La Couronne de Cuivre

Hamilcar avait encore l'esprit légèrement embrumé, mais son visage affichait toujours un air hautain affublé d'un demi sourire agaçant.

- J'ai toujours été de bonne humeur... Contrairement à toi maraud. Quant à mon nom... Je suis Hamilcar Ibn Shanan, BriseEmpire, L'invaincu, Foudre de Calimsham, Défenseur d'Immilmar, Fleau du Thay, Protecteur des Vaux, Chevalier de Cormyr... Sonneur de Révolte... Désolé mais j'ai aquis tellement de titres ou de surnoms que la liste est trop longue...

Il marqua une pause, pensif.

- Cependant, ici je ne suis personne, un mercenaire parmi tant d'autres, je ne porte allégeance qu'aux femmes, à l'argent et à la gloire, je suis marié à la mort, et le chant de batailles résonne comme une symphonie à mes oreilles... Et toi? Qui est tu?

Quête : Destins croisés

L'attitude des gardes se modifia légèrement au fur et à mesure du discours d'Hamilcar. S'ils avaient été menaçant à son entrée, il émanait maintenant d'eux une certaine vigilance mêlée d'admiration. Le prisonnier était soit un inconscient, soit très confiant en ses capacités pour parler ainsi à leur chef. Celui-ci reprit la parole sans se démonter :

- Je ne peux pas me targuer de porter autant de noms et de titres. Dans notre profession, ils sont plus une entrave qu'une aide. Ici, on m'appelle simplement l'Emissaire. S'il est un maraud ici, c'est bien toi au regard de la justice de cette cité. Tu t'es introduit chez moi en pleine nuit et en étant armé. Il ne tient qu'à moi que tu aies été endormi plutôt que tué. Les cadavres peuvent être aussi encombrants que les vivants, parfois.

Quête : Destins croisés

Hamilcar écouta la réponse de l'homme, un sourcil haussé. Il profita de son discours pour étudier plus avant la pièce, plus par simple curiosité que par réel intérêt. Cette situation commençait réellement à l'ennuyer et il ne voyait pas d'issue heureuse. Il nota l'incohérence de son vis à vis et s'empressa de lui faire remarquer :

- Tiens donc, la justice de cette cité, j'accepterai avec joie d'être conduit et livré au poste de garde le plus proche. Peut être pourrais-je m'en sortir avec seulement une main coupée, ou peut être que je pourrais convaincre les autorités de mener une enquête sur les lieux du "crime"... Quoiqu'il en soit, vous avez fait le choix de me garder en vie, c'est donc que je vous suis d'une quelconque utilité... alors maintenant , parlez ou mettez fin à mes tourments, je suis las de vous entendre bavasser sur votre soit disant clémence ou sur la justice que vous ne respectez visiblement aucunement...

Le sourire d'Hamilcar s'était quelque peu effacé, mais c'est surtout le ton de sa voix, désormais plat et sans intonation qui avait changer, comme si rien de ce qu'il venait de dire n'avait d'importance, ou que la décision de l'homme lui importait peu...

Quête : Destins croisés

L'homme observa un moment son prisonnier avant de répondre d'un ton plus calme que précédemment :

- La justice de cette ville est étrange. Les autorités se montrent faibles avec les criminels. Nous mêmes ne contrevenons pas à ses règles et n'avons pas à craindre son courroux. Quant à ceux qui violent les propriétés privées comme vous, ils n'ont généralement pas à craindre de pareilles mutilations. Lorsque je serai convaincu que vous ne représentez pas un danger pour nous, nous vous permettrons de partir. A moins que vous soyez toujours disposé à nous aider auquel cas les choses seraient différentes.

Quête : Destins croisés

Bah tiens! Me laisser partir, avec un de tes sbires sur le dos pour t'assurer de ma bonne conduite je suppose...

