Oyez, oyez !
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[THEMA] Derniers films vus ...
- Mr Sylvestre
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J'ai des places gratuites à finir. Le problème c'est que c'est dans le multiplexe à côté de chez moi qui passe... des films qui passent dans les mutliplexes, quoi.
(je ne m'intéresse qu'aux films longs et ennuyant qui passent des fois sur canal+ ou sur Arte)
Y a un film français qui s'appelle "de l'autre côté du périph", là, il a presque l'air regardable ! Un film français presque regardable ? J'ai l'impression d'avoir rêvé, je vais me repasser la bande annonce.
Oui, je l'avais regardé avec un oeil trop compatissant, ça risque encore d'être une daube. Pfff... mais pourquoi ? Pourquoi ! Ils veulent faire grimper le taux de natalité, les enfants de ma ville mourant d'ennui préfereront encore embrasser leur voisins/voisines que de contempler tant de bêtises et d'absurdités ?
Bon, Django alors. Au moins je ne dormirai pas. Il y a des tirs et des explosions tous les quarts d'heure hein ? Les executions à l'arme blanche ne font pas assez de bruit
(je ne m'intéresse qu'aux films longs et ennuyant qui passent des fois sur canal+ ou sur Arte)
Y a un film français qui s'appelle "de l'autre côté du périph", là, il a presque l'air regardable ! Un film français presque regardable ? J'ai l'impression d'avoir rêvé, je vais me repasser la bande annonce.
Oui, je l'avais regardé avec un oeil trop compatissant, ça risque encore d'être une daube. Pfff... mais pourquoi ? Pourquoi ! Ils veulent faire grimper le taux de natalité, les enfants de ma ville mourant d'ennui préfereront encore embrasser leur voisins/voisines que de contempler tant de bêtises et d'absurdités ?
Bon, Django alors. Au moins je ne dormirai pas. Il y a des tirs et des explosions tous les quarts d'heure hein ? Les executions à l'arme blanche ne font pas assez de bruit
"La stratégie la plus dangereuse consiste à enjamber un précipice en deux sauts." Benjamin Disraeli
Allez voir ici si j'y suis, et chantez les louanges du condor, du boxeur, de Cecilia, du gamin à problèmes ou du bébé pilote.
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- Mr Sylvestre
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Joaquim Phoenix a dit qu'il ne ferait plus de films ? Mais pourquoi ? Quelle drôle d'idée ?Graoumf a écrit :Alors va voir The Master avec Hoffman Seymour et Joaquim Phoenix (le mec qui a dit qu'il ne ferait plus de films). C'est ennuyeux à mourir, et ça dure 2h15 !
The Master passe pas. Non, j'avais envie de voir les belles bêtes du sud, là, le truc avec la gamine qui essaie de survivre aux inondations et aux aurochs dans le sud des états-unis. Il passe à Bastille à 11h dimanche, Inarius a trouvé bien. Si c'est pourri, je lui en voudrai toute ma vie.
Pis Django demain. Parce que y a que ça de regardable, enfin, vous pouvez me dire ce que vous en pensez.
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Oui, je sais. Et Barack Obama aime aussi beaucoup Regina Spektor. C'est un type qui a bon goût, je crois qu'on aurait plein de trucs à se dire au niveau culturel, si on se rencontrait.Inarius a écrit :C'est TRES bien
Et Barack Obama a beaucoup aimé aussi.
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Avis cinéma de la semaine :
-Thérèse Desqueroux : adapté du roman éponyme de François Mauriac. A la fin des années 20, Thérèse Larroque épouse M Desquéroux dans un mariage arrangé. Mais la jeune mariée n' apprécie pas cette union forcée et va réagir à sa manière lorsque son époux tombe malade.
Bonne adaptation du roman semble t il, bonne reconstitution des années 20 et de l' univers des familles bourgeoises du Bordelais. Les acteurs sont bons, la réalisation aussi...Assez triste comme atmosphère.
-De l' autre côté du périph avec Omar Sy (connu depuis intouchable) :deux officiers de police, l' un habitué à enquêter dans les banlieues "sensibles" et l' autre dans Paris intramuros, vont être amenés à travailler ensembles dans une enquête qui les mènera des deux côtés du périph : chacun des deux policiers devra apprivoiser un terrain inconnu pour lui : le "16è" pour Omar Sy, la banlieue pour son collègue "blanc".
Moyen : ni mauvais, ni très fort. Fonctionne sur un ressort habituel au cinéma :deux personnages issus de milieux complètement différents qui cohabitent avant de s' apprécier. Se voit une fois sans plus.
-Populaire : avec Romain Duris (l'auberge espagnole 1 et 2) : à la fin des années '50, un homme d' affaire (R Duris) engage une secrétaire normande un peu "pataude" mais possédant un talent phénoménal pour taper à la machine à toute vitesse. Le patron va tout faire pour la transformer en la championne du monde de dactylographie. Cela va exiger un rude entrainement qui mettra plus d' une fois les relations entre les deux personnages à rude épreuve.
Sympathique film romantique, même si les rebondissements sont un peu habituels. On passe néanmoins un bon moment .
-Le Hobbit : 1er volet de l' adaptation du roman éponyme de JRR Tolkien. Une oeuvre typique de Peter Jackson, grandiose par ses décors, ses scènes de bataille etc...Les amateurs de Tolkien seront ravis d' autant qu' on retrouve certains acteurs de la trilogie du SdA . Attention, fait quand même 2h30 au bas mot.
-Thérèse Desqueroux : adapté du roman éponyme de François Mauriac. A la fin des années 20, Thérèse Larroque épouse M Desquéroux dans un mariage arrangé. Mais la jeune mariée n' apprécie pas cette union forcée et va réagir à sa manière lorsque son époux tombe malade.
Bonne adaptation du roman semble t il, bonne reconstitution des années 20 et de l' univers des familles bourgeoises du Bordelais. Les acteurs sont bons, la réalisation aussi...Assez triste comme atmosphère.
-De l' autre côté du périph avec Omar Sy (connu depuis intouchable) :deux officiers de police, l' un habitué à enquêter dans les banlieues "sensibles" et l' autre dans Paris intramuros, vont être amenés à travailler ensembles dans une enquête qui les mènera des deux côtés du périph : chacun des deux policiers devra apprivoiser un terrain inconnu pour lui : le "16è" pour Omar Sy, la banlieue pour son collègue "blanc".
Moyen : ni mauvais, ni très fort. Fonctionne sur un ressort habituel au cinéma :deux personnages issus de milieux complètement différents qui cohabitent avant de s' apprécier. Se voit une fois sans plus.
-Populaire : avec Romain Duris (l'auberge espagnole 1 et 2) : à la fin des années '50, un homme d' affaire (R Duris) engage une secrétaire normande un peu "pataude" mais possédant un talent phénoménal pour taper à la machine à toute vitesse. Le patron va tout faire pour la transformer en la championne du monde de dactylographie. Cela va exiger un rude entrainement qui mettra plus d' une fois les relations entre les deux personnages à rude épreuve.
Sympathique film romantique, même si les rebondissements sont un peu habituels. On passe néanmoins un bon moment .
-Le Hobbit : 1er volet de l' adaptation du roman éponyme de JRR Tolkien. Une oeuvre typique de Peter Jackson, grandiose par ses décors, ses scènes de bataille etc...Les amateurs de Tolkien seront ravis d' autant qu' on retrouve certains acteurs de la trilogie du SdA . Attention, fait quand même 2h30 au bas mot.
Bat la chauve-souris de Gotham ! Allez faire un tour à Luménis, ville de paix et de lumière. Et Ma Bio JdR .
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L'INCROYABLE HISTOIRE D'HAROLD KRICK: Harold Krick est un homme tout ce qu'il y a de plus banal, un petit contrôleur des impôts à la vie insipide réglée à la minute près chaque jour que dieu fait. Ah non, il y a une petite nouveauté, depuis peu Harold entend une voix de femme raconter sa vie comme si il était un personnage de roman. D'abord agacé, il va basculer dans l'appréhension quand la narratrice déclare qu'il va mourir dans les jours qui viennent. Paniqué, il va tout tenter pour empêcher son funeste destin, d'autant plus qu'il est tombé amoureux de la vendeuse de beignet qu'il est en train de contrôler.
