La Couronne de Cuivre

Au nord du Flottebois (et juste au sud du point de passage Flottebois : Champs), dans une maison isolée, on retrouve Gareth qui s'apprête à achever un magister inconscient : il s'agit de Jonathan, autrefois son ami mais qui a tenté de l'arrêter. Deux options s'offrent alors à nous : convaincre Gareth de l'épargner ou, au contraire, l'encourager à le tuer.

Qu'avez-vous décidé ? Pour quelles raisons ? Quelles ont été les conséquences ?

Vu que j'essaye de jouer mon personnage le plus pacifique possible, j'ai réussi à convaincre Gareth de ne pas le tuer. Et ça a une incidence sur la suite.

A ce moment, je n'avais pas assez de persuasion donc il m'a envoyé bouler en me disant qu'il avait besoin de temps pour réfléchir à quoi faire.
Et j'ai retrouvé le Magister Jonathan plus loin sur ma route faire ce que font si bien les magisters !

Curieusement, ce n'est pas au nord de Flottebois que j'ai eu ce choix mais près de la ferme des parents de Gareth.
Toujours est-il que j'ai fait le même choix qu'Althéa : j'ai persuadé Gareth de ne pas achever Jonathan. Cela dit, c'était pus pour respecter la volonté de ses parents de nepas levoir devenir unmonstre sanguinaire que pour autre chose. En effet, on apprend vite en parlant aux fantômes...

Perso, j'avais déjà mis le feu à Jonathan avant de retrouver Gareth (Il m'avait pas trop laissé le choix d'ailleurs)... Gareth quant à lui a disparu après avoir fait le choix de le retrouver (Jonathan donc), lorsqu'il en eut fini avec la ferme de ses parents.

Et... Au chapitre suivant...

Tiens, j'ai l'impression qu'on a tous eu un parcours différent pour cette quête ! Pour ma part j'ai croisé Gareth en train d'enterrer ses parents devant leur maison de famille. Il m'a dit que les coupables étaient les Moines silencieux qui se trouvaient dans la maison, et m'a demandé de le venger.

Je l'ai convaincu, en appelant à la mémoire de Lucian, de ne pas céder à la vengeance et à la violence, et il a accepté. Il était si désespéré, si agressif, je me sentais mal pour lui, et j'ai voulu l'aider à rester la personne qu'il avait été jusque-là : quelqu'un de vertueux, qui croyait en des valeurs très "paladin" (pas étonnant pour un ancien membre de l'Ordre Divin). Jamais il ne m'a parlé de Jonathan - les fantômes l'ont bien fait, en revanche.

Du coup, lorsque j'ai croisé le fameux Jonathan un peu plus tard, je n'ai eu aucun scrupule pour ce combat (qui était d'ailleurs sacrément long, délicat et passionnant).