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Posté : dim. 22 oct. 2006, 15:46
par xena
Posté : mar. 24 oct. 2006, 19:12
par Ratbleu
Au 13ème siècle, Gênes et Venise sont les villes commerciales les plus puissantes de la Méditérrannée. Leur rivalité était une guerre qui n'empêcha malgré tout ni l'une ni l'autre de prospérer.
Une fois de plus parmi tant d'autres, un navire de guerre Gênois s'empara d'un bateau de commerce de Venise et ramena l'équipage et sa cargaison à Gênes pour les échanger ou les revendre à son rival. C'était une méthode de bonne guerre de l'époque. (Peu de morts, beaucoup d'argent à la clé, presque pas de pertes, bref, c'était "tout bénèf"). Parmi les prisonniers qui furent amenés dans les cachots de la ville, il en fut un qui raconta des histoires extraordinaires lors de son interrogatoire. A tel point que le clergé fut convoqué et qu'un scribe fut assigné par les autorités pour mettre par écrit tout ce que ce mystérieux vénitien avait à dire.
Lorsque cet incroyable narrateur eut terminé de raconter ses inimaginables fantaisies, ou bien qu'il ait été interrompu par les autorités parce qu'ils en pouvaient plus de l'écouter(:rigoler
, le document écrit fut soumis au pontes du clergé qui séparèrent le "bon grain de l'ivraie" et tentèrent de classer historiquement les multiples histoires avant de le redonner. (En effet, le prisonnier raconta son histoire en rajoutant à n'importe quel moment une anecdote, un épisode historique, une précision sur un épisode précédent, une allusion sur un épisode pas encore abordé ou un élément culturel d'un autre lieu.)
Ceux qui eurent la possibilté de lire son livre ont ri à gorge déployée et s'émerveillèrent de la formidable imagination de l'auteur.
A tel point que lorsqu'il fallut nommer l'ouvrage, il l'intitulèrent : "Il Milione" (Le Million), à cause du nombre incalculable d'histoires dans l'histoire.
Le narrateur était Marco Polo...
Posté : dim. 12 nov. 2006, 19:42
par Ildieren Corsonnant
Je sais pas si on peut classer ça comme historique mais c'est assez drôle et ça se passe de nos jours
:
Microsoft sert à quelque chose:
Un hélicoptère volait au dessus de Seattle hier quand une anomalie électrique a mis hors circuit tout l'équipement pour la navigation électronique ainsi que tout l'équipement destiné aux communications de l'appareil.
En raison des nuages et du brouillard, le pilote ne pouvait plus déterminer ni sa position ni son trajet jusqu'á l'aéroport .
C'est alors que le pilote voit un grand building, il vole en sa direction, fait une première rotation, puis voyant des gens á la fenêtre, fait du vol stationnaire. Ensuite, il fait des signes de la main pour se faire comprendre des gens de l'immeuble et il leur demande: "OU SUIS-JE".
Les gens dans l'immeuble répondent trés rapidement au pilote: Avec de grands gestes ils disent: "VOUS ETES DANS UN HELICOPTERE"
Alors le pilote sourit, regarde sur sa carte et détermine sa route jusqu'á l'aéroport oú il atterit sans aucun problème.
Une fois sur la terre ferme, le co-pilote demande á son pilote comment il a réussi à retrouver sa route:
Le pilote lui répond: "Ce building ne pouvait être que celui de MICROSOFT car, comme pour leur assistance téléphonique, ils m'ont donné une réponse techniquement correcte mais sans aucun intérêt. "
Posté : mar. 14 nov. 2006, 21:00
par Althéa
Bon ... après la bourde commise avec la papesse Jeanne (il parait qu'ils avaient pas vérifié que c'était vraiment un homme), on aurait décidé que le nouveau pape, avant son ordination s'asseyait sur une chaise percée et qu'un gars prédisposé était chargé de tâter pour vérifier que le pape était ubi et orbi fermement couillu ...
Posté : mar. 14 nov. 2006, 23:17
par doc denfer
oui il y en a eu des croquignoles avec les papes. notement un (une) qui a acouché en pleine procession. je ne sais plus si c'est l'insident qui a déterminé l'utilisation de la chaise persé mais c'est comique quand même.
dans les grandes citations amusantes. en 480 AV-JC Léonidas, roi de spart, était a la tête des armées grec au début de la deuxième guerre mèdique. il rencontre xéres, roi des perses pour lui signifier sa volonté de se battre et repousser l'envahisseaur. Xérès se gausse. il dispose de 900.000 (neuf cent milles !!!!) hommes et les grec de 5 a 6000 hommes levés en hate.
Xéres: "nous couvrirons le ciel de tellement de traits que nous cacherons le soleil !"
Léonidas: "parfait. ainsi nous combatrons a l'ombre"
la battaille eut lieu aux thermopiles et vit la défaite des grecs réduit a 600 aprés que le roi ait envoyé le gros de l'armée formé une deuxième ligne de défense et rejoindre des renforts. les sparts et leurs auxiliaires tinrent trois jours avant d'être vaincu par traitrise.
ce délais permis a l'armée grec de se regrouper et de chasser les perses. un filme vas sortir d'aprés une nouvelle graphique de Frank Miller en mars sur cette bataille.
http://300themovie.warnerbros.com/
une autre petite sur jule César. en débarquant a cartage, sans doute a cause du mal de terre, César trébuche et tombe en descendant de bateau devant ses légions rassemblé devant lui. ce présage terrible risque de lui couter cher. rome est en guerre civil et l'afrique une conquète vitale pour assoire son pouvoir sur la républic moribonde. la battaille de Tapsus (c'est pas une blague) qui se profile verra la réussite ou l'échec de sa sédition face aux derniers sénateurs. un tel signe des dieux ne saurait être ignoré!! il étend alors les bras et baise le sol du quai et s'écrie
Afrique!!!! je te tien enfin!
grace a cette réplique, ses homme gradirent leur foi en leur chef et écrasèrent la dernière armée du sénat.
Posté : dim. 19 nov. 2006, 02:25
par kunu
A la fin de la guerre franco-allemande de 1870, les prussiens (ou allemands, 'me souviens plus trop...enfin, dans le cas present, ca n'a que peu d'importance) onc exigés, comme butin de guerre, de l'or. Beaucoup d'Or. grosso modo 25% du PIB de la france a l'époque. Et, dans une magnifique poussée d'orgeuil dont nous avons le secret, les dirigeants de l'époque ont décidés de payer. En UNE fois....
en gros, en 1872, l'allemagne a eu une croissance de plus de 25% (enfin, si le PIB allemand était égal au PIB francais)...et, en 1873...ben, retour a la normale...alors je sais pas si vous envisagez le graphique, mais ca fait un gros pic et une grosse retombée...et, c'est bien connu, plus on monte haut, plus ca fait mal (pour des raisons macro-économiques que j'aurais du mal a expliquer clairement ici...grosso modo, c'est comme si d'un coup, les prix montaient de 25%...ca ferait mal, hein)...d'autant plus que en 1873, c'est la grande depresion...
Et, si je ne m'abuse, Bismark a dis quelque chose comme "la prochaine fois que nous gagnerons contre la france, nous exigerons de leur payer un tribut"
y'a pas a dire, l'orgueil national est une bien belle chose