La Couronne de Cuivre

Lorsqu'on demande à Cédric s'il a entendu parler d'un travail pour un sorceleur, il nous révèle l'existence d'un manoir ruiné. Utilisé comme hôpital psychiatrique, il a été ravagé par un incendie durant la dernière guerre contre Nilfgaard. Récemment, deux personnes s'y sont aventurées... et ne sont pas revenues.

Quand on se rend sur place, on retrouve les disparus - Rupert et Gridley - et on comprend que l'hôpital a été le lieu de terribles atrocités auxquelles ces deux-là ont eu leur part. Enfin, on finit par discuter avec le spectre d'un soldat nilfgaardien : censé connaître l'emplacement d'un immense trésor de guerre, il a été torturé, puis écartelé... C'est lui qui a maudit l'édifice : pour être apaisé, il réclame la mort de ses anciens tourmenteurs, ce qui permettrait, du même coup, de lever la malédiction.

Comme dans la plupart des quêtes, nous nous trouvons alors face à un choix :

• Livrer Rupert et Gridley au spectre
• Tenter de tromper le spectre en lui apportant des yeux et des cœurs de porcs ou de nekkers

Quelle a été votre décision ?

Dans un soucis de justice j'ai livré les 2 gus au spectre. On assiste juste à une petite scène où Rupert et Gridley se font griller. Juste retour des choses (ou même retour des flammes )
Gain de 100XP pour avoir fini la quête, un peu d'argent, 1 schéma de l'épée d'ensorceleur robuste en argent et une formule de punaisot.

Accessoirement je suis passé en facile car la première rencontre avec les spectres, malgré des potions des pièges et des roulades dans tous les sens impossible de les tuer.

Oui, les spectres sont pas évidents... Même en facile, j'ai dû utiliser le signe Axii sur eux, parce que je ne tenais pas quand j'en avais plusieurs sur le dos.

Et j'ai fait le même choix que toi. J'ai hésité, au début, mais quand Rupert m'a demandé très sèchement de les débarrasser du spectre, ça a été la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Quoi, ces types ont commis des atrocités sans nom et se permettent de parler comme ça ? Ok, tant pis pour eux. o

Tenté de faire justice aussi, mais bon faut bien lever un peu le voile du mystère! Donc en tentant (en vain, évidement) de tromper le fantôme, il nous attaque. Dessus on récupère le "Fichier de l'hopital IV" puis on retourne voir les deux têtes de flan. Là, deux choix :

- Faire justice quand même, en les livrant à Loredo. (gain de 100 d'xp mais je crois que c'est tout :| )
- Les laisser partir. (Là, aucune récompense semble-t'il.)

Comme quoi hein, la justice paye! Par contre, même avis que vous, les spectres sont assez méchants tant qu'ils sont deux!

Quant à moi, j'arrive tout juste à gérer deux spectres en facile sans avoir recours à des potions. Le truc c'est de se concentrer sur un seul pour le finir le plus vite possible avant d'entamer le deuxième.

J'ai un peu hésité à remettre les affreux au spectre mais j'ai préféré ne pas agir avec tant d'impulsivité : après tout un spectre est un spectre. Au lieu de ça, j'ai tenté de tromper le nilfgaardien avec des yeux et des coeurs de monstres. Echec évidemment. Mais il reste alors possible de mener les deux criminels devant la justice. D'ailleurs c'est une vieille femme qui les prend en charge. Je me demande si elle n'est pas liée à cette histoire. Une ancienne prisonnière peut être ?

J'ai livré les deux gus au spectre. J'avais trouvé leurs agissements ignobles. Autant, pour d'autres quêtes, je me suis montré plus que clémente, mais là, ben ...

Pour varier un peu par rapport à ma première partie, j'ai décidé de ne pas livrer Rupert et Gridley au spectre. Néanmoins, pour que justice soit faite malgré tout, je les ai conduits jusqu'à la demeure de Loredo. Et je pense, comme Kasumi, que la vieille femme qui les récupère - et qui n'est autre que la mère de Loredo - est une ancienne pensionnaire de l'hôpital. Tour porte même à croire qu'il s'agit de la fillette que mentionne Gridley, l'unique survivante qu'ils ont maltraitée et qui s'est finalement enfuie après avoir tué leur commandant et pris la carte au trésor.

Au final, je trouve cette conclusion encore plus savoureuse que l'autre. Et tant pis si elle rapporte moins d'expérience !