C'etait cependant de bonne guerre, mais Hamilcar n'avait absolument pas envie de se retrouver avec un "ange gardien" sur le dos pendant son séjour à Lumenis. Restait la solution de travailler pour eux, et le jeune homme avait besoin d'argent, notamment pour faire réparer sa cotte de maille magique qu'il n'avait plus portée depuis sa blessure, étant donner le trou béant que la dague de l'assassin avait réalisée dedans.

- Pour tout dire, il se peut que je sois disposer à vous aider, si la rémunération est intéressante, et si la mission s'avère de quelque intérêt... Mais je suppose que tu veut d'abord la preuve que je ne suis pas un espion... Je ne sais pas qui sont vos ennemis, mais sont ils assez naïfs pour envoyer un homme seul armé en tout et pour tout d'une dague et portant ses habits de jour?

Quête : Destins croisés

"L'Emissaire" se permit cette fois un sourire et hocha la tête.

- Voilà qui est plus raisonnable. Quant à savoir si tu es un espion, nous verrons bien. Si tu décides de travailler pour moi, tu vas devoir commencer par quelques travaux de menue importance pour nous prouver ta volonté et ta loyauté. Mais pas d'inquiétude, si tu as autant de valeur que tu le prétends, cela ne durera pas longtemps.

(hrp : désolé pour le retard, semaine mouvementée...)

Quête : Destins croisés

Hamilcar écouta l'homme patiemment. Lorsqu'il eut fini il resta sans rien dire pendant quelques instants, observant tour à tour L'émissaire, ses gardes et le mobilier de la pièce. Il prit ensuite la parole d'une voix enjouée :

Ne faites pas l'erreur de me prendre pour un coursier ou un facteur... Je suis un mercenaire, je suis de sang noble et j'agis selon les règles du métier. Si vous voulez vous attacher mes services, il nous faudra un contrat, un condotta. Je n'accepte aucun travail sans garanties.

Quête : Destins croisés

L'homme se permit un nouveau sourire énigmatique suite à la remarque d'Hamilcar. Il répondit d''un ton toujours aussi patient, sans se démonter :

- Je dois dire que vous me faites plutôt bonne impression. Même dans la position de faiblesse où vous vous trouvez, vous tentez de négocier une meilleure position. Très bien, je vous écoute : quelles seraient ces garanties que vous exigeriez ?

Quête : Destins croisés

Hamilcar rendit son sourire à l'homme avant de s'expliquer :

- Si tu sembles prêt à négocier, une première chose à faire serait de demander à tes larbins de me détacher, et je ne serais pas contre un peu de vin, je n'aime pas parler le gosier sec. Pour se qui concerne les garanties, elles risque de différer quelques peu des contrats habituels, je n'ai effectivement aucune troupe a mettre à votre service...

Quête : Destins croisés

L'Emissaire fit un geste discret à ses hommes pour leur ordonner de détacher Hamilcar et attendit que l'un d'eux s'exécute avant de répondre :

- Je n'ai pas de vin à te proposer. Ici, ce n'est qu'un entrepôt. pour ce qui est de l'armée, nos activités commerciales n'en nécessitent pas tant. Pour le moment, nous privilégions la discrétion. Afficher trop de force serait pousser nos ennemis à l'affrontement direct et nous ne sommes pas encore suffisamment implantés pour que je le permette.

Quête : la guerre en Dorrandin - Luménis (mission 1)

Depuis quelques semaines, les entrepôts grouillaient d'activité. Les entrepôts désaffectés avaient été réhabilités, les plus délabrés avaient été remis à neuf. Et malgré tout, l'espace disponible semblait ne jamais pouvoir absorber les monceaux d'équipement nécessaires à une campagne. Des chariots continuaient d'affluer des terres environnantes pour apporter des vivres et des matières premières en tout genre. Des transports tournaient en permanence pour amener ces matières à des manufactures quand elles ne pouvaient être transformées sur place ou directement chargées à bord des imposants navires militaires.

