[Délire] Soirée discooooo !

[QDI]

Remarquant que plus personne ne prêtait attention à ses explications sur les différences fondamentales entre Markovnikov et Polikarpov et qui suffisaient selon lui à expliquer le goût particulier de la bière décida que cette soirée lui permettrait au moins de tester l'une de ses dernières découvertes : il versa dans sa chope quasiment pleine le contenu d'un sachet tiré de sa poche, la laissa en évidence sur une table proche et rentra se coucher, se promettant de demander le lendemain des nouvelles au tenancier.

HRP : La prochaine personne qui buvra dans ce verre sera forcée de s'exprimer en vers jusqu'à la fin de la soirée, si ça intéresse quelqu'un Moi je vais me coucher

[Mekren le maudit]

"Oooooh, mais c'est qu'il est mignon comme tout, le pauvre petit, perdu dans la ville des méchants pas beaux."

Vint-il roucouler à Rodriguez. Oui, parce que bon, il était le premier sur ce coup là, n'est-ce pas, c'était un peu facile de sortir le mélo tout de suite. Dragueur du dimanche, va. Les moustaches de bière sont une approche tout de même beaucoup plus raffinées.

"Mais dansons, très chère, dansons. L'alcool a tendance à donner de belles choses lorsqu'on l'associe à cet art esthétique qu'est le mouvement des corps en rythme."

Il se resservit une gorgée.

"Allez, on va sur la piste.
Il est temps qu'on aille à la feste.
Hein? C'est quoi ça?
Pourquoi j'ai dit feste, là?
Mon dieu, je versifie.
Mon dieu, trouver, vite, une rime en fie.
Hips.
Ah, zut... Heu, vous avez bien un familier qui s'appelle Alyps?
Une intutition.
Poil au ballon."

[Eliaëdel]

Elle a levé le sourcil. Souri. Hésité un instant entre lui faire ravaler ses propos ou ses bijoux de famille. Avant de préférer purement et simplement ignorer le bonhomme.
Elle s'est tournée vers la femme, avec une prestance presque royale.

"Le plaisir est partagé, madame."

Même si elle ne le pensait pas vraiment. Mais, quitte à mépriser encore plus le gêneur, elle a poursuivi, la sincérité dans le ton, même si elle bouillait intérieurement.

"Mais, il est agréable de se retrouver en compagnie d'une femme charmante. Je dois dire qu'il n'y en a pas beaucoup, et cela me désole."

[Dreiyan]

Et soudain, dans tout ce brouhaha, la porte de la taverne s'ouvrit avec fracas... ©

Bon, pas vraiment avec fracas en fait... en faisant un peu de bruit, tout de même, mais pas trop. Ce qui suffit à faire se dresser l'oreille d'un bon nombre de clients de l'auberge. L'homme qui venait d'entrer déçu ceux qui avaient, après avoir dressé l'oreille, tourné la tête en sa direction. C'était quelqu'un de banal, finalement. Rien d'extraordinaire. Il était vétu d'habits roses fluos ou bien bleu turquoise flashi le tout parsemé de paillettes multicolores, bref, comme tout le monde dans une soirée disco. Dreiyan, qui avait fait un tour chez le couturier pour l'occasion, voulait se fondre pleinement dans la foule pour profiter de l'événement comme monsieur et madame tout le monde, bref, parmis le petit peuple, le "Dorrandin d'en bas".

Il traversa donc d'un air de connaisseur des lieux la taverne, avant de réaliser que la majorité des fêtards était aglutinée autour d'une seule et même table. A coup sûr, c'étaient là les figures de proues de la "jette-sept" locale qui passionaient ainsi la clientèle. Désireux de se faire connaître de l'élite locale, et espérant secrètement se faire graver en compagnie d'une personnalité locale, Dreiyan s'approcha donc de l'attroupement, au sein duquel il s'inséra aisément en poussant allégrement sur le côté deux clients, et écartant ainsi la foule tel Moïse séparant les flots de la mer morte. Il accompagna son entrée fracassante dans la vie de Melandis by night d'une fracassante réplique (vous remarquerez que sa voix a subit un petit lifting pour l'occasion) :

"Hey les cocos! Alors, ça s'passe comme vous voulez? Comme l'aurait dit mon grand père si l'allegresse va, tout va!"