Je me suis bien amusé en regardant ce film, on ne rit pas tout le temps mais on sourit à certains moments, comme quand un prof de littérature incarné par Dustin Hofman essaye de déterminer dans quel genre de roman est impliqué Harold en interrogeant celui-ci. Je le conseille
Je me suis bien amusé en regardant ce film, on ne rit pas tout le temps mais on sourit à certains moments, comme quand un prof de littérature incarné par Dustin Hofman essaye de déterminer dans quel genre de roman est impliqué Harold en interrogeant celui-ci. Je le conseille
Auteur des Chroniques des Soeurs du Premier Sang
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
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HAHI HAHU HOHO
Voilà Django !
Django est un esclave noir qui a été séparé de sa chère et tendre Brünhilde tandis qu'ils tentaient de fuir la propriété où ils travaillaient.
Celle-ci fut fouetté et tous deux furent marqués avant d'être vendu pour une miche de pain à un marché au esclave.
Libéré par le Dr Schultz (ex dentiste et chasseur de prime), Django entre à son service en tant qu'adjoint, après s'être vengé des tortionnaires de sa femme, il part en quête de la sauver de la nouvelle plantation à laquelle elle a été assignée : CANDYLAND (ahahahahahahaha, quel nom maléfique !)
Django, était à la base, un western spaghetti de Sergio... Corbucci
Réputé pour un être un western très violent.
Par la suite, le nom Django a été souvent repris dans le monde du western.
Hem...
Donc Django Unchained est le dernier film de Tarantino.
Et la présentation pourrait s'arrêter là.
Violence psychologique et physique excessive, tension, stress, ketchup, stress... Servis par les superbes jeux d'acteurs de Jamie Foxx, Leonardo DiCaprio (Titanic est bien loin derrière lui... et c'est pas un mal ), et mon petit préféré, dans le rôle de l'excentrique Dr Schultz :
Christoph Waltz !
Second degré toujours très présent (certaines scènes sont vraiment à crever de rire), scénario complètement... EPIQQUUUUUE !
Bref...
Je ne peux faire que l'éloge de ce merveilleux film dont je ne m'attendais pas à ce qu'il soit aussi complet.
Et je dois avouer que malgré avoir cherché... j'ai du mal à trouver des défauts (ah si... il y a juste une scène qui fait très mal à voir... mais pas de spoil )
Voilà Django !
Django est un esclave noir qui a été séparé de sa chère et tendre Brünhilde tandis qu'ils tentaient de fuir la propriété où ils travaillaient.
Celle-ci fut fouetté et tous deux furent marqués avant d'être vendu pour une miche de pain à un marché au esclave.
Libéré par le Dr Schultz (ex dentiste et chasseur de prime), Django entre à son service en tant qu'adjoint, après s'être vengé des tortionnaires de sa femme, il part en quête de la sauver de la nouvelle plantation à laquelle elle a été assignée : CANDYLAND (ahahahahahahaha, quel nom maléfique !)
Django, était à la base, un western spaghetti de Sergio... Corbucci
Réputé pour un être un western très violent.
Par la suite, le nom Django a été souvent repris dans le monde du western.
Hem...
Donc Django Unchained est le dernier film de Tarantino.
Et la présentation pourrait s'arrêter là.
Violence psychologique et physique excessive, tension, stress, ketchup, stress... Servis par les superbes jeux d'acteurs de Jamie Foxx, Leonardo DiCaprio (Titanic est bien loin derrière lui... et c'est pas un mal ), et mon petit préféré, dans le rôle de l'excentrique Dr Schultz :
Christoph Waltz !
Second degré toujours très présent (certaines scènes sont vraiment à crever de rire), scénario complètement... EPIQQUUUUUE !
Bref...
Je ne peux faire que l'éloge de ce merveilleux film dont je ne m'attendais pas à ce qu'il soit aussi complet.
Et je dois avouer que malgré avoir cherché... j'ai du mal à trouver des défauts (ah si... il y a juste une scène qui fait très mal à voir... mais pas de spoil )
Cette phrase est fausse...
- Althéa
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- Dragon rouge
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Bon, pour faire original, Django Unchained. Tiens, vous aussi ?
Je l'ai beaucoup aimé, celui-là. Bon, quand ça tire dans tous les coins et que vous avez l'impression qu'on vous tire dessus (vive le son dolby) et que ça gicle partout, ben ... bof. La violence même cartoonesque par moments ... bof. Par contre, j'ai aimé tout le reste du film. Les paysages, le jeu des acteurs, l'humour, l'histoire. Je l'ai préféré à Unglorius basterds et de loin. Ma scène culte est l'arrivée des grands méchants du Ku Klux Klan (splendide musique au passage, je ne sais plus de quel morceau elle est tirée) et de ce qui s'en suit. J'ai beaucoup ri. J'ai par contre trouvé la scène de fusillade un peu longue et répétitive, mais bon, c'est un peu ça Tarantino, non ?
Je l'ai beaucoup aimé, celui-là. Bon, quand ça tire dans tous les coins et que vous avez l'impression qu'on vous tire dessus (vive le son dolby) et que ça gicle partout, ben ... bof. La violence même cartoonesque par moments ... bof. Par contre, j'ai aimé tout le reste du film. Les paysages, le jeu des acteurs, l'humour, l'histoire. Je l'ai préféré à Unglorius basterds et de loin. Ma scène culte est l'arrivée des grands méchants du Ku Klux Klan (splendide musique au passage, je ne sais plus de quel morceau elle est tirée) et de ce qui s'en suit. J'ai beaucoup ri. J'ai par contre trouvé la scène de fusillade un peu longue et répétitive, mais bon, c'est un peu ça Tarantino, non ?
Super modératrice (oui, ça pète ) et modératrice de Pillars of Eternity, de la section cinéma et littérature. J'interviens dans cette couleur.
Mon personnage rp : entre ombre et lumière, entre été et hiver : Angèle d'Aulfray, paladine de Tyr.
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J'ai vu Zero Dark Thirty jeudi.
Ca dure 2h40. Il ne se passe rien pendant la plus grande partie du film. Quand enfin il se passe quelque chose, on sait déjà comment ça va finir... et pourtant, on est tenu en haleine de bout en bout. La réalisatrice à eu l'intelligence d'utiliser divers moyens pour donner du rythme à son film: d'abord la violence (scènes de torture), puis le suspense (traque, récolte d'information) et l'action pure (intervention militaire) et Jessica Chastain est excellente.
Ca dure 2h40. Il ne se passe rien pendant la plus grande partie du film. Quand enfin il se passe quelque chose, on sait déjà comment ça va finir... et pourtant, on est tenu en haleine de bout en bout. La réalisatrice à eu l'intelligence d'utiliser divers moyens pour donner du rythme à son film: d'abord la violence (scènes de torture), puis le suspense (traque, récolte d'information) et l'action pure (intervention militaire) et Jessica Chastain est excellente.
Lies are never forgotten, they go on and they grow
Chat orange et D'Oghmatique.
Rodolpho Remington, barde/boulanger, s'exprime en FF99CC > Bio RP
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Jessicaaaaaaa Chastain :l: :l: :l:
Je plussoie, et je comprends qu'on puisse être ennuyé par... disons l'heure de collecte de renseignements. Ca reste aussi très américain comme film (les GI qui font des blagues alors qu'ils sont en opération... au secours ! ). Mais j'ai bien aimé également.
Sinon, je viens de voir Machete ! Du Robert Rodriguez culte tout craché dans la lignée de Planète terreur.
Sinon rien de spécial, je suis dans ma période DVD pourris de vidéoclub, je vous épargne les titres.
Je plussoie, et je comprends qu'on puisse être ennuyé par... disons l'heure de collecte de renseignements. Ca reste aussi très américain comme film (les GI qui font des blagues alors qu'ils sont en opération... au secours ! ). Mais j'ai bien aimé également.
Sinon, je viens de voir Machete ! Du Robert Rodriguez culte tout craché dans la lignée de Planète terreur.
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Alceste à Bicyclette
Bon on m'y a traînée, et je soupçonne que le choix du titre n'est pas sans rapport avec ma profession mais les deux acteurs (Luchini et Wilson) sont excellents sans en faire trop, et entre comédie et gravité, on passe un très bon moment. Et pourtant je ne suis pas fan de Molière...
