Posté : lun. 09 févr. 2015, 07:07
Co...co...comment ? Il y aurait de la fraude fiscale en France !? Encore la faute des islamistes à tous les coups.
RPG, Roleplay, Actualités, Mods, Traductions. De la Porte de Baldur aux confins de Féérune, la Couronne de Cuivre est incontournable !
https://www.baldursgateworld.fr/
Et hystérie collective ? et là, je parle pas des réseaux sociaux, hein... je parle des gens qui appuient sur la détente...Mornagest a écrit :Trois musulmans tués aux États-Unis parce qu'ils étaient musulmans, et personne n'en parlait avant que les réseaux sociaux ne s'enflamment...
Différence de traitement.
Un peu dur de juger. Comme bien souvent, les spectateurs que nous sommes n'avons que les conclusions et les déclarations des uns et des autres, mais personne ne pipe mot du fond des tractations en cours qui sont certainement beaucoup plus compliquées qu'un simple rééchelonnement du remboursement de la dette.Smidge a écrit :A part ça, le mur européen devant l'espoir grec aura-t-il raison du gouvernement fraichement élu... ?
Héééééé, mais attendez ! Moi j'ai toujours cru qu'on avait une assemblée nationale (oui, vous savez les vieux qui s'assoient tous en cercle, et donc certains lisent des magazines ou bavarde pendant que les autres parlent ! ) qui servait à débattre des lois... Mais en fait, nooooon ! On nous aurait menti ?Smidge a écrit :Loi Macron, premier volet : entérinée aujourd'hui... en théorie ?
Smidge a écrit :A part ça, le mur européen devant l'espoir grec aura-t-il raison du gouvernement fraichement élu... ?
Donc j'en déduis que l'aide au plus démuni, c'est de la merde, les réformes fiscales aussi, la fin des privatisations aussi... Casquer pour des conneries, apparemment c'est pas de la merde par contre. Ras le bol de cette logique bassement consumériste... mais aussi irréaliste...Inacceptable pour M. Varoufakis, qui demande depuis au moins quinze jours à bénéficier d'un « plan de transition », afin, pendant trois ou quatre mois, de négocier un « nouveau contrat » entre la Grèce et ses principaux créanciers, les dix-huit autres pays de la zone euro. Avec pour objectif la mise en place des réformes contre l’austérité promises par le parti Syriza (aide humanitaire aux plus démunis, réforme fiscale, fin des privatisations, etc.).
Pour le coup, Sarkozy n'a pas grand chose à montrer. La dernière fois que la 49-3 a été brandie, c'était en 2006 donc avant Sarkozy.Ailyn a écrit :Héééééé, mais attendez ! Moi j'ai toujours cru qu'on avait une assemblée nationale (oui, vous savez les vieux qui s'assoient tous en cercle, et donc certains lisent des magazines ou bavarde pendant que les autres parlent ! ) qui servait à débattre des lois... Mais en fait, nooooon ! On nous aurait menti ?
Le parti socialiste devrait peut-être arrêté de s'inspirer comme ça de la sauce Sarko, parce que ça va pas leur réussir... En revanche, le Front National va peut-être toucher le gros lot lors des prochaines élections .
De toutes façons, à part tous protéger leurs petites chaises, leurs intérêts et leur pognon (Valls et Macron les premiers), ils font quoi ces gens ? L'harmonie dans la vie des citoyens non, en revanche, le fric, y en a toujours pour dire oui... Quelle pitié de voir cette instrumentalisation de la politique...
Va dire ça aux espagnols qui ont prêté 26 milliards, et souhaitent recouvrer leur argent.Donc j'en déduis que l'aide au plus démuni, c'est de la merde, les réformes fiscales aussi, la fin des privatisations aussi... Casquer pour des conneries, apparemment c'est pas de la merde par contre. Ras le bol de cette logique bassement consumériste... mais aussi irréaliste...