[Lies]

"Oh Rodriguez, profitons de la soirée ! Nous verrons après pour la nuit à l'hôtel ! Tu ne me mettras dans ton lit rapidement cette fois c.. Euh rien...

Mais ? Très cher Mekren ? Qu'avez-vous donc à parler ainsi ? Oui j'ai bien un familier du nom d'Alyps, il garde Julian pendant que je m'amuse ici !"

Lies regarda la femme :

"Vous vous appelez comment ?"

Et elle la tira par l'oreille vers la piste.

"Viens là ma belle ! Et dansons !"

[Rodriguez Alcanzar]

Rodriguez se retourna et regarda en direction de Mekren, l'oeil vide.


Qui... qui me parle ? Bon... je croyais qu'on me disais quelque chose. Où en étais-je ? Ah oui. L'hôtel attendra un peu pour ça très chère. J'osais te demander de danser sur cet air avec moi. Acceptes tu, Lies ?

Lui dit-il, avec une regard plein de passion.

[Elzen]

Ah, visiblement, la piste de danse se réveillait enfin. Posant son verre avec un regard dédaigneux vers tous ces gens qui n'avaient pas l'air de tenir particulièrement bien l'alcool, Dilliam s'avança au centre de cette dernière, et, d'un mouvement ample, rejeta sa cape en arrière, déployant ses deux magnifiques ailes. Il tendit dans le même élan la main vers les deux femmes qui arrivaient.

"L'une de vous souhaiterait-elle m'accompagner dans cette danse?"

[Lies]

Lies regarda Rodriguez et lui fit comprendre qu'elle était déjà sur la piste.

"Oh bien sûr monsieur ! On peut même se faire plusieurs danses. Mais avant, j'ai promis cette danse à cette demoiselle. Ne m'en veuillez guère ! cela dit... Je vous présente Rodriguez Alcanzar, dansez donc à deux !"

Elle entraîna Eliaëdel vers le milieu de la piste et commença à danser un slow avec elle.

"Je ne sais pas si c'est l'alcool ou quoi, mais j'te trouve mignonne toi..."

[Agrippa]

Agrippa venait successivement de voir une choppe bien pleine lui passer sous le nez sans que personne ne daigne la lui donner, puis un gnome visiblement pressé d'être ailleurs l'ignorer royalement, avant qu'un parfait inconnu en tenue pour le moins couleur locale ne lui marche dessus - au sens propre, le clerc ayant été étendu de tout son long par un coup de coude au plexus solaire distribué par l'homme en question.

l'allégresse, qu'y disait. Ben ça, pour de l'allégresse, c'est sûr que ça va... bougonna le prêtre étonné d'être encore vivant, mais toujours diablement assoiffé.

[Kasumi]

S'adressant à son amie elfe : - Ah ben tiens, tu danses avec des femmes aussi la bouffeuse de salade, tu ne vas pas rejoindre ta demie portion ?! Tu veux peut être qu'on te guide pour ta première fois ?

HRP : désolé mais ce n'est vraiment pas quelqu'un de délicat.

[Duo]

Constatant que Rodriguez se faisait abandonner par Lies, Duorok s'approcha de lui en buvant sa bière.

"Je vous connais pas vous. Z'êtes pas de Melandis, et vous devez pas être de Lumenis. Les Luméniens viennent rarement ici, ils ont peur de se faire manger. Peur justifiée d'ailleurs, héhéhé. Z'êtes qui ?"

[Mekren le maudit]

Mekren finit sa choppe et en entama une autre. Lorsque le drow avariel se révéla, Saedan prit possession de son esprit et servit alors un discours bien incompréhensible:

"Hey! Un avariel bête!
On joue à Baldur's Gate?
Mais cette fois
on lui coupe les c**** car ma foi
vu que c'est un mâle,
Et la voix sera plus proche de l'originale."

