[Quête] La clairière du sanctuaire

[Khan]

Quand les ombres et les démombres arrivèrent, Khan invoqua de nouveau son élémental de feu majeur, la créture reposé dans l'épée était à nouveau prète à combattre.
"Ils sont plus nombreux cette nuit, soyer prudents, les amis et que Tempus voous protège.
Béorn, vous en avez encore pour longtemps avec vos prières et formules?"
Sur ces mots, Khan se consentra, cette fois ci, il aurait besoin d'un coup de pouce de son dieu.
Il se mit à prier en silence, aprés quelques minutes, il sentit que ses muscles gonflaient, ses sens devenaient plus perçants, qu'il ne sentait plus les blèssures de la veille et même que sa fatigue était dissipé.
"Merci mon dieu, dit il, de m'avoir donné un peu de ta force!"
Avec un terrible hurlement il se jetta à nouveau dans la bataille...

[Beorn Devir]

-J'en aurais encore pour quelques heures... Mais si Talos accepte au mieux les offrandes, ça devrai aller plus vite et nous aurons sont soutient!

[Beorn Devir]

Mais, alors que la nuit tombait inexorablement sur le sanctuaire et les valeureux guerriers du chaos, une chose des plus inattendue se produisit. Le ciel se déchira dans un éclair bleuté, qui s’en suivit d’un roulement sourd, comme si un millier de tambour s’étaient mis à jouer simultanément. Puis un autre, un peu plus loin. Et ainsi, la nuit s’illumina des arcs électriques qui la déchiraient. La plupart des guerriers du chaos n’y virent là rien d’extraordinaire. La seule chose à laquelle il pensait, était le sang qui coulerait sous peu sur leurs lames affûtées. Mais un cri les tira de la rage guerrière qui s’emparait d’eux. Ils se tournèrent étonné pour voir de quoi il pouvait s’agir.
Ils virent Beorn, levant les bras, comme en signe de victoire. Les éclaires se firent de plus en plus proches. Alors que la foudre s’abattait sur-le-champ de bataille, les ombres comprirent que rien dans tout cela n’était dû à la nature. Une force divine devait manipuler cette foudre.

Beorn incanta alors une prière, demandant à Talos de détruire leurs ennemis, de prendre leurs vies pour que la victoire n’en soit que plus belle ! Levant les bras au ciel, les druides reprirent l’incantation avec force ! La foudre redoubla d’intensité. Les éclaires tombèrent sur le champ bataille avec une précision incroyable, foudroyant les ombres. Les guerriers hurlèrent et, afin de montrer leur foie envers Talos, il brandirent leurs armes et fondirent sur les ombres qui tentaient vainement de se réfugier dans les bois. Mais alors qu’elles fuyaient, un autre élément de surprise survint. Un hurlement bestial sortit du fond de l’obscurité de la forêt. Reprit par un nombre croissant de bettes

La troupe de loup, qui jusqu’ici n’était pas intervenue dans le combat, forma une sorte de mur entre les bois et la clairière, usant de ses quelques pouvoirs de mage, Crikorrin avait lancé un sort de miroir sur presque chacun de ses serviteurs, menant ainsi la ruse à un état de perfection sublime. Les ombres comprirent vite que toute résistance les mènerait à la mort. Certaines se rendirent, pensant pouvoir compter sur la bonté des humains… Mais elles se trompèrent grandement… Une douzaine fut capturée pour l’animalerie de Mélandis ce qui ne fit qu’agrandir le sourire devenu presque sadique de Beorn ! Les autres furent purement et simplement tuées, offertes à Talos pour parachevé les incantations des Shamans des foudres à qui s’étaient joints les Shamans loups.

Alors que la mort planait ainsi sur la clairière, un éclair, plus puissant et plus gros que tous les autres qui étaient tombés lors du combat descendit du ciel, déchirant l’obscurité et atterrit sur le monument. La pierre centrale qui servant d’autel sembla assimilé la puissance destructrice qui émanait de l’éclaire qui perdurait magiquement. Un champ électrique ce format autour des pierres, créant une multitude de minuscules étincelles passant d’une pierre à l’autre, illuminant la clairière entière ! Alors que la lumière aveuglante de l’éclaire se dissipa, on put voir que la pierre précédemment noir ébène luisant désormais d’un bleu intense.
C’est alors que Gorgrim, le Svirfneblin associé de Beorn, qui jusque là s’était dissimulé dans les shamans, sortit d’entre eux, brandissant un marteau runique. Beorn lui tendit le symbole de Talos constitué de trois foudres. Le gnome le saisit et le plaça sur le centre de l’autel. Il commença à briller d’une lueur d’orée. Le gnome brandi son marteau et frappa de toutes ses forces le signe luisant ! Ceci eu pour effet de pactisé avec Talos pour la création du bosquet ! Sa construction naturelle était maintenant imminente !