Pas besoin d'être devin pour le savoir. Les politiciens font de la politique...heu non pardon je veux dire des avantage pour eux. Le peuple, ils s'en foutent et c'est pareil quelquesoit le gouvernement que l'on aura. Ha non pardon,je me trompe à nouveau, ils aiment les banques et les riches. Et comme il faut trouver de l'argent, c'est sur le reste du peuple qu'on le prélève. Après, les partis politiques s'étonnent de ne pas être appréciés par les citoyens.De toutes façons, à part tous protéger leurs petites chaises, leurs intérêts et leur pognon (Valls et Macron les premiers), ils font quoi ces gens ? L'harmonie dans la vie des citoyens non, en revanche, le fric, y en a toujours pour dire oui... Quelle pitié de voir cette instrumentalisation de la politique...
La grêce s'en fout. Si elle ne veut pas rembourser, elle sortira de l'euro et l'UE l'aura dans l'os. Mais pour le moment, les dirigeants européens jouent à une partie de poker menteur.Va dire ça aux espagnols qui ont prêté 26 milliards, et souhaitent recouvrer leur argent.
La Grèce est loin de s'en foutre. Si elle ne rembourse pas, elle n'aura plus la confiance des banques et ne pourra plus emprunter à des taux négociées.Streen a écrit :La grêce s'en fout. Si elle ne veut pas rembourser, elle sortira de l'euro et l'UE l'aura dans l'os. Mais pour le moment, les dirigeants européens jouent à une partie de poker menteur.
La Grèce est loin de s'en foutre. Si elle ne rembourse pas, elle n'aura plus la confiance des banques et ne pourra plus emprunter à des taux négociées.
Et sans emprunt, adieu les promesses de campagnes (dont le financement s'élèverait à 12 milliards). Où crois-tu que le gouvernement grec va trouver les sous pour financer la chose ?
Mais il y a en effet un risque pour qu'elle ne rembourse pas en effet, et derrière effet boule de neige avec l'Espagne, l'Italie, le Portugal... au final c'est l'Europe qui trinquera et l'Europe c'est qui ? C'est nous.
C'est tout à fait ça.Non, ce que font Hamon et les frondeurs sont des manœuvres politiciennes à mon sens - il ne fait que se positionner à la gauche du PS, laissée vacante par Montebourg et Aubry, avant le prochain congrès du PS. Bref, de la politique politicienne.
Et pourtant, les données sociales ont fait plonger la grèce au niveau de la Lituanie, et cela aura des conséquences sur des générations entières (familles brisées, déscolarisation, maladies, etc.). Ce n'est pas un pays du tiers monde mais on en est franchement plus très loin. Ceci dit, à part quelques années au début des années 2000, ils ne sont jamais partis de très haut.A court terme ce serait difficile pour la grêce mais sur le long terme elle pourrait s'en sortir (je dis bien "pourrait", nuance). Ce n'est quand même pas un pays du tiers monde.
Ceci est du populisme. Une grande majorité (une immense majorité) de nos édiles travaillent de leur mieux, et ils ne valent pas mieux ni pire que ceux qui étaient présents depuis 30, 50, 100 ans (ce qui d'ailleurs s'apparente à être réactionnaire). La seule chose qui a changé, c'est que beaucoup plus de choses se savent, et donc, sur le nombre, il y a de quoi faire l'actu presque tous les jours de l'année. Tu ne sais , je crois, rien de la politique. "Ils" ne valent ni mieux ni pire que les autres gens, que toi. Ce que tu dis (en général, pas que sur ce post) a un sens, historiquement et politiquement, mais je ne suis pas sûr que tu te rendes compte des conséquences des solutions qui émergent de cette critique.Pas besoin d'être devin pour le savoir. Les politiciens font de la politique...heu non pardon je veux dire des avantage pour eux. Le peuple, ils s'en foutent et c'est pareil quelque soit le gouvernement que l'on aura. Ha non pardon,je me trompe à nouveau, ils aiment les banques et les riches. Et comme il faut trouver de l'argent, c'est sur le reste du peuple qu'on le prélève. Après, les partis politiques s'étonnent de ne pas être appréciés par les citoyens.