Bon on m'y a traînée, et je soupçonne que le choix du titre n'est pas sans rapport avec ma profession mais les deux acteurs (Luchini et Wilson) sont excellents sans en faire trop, et entre comédie et gravité, on passe un très bon moment. Et pourtant je ne suis pas fan de Molière...
Code Couleur : #7AC5CD I Arrivée à Manostet Biographie RP
Rp en cours : Les Caprices de Fortune (MJ / Joueur)
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C'est marrant, c'est que tous mes amis qui ont vu le film reconnaissent comme moi qu'il ne se passe vraiment rien pendant un bon tiers du film, mais même ce tiers de film n'est pas "ennuyeux." C'est pour le moins étrange!Graoumf a écrit :Jessicaaaaaaa Chastain :l: :l: :l:
Je plussoie, et je comprends qu'on puisse être ennuyé par... disons l'heure de collecte de renseignements. Ca reste aussi très américain comme film (les GI qui font des blagues alors qu'ils sont en opération... au secours ! ). Mais j'ai bien aimé également.
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Vu ce week-end: In the mood for love, de Wong-Kar-Wai, sorti en 2000.
Depuis le temps que je voulais le voir! Il y a deux ans il était programmé sur Arte, j'en frétillais d'avance, mais un vieux quelconque est mort et ils ont diffusé une rétrospective sur ledit vieux à la place. Je le déplore encore.
Bref. L'histoire: Hong Kong, début des années 60. Deux couples emménagent le même jour dans la même maison d'hôtes (enfin, je ne sais pas si on peut appeler ça comme ça, disons que ça s'en approche. Pension conviendrait peut-être mieux, mais on s'en moque): les Chow et les Chan. Assez vite, Mr Chow et Mme Chan s'aperçoive que leurs deux conjoints ont des comportements assez suspects, puis comprennent qu'ils entretiennent une liaison. Les deux conjoints délaissés se rapprochent alors, pour comprendre, pour parler, pour vivre. Voire plus?
Ah là là. Voilà un film comme je les aime. C'est l'histoire d'une rencontre, de deux êtres qui se croisent, se découvrent, s'apprivoisent. C'est l'histoire de la relation qui s'ensuit. Le tout avec une délicatesse, une élégance et une beauté folles. Les acteurs sont géniaux, la musique est magnifique (il y a tout un tas d'explications là-dessus dans le dvd, c'est passionnant. Le "Yumeji's Theme", emprunté au film Yumeji, est génial, valse symbole de la valse de ces deux êtres, hésitante, légère, belle. Il y aussi des musiques traditionnelles chinoises, des airs latinos... bref ça dépoutre.), l'histoire est belle. Et surtout, le réalisateur nous fait des plans de toute beauté. Des ralentis d'une élégance incroyable, des couleurs un peu délavées, un peu automnales, douces, légères - comme le reste du film.
Bref, c'est un film délicat, beau, enchanteur et maîtrisé de bout en bout que j'ai vraiment adoré. L'attente valait le coup!
Depuis le temps que je voulais le voir! Il y a deux ans il était programmé sur Arte, j'en frétillais d'avance, mais un vieux quelconque est mort et ils ont diffusé une rétrospective sur ledit vieux à la place. Je le déplore encore.
Bref. L'histoire: Hong Kong, début des années 60. Deux couples emménagent le même jour dans la même maison d'hôtes (enfin, je ne sais pas si on peut appeler ça comme ça, disons que ça s'en approche. Pension conviendrait peut-être mieux, mais on s'en moque): les Chow et les Chan. Assez vite, Mr Chow et Mme Chan s'aperçoive que leurs deux conjoints ont des comportements assez suspects, puis comprennent qu'ils entretiennent une liaison. Les deux conjoints délaissés se rapprochent alors, pour comprendre, pour parler, pour vivre. Voire plus?
Ah là là. Voilà un film comme je les aime. C'est l'histoire d'une rencontre, de deux êtres qui se croisent, se découvrent, s'apprivoisent. C'est l'histoire de la relation qui s'ensuit. Le tout avec une délicatesse, une élégance et une beauté folles. Les acteurs sont géniaux, la musique est magnifique (il y a tout un tas d'explications là-dessus dans le dvd, c'est passionnant. Le "Yumeji's Theme", emprunté au film Yumeji, est génial, valse symbole de la valse de ces deux êtres, hésitante, légère, belle. Il y aussi des musiques traditionnelles chinoises, des airs latinos... bref ça dépoutre.), l'histoire est belle. Et surtout, le réalisateur nous fait des plans de toute beauté. Des ralentis d'une élégance incroyable, des couleurs un peu délavées, un peu automnales, douces, légères - comme le reste du film.
Bref, c'est un film délicat, beau, enchanteur et maîtrisé de bout en bout que j'ai vraiment adoré. L'attente valait le coup!
En RP, Eldrina s'exprime en 3DB220.
Modératrice des sections The Witcher et Divinity, et super-modo à mes heures perdues.
Always look on the bright side of life.
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- Ugo
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SWEENY TODD: dans le Londres du 19e, un barbier tout gentil tout mimi vit heureux avec sa gentille femme et son gentil bébé. Malheureusement sa femme est très belle et tape dans l'oeil d'un méchant juge qui du coup se débarrasse de son rival en l'envoyant au bagne.
Plusieurs années plus tard ce dernier revient transformé et bien décidé à se venger et à récupérer sa famille.
En regardant un film de Tim Burton avec Jhonny Depp, je m'attendais à tout sauf à me retrouver face à une comédie musicale. Nous sommes en tout cas face à une vraie oeuvre burtonienne, pleine de noirceur, et d'humour noir (je me répète un peu là).
Plusieurs années plus tard ce dernier revient transformé et bien décidé à se venger et à récupérer sa famille.
En regardant un film de Tim Burton avec Jhonny Depp, je m'attendais à tout sauf à me retrouver face à une comédie musicale. Nous sommes en tout cas face à une vraie oeuvre burtonienne, pleine de noirceur, et d'humour noir (je me répète un peu là).
Auteur des Chroniques des Soeurs du Premier Sang
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
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Je viens de voir Miller's Crossing, l'un des tout premiers films des frères Coen - il date de 1990.
On retrouve la patte Coen avec des dialogues savoureux, Gabriel Byrne et toute la pléiade d'acteurs sont manipulateurs à souhait.
Voici le synopsis :
On retrouve la patte Coen avec des dialogues savoureux, Gabriel Byrne et toute la pléiade d'acteurs sont manipulateurs à souhait.
Voici le synopsis :
Je vous le recommande.Allocine a écrit :A l'époque de la Prohibition, le gangster Tom Reagan, bras droit d'un caïd irlandais, trahit et manipule son entourage, l'utilisant à ses propres fins, même par la violence, afin de se faire une place.
- Mr Sylvestre
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Mais... il est rigolo ? Le film des frères Cohen qui m'a le plus plu, je pense que c'est The Big Lebowski, mais il y a aussi O'Brothers (que je reverrais bien), No Country For Old Men, Burn After Reading, A Serious Man, True Grit qui m'ont pas mal marqué.
J'aime bien l'idée de "A Serious Man", prendre un personnage au pif et lui en mettre plein la tronche pour voir jusqu'où il peut tenir sans péter les plombs.
Ils ont fait que ça !!? J'ai qu'à voir Fargo et j'aurais vu la grande majorité (Fargo je l'ai à côté mais il est en VHS )
Dans un tout autre registre, je viens de voir "La Désintégration". Ouf, heureusement que ça ne dure qu'une heure et demi, mais je ne peux pas dire que je m'attendais à quelque chose plus gai. Voilà le synopsis : un jeune français d'origine arabe qui semble plutôt bien intégré à la société française va s'enfoncer de plus en plus dans la mouvance islamiste au point de s'y fondre totalement. Voilà pourquoi ce film s'appelle la désintégration : passer les âmes dans un mixeur intégriste puis en faire ce que bon vous semble. Le vrai sens du mot "intégriste" : l'intégrité du corps et de l'esprit doit appartenir à la religion.
