La Couronne de Cuivre

On trouve une foule d'activité plus interessantes les unes que les autres dans les bas quartiers : assassinat , prostitution , vol , trafic d'armes etc etc parmis des batiments qui rivalisent tous pour la palme du lieux le plus glauque de Lumenis se trouve une grande bâtisse circulaire. La composition du bâtiment est très facile et même un orque pourrait s'en rappeller : au centre une fosse que l'on peut remplir avec diverses ingrédients , du sable pour des combats a pied , de la boue , de l'eau etc etc. Autour de l'arène sont situés des gradins séparés du lieu de combat d'une large grille des fois que cela dégénére.

Ce soir là , la fosse était remplie d'une boue fraîche et des dizaines de spectateur attendaient le début en hurlant

Les chandeliers diffusaient une lumière qui laissaient entrevoir uniquement l'arène, et la tension montait à l'approche des combattants.
Le public hurla quand deux ombres apparurent entre les gradins, portant chacun une grande toge les recouvrant entièrement.
La première était assez petite, apparement frêle, et la lumière ne laissait voir que des cheveux de jais.
La seconde était bien plus imposante, avec une peau n'ayant rien d'humain.
Ils se séparèrent pour prendre place de chaque coté de l'arène après s'être jeté un regard furieux.
Puis, l'arbitre entra.

La plus petite silhouette fut la première a dévoiler ses atouts convaincants pour le combat à venir. Laissant tomber son pagne au sol , tout homme du public put vérifier avec certitutde et jumelles que l'elfe n'avait pas souffert des années.

Entiérement nue , la jeune femme fit des signes d'encouragement au public qui n'avait pas besoin de ça pour la soutenir a 800% , le pauvre demi orque semblait être un sumotori a côté de cette incarnation vivante de la beauté elfique. Le barbare se déshabilla à son tour et fut accompagné de crises de vomissements dans la salle qui rajouta une touche exotique à l'ambience sonore.

Link qui passait une bonne partie de son temps libre a courtiser des prêtresses de Sunie ou à venir voir des matchs de catch féminin c'était porter volontaire pour régler la lutte qui opposait deux de ses amis , beuahs de surcroît.

Il apparut au centre de l'arène et déroula un long parchemin qu'il se mit à lire le plus rapidement possible , car autant que le public il était impatient de voir les capacités de l'elfe.

"Mesdames , Mesdemoiselles , Messieurs , bonsoir et bienvenue a la grande arène de combat de boue de Lumenis !! Aujourd'hui ce n'est pas rien , aujourd'hui est un jour d'exception car le combat qui s'annonce va opposer deux immenses figures du continent : à ma droite Filamp *applaudissements* ancien président de Lumenis et à ma gauche Tyrande l'elfe bien connue des lecteurs de MelendisXXX*applaudissements* , vous vous demandez pourquoi nos deux amis viennent ici , se ridiculiser a vie ?*le public hurla qu'il s'en foutait , mais Link feignit de ne pas avoir entendu* Et bien Tyrande ici présente souhaite réparer le mal qui lui a était fait par le mariage de son propre mari Egrevyn Berrak avec Filamp ici à ma droite , elle souhaite se venger et est prêt a abandonner l'amour de sa vie contre une bonne pension alimentaire et la garde des bouteilles de vin du couple. Mais très de plaisanteries et passons aux actes !"

Link leva le bras et commenca un décompte pour indiquer la fin du combat .....

Parmi les spectateurs, on peut reconnaitre un grand manostien, connu pour ses excès d'acoolémie et de perversité :notme2: . Il était venu entièrement nu (obligé dans ce genre d'endroit) depuis Manost (çà a fait plaisir aux matelots :notme: ).

Mais il n'était pas venu les mains vides, avec 3 bonnes bouteilles dans chaque mains, il avait de quoi passer la soirée et trouver une quelconque victime de son charme :et: (bah l'alccol fera le reste).

Il regarda (surtout Tyrande :love: ) les deux participants arriver et se déshabiller (en regardant toujours Tyrande :love: ). Il ragarda aussi le débile lutin en espérant qu'il se prenne quelques coups :notme: .

-Il préfère les elfes ? Je me demande s'ils la regarderont toujours avec 4 kilos de boue sur son corps si parfait...
Ils se fixèrent ensuite, s'avançant lentement, légèrement courbés.

DING DING !

