La Couronne de Cuivre

*Le jeune homme se mit un accoutrement sale,puis il s'étira pour faire de cette propriétée un beau jardin.Il se mit au travail et il prit les meilleurs outils en sa posséssion.
Il utilisa la faux pour couper toutes les herbes hautes et il déracina les mauvaises herbes.

Cinq heures de travail sans relache auront suffis pour faire de la propriétée un grand éspace vert.

*Après deux jours de travaux sans relache,le jeune homme était éxténué,mais il avait tant de compassion envers mère nature qu'il en oublia ses propres souffrances.
Une telle générosité d'aidé Dunhallym faisait toute sa force,car il croit en l'amitié.

Dans la matiné,il avait terminé son travail.Il avait crée une mare,propre comme la pureté de l'àme,entourée de fleurs merveilleuses,


une allée qui menait de la maison jusqu'à l'entrée avec un cours d'eau,


et des fleurs débordant les cotés de jardin.


Après cela,le jeune Alcior s'écroula sur le jardin en soufflant un bon coup,il était au bout de ses forces*

En rentrant chez elle, Dunhallym fut un instant éblouie : Alcior avait vraiment fait du bon travail et le jardin était magnifique. Elle l'aperçut qui se reposait sur une pelouse, épuisé par son travail.

" Je vous remercie, Alcior, vous avez vraiment fait un travail superbe. Si vous voulez, je vous invite à dîner ce soir à la Taverne de la Bienveillance, je vous dois bien ça."

*Alcior reprit son souffle.Il se releva et regarda autours de lui.
Tout était maginifique.Il était fier de lui car il avait à la fois rendu service à Dunhallym et à la nature.
Il se tourna vers la jeune femme et lui fit un large sourire*

-Eh bien...pourquoi pas.J'accépte l'invitation.

*Déjà,le ciel commencait déjà à sombrer dans l'épaisse splendeur de la nuit*



-On y va maintenant?

*Sur ces mots,le jeune homme tendit son bras pour emmener la belle Dunhallym*

"Ma foi, allons-y. C'est vrai qu'il commence à se faire tard."

*Sur ces mots,les deux amis partirent ensembles en direction de la taverne*

Dorian arriva à la datcha de Dunhallym,sur le dos de SabotsLégers.Après avoir attaché sa jument devant l'entrée,pour éviter qu'elle n'aille dévaster le jardin ),Dorian frappa avant d'entrer dans la maison.Il trouve Dunhallym dans la salle à manger,en train de lire le dernier n° du Luménis Report !Il s'inclina:

"Je vous salue Dame :happy: .Je répond au message que vous m'avez envoyé,et qui enjoignait à tous ceux interessés par la quete de la Tour,de vous retrouver ici dans votre Datcha.Je vous propose donc mes services pour cette quete ...."

HRP : ceci se passe bien évidemment après mon retour de courses.

Dunhallym était plongée dans sa lecture lorsque Ruz, se levant d'un bond, lui signala l'arrivée d'un visiteur : sans doute l'un de ses compagnons pour la quête. Dunhallym reposa prestement le Lumenis report. Sur la table reposait également le livre emprunté à la bibliothèque de Lumenis concernant Helonna. L'ouvrage ne lui avait pas appris grand chose concernant la tour mais l'avait confirmée dans ses craintes : quel que soient les dangers, ils semblaient bien réels. Des mages avaient disparu dans la tour et des rumeurs inquiétantes avaient circulé, évoquant l'existence d'une secte du mal dans ces lieux plusieurs siècles auparavant. L'auteur laissait entendre que l'endroit était maudit. Même si Dunhallym savait le crédit qu'il faut parfois accorder aux rumeurs, celà ne laissait pas que d'être inquiétant.
Le nouveau venu était Dorian, avec qui Dunhallym avait déjà eu l'occasion de collaborer.

"Je vous salue Dame .Je répond au message que vous m'avez envoyé,et qui enjoignait à tous ceux interessés par la quete de la Tour,de vous retrouver ici dans votre Datcha.Je vous propose donc mes services pour cette quete ...."

"Bienvenue à vous, Dorian, je serai ravie de retrouver quelques connaissances pour cette expédition. Daneghar devrait également nous rejoindre mais il m'a envoyé un message pour me prévenir qu'il était pris par un travail sur le port : il aura donc un peu de retard et nous rejoint aussi vite que possible. En attendant que les autres arrivent, asseyez-vous. Voulez-vous boire quelque chose ? "

Après avoir servi un verre à Dorian, Dunhallym poursuivit la conversation :

"Avez-vous tout l'équipement qu'il vous faut pour partir ? A vrai dire, j'ai oublié de passer chez vous à la forge : je voudrais savoir si vous vendez des couteaux de lancer magiques. Si oui, je vous en prendrais bien quelques uns. Comme il faut que je repasse par l'esplanade de Waulkyne avant de partir, nous pourrions passer par votre boutique."