Malgré le tumulte et le chaos apparent, les soldats en faction devant l'entrepôt principal accueillirent Dorian et examinèrent son laissez-passer avant de lui permettre d'entrer. L'un des deux accepta de l'accompagner tant l'entrepôt était vaste et ses chances minces de trouver l'Intendant sans guide. Le vampire fut mené à travers plusieurs allées bordant des empilements sans fin de minerais jusqu'à un bureau situé à un étage accessible par un escalier en bois. Là, le garde prit congé en lui désignant l'homme qu'il était venu voir. L'homme portait une tenue simple plus destinée à se mêler aux dockers qu'aux invités du bal de la duchesse malgré sa fonction essentielle. Son grade de lieutenant, figuré sur sa tunique, en était le seul ornement. Il accueillit le forgeron avec un sourire chaleureux avant de refermer la porte de son bureau :

- Ah, vous devez être celui que l'amiral a envoyé pour nous aider. Installez-vous je vous prie. J'imagine que vous avez des questions dont nous pouvons débattre.

Quête : la guerre en Dorrandin - Luménis (mission 1)

L'intendant parut satisfait de la courtoisie dont faisait preuve le forgeron à son égard. Il répondit néanmoins d'un ton grave :

- Une affaire très fâcheuse et qui tombe mal étant donné toutes les commandes à honorer. En temps normal, fournir une armée en objets de métal n'est pas une mince affaire mais dans le contexte actuel, c'est un véritable casse-tête de tous les instants. Enfin, vous devez être bien familier du problème. Etant donné votre réputation, vous ne devez pas manquer de travail. Mais pour revenir à vos questions, nous avons découvert un problème sur un échantillon de minerai hier après-midi. Ce n'est pas inhabituel qu'une cargaison présente des impuretés et soit plus friable ou plus difficile à fondre. Mais le phénomène s'est reproduit plusieurs fois dans la journée. Et la fonte résultante était parfaitement inutilisable. Nous avons perdu beaucoup de temps à localiser la source du problème : une cargaison parvenue le matin même. Fort heureusement, nous ne l'avions pas encore mélangée aux stocks. Nous avons pu jeter l'ensemble des matériaux infectés mais cela nous a fait perdre un temps précieux sans compter la perte de matière préjudiciable. Malheureusement, le convoyeur nous ayant apporté cette cargaison était reparti depuis longtemps quand nous avons pris conscience du problème. Nous ignorons donc s'il est impliqué.

Quête : la guerre en Dorrandin - Luménis (mission 1)

L'intendant se fit quelques instants songeur, étudiant avec soin les paroles de Dorian et composant sa réponse avant de la livrer au forgeron :

- Vos hypothèses sont intéressantes mais la nouvelle cargaison n'était pas moins protégée que le reste des stocks une fois dans l'entrepôt. Pourquoi contaminer celle-ci spécifiquement alors qu'il y a plein d'agglomérats plus importants et donc plus stratégiques tout autour ? Sur tout le trajet de la ville et même en dehors, le convoi a été escorté par une troupe de soldats alors, à moins que l'un d'eux soit complice, ils auraient remarqué toute activité bizarre autour des chariots. De plus, toutes les cargaisons de ce convoi étaient pareillement contaminées. Non, je pense que vous devriez privilégier l'hypothèse que le minerai ait été contaminé à la source ou au tout début du trajet depuis les montagnes. Ce qui implique que le convoyeur sait quelque chose s'il n'est pas lui-même coupable. Malheureusement, nous ne l'avons pas encore retrouvé. Les soldats aux portes ont d'ailleurs reçu son signalement et son nom. Il s'appelle Simon Strueux. Oui, je sais, c'est un nom un peu ridicule mais il jure mordicus que c'est bien le sien. En revanche, son physique est bien plus banal : 1 mètre 70, la trentaine, les cheveux marrons et les yeux noisettes. Il parait qu'il a des amis en ville et il se retrouve souvent au Fond de la barrique dans le quartier est alors vous pourriez commencer par là. A moins que vous préfériez examiner les échantillons que nous n'avons pas détruits ?