Le truc qu'est bien là-dedans, c'est l'entourage de l'acteur principal, Rachid Debbouze, grosse révélation, j'espère le revoir ailleurs. Une mère aimante mais fière qui arrive à garder la tête hors de l'eau, un grand frère bien comme il faut qui sort avec Louise, une française bon teint, un prof d'électronique compatissant qui fait ce qu'il peut pour l'aider, un entraineur sportif qui lui dit ce qu'il faut pour l'empêcher de déconner avec ses amis intégristes, mais non, il sombre quand même. Ou plutôt, il fait son choix. La voix de son ami le prêcheur de la vraie foi est tellement douce et tellement entraînante, elle trouve une réponse à tellement de questions et tellement d'angoisses... comment pourrait-il s'en détourner ?
C'est ça qui est bien fait, c'est qu'on le voit quitter un à un ses contacts avec le monde pour se réfugier dans la société idéale composée par ses amis fanatiques, et on se dit "tu m'étonnes qu'il tombe là-dedans, si il ne parle plus qu'à de tels illuminés".
Morale du film : n'ayez pas peur d'adresser la parole à des inconnus, faites vous des amis de n'importe quel homme ou femme, ça peut toujours servir.
Ce qui est étrange c'est qu'on aurait pu suivre l'itinéraire de quelqu'un élevé dans la plus fondamentaliste des familles, et qui ferait tout ce qui est en son pouvoir pour s'en extraire et vivre en bonne harmonie avec ses concitoyens, essaierait de voir du paysage. Ou au moins ne pas vouloir se faire péter sur le premier symbole venu.
Il s'agit du libre-arbitre de chacun, quelque chose qui reste incompréhensible, quoiqu'on en dise.
J'aime bien l'idée de "A Serious Man", prendre un personnage au pif et lui en mettre plein la tronche pour voir jusqu'où il peut tenir sans péter les plombs.
Ils ont fait que ça !!? J'ai qu'à voir Fargo et j'aurais vu la grande majorité (Fargo je l'ai à côté mais il est en VHS )
Dans un tout autre registre, je viens de voir "La Désintégration". Ouf, heureusement que ça ne dure qu'une heure et demi, mais je ne peux pas dire que je m'attendais à quelque chose plus gai. Voilà le synopsis : un jeune français d'origine arabe qui semble plutôt bien intégré à la société française va s'enfoncer de plus en plus dans la mouvance islamiste au point de s'y fondre totalement. Voilà pourquoi ce film s'appelle la désintégration : passer les âmes dans un mixeur intégriste puis en faire ce que bon vous semble. Le vrai sens du mot "intégriste" : l'intégrité du corps et de l'esprit doit appartenir à la religion.
Le truc qu'est bien là-dedans, c'est l'entourage de l'acteur principal, Rachid Debbouze, grosse révélation, j'espère le revoir ailleurs. Une mère aimante mais fière qui arrive à garder la tête hors de l'eau, un grand frère bien comme il faut qui sort avec Louise, une française bon teint, un prof d'électronique compatissant qui fait ce qu'il peut pour l'aider, un entraineur sportif qui lui dit ce qu'il faut pour l'empêcher de déconner avec ses amis intégristes, mais non, il sombre quand même. Ou plutôt, il fait son choix. La voix de son ami le prêcheur de la vraie foi est tellement douce et tellement entraînante, elle trouve une réponse à tellement de questions et tellement d'angoisses... comment pourrait-il s'en détourner ?
C'est ça qui est bien fait, c'est qu'on le voit quitter un à un ses contacts avec le monde pour se réfugier dans la société idéale composée par ses amis fanatiques, et on se dit "tu m'étonnes qu'il tombe là-dedans, si il ne parle plus qu'à de tels illuminés".
Morale du film : n'ayez pas peur d'adresser la parole à des inconnus, faites vous des amis de n'importe quel homme ou femme, ça peut toujours servir.
Ce qui est étrange c'est qu'on aurait pu suivre l'itinéraire de quelqu'un élevé dans la plus fondamentaliste des familles, et qui ferait tout ce qui est en son pouvoir pour s'en extraire et vivre en bonne harmonie avec ses concitoyens, essaierait de voir du paysage. Ou au moins ne pas vouloir se faire péter sur le premier symbole venu.
Il s'agit du libre-arbitre de chacun, quelque chose qui reste incompréhensible, quoiqu'on en dise.
"La stratégie la plus dangereuse consiste à enjamber un précipice en deux sauts." Benjamin Disraeli
Allez voir ici si j'y suis, et chantez les louanges du condor, du boxeur, de Cecilia, du gamin à problèmes ou du bébé pilote.
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Avis ciné de la semaine !
-Zero Dark Thirty : film sur la traque d' Oussama Ben Laden par une agente de la CIA, après les attentats du 11 septembre 2001. Long film de 3 heures mais pas de longueurs, ZDT montre bien le fonctionnement des services spéciaux US dans cette affaire. A noter, au usjet de l' emploi de la torture, le film prend la même position que la série TV 24, sur les aventures de Jack Bauer d' où quelques polémiques crées par ZDC.
-Alceste à bicyclette : avec Fabrice Luchini et Lambert Wilson : un comédien retiré sur l' île de Ré ( F Luchini ) refuse de remonter sur les planches. Un autre comédien ( L Wilson ) va tenter de le faire changer d' avis et de le pousser à jouer dans une pièce de molière.
Film fondé sur le face à face psychologique entre les deux personnages principaux acteurs dans le film...et en réel. Pas mal fait. Luchini est assez sombre.
- Amitiés sincères : 3 amis de longue date se croisent et se parlent de leurs vies. L' un d' eux (Gérard Lanvin ) a une fille qui commence à s' installer dans la vie. Problème : elle sort avec l' un des deux copains de son père ( Jean-Hugues Anglade ) sans en parler à personne. Problème : Son père ne supporte pas les mensonges ni les omissions...
Film sociale et psychologique sur les rapports humains, comme le cinéma français en produit tant. Se laisse voir, ça tient la route même si il n' a pas de grande originalité
- Lincoln : il ne s' agit pas du film " Abraham Lincoln chasseur de vampires " sorti il y a quelques mois. Ce film montre le marathon politique lancé par A Lincoln ( Daniel Day Lewis remarquable de vérité) pour faire abolir l' esclavage par le Congrès fédéral US, alors que la guerre de Sécession est sur le point de se terminer par la capitulation des Sudistes.
On pourrait croire que l' abolition de l' esclavage était acquis après la victoire des Nordistes, ce film montre qu' il n' en n' était rien. Lincoln a vraiment dû travailler le Congrès " au corps" pour obtenir - enfin - l' émancipation des Noirs.
- Le Dernier rempart : avec Arnold Scharzenegger. Dans une petite bourgade un ex " flic de choc " de Los Angeles ( A Scharzenegger ) doit arrêter le plus redoutable chef de cartel mexicain tout juste évadé au volant d' un vrai bolide automobile, un jeune " chien fou " complètement incontrôlable. Sans surprise mais on passe un bon moment . En outre, la fin du film est positive. Il n' y a pas de violence inutile. Assez sympathique.
- Hansel et Gretel : film d' action basé sur le conte éponyme des frères Grimm. Devenus adultes, H et G chassent les mauvaises sorcières dans toute l' Allemagne du XIX è siècle. Mais un " gros coup " se prépare chez les mauvaises jeteuses de sort...
Amusant, sans temps morts, avec des anachronismes volontaires, sous forme de clins d' oeil aux films d' action contemporains. Ca manque parfois un peu de profondeur scénaristique, ça aurait pu être un peu plus fouillé, mais ça reste sympathique à regarder.
-Die Hard 5 : 5è volet de la saga. Cette fois, B Willis quitte New York pour la Russie, afin de sauver son rejeton lui-même devenu...agent de la CIA. Ce dernier pourchassant des trafiquants locaux, les retrouvailles seront loin d' être de tout repos.
Ce derner volet se laisse voir mais sans plus. Mêmes défauts que le IVè : on n'y retrouve pas le souffle des 3 1ers films et le scénario est encore plus plat que celui de DH 4. Se voit une fois mais sans plus.
-Jappeloup : librement adapté d' un livre sur la vie de Pierre Durand médaille d' or en équitation aux JOs de Séoul ( 1988 ) et de son imprévisible "canasson" ( ), Jappeloup.
Ce film plaira aux amis de nos compagnons à 4 jambes et à crinière . Il n' y a pas de longueurs et on ne voit pas le temps passer.