Dorian approuva:"bien sur que je peux vous vendre des couteaux de lancer magiques Dame .Attendons un peu nos compagnons puis passons à ma forge .Tiens Maikagondiel est là "...

Dunhallym se leva pour aller ouvrir à Maikagondiel. Comme elle saluait sa visiteuse, un éclair roux la dépassa et se jeta sur Alkantr. Les deux famileirs roulèrent dans les allées du jardin. Un peu désemparée par cette attitude inhabituelle (Ruz était bien élevé), Dunhallym voulut séparer les combattants lorsqu'elle s'aperçut qu'ils étaient simplement en train de jouer. Avec un sourire, elle se tourna vers Maikagondiel :

"Nous ferions peut-être aussi bien de les laisser dehors."

Elle fit ensuite entrer Maikagondiel, la fit asseoir à côté de Dorian et lui servit à boire. Puis se tournant vers ce dernier:

"Bien, il faudra que je passe chercher mon bâton que j'ai laissé pour un enchantement : nous en profiterons pour récupérer des dagues de jet dans votre boutique. En attendant, parlons un peu de notre mission. J'ai emprunté à la bibliothèque de Lumenis cet ouvrage où il est un peu question de la tour. Malheureusement, je n'ai pas appris grand chose : il n'y est question que de rumeurs et l'auteur leur accordait suffisamment de foi, semble-t-il, pour ne pas aller vérifier lui-même leur véracité. la seule chose qui me semble sûre, c'est que plusieurs personnes, pour l'essentiel des mages, y ont disparu. Le livre fait allusion à un culte maudit ou quelque chose dans ce goût là mais je ne suis pas sûre qu'il ne s'agisse pas d'une légende née bien des années après comme celà se fait la plupart du temps. De toute façon, la seule manière d'en être sûrs est de vérifier nous-même."

Un messager arriva à la datcha, porteur d'un message pour Dunhallym. Le message veanit du maréchal Link Hasriel, qui expliquait que Draclord était retenu et que par conséqunt il le remplaçait pour partir vers la tour des éléments. Il donnait rendez-vous aux aventuriers au pied de la tour.
Dunhallym se tourna alors vers ses compagnons :

"Bon, je pense que nous pouvons y aller ; je vais envoyer un message à Daneghar et Orbeancien pour leur donner rendez-vous directement là-bas. Le temps que nous passions à la forge, ils pourront nous rejoindre. "

Dorian et maikagondiel acquiescèrent et les trois amis se mirent en route.

En arrivant chez elle, Dunhallym trouva un Ruz bien énervé, qui se rua à sa rencontre. Intriguée par le comportement inhabituel du renard, elle s'approcha de la maison et ne tarda pas à comprendre la cause de cette agitation. Tous les membres de la rédaction étaient présents, ainsi, à sa grande surprise, que quelques élèves de l'Université. Ils avaient dressé une grande table dans le jardin. Alfflaline vint à sa rencontre.

Bonsoir, Dunha, comme tu vois, on a tenu à te faire une )petite surprise pour fêter ton dé... euh, avant que tu t'en ailles... euh, en fait on s'est dit qu'on n'avait pas encore fêté ta nomination et que, comme tu pars quelques temps, on n'allait pas te voir donc que ce serait sympa de se retrouver tous ensemble, enfin, tu vois.

Dunhallym sourit devant l'embarras de l'halfling. Elle était très touchée par cette marque d'amitié.
La fête se déroula pendant une bonne partie de la soirée. Arrivés au dessert, Alfflaline se leva :

Dunha, en accord avec toute la rédaction, nous avons décidé de t'offrir un cadeau qui te sera utile pour ton voyage.

Intriguée, Dunhallym vit Sergeï se lever et passer derrière la maison, et en revenir avec un petit cheval noir, sellé et harnaché. Dunhallym demeura un instant estomaquée. Elle avait effectivement complètement oublié de s'acheter une monture et le cadeau de ses amistombait on ne peut mieux. Rouge d'émotion, ce qui était un exploit en raison de sa carnation, elle se leva.

Je ne sais vraiment pas quoi vous dire pour vous remercier..... Je suis très émue, je... C'est parce que vous êtes pressés de me voir partir, n'est-ce pas ?

Bafouillant encore plus qu'Alfflaline dans ses pires moments, la semi-drow remercia tous les présents après quoi la fête reprit.


Après le départ de ses "invités", Dunhallym monta se coucher. Elle avait un peu bu et fut ravie d'avoir préparé ses bagages avant d'aller au Palais, elle n'en aurait pas eu le courage.