[Elzen]

Bon, voilà que l'une de ces deux filles semblait beaucoup plus interressée par l'autre fille. Eh bien, la danse serait dans ce cas pour plus tard. Pour l'instant, il lui semblait d'ailleurs avoir un compte à régler avec la chose qui se permettait d'insulter le monde pour seulement deux verres de travers. Ça ferait d'ailleurs peut-être remonter sa cote... Sans trop savoir pourquoi, peut-être pour continuer sur sa lancée précédente, il s'improvisa un ton hautain et noble. [HRP/ Kasumi, gare à toi si tu suis pas!]

"Taranis! Du respect quand on parle aux femmes, manant, surtout quand elles sont si peu nombreuses! Implorez pardon, ou vous devrez tâter de ma botte!"

[Rodriguez Alcanzar]

Content d'avoir snober Mekren, mais déçu que Lies danse déjà avec quelqu'un, une femme en plus, il n'eut d'autre choix de se retourner vers ce qui ressemblait fort à un orque.



Qui suis-je ? Je me nomme Rodriguez Alcanzar, et effectivement, je ne suis d'aucune de ses villes. je suis de Manost, je suis fonctionnaire. mais j'ai habité Mélandis autrefois. Vous devez être nouveau dans le coin. Comment vous appelez vous ?


Il se retint un instant de respirer, essayant de s'habituer aux effluves de l'orque.

[Dreiyan]

Dreiyan revint rapidement à la réalité: il ne pouvait se faire une place dans le chaud bise local si il maltraitait ainsi les clients de la discothèque! Confus, il se fondit en excuse et se pencha vers Agrippa, et lui agrippa l'épaule (oui c'était facile...) afin de l'aider à se redresser. Ce faisant il remarqua les habits cléricaux du personnage. Puis il remarqua... ce blason, mais ce blason... ce n'était tout de même pas.. mais si, cela lui rappelait quelque chose... un Luménien! Un Luménien, ici! Et un prêtre Luménien qui plus est! Ce pouvait très bien être un Lathandrien... ô sainte horreur! L'instinct prit donc le relai de la conscience et Dreiyan s'exclama:

A moi mes frères! A moi, Melandiens! Nous sommes attaqués! Aux armes! Aux aaaarmes! Des Luméniens ont investit les lieux! C'est une ruse! C'est un piège!

Il n'avait pas finit d'allerter ses compatriotes du danger qu'il avait déjà commencé à assaillir l'assaillant, et sautait maintenant à pieds joints sur le corps allongé d'Agrippa. Et si j'ai omis de préciser que le mélandien était chaussé de talons hauts, c'est sans doutes parce que ceux-ci étaient couverts par des pattes d'éléphants verts fushia.

[Kasumi]

A Arkseth - Viens-y donc pourceau, je vais t'apprendre une danse duergar : tu verras, tu prendras vite le pas quand je t'aurai enfoncé ta botte dans le seul endroit plus noir que mes cavernes natales !! Va plutôt t'amuser avec le gnome, il se sent seul, tu as toutes ttes chances !

[Elzen]

Bon, il semblait qu'un autre de ces poivrots semblait vouloir lui faire subir le supplice d'Abélard. Sanguin, Dilliam récupéra sa chope derrière lui et la lança du même geste dans les parties intimes du maudit.

"Voici pour les tiennes, ivrogne, et si tu tentes de faire un geste vers les miennes, nous verrons qui de nous deux vole le mieux avec la propulsion adéquate."

Puis, s'avisant que la chose infâme avait osé lui addresser la parole au lieu de s'excuser, Dilliam déploya ses ailes et s'éleva au dessus du sol, venant se placer juste au bon endroit pour couvrir d'ombre le nabot.

"Je perds patience, court-sur-pattes! Des excuses, vite, ou les coups vont pleuvoir!"

[Duo]

Duorok recracha la gorgée de bière qu'il buvait quand il entendit la réponse de Rodriguez. Le manostien était maintenant couvert de bière et le demi-orc riait fort.

"Bwahahaha hahahahahaha ! De Manost ? C'est amusant ! Et vous appellez ça une ville ?"

Il finit sa chope d'une traite pour se calmer.