- 20 ans d' écarts : comédie romantique. Histoire d' amour entre une " cougar " de 38 ans qui a tout sacrifié à sa vie professionnelle ( Virginie Effira convaincante dans son rôle de " BCBG coincée " ) et un jeune étudiant de 20 ans. L' amour pourra t il triompher de leur différence d' âge ?
Comédie romantique avec les ressorts habituels, (difficultés d' approche, ruptures, retrouvailles etc). Amusant. Se regarde une fois ou deux.
-Zero Dark Thirty : film sur la traque d' Oussama Ben Laden par une agente de la CIA, après les attentats du 11 septembre 2001. Long film de 3 heures mais pas de longueurs, ZDT montre bien le fonctionnement des services spéciaux US dans cette affaire. A noter, au usjet de l' emploi de la torture, le film prend la même position que la série TV 24, sur les aventures de Jack Bauer d' où quelques polémiques crées par ZDC.
-Alceste à bicyclette : avec Fabrice Luchini et Lambert Wilson : un comédien retiré sur l' île de Ré ( F Luchini ) refuse de remonter sur les planches. Un autre comédien ( L Wilson ) va tenter de le faire changer d' avis et de le pousser à jouer dans une pièce de molière.
Film fondé sur le face à face psychologique entre les deux personnages principaux acteurs dans le film...et en réel. Pas mal fait. Luchini est assez sombre.
- Amitiés sincères : 3 amis de longue date se croisent et se parlent de leurs vies. L' un d' eux (Gérard Lanvin ) a une fille qui commence à s' installer dans la vie. Problème : elle sort avec l' un des deux copains de son père ( Jean-Hugues Anglade ) sans en parler à personne. Problème : Son père ne supporte pas les mensonges ni les omissions...
Film sociale et psychologique sur les rapports humains, comme le cinéma français en produit tant. Se laisse voir, ça tient la route même si il n' a pas de grande originalité
- Lincoln : il ne s' agit pas du film " Abraham Lincoln chasseur de vampires " sorti il y a quelques mois. Ce film montre le marathon politique lancé par A Lincoln ( Daniel Day Lewis remarquable de vérité) pour faire abolir l' esclavage par le Congrès fédéral US, alors que la guerre de Sécession est sur le point de se terminer par la capitulation des Sudistes.
On pourrait croire que l' abolition de l' esclavage était acquis après la victoire des Nordistes, ce film montre qu' il n' en n' était rien. Lincoln a vraiment dû travailler le Congrès " au corps" pour obtenir - enfin - l' émancipation des Noirs.
- Le Dernier rempart : avec Arnold Scharzenegger. Dans une petite bourgade un ex " flic de choc " de Los Angeles ( A Scharzenegger ) doit arrêter le plus redoutable chef de cartel mexicain tout juste évadé au volant d' un vrai bolide automobile, un jeune " chien fou " complètement incontrôlable. Sans surprise mais on passe un bon moment . En outre, la fin du film est positive. Il n' y a pas de violence inutile. Assez sympathique.
- Hansel et Gretel : film d' action basé sur le conte éponyme des frères Grimm. Devenus adultes, H et G chassent les mauvaises sorcières dans toute l' Allemagne du XIX è siècle. Mais un " gros coup " se prépare chez les mauvaises jeteuses de sort...
Amusant, sans temps morts, avec des anachronismes volontaires, sous forme de clins d' oeil aux films d' action contemporains. Ca manque parfois un peu de profondeur scénaristique, ça aurait pu être un peu plus fouillé, mais ça reste sympathique à regarder.
-Die Hard 5 : 5è volet de la saga. Cette fois, B Willis quitte New York pour la Russie, afin de sauver son rejeton lui-même devenu...agent de la CIA. Ce dernier pourchassant des trafiquants locaux, les retrouvailles seront loin d' être de tout repos.
Ce derner volet se laisse voir mais sans plus. Mêmes défauts que le IVè : on n'y retrouve pas le souffle des 3 1ers films et le scénario est encore plus plat que celui de DH 4. Se voit une fois mais sans plus.
-Jappeloup : librement adapté d' un livre sur la vie de Pierre Durand médaille d' or en équitation aux JOs de Séoul ( 1988 ) et de son imprévisible "canasson" ( ), Jappeloup.
Ce film plaira aux amis de nos compagnons à 4 jambes et à crinière . Il n' y a pas de longueurs et on ne voit pas le temps passer.
- 20 ans d' écarts : comédie romantique. Histoire d' amour entre une " cougar " de 38 ans qui a tout sacrifié à sa vie professionnelle ( Virginie Effira convaincante dans son rôle de " BCBG coincée " ) et un jeune étudiant de 20 ans. L' amour pourra t il triompher de leur différence d' âge ?
Comédie romantique avec les ressorts habituels, (difficultés d' approche, ruptures, retrouvailles etc). Amusant. Se regarde une fois ou deux.
Bat la chauve-souris de Gotham ! Allez faire un tour à Luménis, ville de paix et de lumière. Et Ma Bio JdR .
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Un petit court métrage russe qui a eu le prix d'Annecy du film d'animation, et que je trouve hilarant.
Je vous le recommande ! C'est vraiment drôle, et ça dure 10 minutes seulement.
https://www.youtube.com/watch?v=3kBhyWBTUeQ
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"Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit"
Molière - Don Juan -
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Hop, gros arrivage.
Apocalypse Now : Bon, je pense que je n'ai pas besoin de vous présenter le film. En tout cas, une chose est sûre: quand le générique de fin a commencé, je n'avais que des grossièretés en bouche tellement je venais de me prendre une claque magistrale en pleine gu... en pleine face. Hem. J'avais envie de hurler des "put*in" à travers la pièce et à travers toute la ville histoire d'évacuer toute l'émotion viscérale que je venais d'encaisser.
Donc, vous l'aurez compris, j'ai adoré ce film. C'est une sorte de trip, à la fois voyage et expérience, complètement halluciné, une sorte de voyage au bout de l'enfer, envoûtant, dérangeant, violent, entêtant, magnifique et dégueulasse à la fois. Avec une séquence d'intro magistrale (vous savez, avec The End des Doors en fond?). Ajoutons que je l'ai en version "Redux", autrement dit une sorte de director's cut si j'ai tout suivi; j'ai donc une bonne demi-heure de plus par rapport au montage originale, dont la séquence dite de "La plantation française", très intelligente, une sorte de rêve au milieu de la violence purement américaine de cette guerre, sombre, avec un accent français à couper au couteau pour faire bonne mesure et quelques rappels historiques bien frappants.
Ce qui est intéressant aussi, c'est la façon dont est traitée la guerre du Vietnam ici. Parmi les nombreux films qui en parlent plus ou moins longuement et plus ou moins bien, j'ai retenu Full Metal Jacket, de Kubrick, qui pour le coup est très différent. Je dirais qu'il est plus intellectuel, dans le sens où il réfléchit plus, on est moins dans l'expérience viscérale, plus dans la réflexion historique et politique. Très bon film, par ailleurs. Il ne me reste plus qu'à voir Voyage au bout de l'enfer et je pense que j'aurai fait le tour de la question, cinématographiquement parlant.
Ensuite. Certains l'aiment chaud. Là encore, je pense que les précisions sont superflues. J'avais un peu peur de trouver un film très daté, et par ailleurs n'ayant encore jamais vu de film avec Marilyn je craignais qu'elle soit assez mauvaise actrice. Et j'avais tout faux! Le film est à la fois drôle et intelligent, jamais ridicule, très 50's dans son côté à la fois dirigiste et coincé mais en même temps très fou (très folle, dirais-je même). Et puis j'ai réalisé que le type qui joue du saxo est l'acolyte de Roger Moore dans Amicalement Vôtre - pour une fois que je connais des acteurs d'avant les années 70, j'étais fière de moi.
Bref, très drôle, un film à la réputation méritée. Et puis, "Nobody's perfect" quoi !