Quête : la guerre en Dorrandin - Luménis (mission 1)

L'intendant secoua la tête en signe de dénégation avant de répondre à Dorian :

- Non, nous avons gardé un échantillon dans un des appentis secondaires pour permettre de les analyser sur place. Nous y avons détaché un garde pour éviter toute intrusion. Veuillez me suivre, c'est par ici.

Les deux hommes sortirent de l'entrepôt et, ce faisant, Dorian remarqua une scène étrange : Zaiu qui parlementait avec un garde dans un dialogue de sourds à quelques pas de l'entrée de la zone des quais.

Dorian acquiesça et suivit l' intendant hors de son bureau. Comme les deux individus sortaient, le forgeron aperçut une silhouette familière en grande discussion avec un garde.


La suite ici :


http://www.baldursgateworld.fr/lacouron ... post302895

En provenance de la Forge :

http://www.baldursgateworld.fr/lacouron ... te-12.html

HRP : je modifie le message à cause du RV fixé par Fizz .

Dorian déboucha sur les quais à la recherche du Juggernaut de Sieur Fizz le Sahuaguin-gnome. Après quelques recherches, il appela son propriétaire -sans trop élevé la voix- à la ronde :

" Messire Fizz ? C' est moi Dorian Cheveux-de-Jais de la Forge flamboyante. Je suis ici. Vous désirez me voir ? "

Un étrange sahuagin à l'air particulièrement jovial marchait en rond dans l'entrepôt, non loin de quelque chose qui ressemblait à un homard géant, cette chose semblait être posée sur un petit bassin qui devait être relié, directement ou indirectement, à la mer, il aperçut Dorian et s'avança vers lui, voulant lui serrer la main de sa patte.

"-Ah ! Sieur Dorian ! Je vois que vous êtes venus ! Alors ! Que pensez-vous de mon offre ?"

Le Sahuagin sourit brièvement et lança de son ton jovial :
"- Ah ! Sieur ! Vous êtes bien occupés par la guerre on dirait ! Tenez, j'avais préparé un contrat avec les montants à remplir et j'ai de quoi écrire. Ce navire est en fait un Zoalxiil, ce sont des navires pêcheurs sahuagins, spécialisés pour avancer sous l'eau. Le mien permet aussi d'extraire toutes sortes de matières. Je pense rejoindre Lumenis plus tard en guerre, mais j'ai encore quelques affaires à régler. Je tenais à vous confier une arme, si vous l'acceptez, pour que vous en jaugiez la valeur. Elle vient de mon forgeron de bord."

La créature lui tendit alors une plume et un contrat, et sortit une épée à deux mains d'un métal bleu argenté qui semblait dégager un froid intense.

"-On appelle cette lame, la Mordeuse Gelée, car elle dégage une aura de froid, ses capacités évoluent avec celles de leur porteur. Son dernier porteur a péri contre un dragon des mers. Il n'avait pas réellement réussi à se lier à elle. Je ne connais pas le système de lien, mais je sais que la lame réflète les pensées de son porteur, à un niveau élevé de liaison, elles peuvent même s'animer et parler, ainsi que gagner d'étranges pouvoirs, changer de forme et de couleur, de base, c'est une épée à deux mains incassable, mais elle peut devenir bien plus."

Dorian sourit devant la hâte avec laquelle le Sieur Fizz désirait conclure leur accord de partenariat. En temps normal , le forgeron préférait agir avec un peu plus de calme. Mais le temps pressait : c' est pourquoi il parcourut le document que lui présentait Fizz. Dorian était habitué ma nier des contrats, de part son activité de gérant d' une Forge. Il n' eut pas de mal à cerner les tenants et aboutissants de la convention que lui proposait le bon Sahuagin : apparemment tout semblait en ordre. De son écriture posée, le bon vampire signa le papier que lui tendait son désormais associé.

'Voilà qui est fait messire. A priori, il ne devrait y avoir aucun problème. Quand à votre arme, c' est un superbe présent, peut-être me fera il bon usage plus tôt que vous ne le pensez... (en réalité Dorian regrettait un peu que la Mordeuse Gelée fut une arme à manier à deux mains alors que sa compétence martiale concernait justement les épées à une main...Mais en cas de rencontre avec un dragon des mers justement, cette arme pouvait se révéler des plus utiles). "

Dorian soupesa, manie, fit virevolter l' arme offerte, l' apprécia en connaisseur...