"Nouveau ? Nooon monsieur. Cela fait déjà plusieurs années que je réside ici. Je suis Duorok Gutrash, prêtre d'Umberlie et dirigeant de la guilde de mercenaires, Zaefal !"

Alors que, par principe, Duorok s'apprêtait à foutre une torgnole à Rodriguez, il entendit l'appel aux armes de Dreyian. Son sang ne fit qu'un tour et imitant le Talossien, il sauta à pieds joints sur Agrippa.

[Rodriguez Alcanzar]

Il s'essuya à l'aide de sa cape les projections de bière qu'il reçut de la part de l'orque puant. un Orque prête de je ne sais qui, encore un cinglé, se disait-il, il n'y a que ça dans cette ville.


Il rejoignit Lies qui dansait avec son amie, la protégeant de toute attaque possible envers elle.

[Kasumi]

- Tu veux goûter à mon gourdin : on le surnomme mille excuses dans les contrées civilisées !!! Il a appris à autant de freluquets de ton espèce à dire merci avant de se moucher. Si tu ne veux pas que je te fasse pleurer, vas plutôt tenter ta chance avec ces dames, avec un peu de chance, tu parviendras à les assomer avec ta grande gueule, elles sont bien maigrichonnes.

[Agrippa]

Ah... on y était donc. Quelqu'un avait fini par remarquer qu'il existait, et pour comble de malheur, ce n'était pas le barman, mais un brailleur invétéré.
Recroquevillé du mieux qu'il pouvait, le clerc tentait de ne pas mourir étouffé sous le poids du monstre à peau verte qui prenait maintenant un malin plaisir à lui danser dessus.

Une ruse, certainement pas, un piège, peut-être, mais une sacrée soif, alors ça OUI!!! hurla-t-il du plus fort qu'il put.

[Eliaëdel]

Une envie nette de frapper la jeune femme -même si elle était fort jolie- . Elle s'est contrôlée; juste au dernier moment. Et, faisant contre mauvaise fortune bon coeur, elle s'est laissée faire. Ce n'était pas déplaisant en fin de compte. Même pas déplaisant du tout.

Peu après, alors que subitement, la situation semblait avoir curieusement dégénéré -hasard, quand tu nous tiens- en un début de cohue, un autre homme s'est approchée d'elles, alors que la danse se poursuivait.

Et, l'air de rien, un pied innocemment placé l'a fauché, l'envoyant par terre.

[Elzen]

C'en était trop. Dilliam, de quelques battements d'ailes, revint saisir une chaise, puis, prennant bien soin de se mettre aussi loin du sol que possible, la lança de toutes ses forces sur l'insolent. Après quoi, satisfait, il revint se poser sur la piste et commença à danser.

[Mekren le maudit]

Mekren reçut la choppe entre les jambes mais cela ne l'ennuyait pas du tout, il s'était coupé à temps des centres nerveux de la douleur.

"Oh, l'emplumé,
T'as raté ton coup, tu sais
Eh, Duergar, t'es costaud, ce me semble.
On se fait un roti d'elfe ensemble?"

Ayant dit cela, il fit craquer ses phallanges.

[Duo]

Tout en dansant sur un air funky et sur le corps d'Agrippa, Duorok commença à agiter ses bras autour de lui.

"
Ah Aaah
Ah Aaah
Voiles sur les filles de joie
Barques sur la Houleuse
Je suis dans ta taverne
Je suis dans tes bas
Melandis Melandina
Melandis où les meurtres dansent avec la mort
J'ai plus d'appétit
Qu'un Troll des bois
Je boirai toute la bière si tu n'me retiens pas
Je boirai toute la bière si tu n'me retiens pas
Melandis
Melandina
Melandis où les elfettes dansent au fond des draps

Ce soir j'ai de la bière et toi tu meurs de soif

Les elfettes du port de Meeeeelandis
Chantent encore la même mélodie wowo
La lumière du phare de Melandiiiiis
Fait naufrager les gobelins de ma jeunesse."

