups de lame. La tâche fut rude, le seul ennemi, un aveugle sourd-muet manchot et cul de jatte leur tounait le dos et ils eurent grand peine à le terrasser.

Bon, il ne ne nous reste que l'embarras du choix, servez-vous mes amis. Moi j'ai trouvé mon bonheur.

Sur ce il échangea son épée récupérée sur un traître contre son sabre fin de marin que l'ennemi avait entreposé là.

Ewena se dirigea vers l'armoire à poisons et hesita quant à celui qu'elle allait prendre, elle finit par tous les mettre dans un sac qui tranait dans la pièce... Puis, elle alla prendre deux long poignards.

"Mouais, pas mal pas mal, vous êtes quand même pas trop mal équipé vous ici."

La jeune assasin une fois équipée s'approcha d'Astaldo.

"J'ai comme l'impression que tu m'en veux, mais bon on en reparlera plus tard n'est ce pas?"

Astaldo posta Daneghar et ses hommes dans le couloir, adressant un vague sourire mesquin à la jeune femme.

Mais j'y compte bien mademoiselle. Il semblerait que vous ayez des comptes à rendre.

Il tapotait du bout des doigts le parchemin sur lequel étaient retranscrit les soupçons qui pesaient sur elle. Devant les yeux d'Ewena il le fit brûler en souriant.

Notre petit secret ? Marcel, dépêche-toi de choisir s'il te plaît, c'est mal famé ici.

Marcel était au paradis du petit barbare , comme un gosse dans un magasin de jouet , qu'allait t'il prendre ? Son choix allait t-il se portait vers une hache qui faisait DZOING quand on la cognait contre quelque chose , une épée à lame bicolore , rose et verte , un arc en chocolat etc etc . Il prit finalement une nouvelle hache qui avait la particularité de donner l'heure et une épée à deux mains qui en plus de parler ( 4 langues , près de 400 mots , des phrases simples , écran LCD digital , 450 PO dans tout les bons magasins ) pouvait chanter l'hymne lumenien en orque bourré ( euphémisme ).

Pour aller avec ça il prit une armure fluorescente et un casque invisible , très utile pour continuer à discuter avec ceux de son groupe

Une fois tout le monde équipé pour l'après-midi (en fait on était plus près de minuit que du goûter mais bon...), la petite compagnie progressa sans peine dans le reste des couloirs et gravit un étage en plus pour arriverà celui dédié à l'administration principale, qui s'occupait surtout des messages entre le gouvernement et le siège.

Je propose que l'on se sépare pour le moment, avec un peu de chance nous trouverons des officiers qui n'ont pas trahit la cause. Marcel, guide Daneghar et ses hommes, je prend Ewena avec moi.

Chaque bureau avait été saccagé et il arrivait que quelque fois on retrouvât son propriétaire mort à son poste. Le crépitement d'un feu et la lueur rougeoyante de flammes dansant en un brasier se répercutaient dans le couloir. Le petit groupe de fidèle, hormis Ewena dont on ne savait pas trop quoi faire, se rapprocha et entra carrément dans le bureau, l'amre au poing. Libra s'y trouvait et incendiait méticuleusement des piles de papiers classifiés.

Libra ? Mais qu'est-ce que tu fais ? Rejoins-nous vite, il faut aller secourir le patron et une lame de plus n'est pas à refuser.

La jeune femme émit un gloussement amusé.

Mon pauvre Astaldo, ton maître a été le premier à mourir quand nous avons investit les lieux, et maintenant je termine le travail de paperasse pendant que nos hommes font le vide dans cette boite. Il ne faudrait pas que les noms de nos alliés soit retrouvés un beau jour...

Mais pourquoi ? Tu travaillais pour le gouvernement, comme moi...

Et tu étais toujours devant moi ! Alors que j'ai plus de service actif qu'un jeunot comme toi ! Toujours dans l'ombre la Libra, toujours pour elle les corvées ! Mais maintenant c'est fini, je suis le bras droit de l'homme qui fera de cette bande d'incapables un service vraiment efficace !

Si tu le dis, mais on est quand même dix contre toi, et peu de lois s'appliquent en ces murs, hormis les nôtres. Et la peine de mort est la punission des traîtres.

Devenue pâle elle poussa un cri de désespoir et une poignée de traîtres, qui devaient faire le même travail de crémation qu'elle, vint à son secours. Quatre chargèrent le groupe du semi-orc tandis que deux s'enprenaient à Marcel et deux autres à Ewena; le laissant seul face à Libra.

Mort aux traîtres compagnons ! Tuons ces chiens !

La lutte repris dans l'espace confiné des couloirs.