Prénom : Alexandre
Vous l'aurez sans doute deviné, ce prénom prend un sens différent selon qu'on s'intéresse aux différents personnages qui peuplent nos livres d'histoire et la mémoire populaire. Ainsi s'il brille d'un éclat solaire quand on parle d'Alexandre le Grand ou d'Alexandre Nëvski, il s'éteint immédiatement quand on parle de moi.
Âge : 18 ans
Je suis né à la fin de l'été 1989. Excellente année pour les vins de Médoc et du Roussillon. Bicentenaire meurtri de la Révolution de 1789. Millénaire de la mort d'Adalbéron, archévèque de Reims à qui nous devons la théorie des Trois-Ordres. Etc.
Signe zodiacal : Vierge, ascendant Scorpion.
Je ne ferai aucun commentaire. Non, vraiment !
Lieu de résidence : Suivez-moi.
Prenez l'univers. Ignorez le Big Bang et approchez vous d'un saphir accroché à l'écharpe de la Voie Lactée. C'est la terre. Sur cette Terre, intéressez vous à ce continent découpé dans l'océan et dans le sang de ses enfants. C'est l'Europe. En Europe, ignorez les îles. Voyez le doigt vengeur qui pointe vers le Nouveau-Monde. C'est la Bretagne. La Bretagne ? Vous êtes trop loin. Remontez un peu, voyez l'Hexagone. C'est la France. Voyez plus au sud, peu avant l'Espagne. C'est le Roussillon. Bienvenue chez moi. Peut-être un jour vous montrerais-je Bordeaux. Ou Paris. J'y ai quelques amis et parents, après tout ...
Aperçu avant impression : Jeune homme commun
Pour une taille qui s'approche des 174 centimères, mon corps a une masse proche des 62 kilogrammes. Mes cheveux sont courts sans être ras, noirs sans être bruns. Mes lèvres sont fines, relevées, et roses. Mes joues sont blanches. Mes oreilles sont grandes. Mon nez l'est aussi, mais hélas il est fin. Mes épaules ne tombent pas. Mes jambes sont dangereusement instables. Je pense être maigre.
Aperçu psychologique : Individu parmi tant d'autres, hélas.
Irritable, arrogant, mesquin, sournois, menteur, perfide diabolique. Ce sont mes qualités. Loyal, bienveillant, serviable, courtois, dévoué, sympathique, affable. Ce sont mes défauts.
Bref rappel : De l'enfance finissante
J'ai commencé à suivre quelque enseignement à la maternelle, première section. Vu que j'étais assez turbulent et que, semble-t-il, je prenais du plaisir à concevoir des combines pour détruire les jouets de mes camarades, j'ai quitté la maternelle à la fin de la deuxième section. Puis je suis entré au Cours Préparatoire, et dès ce moment là j'ai " filé droit ", comme tout bon ver à soie qui se respecte. Ayant assez filé, le ver est devenu un cocon. Non, je n'ai pas de soucis de locution. Puis le cocon, subtile et magnifique chrysalide est devenue un docile papillon. Ce fut le collège, les copains, les camaraderies, mais aussi les trahisons, la solitude de l'élite, la léthargie sentimentale et la douce tristesse ... Finalement, le papillon s'est retrouvé pris au piège dans le bec d'un corbeau. Mort impénitente, n'est-ce pas ? Mais non car dans le cycle il devint le corbeau. Ce fut le lycée, et je dois dire qu'en dépit de la noirceur de son plumage, ces trois années furent les plus brillantes et les plus lumineuses de sa vie. Le bel oiseau que voici n est tout fier et frétille encore à l'idée qu'un jour peut-être il revivra de tels instants dont la magie emplit encore son coeur d'une joie infinie.
Présentement : Un joyeux non anniversaire !
Mais pour le moment, le corbeau est entré dans un nouvel univers. Bien plus sombre encore. Bien plus solitaire, qui l'eût cru ? C'est l'Université, la faculté de droit. Première année qui s'achève ... Bilan désastreux, quoique résultats très satisfaisants. Les ailes sont meurtries, mais l'oiseau se laisse planer. Affaire à suivre, je suppose.
