La Couronne de Cuivre

Synopsis:

Kenshin Himura est le plus célèbre assassin de tous les patriotes qui ont contribué à la restauration de Meiji. Aprés l'avènement de Meiji, Kenshin est devenu un vagabond qui s'interdit de tuer en portant un sabre à lame inversée (le port du sabre est interdit au japon après l'ère Edo). Son errance le conduit au dojô Kamiya, tenu par la jeune kendoka Kaoru. Suite à une affaire de "faux Battosaï"(nom donné à Kenshin quand il était un assassin), résolue par Kenshin, le dojô Kamiya perdit tous ses disciples. Cependant , grâce à Kenshin, le dojô peut espérer renaître...
Mais bientot le passé de Kenshin le rattrappe et désormais, il va devoir reprendre la lutte, au risque de définitivement perdre son âme...

Excellent shonen de 28 tomes et un peu plus de 90 episodes en animé, il reste une référence dans le shonen de type "Samourai" au japon et en plus si vous sous interressez un peu a l'histoire du Japon, c'est une bonne opportunité pour s'y initier.

Le seul reproche que je fais à l'animé, c'est qu'une partie de l'histoire est occultée à environ la moitié de l'histoire (elle est reprise dans un oav mais très brièvement)...

A lire/voir absolument si vous aimez les histoires de samourais!

J'ai lu tout les tomes de la série. Le shonen en lui même est pas mal, le style de dessin soigné mais, tout cela manque indubitablemment d'originalité aussi la série s'essouffle-t-elle fortemment vers la fin, basculant de plus en plus dans l'irréaliste.
Je comparerai Nobuhira Watsuki à Girodet: des dessins brossés, conventionnels et au final, ennuyeux.
Si vous voulez vraiment des histoires de samouraï, lisez Lone Wolf and Cub, l'histoire d'un samouraï ayant quitté la voie du bushi (samouraï, pour celle du meifumado, l'assassinat la vengeance) et errant avec son fils dans un landeau. Un style très marquant et assez réaliste; un excellent scénario. Ou encore l'habitant de l'infini, considéré par les puristes comme le plus grand chef d'oeuvre en matière de manga. Malheuresemment, ce ne sont pas des shonen.