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Difficulté de l'extension The Witcher 3 : Hearts of Stone

Posté : mar. 31 mai 2016, 18:08
par Kasumi
L’extension de The Witcher 3 - Hearts of Stone - apporte son lot de nouvelles quêtes et donc de nouveaux ennemis et de nouveaux défis. Bien que les zones ajoutées par cette extension soient accessibles assez rapidement dans votre progression, il est conseillé de ne pas s’y frotter avant d’avoir atteint un bon niveau.

Qu’en est-il de votre approche ? Est-ce que vous vous êtes lancé bille en tête dès que possible ou presque parce que le jeu de base ne vous posait plus de difficultés ? Est-ce qu’au contraire, vous appréhendez d’explorer les nouvelles zones et de déclencher les nouvelles quêtes de peur d’être dépassé. D’une façon générale, avez-vous trouvé que le défi apporté à votre personnage de haut niveau était à la hauteur et renouvelait le challenge ? Est-ce que vous avez préféré prendre votre temps voire baisser le niveau de difficulté pour mieux profiter des nouvelles histoires, des nouveaux personnages, des nouveaux lieux à visiter ?

Posté : lun. 13 juin 2016, 11:47
par Taliesin
Quand j'ai commencé Hearts of Stone, je n'avais plus touché à The Witcher 3 depuis la fin de ma première partie, soit depuis six mois. J'ai donc commencé par me promener un peu, histoire de reprendre en main le système de combat.

Cette première étape passée, en difficulté "Histoire et Épée" et avec mon Geralt niveau 36 (presque 37), je n'ai pas rencontré de grosses difficultés. Certes, les adversaires "de base", humains comme monstres, sont parfois costauds : mais si on ne fonce pas dans le tas, si on fait montre d'un minimum de stratégie, ça se passe bien. Quant aux boss, pour en venir à bout, il est souvent nécessaire de bien connaitre leur patern et d'agir en fonction de celui-ci. J'avoue que ce n'est pas quelque chose dont j'ai l'habitude et que ce n'est pas vraiment ce qui m'amuse, quand je joue. Néanmoins, j'ai réussi à m'en tirer.

En conclusion, j'ai trouvé la difficulté de cette extension bien dosée : il y a du challenge mais ça reste raisonnable, même pour quelqu'un qui, comme moi, n'est pas accoutumé aux combats impliquant de s'adapter à un patern sous peine de mordre la poussière.