La Couronne de Cuivre

Dans les terres désolées de Velen et alors que vous cherchez probablement à retrouver la piste d'un espion Nilfgaardien dans le cadre de la quête "La Piste Nilfgaardienne", vous allez rencontrer - pour la première fois peut-être - un groupe d'hommes du Baron Rouge.

Avez-vous choisi d'être diplomate, neutre ou agressif avec eux ? Pourquoi ? Que s'est-il passé et quelles en ont été les conséquences à plus ou moins long terme ? Racontez-nous tout !

A l'Auberge, j'ai choisi d'être polie et neutre. J'ai en tête les événements de l'auberge de Blanchefleur, et, comment dire, ce n'est pas une expérience qu'on a envie de renouveler souvent.

Donc, quand les soldats m'ont questionnée, j'ai juste répondu très simplement à leur question : "I'm a witcher and I've got two blades. One for monsters ... one for humans." ou en bon français, je leur ai juste dit que j'étais un sorceleur. Du coup, ils ont crié au monstre lépreux et m'ont laissé tranquille.

L'aubergiste était reconnaissant de mon grand sens du tact et de la modération. Et, comme ça, les soldats m'ont reconnue à l'entrée du château du Baron et m'ont laissé passer aisément.

Je ne sais pas si j'ai été neutre ou diplomate, j'ai juste dit que j'étais sorceleur et ça a suffi à les calmer. Bon, après, dans l'auberge, j'ai voulu leur reparler et ça a suffi pour les mettre en colère si bien que j'ai dû tous les tuer. C'est à cette occasion que j'ai réalisé que je pouvais leur voler leurs chevaux (le gris, en tout cas).
Mais j'ai eu l'impression que ça compromettait quand même beaucoup de choses, donc... j'ai rechargé (chose que je ne fais généralement pas dans ces situations, mais voilà... je voulais pouvoir acheter les cartes de Gwynt de l'aubergiste ).
La seconde fois, j'ai évité de tenter de leur reparler et j'ai pu reprendre ma route tranquillement (même si j'ai regretté de ne pas pouvoir défoncer la porte du fermier qui se fait racketter son cochon pour pouvoir aller le défendre contre les hommes du baron...).

Pour ma part, j'ai tout d'abord joué fort diplomatiquement en leur offrant une tournée puis je les ai entendu discuter et se vanter de leurs exactions. Je regrettais déjà d'avoir été poli et comme Gal, quand je suis retourné leur parler, ça a déclenché une rixe sanglante.

Au final, je ne pense pas que ça ait compromis la suite car l'aubergiste vous dit de partir en vous donnant l'information mais vous pouvez revenir quand l'affaire s'est un peu tassée. Quant au moment où je suis allé à Perchefreux pour parler au baron, j'ai été refoulé mais le jeu a prévu un peu additif à la quête pour trouver un autre passage. De plus, j'ai pu parler au baron qui a pris la chose avec une certaine ironie.

J'ai choisi de répondre que j'étais un sorceleur : je ne voulais pas causer de grabuge tout en n'ayant pas non plus très envie de leur offrir un verre. Et, en définitive, j'ai beaucoup aimé la réplique de Geralt, notamment quand il insiste sur le fait que son glaive en acier est destiné... aux humains. Globalement, il ne cherche pas d'ennuis mais ne se laisse pas non plus marcher sur les pieds.

Ensuite, je les ai entendus se vanter des horreurs qu'ils ont commises mais je n'ai même pas imaginé qu'il était encore possible d'interagir avec eux. Sinon, je crois que je leur aurais dit, moins diplomatiquement cette fois, ma façon de penser...

J'ai tout d'abord répondu calmement. Et ensuite, comme tout le monde, je les ai entendus raconter leurs "exploits". Et donc, j'ai rechargé pour pouvoir leur poutrer la figure ben ouais, les humains sont bien plus des monstres que les monstres, dans ce jeu.

Je n 'ai rien fait et je leur ai payé un coup à boire... J'ai pensé sur le long terme, il se passera quoi quand je ne serai plus là pour les aider et que les autres soudards reviendront pour se venger...

Au début, j'ai été fort diplomate. J'ai trinqué avec eux cul sec et tout ... Puis après, j'ai entendu leur conversation et j'ai vu rouge. Je suis retournée leur casser la figure. Bon, et je suis venue ici pour être sûre qu'ils ne mettaient pas le village à feu et à sang par ma faute.