[Lies]

Lies commençait à voir que l'atmosphère se chargeait de plus en plus. Il y avait les rivalités entre homme sobre et homme saoul mais aussi entre Melandiens et Lumeniens. Même après un long voyage, ils arrivaient encore à trouver la force de se chercher les uns les autres. Lies ne comprendrait donc jamais rien aux hommes et à leurs joies non dissimulées de se cogner les uns les autres.

Quand Rodriguez voulut les rejoindre, Eliaëdel l'envoya valser d'une puissance que cela en fit rire Lies. Bon l'alcool aidant aussi. Mais elle ne rit pas longtemps voyant que ca cognait sec à côté.

Elle tira Eliaëdel vers elle et l'entraîna dans un coin replié de toutes engueulades. La piste de danse devenait infréquentable à cette heure de la nuit où les hommes avaient trop bu.

"Ah quels mauvais garçons ! Toujours à boire... Ils cassent toute l'ambiance."

Regardant Eliaëdel qui ne semblait pas contente, elle avança ses lèvres vers les siennes. Un moment de répis au milieu d'une bagarre, ca ne ferait de mal à personne.

[Kasumi]

Avec un clin d'oeil complice à Mekren, le duergar se précipita vers Dilliam à une vitesse inimaginable pour un être de si petite taille et le chargea au niveau des genoux ce qui les précipita tous deux au sol. Un avantage ceratin pour la petite brute qui avait l'habitude de voir les parquets de très près.

[Dreiyan]

Et hop une fois le sternum... et hop une fois les poumons... et hop une fois le foie... et hop une fois les... euh non, il y a des choses qui ne se font pas, même à un Luménien.
Ainsi, Dreiyan ne se contentait pas de vulgaires coups données au hasard, mais ciblait ceux-ci. L'affaire devint plus aisée lorsque Duorok vint à la rescousse, et le talosien se poussa un peu pour faire de la place au demi-orc, parce qu'un Luménien, quand on est quelqu'un de bonne éducation, ça se partage. D'ailleurs ce demi-orc ne lui était pas particulièrement étranger. Entre deux sauts, il se prenait à le dévisager. "Mais oui, mais c'est bien sûr!" s'exclama-t-il intérieurement après un court instant. La vue de Duorok lui rappelait un vague souvenir d'odeur d'égouts, sans doutes celui-ci devait-il travailler à la voirie. Se disant qu'il s'agissait peut-être d'un personnage important, il choisit d'engager la conversation.

Et vous venez souvent i...

Dreiyan fut interromput par l'envolée lyrique du demi-orc qui apparament n'en était pas à sa première bibine... et il dansa donc avec encore plus d'entrain, ses jambes comme enchantées par les paroles mélodieuses. Sans doutes un profond et puissant instinct enfoui au fond de lui même le poussa à répeter les quelques paroles suivantes, sa voix montant vers les aigus:

"Trolleuuhhh des booooas!"

Et ainsi joyeusement ils piétinèrent, encore et encore...

[Mekren le maudit]

Le Maudit sauta sur Dilliam en même temps que le nain, et pendant que tous deux étaient au sol, s'amusa -après l'avoir vidée, bien entendu, il ne fallait pas perdre- à coller des coups de chope sur la tête de l'avariel drow. C'était très détendant, mine de rien.

Il s'arrêta de frapper lorsqu'il vit Lies essayer d'embrasser Eilaedel. Non, mais le lesbiannisme, c'était bien, mais seulement quand il y avait un homme avec, sinon, il n'y avait personne pour profiter du spectacle. Triste, tout de même. Tiens, pour se venger de Lies, il se remit à cogner à coups de choppes sur sa victime, chantonnant en choeur avec Duorok même s'il ne connaissait pas les paroles.

[Elzen]

"Enfin quelque chose d'amusant!"

Dilliam avait roulé au sol en même temps que le duergar, en profitant pour tenter (sans trop savoir s'il avait réussi ou non) d'envoyer la tête de celui-ci rencontrer le bar. Il se releva promptement, sa double-lame à la main."

"Ce n'est pas la danse que j'espérais, mais cela fera peut-être passer quelque peu le temps... Eh bien, messieurs, voyons ce que vous valez!"