Enfin. Love Actually. Pas le même registre Pour le coup c'est tout à fait ce que je m'imaginais: un film choral avec Hugh Grant (et aussi des tas d'autres gens connus comme Keira Knightley ou... le futur Bilbo le Hobbit!), qui vous parle d'amour, d'un ton bon enfant, plein de bons sentiments et d'humour gentiment loufoque. Oui, mais ça passe. Ça se laisse regarder, et même bien mieux que je ne le pensais. Des films romantiques nunuches, il y en a des milliers, mais bien peu savent doser avec suffisamment de maîtrise comme le peux Love Actually. Il y a des répliques tout à fait cultes, et puis le fait que ce soit choral joue sans doute beaucoup: tous les trucs traités auraient été tout bonnement imbuvables s'il n'y avait eu qu'une histoire. Mais les parsemer entre les différents personnages permet de rendre chaque intrigue, individuellement, relativement légère. Un bon moment donc, absolument pas du grand cinéma mais clairement au-dessus du lot (dans sa catégorie, s'entend) et un meilleur moment que je ne pensais.
Apocalypse Now : Bon, je pense que je n'ai pas besoin de vous présenter le film. En tout cas, une chose est sûre: quand le générique de fin a commencé, je n'avais que des grossièretés en bouche tellement je venais de me prendre une claque magistrale en pleine gu... en pleine face. Hem. J'avais envie de hurler des "put*in" à travers la pièce et à travers toute la ville histoire d'évacuer toute l'émotion viscérale que je venais d'encaisser.
Donc, vous l'aurez compris, j'ai adoré ce film. C'est une sorte de trip, à la fois voyage et expérience, complètement halluciné, une sorte de voyage au bout de l'enfer, envoûtant, dérangeant, violent, entêtant, magnifique et dégueulasse à la fois. Avec une séquence d'intro magistrale (vous savez, avec The End des Doors en fond?). Ajoutons que je l'ai en version "Redux", autrement dit une sorte de director's cut si j'ai tout suivi; j'ai donc une bonne demi-heure de plus par rapport au montage originale, dont la séquence dite de "La plantation française", très intelligente, une sorte de rêve au milieu de la violence purement américaine de cette guerre, sombre, avec un accent français à couper au couteau pour faire bonne mesure et quelques rappels historiques bien frappants.
Ce qui est intéressant aussi, c'est la façon dont est traitée la guerre du Vietnam ici. Parmi les nombreux films qui en parlent plus ou moins longuement et plus ou moins bien, j'ai retenu Full Metal Jacket, de Kubrick, qui pour le coup est très différent. Je dirais qu'il est plus intellectuel, dans le sens où il réfléchit plus, on est moins dans l'expérience viscérale, plus dans la réflexion historique et politique. Très bon film, par ailleurs. Il ne me reste plus qu'à voir Voyage au bout de l'enfer et je pense que j'aurai fait le tour de la question, cinématographiquement parlant.
Ensuite. Certains l'aiment chaud. Là encore, je pense que les précisions sont superflues. J'avais un peu peur de trouver un film très daté, et par ailleurs n'ayant encore jamais vu de film avec Marilyn je craignais qu'elle soit assez mauvaise actrice. Et j'avais tout faux! Le film est à la fois drôle et intelligent, jamais ridicule, très 50's dans son côté à la fois dirigiste et coincé mais en même temps très fou (très folle, dirais-je même). Et puis j'ai réalisé que le type qui joue du saxo est l'acolyte de Roger Moore dans Amicalement Vôtre - pour une fois que je connais des acteurs d'avant les années 70, j'étais fière de moi.
Bref, très drôle, un film à la réputation méritée. Et puis, "Nobody's perfect" quoi !
Enfin. Love Actually. Pas le même registre Pour le coup c'est tout à fait ce que je m'imaginais: un film choral avec Hugh Grant (et aussi des tas d'autres gens connus comme Keira Knightley ou... le futur Bilbo le Hobbit!), qui vous parle d'amour, d'un ton bon enfant, plein de bons sentiments et d'humour gentiment loufoque. Oui, mais ça passe. Ça se laisse regarder, et même bien mieux que je ne le pensais. Des films romantiques nunuches, il y en a des milliers, mais bien peu savent doser avec suffisamment de maîtrise comme le peux Love Actually. Il y a des répliques tout à fait cultes, et puis le fait que ce soit choral joue sans doute beaucoup: tous les trucs traités auraient été tout bonnement imbuvables s'il n'y avait eu qu'une histoire. Mais les parsemer entre les différents personnages permet de rendre chaque intrigue, individuellement, relativement légère. Un bon moment donc, absolument pas du grand cinéma mais clairement au-dessus du lot (dans sa catégorie, s'entend) et un meilleur moment que je ne pensais.
En RP, Eldrina s'exprime en 3DB220.
Modératrice des sections The Witcher et Divinity, et super-modo à mes heures perdues.
Always look on the bright side of life.
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BRUME: Dans une petite bourgade américaine plusieurs personnes se retranchent dans un supermarché après qu'un mystérieux brouillard opaque ait envahi tout l'extérieur. Les pauvres malheureux ne vont pas tarder à se rendre compte que des choses rôdent dans ce brouillard et qu'elles ne sont pas amicales.
Le film n'est pas mauvais mais d'après le générique de fin il est tiré d'un livre de Stephen King (que je n'ai pas lu) et là réside sans doute le défaut du film. Dans ses ouvrages, King a le plus souvent joué sur notre imaginaire en décrivant l'atmosphère générale dans lequel baigne les protagonistes et en en disant le moins possible sur les créatures qu'il fait entrer en lice. Or sur ce point le film manque de suspense en nous montrant les premiers monstres après une demi/heure et par là en nous enlevant toute surprise.
Néanmoins la fin est loin d'être conventionnelle.
Le film n'est pas mauvais mais d'après le générique de fin il est tiré d'un livre de Stephen King (que je n'ai pas lu) et là réside sans doute le défaut du film. Dans ses ouvrages, King a le plus souvent joué sur notre imaginaire en décrivant l'atmosphère générale dans lequel baigne les protagonistes et en en disant le moins possible sur les créatures qu'il fait entrer en lice. Or sur ce point le film manque de suspense en nous montrant les premiers monstres après une demi/heure et par là en nous enlevant toute surprise.
Néanmoins la fin est loin d'être conventionnelle.
Auteur des Chroniques des Soeurs du Premier Sang
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
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Ah oui, The Mist...Le film en lui-même est plutôt "quelconque" niveau réalisation. Intéressant sur le huit clos et l'intégrisme religieux. Plutôt moche techniquement.
Mais la fin est juste monumentale et réhausse à elle-seule j'oserai dire, tout l'intérêt du film ! (apparement même S. King -dont la fin de la nouvelle d'où est tirée le film est différente- l'aurait beaucoup apprécié)
Sinon moi, j'viens de voir Red Faction Origins et FarCry. Oui oui, tirés des jeux vidéos éponymes. Comme souvent ; film honteux en rapport aux licenses dont ils s'inspirent, acteurs de séries Z, scénarii bidons, effets spéciaux aux rabais...Bref, de bonnes daubes comme je m'y attendais !
Mais la fin est juste monumentale et réhausse à elle-seule j'oserai dire, tout l'intérêt du film ! (apparement même S. King -dont la fin de la nouvelle d'où est tirée le film est différente- l'aurait beaucoup apprécié)
Sinon moi, j'viens de voir Red Faction Origins et FarCry. Oui oui, tirés des jeux vidéos éponymes. Comme souvent ; film honteux en rapport aux licenses dont ils s'inspirent, acteurs de séries Z, scénarii bidons, effets spéciaux aux rabais...Bref, de bonnes daubes comme je m'y attendais !
- Mr Sylvestre
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Mais pourquoi regarder ça ?
Moi j'ai vu "Jeff, who lives at home", un film sur un mec qui s'appelle Jeff et qui vit chez sa mère. Et qui fait rien de sa vie, je crois. Ce qui m'a fait penser à moi, qui a à peu près le même type d'occupations professionnelles.
C'est l'anniversaire de la mère de Jeff, elle est au boulot et lui téléphone pour qu'il aille chercher de la colle à bois et répare une fenêtre, quand elle reçoit un avion en papier sur son bureau avec une jolie fleur imprimée dessus, et qu'un admirateur secret la contacte par sa messagerie professionnelle.
Jeff prend le bus pour aller acheter de la colle mais il est persuadé que son destin est lié à quelqu'un qui s'appelle Kevin. Alors, quand il voit un mec dans le bus avec "Kevin" marqué derrière son maillot, il descend du bus et le suit.