Le combat commença. Ils se mirent à tourner, ne se quittant pas des yeux. Le public redoubla en hurlements et encouragements.
Le demi-orque lança un immense cri et bondit vers son adversaire, qui ne put éviter l'immense masse. Ils s'applatirent dans la boue, et quand Filamp se releva, il constata que seul le nez et la poitrine de Tyrande ressortait de la vase...

Une silhouette encapuchonnée se faufilait entre les soulards notoires des bas-quartiers, les elfettes en petite tenue affriolantes et une masse de supporters venus assister à un affrontement hors du commun. L'individu fixa quelques instants la pancarte woman et crut reconnaître una vague cousine de Dryade.

Il se posta enfin dans un coin de la grande salle, et attendait que les premiers coups soient produits, s'inquiétant surtout pour son Fifi, car Tyrande avait la main lourde. :rigoler:

L'elfe rampa tant bien que mal et aggripa les jambes de Filamp par surprise , ce dernier se vautra dans l'arène et fut à son tour couvert de boue. Alors que l'orque ressemblait vaguement à un élemental de terre , la boue avait parfaitement suivi les courbes de l'elfe , même moins glamour elle semblait exciter la passion et la libido du public constitué en grande partie d'hommes.

Les deux adversaires étaient revenus dans la même posture qu'au début du combat , trois tonnes de boue en plus. L'elfe envoya un coup de pied bien placé à l'orque qui se courba sous la douleur , elle lui grimpa sur le dos pour lui donner des baffes a loisir.

Un demi-orgre, assis devant Egrevyn et qui lui cachait la vue, énervait quelque peu le semi-elfe en hurlant des propos coquins à l'égard de sa (première) épouse. Un petit sort de mutisme plus tard, le Manostien put se concentrer sur le dénouement du combat. Tyrande avait bien débuté.

Vas-y ma puceeeeeeeeeeeeeeeeee :hein: :love:

Mais son fifi d'amour était en bien mauvaise posture et ne méritait pas ça. Quel dilemme

Ses petites choses qui remontaient pour atteindre la gorge... Non, ça ne pouvait pas ! Non ! Non ! Pas déjà ! Il ne pouvait pas faiblir maintenant !

Et pourtant...

Il posa un genoux à terre...

Signe de souffrances, d'abandon, pour tout le monde, mais pas pour lui, mais comment le dire ?

Et c'est finalement Rodriguez qui le sauva, en se levant brutalement et en lâchant une bouteille de whisky qui atterrit devant le guerrier.
La fontaine de jouvence d'un Beuah ! Son Eau Bénite, sa raison de vivre !
En quelques secondes, il avait entièrement vidé la bouteille, et se tenait devant l'elfe qui triomphait un peu trop vite.

-Déçue ? Ca ne fait que commencer...
Il se courba et passa la tête entre les jambes de son adversaire, et déplia ses jambes brutalement, la faisant voler en l'air pour atterir misérablement dans la boue...

Tyrande releva doucement la tête de la boue , le genre de moment qui précéde les tempêtes meurtrières au couteau à beurre.
Misérable orque , tu m'as décoiffé , je te le pardonnerais jamais.
Les yeux de Tyrande respiraient la haine et violence. Elle agita frénétiquement ses bras et attaquait son adversaire dans de grands moulinets qui auraient pu alimenter Eauprofonde en courant pendant 3 jours. L'orque paraît maladroitement les attaques de l'elfe de ses gros bras et était obligé de reculer coup sur coup. Il arriva dos a dos avec le mur et Tyrande lui asséna un violent coup de pied dans la poitrine , l'orque s'écroula après avoir pris soin de s'accrocher aux bras de l'elfe , les deux combattants se retrouvèrent dans une posture tandancieuse et gisant dans la boue.

Un énorme Splochhhhhhhhhhh fit taire l'ensemble du public. On voyait Tyrande la face dans la boue et l'arrière train relevé vers le haut. Des secondes qui semblèrent durer une éternité firent penser qu'elle s'étrangler mais quand elle sortit la tête, tout le monde se mit à rire, soulagé que la jolie elfe était indemme même si sa fierté avait pris un coup.

Fifiiiiiiiiii :love: :hein: , ça c'est de la voltige.

Tyrande reconnut Egrevyn à la voix et se retourna vers les hourras poussés par le semi-elfe.....verte de rage..enfin on ne voyait que le marron de la boue mais bon.

-Eh ! L'demi-orque, on a un bordel juste à coté pour ce genre de choses !
Il ouvrit les yeux, et constata avec horreur qu'il venait d'appercevoir ce que seul Egrevyn avait l'autorisation de voir d'aussi près...

