Bérrurier Noir
Posté : mar. 23 mars 2010, 19:37
Voili voila,
Je trouve que cette partie de la couronne manque de fournitures, je compte donc y remédier un peu en apportant ma petite contribution en vous faisant découvrir des artistes qui n'ont pas toujours été sous les feux de la rampe.
Aujourd'hui, nous débuterons avec THE GROUP OF THE UNIVERSE, les Bérruriers Noirs, fer de lance du rock indépendant français des années 8:gign: .
Ce groupe officia de 1983 à 1989, affichant sans complexe son orientation anarcho-communiste. Même quand le succès tapa à leur porte ils gardèrent leur intégrité donnant un concert dans une salle parisienne de 5000 places tout en refusant tout sponsor et imposant un prix maximum de 50 francs pour les places.
Si l'aventure s'est terminée c'est parce qu'ils considéraient avoir dit tout ce qu'ils avaient à dire.
20 ans plus tard une partie de leurs chansons sont toujours d'actualité: le malaise des jeunes en banlieue (Petit agité), le malaise des prisons (Vivre libre ou mourir), les bavures policières (La mort au choix ou Baston), la montée de l'extrême droite (Capitaine Kirk, Porcherie), le malaise dans les hopitaux psychiatriques (Pavillon 39), le fléau de la drogue (Soleil noir), ou la précarité (On a faim).
Ils étaient revenus il y a quelques années le temps d'un concert au festival de Dour.
En plus de taper sur tout ce qui représentait l'autorité, les Bérus se caractérisaient aussi par un coté festif et clownesque qui créait une ambiance du tonnerre sur scène.
Le chanteur du groupe Molodoi est un ancien Béru.
Le CD Viva Bartaga Live est représentatif de l'univers Béru et c'est celui que je conseille pour les découvrir.
Je trouve que cette partie de la couronne manque de fournitures, je compte donc y remédier un peu en apportant ma petite contribution en vous faisant découvrir des artistes qui n'ont pas toujours été sous les feux de la rampe.
Aujourd'hui, nous débuterons avec THE GROUP OF THE UNIVERSE, les Bérruriers Noirs, fer de lance du rock indépendant français des années 8:gign: .
Ce groupe officia de 1983 à 1989, affichant sans complexe son orientation anarcho-communiste. Même quand le succès tapa à leur porte ils gardèrent leur intégrité donnant un concert dans une salle parisienne de 5000 places tout en refusant tout sponsor et imposant un prix maximum de 50 francs pour les places.
Si l'aventure s'est terminée c'est parce qu'ils considéraient avoir dit tout ce qu'ils avaient à dire.
20 ans plus tard une partie de leurs chansons sont toujours d'actualité: le malaise des jeunes en banlieue (Petit agité), le malaise des prisons (Vivre libre ou mourir), les bavures policières (La mort au choix ou Baston), la montée de l'extrême droite (Capitaine Kirk, Porcherie), le malaise dans les hopitaux psychiatriques (Pavillon 39), le fléau de la drogue (Soleil noir), ou la précarité (On a faim).
Ils étaient revenus il y a quelques années le temps d'un concert au festival de Dour.
En plus de taper sur tout ce qui représentait l'autorité, les Bérus se caractérisaient aussi par un coté festif et clownesque qui créait une ambiance du tonnerre sur scène.
Le chanteur du groupe Molodoi est un ancien Béru.
Le CD Viva Bartaga Live est représentatif de l'univers Béru et c'est celui que je conseille pour les découvrir.