Où cela va-t-il le mener ? Sa vie va-t-elle vraiment changer ? Qui est l'admirateur secret de sa mère ? A la fin du film, la fenêtre en bois sera-t-elle enfin réparée ?
Baaah, vous le saurez en le regardant, mais ça m'étonnerait que vous le chopiez.
"La stratégie la plus dangereuse consiste à enjamber un précipice en deux sauts." Benjamin Disraeli
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Freddy 5, 6, 7 ... Tant qu'à faire ... Ces volumes là sont censés être les plus mauvais de la saga éponyme mettant en scène le monstre à la main crochue. Mais honnêtement, je me suis bien amusée, surtout avec le volume 6 qui est basé sur le registre de l'humour. Robert Englund (alias Freddy) en fait des tonnes, cabotine à souhait, fait des blagues vaseuses et joue même aux jeux vidéos. Ses victimes, elles, luttent tant bien que mal et ont l'air de bien s'amuser aussi. En bref, c'est du grand n'importe nawak assumé. Dans le 7, il y a une mise en abyme. En effet, cette fois, Freddy s'en prend aux acteurs qui tournent dans un film qui lui est dédié. Bon, c'est un peu simpliste mais plutôt sympathique si on ne s'attache pas trop aux doublages.
Par contre, le premier volet est tout simplement flippant. Évitez de le regarder avant de dormir.
Par contre, le premier volet est tout simplement flippant. Évitez de le regarder avant de dormir.
Super modératrice (oui, ça pète ) et modératrice de Pillars of Eternity, de la section cinéma et littérature. J'interviens dans cette couleur.
Mon personnage rp : entre ombre et lumière, entre été et hiver : Angèle d'Aulfray, paladine de Tyr.
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Je viens de finir de regarder un film avec Tom Cruise, Jack Reacher. Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça, je devais pas être mon état normal... Le personnage interprété par notre adepte de la scientologie n'est pas très crédible, un homme mystérieux qui sait trop bien se battre et qu'a toujours la classe, arrivant toujours pile poil au bon moment tant et si bien que ça en devient ridicule, à force...
On ne comprend pas très bien ses motivations, qui semblent bien dénuées de sens, même au moment des révélations finales...Des révélations qui manquent d'ailleurs, notamment en ce qui concerne le Grand Méchant...Au final, on comprend pas bien ce qu'il fout là, ni ce qu'il veut précisément...
On ne comprend pas très bien ses motivations, qui semblent bien dénuées de sens, même au moment des révélations finales...Des révélations qui manquent d'ailleurs, notamment en ce qui concerne le Grand Méchant...Au final, on comprend pas bien ce qu'il fout là, ni ce qu'il veut précisément...
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Harley Quinn.
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VISAGE: a priori, on pouvait s'attendre à un film intéressant - une oeuvre asiatique avec fanny Ardant et Laetitia Casta au générique, mais au final je ne sais toujours pas ce que j'ai vu. On est censé voir un film sur un film dont le tournage vire à la catastrophe mais on se retrouve plutôt face à une oeuvre avant-gardiste:
- Laetitia qui nous fait une danse de la séduction devant un cerf ou qui interprète (en play-back) une chanson d'amour chinoise à moitié immergée dans un égout à un homme nu couché sur un radeau.
- Fanny qui transporte une tête de cerf empaillé dans des couloirs techniques.
- Un homme qui parle à un moineau.
Et d'autres joyeusetés dans le genre.
Vraiment spécial et j'en ai encore mal à la tête.
- Laetitia qui nous fait une danse de la séduction devant un cerf ou qui interprète (en play-back) une chanson d'amour chinoise à moitié immergée dans un égout à un homme nu couché sur un radeau.
- Fanny qui transporte une tête de cerf empaillé dans des couloirs techniques.
- Un homme qui parle à un moineau.
Et d'autres joyeusetés dans le genre.
Vraiment spécial et j'en ai encore mal à la tête.
Auteur des Chroniques des Soeurs du Premier Sang
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
Quand tu montes un groupe de rock pour te taper des filles, tu te dois de faire au moins deux ou trois bonnes chansons. Je crois que les mecs de Happy Mondays n'ont jamais beaucoup baisé dans leur vie - Liam Gallagher.
- Ailyn
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Prometheus, 2012, de Ridley Scott :
Tu regardes la pochette du DVD (assez alléchante au demeurant), tu regardes le nom du réalisateur et... tu te souviens : Alien, Blade Runner, Gladiator, La Chute du Faucon Noir... et tu te dis... "quand même, ça va être intéressant".
Le pitch : un couple de chercheurs découvre des similitudes entre des créations artistiques de populations qui ne se sont jamais croisées sur Terre. Ils pensent que ces éléments indiquent le chemin vers une planète où se trouverait ni plus ni moins que les créateurs de l'humanité. Une entreprise décide de financer leur voyage... 4 ans plus tard, ils se réveillent d'un sommeil cryogénique alors qu'ils arrivent dans l'orbite de cette planète.
C'est hyper alléchant ? Perso, j'ai adoré, j'ai attrapé le DVD, comme si quelqu'un allait me le piquer à la bibliothèque, et fière de ma trouvaille, je suis allée l'emprunter...
Le film est dans un premier temps juste excellent. Globalement, jusqu'à une heure et six minutes de film, on savoure. Tout est sympa : les détails, les technologies, la manière dont on découvre les choses.
A partir de là... souffrez, mes amis, de voir du grand n'importe quoi se déchaîner devant vos yeux. On dirait Alien mais en vachement mauvais .
Alors quoi ?
Bah ce que je vous propose, si ça vous branche, c'est de regarder le film jusqu'à une heure et six minutes, et puis d'écrire la suite vous-même. Ce sera toujours mieux que de voir la fin .
Tu regardes la pochette du DVD (assez alléchante au demeurant), tu regardes le nom du réalisateur et... tu te souviens : Alien, Blade Runner, Gladiator, La Chute du Faucon Noir... et tu te dis... "quand même, ça va être intéressant".
Le pitch : un couple de chercheurs découvre des similitudes entre des créations artistiques de populations qui ne se sont jamais croisées sur Terre. Ils pensent que ces éléments indiquent le chemin vers une planète où se trouverait ni plus ni moins que les créateurs de l'humanité. Une entreprise décide de financer leur voyage... 4 ans plus tard, ils se réveillent d'un sommeil cryogénique alors qu'ils arrivent dans l'orbite de cette planète.
C'est hyper alléchant ? Perso, j'ai adoré, j'ai attrapé le DVD, comme si quelqu'un allait me le piquer à la bibliothèque, et fière de ma trouvaille, je suis allée l'emprunter...
Le film est dans un premier temps juste excellent. Globalement, jusqu'à une heure et six minutes de film, on savoure. Tout est sympa : les détails, les technologies, la manière dont on découvre les choses.
A partir de là... souffrez, mes amis, de voir du grand n'importe quoi se déchaîner devant vos yeux. On dirait Alien mais en vachement mauvais .
Alors quoi ?
Bah ce que je vous propose, si ça vous branche, c'est de regarder le film jusqu'à une heure et six minutes, et puis d'écrire la suite vous-même. Ce sera toujours mieux que de voir la fin .
RP : Ailyn, ensorceleuse entropiste déjantée. Quête : La morsure du cobra Calimshite
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Je dois dire que je partage assez ton avis. J'ai vraiment apprécié le début, et c'est vrai que les effets spéciaux et l'atmosphère sont très bien rendus. Après...je me souviens plus si j'ai commencé à lâcher le film aux alentours de 1h.06 ou pas, mais grosso modo, c'est quand ça commence à s'énerver, avec repli en désordre vers le vaisseau : même des scouts effrayés par des vaches qui les aurait chargés dans le champ où ils avaient commencé à planter leurs tentes sans se rendre compte que parmis les petites tâches noires et blanches au loin sous les arbres, certaines étaient en mouvement, seraient moins cons et plus disciplinés ! Dans un scénario avec des supers guerriers qui encadrent une super mission scientifique, c'est super pas crédible d'être aussi nuls.Ailyn:
Globalement, jusqu'à une heure et six minutes de film, on savoure. Tout est sympa : les détails, les technologies, la manière dont on découvre les choses.