Et quand il se releva, il constata que l'elfe avait une bouteille d'alcool dans la bouche et venait de la vider entièrement.
Pour une elfe, 2 litres d'alcool en 8 secondes...

Elle se releva péniblement, titubant à chaque pas.
-Espèce d'or*hips*rque, je vais te... te...

Une autre bouteille fut vidée par l'elfe.

-Je vais *hips* te... bennn... te...

Et une troisième bouteille.

-T'as de *hips* beaux yeux, tu sais ?

Après avoir sacrifié une bouteille pour Fifi, Rodriguez se rendit compte qu'il... n'en avait plus :snif: .

Il se leva et parti à la recherche de rafraichissements, tout en ayant un oeil au combat et surtout à Tyrande :love: (mais la boue cachait ses parties... :lunette: ). Malheureusement, avec l'effet de l'acool, Rodriguez trébucha et atterit su Evergrin... igevrin... Everin... Enfin son supérieur hiérarchique (n'oublions pas que Rodriguez est toujours nu).

-Hello... Tu es venu habillé ? Mais c'est quoi çà ?

Rodriguez se jeta sur Egrevyn et s'empressa de le déshabiller.... Zut, je vas pas être le seul guignol à poil :notme:

Tyrande se rapprochait de Filamp avec un regard que seul l'alcool peut produire.
L'orque subissait un dilemne intérieur , il avait jurait fidélité à Eggy mais il était pas contre le fait d'abuser d'une elfette très mignone et surtout sans défense.

L'elfe avait commençer a faire un suçon dans le cou de son orquinou d'amour et était bien partie pour s'envoyer en l'air devant un public qui n'attendait que ça.
Elle lui sussurait des belles paroles inspirées par la sainte bouteille et le grand beuah.
-T'es encore plus vert qu'une euuuuh *hips* courge déclara t'elle
Filamp avait commencer a enlacer sa belle pour lui faire des bisoux :oops:

Le conseiller n'était finalement pas si étonné que ça de voir Rodriguez dans un tel état. Ses moeurs licencieuses étaient connues de tous à Manost mais en revanche l'empressement de ce dernier à le déshabiller l'inquiétait quelque peu. Fifi étant d'in naturel jaloux, il fallait couper cours à cela. Le semi-elfe poussa Roro dans les bras d'une ogresse et s'approcha de l'arène de boue prenant soin de s'en mettre sur le coprs pour cacher son intimité. Il grimpa ensuite sur l'aire circulaire, outré d'un tel spectacle.

-QUOIIIIIIIIIII, on commence sans moi? :snif:

Les voici maintenant enlacés au milieu de l'arène, s'échangeant des mots doux, comme "Vous marinez chez vos harengs ?" (merci M.Colucci) ou "J'adore la couleur de ta peau, ça me fait penser à des fleurs piétinés par des éléphants..."

Il fallait saisir l'occasion, en un geste de la main, quelqu'un, ou quelque chose, actionna un mécanisme. Des kilos et des kilos de boue s'abbatirent sur les combattants qui furent bientôt recouverts, étant allongés.

On put d'ailleurs entendre, dans les gradins "Papa, pourquoi la boue elle bouge et elle crie ?"

Erszebeth arriva en retard et habillé de ses affaires d'aventuriers, la cape et la capuche la dissimulant parfaitement. Elle était venue jouer là son rôle préféré, celui d'observatrice.

Elle soupira quand des tonnes de boues ensevelirent les combattants. Si elle était absolument contre le fait de se ridiculiser personnellement, voir des gens se ridiculiser devant ses yeux l'amusait beaucoup.

C'est un Link couvert de boue qui déclara le match nul , il n'avait pas était épargné par les attaques des combattants . Il releva les combattants et les forca à se serrer la main , ce qu'ils firent sans oublier de s'écraser mutuellement les doigts.

La lutte pour Eggy n'était pas finie , aucun des combattants n'était sorti vainqueur de ce terrible tournoi et désormais Tyrande comptait bien aller rendre ses comptes directement avec le demi elfe.

Débarquant d'on ne sait où mais sûrement d'un endroit qui vous ôtait le bon sens de la tête; Astaldo, encadré de six castors en complets noirs à paillettes dorées, fit son apparition dans la salle. Lui-même était vêtu d'un peignoir mauve aux coutures dorées et dans le dos duquel était inscrit en lettre argentée "Tarkilator".
Sautillant sur place le fleuriste leva les bras bien haut tandis que ses fidèles rongeurs l'acclamaient en brandissant des pancartes telles que "Astaldou je t'aime" ou encore "Tarkil Président".
Il ne restait plus qu'à trouuver un adversaire.

