[Luménien] Garfield
Posté : ven. 17 déc. 2004, 22:55
~Avant de devenir Luménien~
Je suis né il y a un peu plus d’une vingtaine d’année dans la ville de Padhiver, au nord de Féerune. Mon père était un des miliciens de la ville, et ma mère était une honnête commerçante. Chaque mois, une bourse rondelette tombait des mains de mon père sur la table du salon, ce qui me permis d’avoir une éducation plus que correcte.
A l’age de trois ans, Beshaba m’envoya une petite sœur, ignoble braillarde qui vampirisait l’attention de mes parents. Je continuais donc mon petit bonhomme de chemin solitaire en allant à l’école, et ce jusqu'à l’age de douze ans. Puis mon père décida de me faire rentrer dans la milice. Mais malgré tous ses efforts, les enseignements militaires m’ennuyaient au plus haut point, l’escrime mise à part. Je continuais donc à me cultiver en lisant divers récits. Mais je restais à un niveau trop faible pour rentrer dans la milice de la ville, ce qui ne me gênait absolument pas…
Alors, à dix-huit ans, je quittais l’académie militaire, aussi bon épéiste que mauvais lancier, hallebardier, archer ou encore arbalétrier.
Mais il fallait me trouver un travail, ne pas rester un poids pour mes parents. Je décidais donc de quitter le domicile familial, et embarquais sur un bateau en direction du Sud, vers la côte des Epées. La Belle de Balduran fut malheureusement prise en abordage par un groupe de corsaires dirigés par Hander Fehn. En me battant contre l’un des leurs, ils remarquèrent mes talents d’épéiste et décidèrent de me garder avec eux plutôt que de me vendre comme esclave. Je reçus donc une formation de base aux arts du crochetage et de la détection des pièges, toujours utile quand on fouille le repaire d’un clan de pirates ennemis. Mais tout cela ne dura que deux ans.
A l’age de vingt ans, je saisis une occasion pour m’enfuir : Hander était mourrant, et des dissension se faisaient sentir chez les pirates. Ne demandant pas mon reste, je quittais la ville portuaire qui leur servait de repaire dans les Royaumes insulaires, emportant une partie de leur or. Le bateau dans lequel je sautai me rendit à Athkatla. Ce fut pour moi l’occasion d’affûter mes talents… divers, afin de survivre, mais un léger différent avec une guilde de voleurs n’appréciant pas les indépendants me força à partir d’Athkatla au bout d’à peine deux ans.
C’est donc a vingt-deux ans que je pris la mer de nouveau, en direction de Calimport. Là-bas, je dus louer mes services en tant que mercenaire. Un mage du nom d’Alvishran loua mes services, et m’invita à le suivre chez lui pour plus de détail. Et ensuite… je ne me rappelle plus de rien sur une période d’environs un an.
Mon premier souvenir revient un an plus tard, réveillé dans une ruelle de Calimport, ayant toujours toutes mes possessions sur moi. Etrange… Mais je restait fidèle à moi-même : toujours aller de l’avant, avant que le vent tourne. Je me fis donc engager sur un navire, mettant ma faible expérience maritime a profit. Au bout d’un an de travail en tant que marin, je décidais d’empocher ma solde et de débarquer sur Hélonna.
A vingt-quatre ans, je franchissais les portes de Lumenis.
Je suis né il y a un peu plus d’une vingtaine d’année dans la ville de Padhiver, au nord de Féerune. Mon père était un des miliciens de la ville, et ma mère était une honnête commerçante. Chaque mois, une bourse rondelette tombait des mains de mon père sur la table du salon, ce qui me permis d’avoir une éducation plus que correcte.
A l’age de trois ans, Beshaba m’envoya une petite sœur, ignoble braillarde qui vampirisait l’attention de mes parents. Je continuais donc mon petit bonhomme de chemin solitaire en allant à l’école, et ce jusqu'à l’age de douze ans. Puis mon père décida de me faire rentrer dans la milice. Mais malgré tous ses efforts, les enseignements militaires m’ennuyaient au plus haut point, l’escrime mise à part. Je continuais donc à me cultiver en lisant divers récits. Mais je restais à un niveau trop faible pour rentrer dans la milice de la ville, ce qui ne me gênait absolument pas…
Alors, à dix-huit ans, je quittais l’académie militaire, aussi bon épéiste que mauvais lancier, hallebardier, archer ou encore arbalétrier.
Mais il fallait me trouver un travail, ne pas rester un poids pour mes parents. Je décidais donc de quitter le domicile familial, et embarquais sur un bateau en direction du Sud, vers la côte des Epées. La Belle de Balduran fut malheureusement prise en abordage par un groupe de corsaires dirigés par Hander Fehn. En me battant contre l’un des leurs, ils remarquèrent mes talents d’épéiste et décidèrent de me garder avec eux plutôt que de me vendre comme esclave. Je reçus donc une formation de base aux arts du crochetage et de la détection des pièges, toujours utile quand on fouille le repaire d’un clan de pirates ennemis. Mais tout cela ne dura que deux ans.
A l’age de vingt ans, je saisis une occasion pour m’enfuir : Hander était mourrant, et des dissension se faisaient sentir chez les pirates. Ne demandant pas mon reste, je quittais la ville portuaire qui leur servait de repaire dans les Royaumes insulaires, emportant une partie de leur or. Le bateau dans lequel je sautai me rendit à Athkatla. Ce fut pour moi l’occasion d’affûter mes talents… divers, afin de survivre, mais un léger différent avec une guilde de voleurs n’appréciant pas les indépendants me força à partir d’Athkatla au bout d’à peine deux ans.
C’est donc a vingt-deux ans que je pris la mer de nouveau, en direction de Calimport. Là-bas, je dus louer mes services en tant que mercenaire. Un mage du nom d’Alvishran loua mes services, et m’invita à le suivre chez lui pour plus de détail. Et ensuite… je ne me rappelle plus de rien sur une période d’environs un an.
Mon premier souvenir revient un an plus tard, réveillé dans une ruelle de Calimport, ayant toujours toutes mes possessions sur moi. Etrange… Mais je restait fidèle à moi-même : toujours aller de l’avant, avant que le vent tourne. Je me fis donc engager sur un navire, mettant ma faible expérience maritime a profit. Au bout d’un an de travail en tant que marin, je décidais d’empocher ma solde et de débarquer sur Hélonna.
A vingt-quatre ans, je franchissais les portes de Lumenis.
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