Populisme? D'autres ont même parlé de plaie. Hé bien soit, on peut considérer que je suis populiste ou même une plaie, ca ne me fait ni chaud ni froid. Qu'on me le dise ou non ne change rien à ma situation (toujours au chômage). J'ai mes convictions et avec ce qui est entrain de se passer au gouvernement, je ne suis pas prêt de changer d'avis. Après je n’oblige personne à me suivre, les gens feront ce qu'ils souhaitent au moment des élections. J'ai surtout arrêté de croire à la politique car je pense qu'il n'y a plus de solution. On aurait du contrôler les grandes puissances dans les années 70-80. maintenant c'est trop tard. On peut les taxer? Du flan bien entendu, les responsables changeront de nationalité ou feront pression sur le gouvernement. Sinon je ne pense pas m'être trompé quand les députés refusent de toucher au cumul des mandats ou l'augmentation de leur retraite. Je ne pense pas non plus me tromper quand je dis que l'on favorise ceux qui s'engraissent (voir la loi Macron).Inarius a écrit :
Ceci est du populisme. Une grande majorité (une immense majorité) de nos édiles travaillent de leur mieux, et ils ne valent pas mieux ni pire que ceux qui étaient présents depuis 30, 50, 100 ans (ce qui d'ailleurs s'apparente à être réactionnaire). La seule chose qui a changé, c'est que beaucoup plus de choses se savent, et donc, sur le nombre, il y a de quoi faire l'actu presque tous les jours de l'année. Tu ne sais , je crois, rien de la politique. "Ils" ne valent ni mieux ni pire que les autres gens, que toi. Ce que tu dis (en général, pas que sur ce post) a un sens, historiquement et politiquement, mais je ne suis pas sûr que tu te rendes compte des conséquences des solutions qui émergent de cette critique.
Plus généralement sur les politiques pourris c'est un peu comme les accidents de la route. Le jour où il y aura des voitures qui conduisent toutes seules efficacement, il n'y aura plus que 50 morts par an sur la route au lieu de 4000. Et...on en parlera à la télé à chaque fois que ça arrive (vu que ça deviendra très rare), avec des reportages choc genre "nos voitures sont elles si sures ?". Et donc, les gens auront plus peur qu'avant. C'est pareil que l'insécurité, la maltraitance, le viol, et beaucoup d'autres phénomènes. On pense que les années 60-70 étaient mieux, mais il faut se rappeler que les infâmes barres des banlieues remplaçaient des bidonvilles, et qu'on se tirait dessus dans les rues de certaines proches banlieues.
Mais quel argent ? Y a longtemps que c'est plus notre argent, les banques nous le font bien comprendre d'ailleurs. Je me vois d'ailleurs obligée d'ajouter que le monde de la finance, tel qu'il existe actuellement, nous invente du pognon avec des flux spéculatifs. Mais ça tu vois, je pensais que tu le savais mieux que moi. D'ailleurs, tu l'expliquerais probablement mieux que moi.Quant à la Grèce, les gens se sentent solidaires surtout parce qu'ils ne savent (ou ne veulent pas savoir) que c'est de ""notre"" argent qu'il s'agit.
Si on efface leur dette, les français payeront, directement (impot) ou indirectement (dette). Si on présentait les choses comme ça, l'opinion serait bien différente.
Ceci dit, c'est une question de logique. Aucun pays n'a jamais remboursé 200% de PIB en dette. C'est absurde, complètement. Le plus vite on fera ça, le plus vite ils pourront repartir sur de bonnes bases.
Mieux vaudrait éviter les leçons de morale quand on ne connaît pas les gens, et encore moins de quoi est faite leur vie...Ceci est du populisme. Une grande majorité (une immense majorité) de nos édiles travaillent de leur mieux, et ils ne valent pas mieux ni pire que ceux qui étaient présents depuis 30, 50, 100 ans (ce qui d'ailleurs s'apparente à être réactionnaire). La seule chose qui a changé, c'est que beaucoup plus de choses se savent, et donc, sur le nombre, il y a de quoi faire l'actu presque tous les jours de l'année. Tu ne sais , je crois, rien de la politique. "Ils" ne valent ni mieux ni pire que les autres gens, que toi. Ce que tu dis (en général, pas que sur ce post) a un sens, historiquement et politiquement, mais je ne suis pas sûr que tu te rendes compte des conséquences des solutions qui émergent de cette critique.
je suppose que c'était pour moi... (?)Streen a écrit :Populisme? D'autres ont même parlé de plaie.
