[SPOILER] Quelques screenshots commentés
Posté : lun. 13 juil. 2009, 23:35
Comme j'ai fini par me décider à acquérir le jeu, j'ouvre ce topic sans prétention pour donner une idée de ce dernier à ceux qui ne l'ont pas encore. Je ne suis pas très loin dans le jeu : j'ai passé le village d'Avestrie et j'ai quitté Ferdok (la grande ville principale du jeu) pour une excursion dans les charmants marais de Moorbridge.
Les screens, donc.
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Voici l'écran d'accueil du jeu, comme du reste le connaissent déjà ceux qui auront joué à la démo. Jolie petite ferme, un puits, un rayon de soleil (animé)... En fond musical, quelques notes d'instrument à corde. En dépit des meurtres, mort-vivants et autres joyeusetés, l'univers de ce jeu n'est pas vraiment ténébreux, loin s'en faut.
Ici, deux paysans se disputent pour un pommier... Là, un vieil archimage gâteux enchaîne les gaffes... Des triplés nains parient de vous battre au bolto... On sourit fréquemment, et c'est ce qui manquait à mon sens à un jeu au concept et à l'apparence pourtant fort proches : la série NWN.
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Ma fiche de personnage. Je suis donc une élémentaliste tulamide. Le jeu propose des personnages prétirés : j'ai préféré m'en tenir là pour une première partie, parce que huit caractéristiques, ça commence à faire beaucoup. En réalité, c'est le principe, tout le monde peut faire à peu près tout, pourvu de trouver l'argent, l'expérience et le maître pour le lui apprendre. Je suis donc fort déçue de voir que mon élémentaliste n'a de vraiment personnalisé que son invocation d'élémentaire de feu (et éventuellement son sort d'éclair). Mais qui sait, je ne suis encore que niveau 5...
Quant au background de l'Aventurie (le monde de l'Oeil Noir), il est beaucoup plus embryonnaire que celui des Royaumes Oubliés. Je ne sais toujours pas ce que c'est qu'un tulamide et je m'en passe très bien. Les quelques récapitulatifs des écrans de chargement suffisent amplement pour le reste...
Cela signifie aussi que la personnalisation des dialogues n'intervient quasiment que par rapport à vos caractéristiques (un bon score quelque part débloquant quelquefois des options supplémentaires), et peu par rapport au sexe ou à la race.
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Un petit clin d'œil à Winthrop parce qu'il ne faut pas oublier ses classiques L'esprit des jeux d'antan souffle de temps à autres sur ce jeu, c'est indéniable... D'ailleurs, ma carrière héroïque suit le même chemin : je fracasse des tonneaux à l'air arrogant (IWD2), je tue des rats (BG1), et même des rats-garous (PsT), je fais les commissions, je cherche à rejoindre une guilde de voleurs (NWN2, BG2), et j'entasse des "trésors" dans mon havresac : queues de rats, tendons, feuilles de plante médicinale, flacon, poussière, blague à tabac, vieille pipe... Sans oublier que je sors des égouts avec un malus de charisme pour une odeur nauséabonde que seul un de mes jusque-là inutiles savons débusquera.
Bref, je suis peut-être l'Elu de la quête du Dragon, mais ça ne saute pas aux yeux.
[ATTACH]3382[/ATTACH]
Une vue de mon personnage. Depuis que j'ai découvert qu'il fallait combiner les touches clavier à la souris, je ne peste plus autant sur la maniabilité de la caméra, mais ça reste assez tournico-fatigant. Avec des passages intempestifs en plongée ou contreplongée que personne n'avait demandés. Et des personnages punis qui ne veulent plus sortir du coin.
Regardez le costume de mon personnage. Chapeau large, grandes bottes, pantalon étroit... Dans les villes, vous croiserez d'étranges chapeaux coniques sur des paysans, et des colombages systématiques. Nous sommes dans un Moyen Age tardif et germanique (comme la conception du jeu) qui me rappelle un peu Warhammer. Tant mieux, ça change.
En haut à gauche, la mini-carte. A droite, les compagnons de route (trois maximum, plus mon invocation ici) avec leur barre d'endurance et de vitalité (et de mana... pardon, d'énergie astrale, pour les lanceurs de sorts). En bas, en vrac, les sortilèges et compétences spéciales. Interface à la NWN. Facile à assimiler. Les petites icônes, c'est pour dire que mes personnages sont empoisonnés (j'ai découvert avec stupeur que sans la compétence poison, ils ne peuvent pas AVALER d'antidote ) ou blessés (je fais une grande consommation de bandages.) Ils ne sont pas très présentables, excusez-les, ils viennent de combattre un crabe géant, et c'est méchant.
