[Vous] Quand le boulot rejoint la fiction
Posté : jeu. 21 avr. 2011, 19:33
Vient un moment dans la vie professionnelle de chacun où vous vous dites que ce qui se passe dans cette journée n'existe que dans les films ou les livres, pourtant vous le vivez.
Les quelques uns qui ont lu certaines de mes premières interventions savent que mon pemier job était loin d'être un long fleuve tranquille. Mon patron notamment qui a eu de nombreux surnoms dont "Bozzo le clown" et qui savait tout faire, dont carossier.
L'histoire débute par mon cousin qui jeune conducteur plie la Peugeot décapotabe de sa mère dans un rond-point, verdict un énorme coup sur l'aile arrière droit. C'est là que Bozzo entre en scène, se découvrant des talents de carossier il se met à l'oeuvre.
Moi et les collègues, on ne s'en rend compte qu'en fin de journée en rentrant à l'atelier où nous sommes acceuillis par des gros "BONGS" retentissants, Bozzo à la masse, au burin, et au clarck pour redresser (sans grand succès) la tôle. On ne dit rien, mais on ricane quand même.
Le lendemain matin, quand on arrive on va voir la voiture qui est réparée...au béton.
Ce sombre abruti n'avait rien trouvé de mieux que d'insérer des barres à béton et de remaçonner par dessus avant de peindre le tout en noir. Evidemment, grosse crise de fou rire de notre part, Bozzo lui tirait la tronche parce qu'il considérait qu'il avait bien travaillé. Impossible de lui faire comprendre que 60 Kgs de béton sur une voiture, ça ne se faisait pas.
Pas grave, trois jours plus tard on a du aller passer la voiture au contrôle technique (Bozzo a du l'imposer à qq vu que personne ne voulait se pointer avec "ça" la-bas), au début les techniciens se sont bien rendu-compte qu'il y avait un problème avec les freins et la suspension, mais quand ils se sont rendus compte de la cause...jamais ils n'avaient vu ça, pendant une heure tous le personnel du contrôle sont venus voir la "curiosité" sous le regard du chauffeur rigolard devant les réactions des gens. Il rigolait encore quand il est rentré et qu'il a donné la carte rouge et la convocation au bureau.
Nous aussi on rigolait bien en imaginant le carossier (le vrai) qui a du pour la seule fois de sa carrière utiliser un marteau-piqueur pour refaire une carosserie de voiture.
Au suivant,
Les quelques uns qui ont lu certaines de mes premières interventions savent que mon pemier job était loin d'être un long fleuve tranquille. Mon patron notamment qui a eu de nombreux surnoms dont "Bozzo le clown" et qui savait tout faire, dont carossier.
L'histoire débute par mon cousin qui jeune conducteur plie la Peugeot décapotabe de sa mère dans un rond-point, verdict un énorme coup sur l'aile arrière droit. C'est là que Bozzo entre en scène, se découvrant des talents de carossier il se met à l'oeuvre.
Moi et les collègues, on ne s'en rend compte qu'en fin de journée en rentrant à l'atelier où nous sommes acceuillis par des gros "BONGS" retentissants, Bozzo à la masse, au burin, et au clarck pour redresser (sans grand succès) la tôle. On ne dit rien, mais on ricane quand même.
Le lendemain matin, quand on arrive on va voir la voiture qui est réparée...au béton.
Ce sombre abruti n'avait rien trouvé de mieux que d'insérer des barres à béton et de remaçonner par dessus avant de peindre le tout en noir. Evidemment, grosse crise de fou rire de notre part, Bozzo lui tirait la tronche parce qu'il considérait qu'il avait bien travaillé. Impossible de lui faire comprendre que 60 Kgs de béton sur une voiture, ça ne se faisait pas.
Pas grave, trois jours plus tard on a du aller passer la voiture au contrôle technique (Bozzo a du l'imposer à qq vu que personne ne voulait se pointer avec "ça" la-bas), au début les techniciens se sont bien rendu-compte qu'il y avait un problème avec les freins et la suspension, mais quand ils se sont rendus compte de la cause...jamais ils n'avaient vu ça, pendant une heure tous le personnel du contrôle sont venus voir la "curiosité" sous le regard du chauffeur rigolard devant les réactions des gens. Il rigolait encore quand il est rentré et qu'il a donné la carte rouge et la convocation au bureau.
Nous aussi on rigolait bien en imaginant le carossier (le vrai) qui a du pour la seule fois de sa carrière utiliser un marteau-piqueur pour refaire une carosserie de voiture.
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