Le lendemain matin, après une courte nuit, elle chargea ses affaires sur le petit cheval, qu'elle baptisa Alteran. Puis elle plaça des protections magiques sur sa maison, pour la protéger d'éventuels cambrioleurs. Enfin, appelant Ruz, elle se mit en route. Celà faisait longtemps qu'elle n'était pas montée à cheval mais elle retrouva vite les bons gestes, d'autant qu'Alteran semblait l'avoir adoptée tout de suite. Dans cet équipage, elle se dirigea vers les quais.

En rentrant chez elle ce soir là, Dunhallym aperçut une silhouette en cape rouge qui faisait les cent pas devant l'entrée de sa maison. Comme elle s'approchait, elle faillit lâcher son sac en reconnaissant son père. Celui-ci se retourna en entendant crisser les graviers. Un grand sourire éclaira son visage et il s'élança vers elle :

Dunha, ma petite, ça faisait si longtemps que je ne t'avais pas vue ! Comment vas-tu ? mais c'est que tu es habillée comme une vraie princesse maintenant, ça a l'air de bien aller pour toi?

Dunhallym sourit. Décidément, il n'avait pas changé.

Comme tu vois, j'ai une nouvelle vie maintenant. J'ai été nommée ambassadrice et je m'occupe également du journal de Lumenis. Et toi, que deviens-tu ? Entre donc, tu me raconteras tout ça à l'intérieur

Le visage du semi-drow s'asombrit, comme il suivait sa fille dans la maison. Dunhallym le mena dans le salon et l'invita à s'asseoir tandis qu'elle allait chercher de quoi boire. Lorsqu'ils furent bien installés, elle invita son père à lui parler de lui.

Et bien... à vrai dire, ça ne va pas si bien que ça, je suis dans la panade s'il faut te l'avouer. Les anciens en avaient assez de parcourir le monde, surtout après la dernière histoire... tu sais... celle où... enfin, ils se sont tous plus ou moins installés, et moi je me retrouve comme un vieux alors que je n'ai pas encore 150 ans. Alors, je me suis dit que j'allais te rendre une petite visite. Après tout, c'est normal pour une fille de s'occuper de son vieux papa, non ?

La nouvelle n'enchanta pas Dunhallym, d'autant plus que connaissant son père, elle se douta qu'il ne lui disait pas toute la vérité. Certes, ses anciens compagnons n'étaient pas tout jeunes, ça faisait plus de 20 ans qu'ils bourlinguaient avec son père et les humains vieillissaient vite, mais tous n'étaient pas humains... et puis même ceux là, Dunhallym ne les voyait pas prendre leur retraite d'aventurier pour se caser bien tranquillement. Non, il devait y avoir autre chose et celà ne lui plaisait pas, mais alors pas du tout... Cependant, elle savait aussi qu'Er'Shatuik ne lui dirait rien tant qu'il ne l'aurait pas décidé de lui même. En soupirant, elle lui répondit donc :

Tu as quelque chose derrière la tête ou je ne te connais pas. Mais bon, comme tu dis, je ne peux quand même pas mettre mon "vieux" père à la porte. Installe-toi donc.

Une petite silhouette franchit le portail du jardin de Dunhallym et se dirigea vers la porte. Ruz, qui digérait tranquillement un lapin près de la porte, se leva pour voir qui approchait et reconnaissant la visiteuse, alla se recoucher. Alfflaline sonna à la porte, qui ne tarda pas à s'ouvrir sur un visage qui, non sans rappeler celui de Dunhallym, était clairement celui d'un homme aux origines drows plus marqués que ceux de la rédactrice en chef. Le plus surprenant était l'accouttrement du personnage, peu habituel sur quelqu'un de sa race.

Euh, je voudrais voir Dunhallym, si c'est possible. fit la petite femme, seulement à moitié rassurée.

Oui, elle m'a prévenue. Elle est allée dormir et m'a demandé de vous accueillir. Je suis son père, entrez donc, entrez donc. Je vais aller la réveiller.

Alfflaline suivit le semi-drow dans la maison et alla s'installer dans un fauteuil du salon tandis qu'il montait à l'étage.

Quelques minutes plus tard, Dunhallym rejoignit Alfflaline dans le salon.

Excuse-moi, la nuit a été courte et j'avais besoin de me reposer. Bon, entrons dans le vif du sujet
Tu veux des nouvelles des meurtres?
Oui, mais pas seulement. Je voudrais d'abord te parler de Roborune Alfflaline leva un sourcil interrogateur à la mention de la demi-elfe puis, soudain inquiétée par le ton sérieux de Dunhallym :

Elle a eu un problème... Les assassins ?...

Elle a effectivement été victime d'une agression, mais il ne s'agit pas des assassins. Vu qu'ils étaient six, elle n'aurait eu aucune chance face à des professionnels qui agissent dans les bas quartiers. Non, il s'agit d'autre chose.... Tu te souviens des rumeurs qui circulent concernant Sorig, dont Anthalde t'avait parlé et contre lesquelles tu t'étais insurgées.... Et bien il semblerait que ce ne soient pas que des rumeurs...