L'arbitre dans l'arène !!!!! :hein: :hein:

Meoooooow!!

Bien dit camarade !

Aramis, lui aussi dans un peignoird de la même coupe grotesque, faisait des bons hystérique à l'idée de pouvoir patauger dans toute cette boue.

Un être se présenta devant lui. Le regardant froidement dans les yeux, avant de déchirer sa chemise d'un seul geste, rélévant un torse elfique musclé et rayonnant de masculinité, l'incarnation la plus parfaite du désir féminin. Les femmes s'évaouirent d'adoration dans l'assistance. Il leur envoya son sourire le plus ravageur

Observant l'être grotesque dans son peignoir, il lui lança:

- Hé toi, tu as trop regardé "Raging Bull" .Il n'y a qu'un seul cador dans cette ville, et c'est moi. Parce que Jack la Motta, c'est moi.

Se demandant encore où il avait réussi à trouver une première phrase pareille et même ce qu'elle signifiait, l'elfe de prépara devant son challenger.

Dévisageant le gringalet d'un oeil rieur, Astaldo retint à grand peine son chaton désireux de se faire les griffes dans ses abdos kro.

Laisse-moi rire, peluche, tu ne peux rien contre moi, ne m'oblige pas à te ridiculiser. Maintenant.... Regarde !

D'un geste ample il ôta son peignoird qui s'envola tout en haut de la salle comble, alors qu'il n'y avait pas le moindre poil de vent. Arborant un magnifique boxer de lin turquoise l'ancien marin révéla à la vue de tous la musculature respectable que prodiguait plusieurs années en mer. Tandis que son chaton faisait de même, faisant soupirer d'envie toutes les minettes du coin, il prit le temps de poser plusieurs fois pour que les peintres et les jeunes filles nullements impressionés par la gonflette d'en face puissent saisir son corps apollinien.

C'est quand tu veux mon mignon, t'es combien dans ton costume ? Nous on est deux, mais si tu veux je peux venir tout seul ou te laisser à mon chaton.

- Hé gamin, je pourrais te prendre, toi ,ta vulgaire boule de poils à vermifuger, et avec des castors grotesques et le tout en même temps les mains attachées dans le dos avec un bandeau sur les yeux et de renvoyer en pleurant chez ta môôômannn parce que tu t'es fait tanner les fesses un peu trop fort.
D'ailleurs je vous attends tous.Je ne crains pas les marins d'eau douce comme toi. Et allons en discuter sur le ring, l'ami

L'elfe vrilla de son regard le jeune homme.Qui lui rendit son regard. Dans le public, un joueur d'harmonica se mit à entonner quelques notes plaintives et lancinantes, pour souligner toute la tension de ce moment. Cela aurait pu faire une excellente musique de pièce de théatre. Il avait déjà l'idée du titre, pour le directeur de théatre qu'il était: "Le Luménien, le Mélandien et le Manostien" .Il observa les gouttes de sueur qui commençaient à perler sur le visage de son vis à vis, cramoisi par la rage.

- Du mal à se contrôler petit? Allons y!

Sans plus attendre la Horde Sauvage (nom donné à l'espèce de conglomérat humano-félino-rongeuroïde de l'équipe d'Astaldo) bondit comme un seul homme sur le jeune coq qui attendait depuis trop longtemps qu'on le renvoit au couvent. Braillant son cri de guerre, le fleuriste bavant d'écume, ou écumant de bave au choix, fut le premier sur sa proie.

HEEERI<span style=\'color:yellow\'>OOOOO !</span>

Un immense sploaaaaartch se fit entendre quand les deux adversaires enlacés percutèrent le sol boueux dans un choc d'une violence à faire trembler un chateau de carte. Tandis qu'Astaldo détournait l'attention de l'ennemi, Aramis lui griffait les mollets et ses six castors s'employaient consciencieusement à le débaraser de ses derniers vêtements.

La foule, émue, se leva briquets en main pour saluer l'audacieuse attaque du jeune homme.

Cela n'allait pas se passer ainsi. Décidant que la plaisaterie avait déja assez duré, il se releva, projeta un chaton ridicule et dégénéré à une vitesse respectable au dessus de la tête de son adversaire

- Mooewww, fit le chat passant entre les grilles et atterissant au milieu du public, en fort bonne compagnie il est vrai, d'une charmante elfe qui n'avait pas jugé bon de se couvrir outre mesure. Soudainement, jugeant bon que le vue était fort bonne dans les gradins et vu que ses tendances perverses commençaient à se réveiller, Aramis laissa traîtreusement son maître en plan.