Je n'utilise pas ici (pour ma part en tout cas) le terme populisme sur un plan moral (comme une insulte, donc), mais comme une définition de ses propos. Populiste n'a pas toujours été péjoratif en Français, c'est un mouvement, c'est une idée politique. C'est un abus de langage de le considérer comme péjoratif, ou peut être une vision de ta part.Mieux vaudrait éviter les leçons de morale quand on ne connaît pas les gens, et encore moins de quoi est faite leur vie...
Etant donné que nous ne tenons pas les mêmes propos, et encore moins au sujet de streen, je ne vois pas en quoi l'accord est si manifeste.Inarius a écrit :Manifestement Smidge a l'air aussi d'accord avec moi. Mais je n'ai pas utilisé le terme plaie. Dommage que tu n'aies pas posté ton rappel à l'ordre plus tard, du coup ?
Je pense que la leçon de morale était plutôt ici.Inarius a écrit : Par ailleurs, je pense que ce populisme provient de sa connaissance partielle (et manifestement mauvaise) des élus, et du monde de la politique en général, car les mécanismes qui conduisent à l'éloignement des politiques et des personnes sont (de ce que j'en connais, ce qui est critiquable effectivement) souvent plus complexes que les arguments - que je trouve simplistes - de Streen.
Ca ne date pas d'avant hier... Et ça n'a rien de très surprenant quand on raréfie la circulation de monnaie réelle. Au passage, qui est-ce que ça arrange ? Oh, tiens, ceux qui détiennent déjà (beaucoup) d'argent.Inarius a écrit :Sinon, et rien à voir, la France a l'air d'entrer en déflation.
Rien à voir.Cela dit je pourrais par exemple aussi te traiter d'imbécile, et le post d'après t'expliquer en quoi ce terme sert étymologiquement à désigner quelqu'un qui apprend à marcher sans béquille
C'est exactement, presque mot pour mot, ce qu'a dit Streen. Utiliser populiste comme terme strictement péjoratif est devenu à la mode, mais il y a derrière une lutte qu'il ne faut pas occulter.Le populisme met en accusation les élites ou des petits groupes d'intérêt particulier de la société. Parce qu'ils détiennent un pouvoir, le populisme leur attribue la responsabilité des maux de la société : ces groupes chercheraient la satisfaction de leurs intérêts propres et trahiraient les intérêts de la plus grande partie de la population
si tu tiens à savoir, Inarius, je te répondrais que j'ai fait appel à une sénatrice (une soit disant amie de ma mère) et le maire de ma commune. Je demandais un stage pour le première et un appui pour le deuxième. Ils m'ont dit qu'ils feraient quelque chose. La sénatrice n'a pas cherché dans ses contacts et a simplement demandé à son attaché parlementaire si il connaissait quelqu'un. Comme il a répondu que non, l'histoire en est resté là et pas de réponse de leur part. Comme j'ai rappelé pour avoir des nouvelles, j'ai recu l’attaché qui à la limite m'a sorti des propos proches de l'insulte.Quand au mère, l'entreprise en question a prétendu qu'il ne les a jamais contacté. Ce que je critique, ce n'est pas le fait que cela n'aie pas abouti mais plutot le mépris des élus. Je préfère que l'on soit honnête et que l'on me dise que l'on ne fera rien pour moi. A la limite, j'aurais pu le comprendre. Comment ne pas remettre en cause la confiance envers nos élus après ce qui s'est produit? Et sans compter sur l'histoire du terrain qui appartient à ma mère à qui on a proposé 20 euros le m². Ce n'est pas du mépris peut être? Mais je pense qu'il faut vraiment le vivre pour le ressentir et le comprendre.Inarius a écrit :
Enfin, au niveau personnel, Streen, je ne sais pas à quel élu tu as demandé de l'aide, mais hélas, un élu comme un député reçoit des dizaines de courrier chaque semaine qui sont d'ailleurs le plus souvent traités par l'équipe du député et non le député lui-même. C'est probablement triste, mais, les gens ont beau détester la politique et l'Etat, ils en appellent à l'Etat dès qu'ils ont un problème. Et, ainsi, les gens qui sont réellement des problèmes sont noyés au milieu de la masse, le flot incessant de courriers, de doléances, de lobbys, de syndicats, de groupes divers, de particuliers...