La Couronne de Cuivre

Aenarion franchit les grandes portes de la ville. Il vit que Thanatos l'attendait un peu plus loin, il s'approcha du paladin et dis:

- On peu y aller
- Oui, allons chercher ce paladin qui veux se venger de moi

Sur ce les deux homme se mirent en chemin en direction des ruines qui étaient à quelques cinquante kilomètres de la ville. Thanatos sortit le parchemin de sa ceinture et commença à le consulter. Il fit un signe à Aenarion en lui montrant le Nord-Est. Les deux Talosien partir aussitôt dans cette direction.

Il marchèrent durant quelques heures et arrivèrent vers un marrais. Il n'y avait aucune possibilité de le traverser. Thanatos se tourna vers Aenarion et lui dit d'un ton rageur:

- Il va falloir contourner ce foutu marrais et cela va nous retarder.

Ils continuèrent leur chemin et contournèrent l'immense marrais. Il virent une lumière qui brillait à quelques mettre d'où ils se trouvaient.

-Nous y somme dit Aenarion

Il se tourna vers Thanatos qui avait les yeux comme de la braise. Il vit son visage prêt à s'enflammer. Les deux Talosiens s'approchèrent de la bâtisse et virent que ce ne fut pas une ruine. Leurs corps s'emplirent de mécontentement et la colère de Thanatos fut telle que son aura prit un taille extraordinaire se qui fit reculer Aenarion. Ils avancèrent vers la maison et entendirent des bruits de fête. Ce fut un groupe de briguant complètement saoul qui faisait la fête. Un des brigands se tourna et vit les deux guerriers qui les espionnait et dit:

- Regarder deux curieux regarde leur mort dans les yeux.

Tous les brigands se retournèrent et coururent vers Aenarion et Thanatos. Ils étaient une demi-douzaine acharné contre les deux Mélandien. Aenarion se mit devant Thanatos qui recula en sortant sa lame. Aenarion sortit son épée à deux mains et trancha dans le tas de brigands. Thanatos ré avança et attaqua les hommes incompétents au combat. Aenarion couru après un brigand qui s'emblais être le chef et lui planta l'épée dans le dos. Il se rapprocha du groupe acharné et vit qu'il n'en restait plus que deux contre Thanatos. Il se précipita sur l'un d'eux et lui tranchât la tête. Thanatos tua le dernier en lui enfonçant sa lame dans le coeur.

Ils continuèrent leur chemin en suivant bien sagement les instructions du plan. Après quelques minutes de marche sans problème, ils virent un feu briller au loin. Ils coururent jusqu'à ce dernier et virent une maison en ruine complète. Aenarion s'assit et regarda Thanatos:

- Et maintenant que faisons-nous?

Thanatos regarda Aenarion d'un air grave. La fureur se lisait dans son regard.
Reste là Aenarion. Cette histoire ne regarde que moi et ce paladin.
Thanatos commença à s'approcher du feu.
Comme promis, je t'appelle dès que tout est terminé pour que nous partageons les objets.

Thanatos sortit son épée de son fourreau en s'avançant vers le feu.
Il n'était plus que à quelques mètres de la zone éclairée par la pale lueur du feu. Thanatos mis un genou à terre et pria Talos de bien vouloir lui accorder la force d'affronter cette épreuve, puis il s'avança tel un spectre vers la zone de lumière.

Algarodide eu un mouvement de recul en sentant une aura totalement contraire à la sienne et pourtant si semblable s'approcher. Il fixait l'endroit où l'ombre de Thanatos se faisait de plus en plus visible, l'épée à la main, l'air grave.
Algarodide pris son épée à deux mains, voyant que quelqu'un s'avançait vers lui, une épée à la main avec la profonde impression qu'il allait s'en servir, vu la façon lente dont s'approchait cette ombre, menus d'une cape qui bougeait lentement avec le souffle du vent.