Puis, prenant par la queue un castor qui traînait, hurlant un "You fuck my wife" retentissant à en faire frémir les mélandiens à des milliers de kilomètres à la ronde ,l'elfe fit du ménage avec une attaque en puissance avec stupide rongeur +12.
Les coups étaient terribles, les castors sonnés, tentaient de fuir et Astaldo lui même reculait sous les coups...

S'emparant d'une couche de boue qui avait séché sur son corps bouillant, Astaldo forma un grand bouclier sur lequel on pouvait lire : FEMMES ENCEINTES, FUMER NUIT A LA SANTE DE VOTRE ENFANT. S'emparant à son tour d'un castor il bondit vers son adversaire, rebondissant mollement sur la boue agitée par les remous de l'autre jongleur.

Montjoie ! Saint Genis !

Retournant la tête du frêle amateur qui lui tenait tête d'un solide revers de rongeur, le fleuriste enragé l'expédia un bon mètre sous la boue humide et commença à entamer la danse sacrée des anciens, pour que la force soit avec lui.

Aya aya heeeeh, tokeneh ta ra nah

Tout en faisant des petits bonds sur le ring central il ne manquait pas d'asséner une mandale ou deux dans son adversaire qui s'en mettait plein la panse.

Pendant que le fleuriste exécutait sa danse stupide, il en profita pour pour le faire tomber alors qu'il se tenait sur un pied en faisant une chorégraphie, qui lui rappelait une certaine chanteuse luménienne à forte poitrine, appellée sous son nom d'artiste Britney Lances ( just a little translation ).

Se redressant dans la boue et envoyant un pied à pleine vitesse capable de lui faire sauter tous ses plombages, il lui dit d'une voix assourdie par la boue devant la bouche:

- Je t'attendais depuis longtemps....

Il eut soudain envie d'ajouter:" Astaldo, je suis ton père", mais préfèra se taire, il ne savait pas pourquoi.Le rôdeur bondit sur lui à terre et commença la lui assèner une volée de coup tous plus puissants les uns que les autres, faisant voler des tonnes de boue.

La foule était en extase, et pour certaines au bord de quelque chose d'autre-dont-je-n'expliciterai-pas
-plus-le-contenu-parce-que-des-âmes-sensibles-doivent-traîner-sur-ce-forum-et-que-c'est-interdit-aux- moins-de-dix-huit-ans.

Se relevant péniblement, Astaldo essuya son torse velu et envoya la boue dans les bras d'une miriade d'elfettes déchainées, qui se retenaient à grand peine de ne pas lui sauter dessus. Saisissant son rongeur à deux mains il se remit en garde.

Zobbi Ouane t'as bien formé, maintenant, son échec est total.

Sans trop savoir de quoi il parlait, après tout il avait reçu une bonne dose de coups sur la tête, l'ancien marin pressa la patte arrière gauche de son castor, qui devint aussitôt rose fluo.

ZIOOOOOOOOOON


Il est imprudent d'abaisser ta garde !

Sur ce il repartit à la charge, frappant son ennemi, lui tirant les cheveux et lui mettant les doigts dans les yeux tandis que sa troisième main le chatouillait impitoyablement.

L'adversaire était fourbe, ..........mais que faisait l'arbitre :snif: ? Il jeta rapidement un coup d'oeil, pour voir l'étendue de l'éthylisme dans lequel il avait sombré. Plus rien à espérer de ce coté là. La situation était grave. Cerné par les lâches et les pochtrons. Que faire?

Il lui restait une seule solution. L'appel au sex appeal divin et aux saintes plaquettes de chocolat + 25 en charisme. C'est risqué, mais bon

Toutes les femmes, devenues comme folles, se précipitèrent au milieu de l'arène, commençèrent à arracher les grilles frénétiquement à afin de libérer et de consoler au plus près leur idole :love: .
Dérouté par la manoeuvre, son adversaire baissa la garde. Assez pour se prendre un pied dans la machoire, voler à trois mè_tres, et pour que la foule en délire l'acclame:

- Coooooooorwiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin ! :love: :love: :love:

L'arbitre, complètement torché, tomba dans les bras qu'une charmante humaine et ne contredit pas le public, très occupé par une anatomie de rêve :notme2: .
Devant tant d'approbation, Corwin fut porté vainqueur aux yeux de tous ...
Qu'allait faire son opposant ?