La Couronne de Cuivre

A la vallée dorée, vous tombez sur la soeur d'un personnage que vous aviez croisé précedemment. Elle est enceinte et a peur de donner naissance à un enfant sans-âme. Elle vous demande de vous rendre à la boussole Anslög où vit une guerisseuse qui pourrait l'aider à sauver son bébé. Celle-ci vous fournit effectivement un remède qu'elle avoue être un placebo.

De retour auprès de la future mère, vous avez la possibilité de lui avouer ou non la supercherie. Qu'avez-vous décidé ?

Je lui ai dit car je pense qu'elle a le droit de savoir que son enfant court de toute façon un risque.

Par contre, je ne crois pas que j'ai réussi à lui faire prendre la potion qui aurait été bonne pour elle et son bébé.

Même chose, je lui ai dit la vérité mais du coup elle a refusé de prendre la potion. Au moins, c'est sa décision.

Je lui ai caché la vérité. Croire que cette potion est réellement efficace pour le mal dont elle pense être atteinte devrait avoir un effet positif sur son moral, et je suis certain qu'une future mère sereine a de bien plus grandes chances de donner naissance à un bébé en bonne santé (comprendre avec une âme).
Lui avouer qu'il n'existe pas de remède connu risquerait de la faire sombrer définitivement dans la dépression, et dans ce cas je ne donne pas cher de l'âme de son futur enfant.

Mon personnage, prêtresse d'Eothas, accorde une grand importance à la franchise, mais elle sait tout de même reconnaître quand un mensonge peut apporter plus de bien qu'une vérité trop dure à accepter.

Je lui ai caché pour son bien et pour éviter de "serpiller" ses larmes

Après avoir hésité un moment, j'ai eu des scrupules à lui donner de faux espoirs et j'ai donc choisi de lui dire la vérité, tout en indiquant que la potion lui ferait du bien. Au final, je ne sais pas si elle a choisi ou non de la boire : rien dans ses réponses ne m'a renseigné quant à ses intentions.

Pour ma part, j'ai préféré lui mentir. Si la potion est réellement un placebo inoffensif (et n'a donc pas d'effets secondaires à risque), il m'a semblé qu'il valait mieux la laisser espérer, attendre la naissance avec un poil plus de sérénité, et qui sait, peut-être augmenter ainsi ses chances de donner naissance à un enfant bien portant.