Tu veux dire que ce serait Sorig qui... Non, je ne veux pas le croire... et puis comment peut-elle en être sûre.. Non, ce n'est...

Il l'a menacée, Alfflaline, et puis, je ne vois pas pour quelle raison elle mentirait. Mais il est vrai qu'on ne peut pas exclure cette possibilité. Alors, voilà ce que je te propose. Tu vas aller la voir et discuter avec elle. Et tu vas essayer d'y voir un peu plus clair dans cette affaire. Sorig ne se méfie pas de toi, tu pourras donc l'espionner à ton aise si besoin est de faire la preuve de sa culpabilité. Si tu ne trouves rien, tant mieux pour toi, mais si tu trouves quelque chose, au moins, tu seras convaincue.

Ca nz me plaît pas, Dunha. Mais bon, pour toi, je veux bien le faire. Mais si je ne trouve rien...

Nous en reparlerons le moment venu. En attendant, dis-moi ce que tu as découvert sur les meurtres, parce que je vais sans doute reprendre l'enquête à ta place.

Alfflaline soupira avant de reprendre la parole.

Je n'ai pas appris grand chose. En fait ma seule certitude est qu'il ne s'agit pas d'un fou comme je le pensais au départ. Les techniques employées sont celles d'assassins professionnels, leurs lames sont empoisonnées, pour être sûrs de ne pas rater leur victime. Un malade n'en ferait pas autant.

Dunhallym acquiesça. L'identité des victimes, tous d'origine elfique et bardes, les avait fait penser à un tueur en série, un pauvre fou qui aurait conçu une haine contre les elfes bardes, mais Alfflaline devait avoir raison. La petite femme poursuivit :

Il y a donc deux possibilités. Soit ces assassins agissent effectivement sur ordre d'un fou qui a les moyens, soit ils sont après un elfe ou un demi-elfe barde mais ils ne savent pas qui donc ils les tuent tous. Je pense pour la seconde hypothèse mais je peux me tromper. Sinon, les meurtres ont lieu dans divers endroits mais majoritairement dans les bas-quartiers. Voilà tout ce que je sais.

Dunhallym resta un instant silencieuse, méditant sur les paroles de son assistante.

Bien, merci, je vais voir ce que je peux faire. En attendant, ce serait bien que tu retournes au journal. Je sais que ça ne te fait pas plaisir mais c'est important.

Alfflaline traina un peu les pieds mais elle ne put qu'acquiescer.

Après le départ de la petite femme, Dunhallym se réinstalla dans son fauteuil pour réfléchir à la suite de l'enquête. Elle ne pouvait pas s'y rendre comme ça, de peur d'être reconnue. Et plus elle y réfléchissait, plus elle se disait que son enquête devait commencer par la guilde des voleurs, pour savoir si ils étaient impliqués. En effet, la guilde n'apprécierait certainement pas l'intrusion d'assassins étrangers sur son territoire. Il lui fallait trouver un voleur et lui soutirer des renseignements.

Tu cherches un moyen d'aller dans les bas-quartiers sans être reconnue, n'est-ce pas ? fit une voix dans son dos. Dunhallym se retourna vers son père.

Toi, tu as une idée derrière la tête ou je ne te connais pas. Je cherche effectivement un moyen de me rendre dans les bas-quartiers discrètement et de faire parler un voleur de la guilde pour savoir si elle est mêlée à ça. Sans violence si possible...

Et que ferait un pauvre petit voleur, cerné par deux elfes noirs. Ne fais pas cette tête là, je m'ennuie et un peu d'action me fera du bien. Et puis, si tu veux te transformer, je pense que tu as intérêt à accentuer tes traits drows.




A la tombée dela nuit, deux ombres quittèrent la maison de Dunhallym et se dirigèrent vers les bas-quartiers.

[/I]Plus de 24 heures après, ce furent deux semi-drows épuisés qui rejoignirent la datcha. Après deux petites heures de sommeil, Dunhallym se leva pour préparer une infusion revigorante pour son père et elle ainsi qu'un bon repas. Mine de rien ils n'avaient rien mangé depuis la veille au soir et la fin se faisait cruellement sentir. Elle rassembla également l'équipement qui pourrait lui être utile : son bâton, deux parchemins de boule de feu et quatre potions de soin qui lui restaient de ses précédentes aventures. Elle changea également sa cape noire contre une autre, bleue sombre, qui offrait une preotection magique plus intéressante. Une fois tout ceci préparé, elle réveilla son père et ils prirent ensemble leur petit déjeuner.
Puis, ils se remirent en route vers l'entrepôt où se trouvaient les assassins. Quatre heures sonnèrent au temple de Lathandre. Ils étaient dans les temps...