Projet : Juriste
Le corbeau aimerait beaucoup devenir Corneille et voltiger sur le parquet. Procureur de la République ? Oui et non. Magistrat professionnel . Oui et oui. Diplomate ? Un doux rêve qui s'éloigne. Après tout, j'ai bien souhaité successivement être Roi d'Angleterre, Grand Pope thaïlandais, et maître du monde souterrain ...
Le piano. Je ne pourrais vivre sans. M'ôter ces 88 huit dents, c'est pire que d'en arracher une seule. Normal, me direz-vous. C'est pire encore. Non, vraiment.
La musique. En tout genre. J'aime tout, à de rares exceptions près. Je fonctionne par période. C'est cyclique et infini, et j'aime ça. J'eûs aimé avoir le talent pour devenir chef d'orchestre, ou directeur de chorale. Mais hélas la vie est faite de choix souvent douloureux. Maître à penser I : W.A.Mozart.
La lecture. Pour un être qui, comme moi, se sent prisonnier d'une réalité qui lui échappe de trop, la lecture est le paradis artificiel idéal. Mes préférences vont aux romans de cape et d'épée. Dernièrement je lis et relis l'Âge de la Déraison de Greg Keyes. Une merveille ! Maître à penser II : C. Baudelaire.
Le sport. Je pratique clandestinement avec un cousin l'escrime médiévale de l'école Allemande et je dois dire que j'aime ça. Bon je ne suis pas un maître-lame, mais je peux sans doute me défendre face à un individu armé d'une lame de calibrer 2 ou 3 ... Evidemment, s'il a un révolver, je ne dis pas ...
La vie sociale. Eh bien mes amis sont parfois là pour moi et je suis parfois là pour eux. J'ai eu quelques déceptions ces derniers temps, mais nul doute que j'en ai déçu quelques uns. La vie est faite de ces épreuves qui nous ... enseignent qu'il faut en toute chose peser toutes les implications. Le passé ensorcèle et emporte avec lui les derniers voiles dont notre coeur pouvait se couvrir pour se protéger du froid ...
Une chanson :Ne me demandez pas pourquoi ...
Un tableau :Idem, à vrai dire ...
PS : Au fait, j'ai oublié de désigner le membre.
J'ai beaucoup aimé les deux opus. Des aventures fabuleuses, de réels scénarios sans aucune faille, des personnages attachants, des situations cocassofantaisistes ... bref, autant de bonnes raisons d'utiliser de mes facultés d'insomniaques ! J'ai été peiné de perdre mon essence divine à la fin de TOB, car cela signifie qu'un Opus III n'est logiquement pas au programme.
J'ai préféré le II pour la qualité du travail sur les personnages. Et sur leurs répliques ! Mais il manquait peut-être au II ce qui faisait la richesse du I à savoir toutes ces cartes parfois inutiles mais où l'on pouvait chanter non sans malice :
"Mon beau paladin, illumine mon chemin, ni troll ni gredin, et aucun magicien, mais au moins des gobelins, histoire qu’enfin on augmente nos XPs à coups de gourdin..."(RA)
Mes personnages préférés sont :
Edwin Odesseiron : Affreusement irrésitible ! Rien à redire, et j'avoue m'être rendu coupable d'avoir user et abuser de ce magicien si ... incorrigible !
Xzar : Quel dommage qu'une fin tragique l'ait surpris dans BGII. Mais j'adorais sa pathologie spirituelle dans le I ... Et joué en Anglais, son " Non arrêtez d'me toucher" devient un "DON'T TUUUUUUUUUUUCH MEEEEEEEEEEE" des plus délicieux ! Et j'adore encore l'entendre dire " Huumm ... Votre voix est exquise ".
Minsc : Pour le décrire, je citerais le rôdeur lui-même : Des gnons. Pas des mots.
Aerie : La plus adorable des petites pestes. Oups, désolé .
Quant aux mods, à vrai dire j'ai apprécié ceux que j'ai emprunté ici où là ... et ils sont nombreux. J'ai même eu l'idée d'en créer un moi-même seulement ... si les dialogues et la Quête furent achevés rapidement, j'ai laissé tomber quand j'ai lu la première page du Manuel du bon Programmeur - Niveau NewBee.