Thanatos sortit du manteau que lui conférait l'obscurité. L'armure, la façon de porter l'épée sur le cote et la longue cape grise mise à la façons d'un juge. Algarodide eu un mouvement de recule en voyant la personne sortir de l'ombre. Cette personne ne pouvait être que un juge, ou un ancien juge, vu la façons de s'habiller. Thanatos regarda son ancien ami avec un profond signe de mépris. Il rangea son arme et parla d'une voix forte et claire.
Algarodide! Tu voulais ma mort, me voila! Je me présente à toi de mon plein gré mon ancien ami.
Algarodide eu un mouvement de recule en entendant l'homme vêtu comme un juge dire "ancien ami". Cela ne pouvais être que Thanatos...
Et oui, tu es venu me voir en tant qu'ennemis. Je ne serais d'aucune pitié pour toi, cependant je ne peux te laisser dans l'ignorance! Ta volonté de servir Lathandre t'a trompé! Ton maître t'a trompé!!
Thanatos se calma, la lueur de hargne ayant presque disparut dans son regard.
Je t'en pris, pose ton épée que je t'explique toute la vérité.
Algarodide regarda Thanatos. La surprise et l'incompréhension se lisaient dans son regard. Il pris ensuite la parole.
Bonjours traître. Ainsi tu es venu ici de ton plein gré. Et bien soit. Je n'aurais pas besoins de te chercher. Tu dis que je me trompe, que j'ai été trompé, prouve moi cela. Tu dois savoir plus que toute autre personne de notre tribunal que toutes accusations sans preuves n'a aucune valeur! Mais je t'écoute, je ne suis pas assez borné pour ne pas écouter l'ultime défense d'un accusé.
Le paladin posa son arme et montra une place à Thanatos qui s'assit suivie d'Algarodide.
Je te remerci de bien vouloir m'écouter. Tu as bien progresse depuis que je t'ai vu pour la dernier fois, cette fameuse nuit. Je croyais que tu aurais péri par les blessures que je t'avais infligées.
Enfin, je vais te raconter ce qu'il s'est véritablement passé.
Thanatos détacha son arme de sa ceinture et la posa devant lui. Il leva ensuite la main droite et mis la main gauche sur le fourreau de l'arme. Il dis ensuite à haute voix, comme il l'aurait fait autrefois devant un tribunal.
<span style=\'color:gray\'>[HRP: ce message est le plus long que j'ai jamais fait de toute ma vie!
Allez, voyez sympas et liser le en entier!]

Aenarion entra dans la bâtisse en ruine et y vit un homme gisant sur le sol la tête manquante. Il vit également un tas de pièce d’or, d’armes et d’armures empilées n’importe comment, sans doute des objets qu’il a ramenés de son voyage avant d’arriver ici. Il vit une arme brillante dans le tas, il s’en approcha et vit le reflet de Thanatos dans la lame de cette arme, c’était une épée. Au moment où Aenarion s’apprêtais à saisir l’arme étincelante Thanatos l’interrompit et lui dit :

- Regarde Aenarion, Il avait la carte de la ville avec les différents endroits où je me rends souvent. Il avait tout bien préparé.

Aenarion s’approcha du paladin déchu et regarda la carte que Thanatos lui tendait et répondit :

- Oui en effet, il ne voulait pas te louper… Mais peut-être n’est il pas le seul à vouloir de tuer pour se que tu as fais à leur maître.

Le guerrier Talosien regarda le paladin et ajouta après un long soupir :

- Si c’est le cas, ils ne te lâcheront pas et après tu auras les élève des élèves sur le dos et cette lutte durera très longtemps, Alors si tu le veux bien il faudrait aller les chercher avant qu’il ne te tue...

Aenarion regarda le visage du paladin qui s’assombrit peu à peu. Ce dernier releva la tête et répondit :

- Tu as peut-être raison… Mais j’ai l’esprit trop occupé pour prendre une telle décision qui pourrait nous faire tuer. Nous en reparlerons plus tard si tu le veux…

Thanatos plia la carte qu’il avait trouvée dans la bâtisse de son ancien ami et la glissa entre sa ceinture et son foureau. Après avoir vu Thanatos plier la carte, Aenarion repartit vers l’épée à la lueur étrange… Il s’apprêta à la saisir lorsque Thanatos cria :

- NOOOOOOOOON !!!