Bon, jusqu'ici, je découvre, il y a des choses très sympa dans ce jeu (le développement de l'univers, la liberté de mouvement, les quêtes secondaires, l'humour), d'autres un peu plus frustrantes (caméra, manque de choix dans les dialogues...)
La suite au prochain numéro. Peut-être.
Les screens, donc.
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Voici l'écran d'accueil du jeu, comme du reste le connaissent déjà ceux qui auront joué à la démo. Jolie petite ferme, un puits, un rayon de soleil (animé)... En fond musical, quelques notes d'instrument à corde. En dépit des meurtres, mort-vivants et autres joyeusetés, l'univers de ce jeu n'est pas vraiment ténébreux, loin s'en faut.
Ici, deux paysans se disputent pour un pommier... Là, un vieil archimage gâteux enchaîne les gaffes... Des triplés nains parient de vous battre au bolto... On sourit fréquemment, et c'est ce qui manquait à mon sens à un jeu au concept et à l'apparence pourtant fort proches : la série NWN.
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Ma fiche de personnage. Je suis donc une élémentaliste tulamide. Le jeu propose des personnages prétirés : j'ai préféré m'en tenir là pour une première partie, parce que huit caractéristiques, ça commence à faire beaucoup. En réalité, c'est le principe, tout le monde peut faire à peu près tout, pourvu de trouver l'argent, l'expérience et le maître pour le lui apprendre. Je suis donc fort déçue de voir que mon élémentaliste n'a de vraiment personnalisé que son invocation d'élémentaire de feu (et éventuellement son sort d'éclair). Mais qui sait, je ne suis encore que niveau 5...
Quant au background de l'Aventurie (le monde de l'Oeil Noir), il est beaucoup plus embryonnaire que celui des Royaumes Oubliés. Je ne sais toujours pas ce que c'est qu'un tulamide et je m'en passe très bien. Les quelques récapitulatifs des écrans de chargement suffisent amplement pour le reste...
Cela signifie aussi que la personnalisation des dialogues n'intervient quasiment que par rapport à vos caractéristiques (un bon score quelque part débloquant quelquefois des options supplémentaires), et peu par rapport au sexe ou à la race.
[ATTACH]3383[/ATTACH]
Un petit clin d'œil à Winthrop parce qu'il ne faut pas oublier ses classiques L'esprit des jeux d'antan souffle de temps à autres sur ce jeu, c'est indéniable... D'ailleurs, ma carrière héroïque suit le même chemin : je fracasse des tonneaux à l'air arrogant (IWD2), je tue des rats (BG1), et même des rats-garous (PsT), je fais les commissions, je cherche à rejoindre une guilde de voleurs (NWN2, BG2), et j'entasse des "trésors" dans mon havresac : queues de rats, tendons, feuilles de plante médicinale, flacon, poussière, blague à tabac, vieille pipe... Sans oublier que je sors des égouts avec un malus de charisme pour une odeur nauséabonde que seul un de mes jusque-là inutiles savons débusquera.
Bref, je suis peut-être l'Elu de la quête du Dragon, mais ça ne saute pas aux yeux.
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Une vue de mon personnage. Depuis que j'ai découvert qu'il fallait combiner les touches clavier à la souris, je ne peste plus autant sur la maniabilité de la caméra, mais ça reste assez tournico-fatigant. Avec des passages intempestifs en plongée ou contreplongée que personne n'avait demandés. Et des personnages punis qui ne veulent plus sortir du coin.
Regardez le costume de mon personnage. Chapeau large, grandes bottes, pantalon étroit... Dans les villes, vous croiserez d'étranges chapeaux coniques sur des paysans, et des colombages systématiques. Nous sommes dans un Moyen Age tardif et germanique (comme la conception du jeu) qui me rappelle un peu Warhammer. Tant mieux, ça change.
En haut à gauche, la mini-carte. A droite, les compagnons de route (trois maximum, plus mon invocation ici) avec leur barre d'endurance et de vitalité (et de mana... pardon, d'énergie astrale, pour les lanceurs de sorts). En bas, en vrac, les sortilèges et compétences spéciales. Interface à la NWN. Facile à assimiler. Les petites icônes, c'est pour dire que mes personnages sont empoisonnés (j'ai découvert avec stupeur que sans la compétence poison, ils ne peuvent pas AVALER d'antidote ) ou blessés (je fais une grande consommation de bandages.) Ils ne sont pas très présentables, excusez-les, ils viennent de combattre un crabe géant, et c'est méchant.
Bon, jusqu'ici, je découvre, il y a des choses très sympa dans ce jeu (le développement de l'univers, la liberté de mouvement, les quêtes secondaires, l'humour), d'autres un peu plus frustrantes (caméra, manque de choix dans les dialogues...)
La suite au prochain numéro. Peut-être.