"Félicitez votre forgeron de bord messire fizz et encore merci pour votre présent. Longue vie à notre association. Au plaisir de vous revoir bientôt...après mon retour de campagne.Et maintenant si vous le voulez bien, je m' en vais retourner à la Forge car je suis attendu ailleurs..."

Dorian rendit à Fizz le papier signé, s' inclina et revint à la forge prendre ses affaire pour le voyage en Dorrandin...

L'énorme sahuagin sourit de toutes ses dents pointus, mais non moins sincèrement, avant de sortir un petit parchemin de ce qui semblait être une sacoche de la même couleur que sa propre peau.

-Néanmoins, de deux choses l'une. Je suis Inventeur à mes heures perdues et il pourrait arriver que je vous demande des échanges de services. La seconde est une petite recommandation par rapport à mon "cadeau". Cette arme est potentiellement très puissante, mais malgré tout, elle peut être dangereuse. Comme elle évolue en fonction de son porteur et de ses rencontres, elle peut devenir autant une arme bénéfique que maléfique ou utile qu'inutile et peut-même s'attirer les malédictions ou les bénédictions. Enfin, je vous laisserai examiner cela.

Le sahuagin s'assit alors en tailleur et laissa reposer son trident sur ses jambes tandis qu'il regagnait son sérieux.

-Bonne chance dans la guerre, j'ai encore des préparations à faire avant de prendre une décision, et une cargaison à récupérer dans les Profondeurs.

Il prononça le mot "Profondeurs" d'un air à la fois effrayé et amusé, seule chose notable dans sa voix sortant de la normale.

Arrivant devant l'entrepôt en question aknoll était très exciter et avançait à un pas soutenue. Il attendit qu'un garde passe et pour lui expliquer de quoi il en retournait. -Excuser-moi mais on m'a envoyé ici pour faire mes preuves et remplacer un soldats dans l'escorte. Suis-je au bonne entrepôt ?

Le garde qui se tenait présentement devant l’entrepôt dévisagea le nouveau venu et testa discrètement le glissement de sa lame courte dans son fourreau au cas où l’inconnu vienne provoquer du grabuge. Il répondit néanmoins d’un ton relativement courtois quoique méfiant :

- Cela dépend. Quel entrepôt recherchez-vous ? Vous n’êtes pas le seul à rechercher du travail en ces temps difficiles…

Aknoll remarqua l'air méfiant du garde et teint à le rassurer du meux qu'il pouvait-Ne vous inquiétez pas je ne viens en aucun cas vous causez du tracas et je crois que le nom de l'entrepôt est la compagnie du nouveau monde

Le début ici http://www.baldursgateworld.fr/lacouron ... rs-13.html

Le garde se détendit très légèrement à cette réponse et enchérit d’un ton avenant :

- C’est bien ça. Vous êtes un peu en avance mais on va vous recevoir : entrez là-dedans et demandez à voir Brus.

« Là-dedans » était l’entrepôt qui se trouvait dans son dos : un endroit plutôt mal éclairé et où s’entassait des rangées de caisses et de tonneaux. Un étroit passage était toutefois ménagé entre les contenants et semblait mener au centre de la structure. Là, un espace d’une dizaine de mètres de rayon était dégagé à l’exception d’une table recouverte de papiers et autour de laquelle étaient assis deux humains : un jeune et de petite taille et l’autre d’une dizaine d’années son aîné. Ce dernier faisait était en outre beaucoup plus fort et plus grand que son collègue. Toutefois, c’est le plus petit des deux qui parla le premier :

- C’est pour quoi ?

HRP : j’ai modifié ton premier message dans ce sujet pour te montrer un exemple. Ça permet de faciliter la lecture par d’autres personnes ou si tu as besoin de revenir en arrière chercher une info.