A partir de là... souffrez, mes amis, de voir du grand n'importe quoi se déchaîner devant vos yeux. On dirait Alien mais en vachement mauvais
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J'ai vu Mud il y a quelques jours au cinéma.
Que vous dire ?
J'avais beaucoup aimé les bêtes du sud sauvage, dont j'avais fait une critique il y a quelques mois.
Pourquoi je reparle de ça ?
Le film est sur l'enfance, le film se passe dans un endroit relativement similaire (les bordures du Mississippi dans un cas le delta du Mississippi dans l'autre). Le film est très bien tourné esthétiquement.
Mais...mais...il y a d'autres similitudes. Mais bon, je ne vais pas refaire la critique de ce film, qui était d'ailleurs excellent.
Mud, c'est un film en deux parties, je trouve.
Tout d'abord, on a deux enfants qui découvrent un bateau dans une ile (si vous avez vu Lost et l'avion dans la saison 1, ça m'a beaucoup rappelé ça). Ca ressemble...à Tom sawyer, ou à un film pour enfant d'aventure. Wouaw ! Des enfants qui découvrent un bateau, avec un homme mystérieux, un peu cryptique, un peu aventurier, dedans. Et puis, comme chacun a sa famille qui se déchire, les deux enfants se lancent à pied joints dans l'aventure.
Bien sûr, arrive un moment où les enfants doivent se confronter au monde de l'adulte.
Et c'est dans cette deuxième partie que j'ai beaucoup aimé le film. Autant la première partie était un peu linéaire (genre, wouaw, voilà, ils doivent faire, ça, et maintenant ça, et maintenant ça, bref, on voyait le film se dérouler sans surprise), autant la deuxième est très inattendue.
On comprend pourquoi l'homme est là, pourquoi ça n'est finalement pas aussi simple. En fait, petit à petit, le film bascule d'un monde de l'enfance, où tout est simple, dans un monde d'adulte, où tout est équivoque. Les histoires d'amour ne sont pas ce qu'elles semblent, les haines non plus, les amitiés non plus.
Et ce monde là n'est pas fait pour les enfants. Mais plutôt que de faire des personnages caricaturaux, on voit que les gentils sont aussi méchants, les méchants aussi gentils. Mais surtout qu'à chaque fois qu'ils essayent de se frotter, de se confronter à ce monde, ce monde là les repousse dans leur limites. Et ceci de manière très subtile. Et c'est pour ça que j'ai beaucoup aimé ce film.
Je prends un exemple, qui n'est pas vraiment un spoiler, rassurez vous.
Un moment, le gamin (qui est amoureux d'une fille de terminale, lui qui est en gros en 3ème) se jette sur un mec qui lui a mis une main aux fesses à la fille. Et lui il file un coup de poing. Le mec tombe à terre. La fille bon...lui sourit, elle est gentille, elle lui dit de l'appeler, un jour.
Il l'appelle, et puis là PAF, il prend ça au sérieux. Ils vont à une soirée ensemble, il lui offre un bracelet,elle l'embrasse...
quelques jours après, il la voit avec un mec, il lui refile un pain...sauf que voilà, elle fait comme si genre elle le connaissait pas, parce que bon, c'est la honte, que c'était juste comme ça. Et là, on se rend compte que le monde de l'adulte le renvoie méchamment dans ses barrières, l'enfance.
On comprend avec le temps que c'est l'homme mystérieux qui, inconsciemment le pousse à vouloir grandir - trop vite. Qu'il prend cet homme là en modèle, car il a un peu honte de son père, mais que cet homme là n'est pas un modèle. Et il l'apprendra, à ses dépends.
Bref, ce film a des images magnifiques, est très beau, pas chiant, assez intelligent, donc.
Je regrette juste la fin qui, en 2 minutes bâcle le film. Je pense que c'est le producteur qui a poussé à cette fin, car elle dénature complètement l'esprit du film.
Au sujet de Prometheus, j'ai été un grand fan d'Alien, je ne peux donc que pleurer cet échec monumental, la bêtise incroyable des personnages (supposés chercheurs). A noter, seulement, la beauté magnifique du film. J'ai vu le film en 3D, et je dois avouer que c'est la première fois que je vois un film dont la 3D est vraiment réussie, utile et pas juste là pour faire mal aux yeux ou faire des effets rigolos.
Que vous dire ?
J'avais beaucoup aimé les bêtes du sud sauvage, dont j'avais fait une critique il y a quelques mois.
Pourquoi je reparle de ça ?
Le film est sur l'enfance, le film se passe dans un endroit relativement similaire (les bordures du Mississippi dans un cas le delta du Mississippi dans l'autre). Le film est très bien tourné esthétiquement.
Mais...mais...il y a d'autres similitudes. Mais bon, je ne vais pas refaire la critique de ce film, qui était d'ailleurs excellent.
Mud, c'est un film en deux parties, je trouve.
Tout d'abord, on a deux enfants qui découvrent un bateau dans une ile (si vous avez vu Lost et l'avion dans la saison 1, ça m'a beaucoup rappelé ça). Ca ressemble...à Tom sawyer, ou à un film pour enfant d'aventure. Wouaw ! Des enfants qui découvrent un bateau, avec un homme mystérieux, un peu cryptique, un peu aventurier, dedans. Et puis, comme chacun a sa famille qui se déchire, les deux enfants se lancent à pied joints dans l'aventure.
Bien sûr, arrive un moment où les enfants doivent se confronter au monde de l'adulte.
Et c'est dans cette deuxième partie que j'ai beaucoup aimé le film. Autant la première partie était un peu linéaire (genre, wouaw, voilà, ils doivent faire, ça, et maintenant ça, et maintenant ça, bref, on voyait le film se dérouler sans surprise), autant la deuxième est très inattendue.
On comprend pourquoi l'homme est là, pourquoi ça n'est finalement pas aussi simple. En fait, petit à petit, le film bascule d'un monde de l'enfance, où tout est simple, dans un monde d'adulte, où tout est équivoque. Les histoires d'amour ne sont pas ce qu'elles semblent, les haines non plus, les amitiés non plus.
Et ce monde là n'est pas fait pour les enfants. Mais plutôt que de faire des personnages caricaturaux, on voit que les gentils sont aussi méchants, les méchants aussi gentils. Mais surtout qu'à chaque fois qu'ils essayent de se frotter, de se confronter à ce monde, ce monde là les repousse dans leur limites. Et ceci de manière très subtile. Et c'est pour ça que j'ai beaucoup aimé ce film.
Je prends un exemple, qui n'est pas vraiment un spoiler, rassurez vous.
Un moment, le gamin (qui est amoureux d'une fille de terminale, lui qui est en gros en 3ème) se jette sur un mec qui lui a mis une main aux fesses à la fille. Et lui il file un coup de poing. Le mec tombe à terre. La fille bon...lui sourit, elle est gentille, elle lui dit de l'appeler, un jour.
Il l'appelle, et puis là PAF, il prend ça au sérieux. Ils vont à une soirée ensemble, il lui offre un bracelet,elle l'embrasse...
quelques jours après, il la voit avec un mec, il lui refile un pain...sauf que voilà, elle fait comme si genre elle le connaissait pas, parce que bon, c'est la honte, que c'était juste comme ça. Et là, on se rend compte que le monde de l'adulte le renvoie méchamment dans ses barrières, l'enfance.
On comprend avec le temps que c'est l'homme mystérieux qui, inconsciemment le pousse à vouloir grandir - trop vite. Qu'il prend cet homme là en modèle, car il a un peu honte de son père, mais que cet homme là n'est pas un modèle. Et il l'apprendra, à ses dépends.
Bref, ce film a des images magnifiques, est très beau, pas chiant, assez intelligent, donc.
Je regrette juste la fin qui, en 2 minutes bâcle le film. Je pense que c'est le producteur qui a poussé à cette fin, car elle dénature complètement l'esprit du film.
Au sujet de Prometheus, j'ai été un grand fan d'Alien, je ne peux donc que pleurer cet échec monumental, la bêtise incroyable des personnages (supposés chercheurs). A noter, seulement, la beauté magnifique du film. J'ai vu le film en 3D, et je dois avouer que c'est la première fois que je vois un film dont la 3D est vraiment réussie, utile et pas juste là pour faire mal aux yeux ou faire des effets rigolos.
"Je crois que deux et deux sont quatre, Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit"
Molière - Don Juan -
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