Mais c’était trop tard, il tenait déjà l’épée entre ses mains et la serras bien fort, il sentit comme une étincelle de bien être lui traverser le corps mais soudain il s’affaissa. Thanatos s’approchât du gisant et dit :

- Tu es fou !? C'est une lame sainte, seul moi peu la toucher sans dégât.

Après les paroles du paladin déchu, Aenarion sentit son âme se faire traversé par une sorte de fil magique impossible à couper. Tout à coup il ressentit un moment de bien être puis la douleur revint encore plus intense qu’avant, le guerrier Talosien devient rouge de douleur mais ne poussa pas le moindre cri…

Thanatos regarda Aenarion allongé par terre. Il devait agir vite.
Thanatos-->Impositions des mains-->Aenarion.

Une lueur sortit des mains du paladin déchu au service du dieu maléfique qu'est Talos.
Aenarion releva la tête et regarda la lame qui gisait abandonne au sol. Il demanda d'une voix tremblante.
Que... Quelle est donc cette épée?!
Thanatos pris l'épée dans ses mains. Aucun effet ne se produisit sur lui et des larmes apparurent petit à petit sur son visage. Il pleurait de bonheur...
Il regardait la lame sous tout les angles, comme si il n'en croyait pas ses yeux, il voulait bien être sur que cette lame était la bonne, mais la bonté et le halo bleuté qui en émanais, ainsi que le pauvre Aenarion allonger sur le sol ne pouvait le faire douter.
Il regarda Aenarion allongé sur le sol et baissa la tête. Une grosse larme descendit de son oeil droit et alla s'écraser sur la longue lame effiler de l'épée.
Thanatos s'éclaircie la voix et articula.
Ceci est la lame dite du "Juge"... C'est une lame sainte... Personne à part un paladin qui fût juge dans sa vie peut la porte.
Thanatos pleurait à chaude larme. Il ne pouvait s'empêche de regarde l'arme des yeux.
Par une grande force de volonté, il arracha cependant ses yeux remplis de larme et tourna la tête vers Aenarion apparemment interloqué.
Cette épée était a moi... Cependant j'ai du la laisser derrière moi lors de ma fuite de mon précèdent tribunal.
Thanatos lâcha du regard Aenarion et regarda a nouveaux son ancienne épée et murmura pour lui même.
C'est un véritable miracle que je la retrouve désormais...

Thanatos se leva brusquement, laissant à terre l'épée qui avait tué Algoride.
Il regarda le sol, puis l'épée qu'il tenait dans sa main droite et enfin il regarda le ciel.
Thanatos leva sa lame vers les cieux et les regarda comme ci il voyait le dieux qu'il représentait à travers les nuages gorgés de pluie. Il s'exprima d'une voix forte et bien audible par tous.
ténèbres!!!!!!</span>
Soudain plus aucun souffle de vent n'agitât la cape de Thanatos. Plus rien ne bougeait dans les environs. C'est comme ci la terre avait retenus son souffle, dans l'attente de l'effet de la complainte de Thanatos et de son pouvoir sur la lame.

Soudain, la lame sembla vibré sous la paume de Thanatos. Son pouvoir avait eu l'effet escompté. La lame sainte changeait de camp et le halo qui émanait devenait petit à petit rouge. La lame sainte devenait une lame corrompue...
Petit à petit, le pouvoir qui émanait de l'épée que tenait Thanatos s'inversait, il passait progressivement du bon, vers le neutre pour finir dans le mauvais...

Thanatos poussa un petit cri de victoire. Baissant sa nouvelle épée il se tourna vers Aenarion.
Aenarion! Prend tout se que tu veux ici. Je garde juste cette épée. Tu peux même prendre celle ci.
Thanatos fit un signe de tête en direction de sa précédente épée.
C'est une épée +2 contre les Lathandriens. Moi tout se que je demande qu'à garder cette épée!
Thanatos, qui s'était arrêté de pleure quand il s'était adresse à Talos recommença à pleuré. Il était si content d'avoir put récupérer son épée sainte, surtout que maintenant elle était corrompue. Thanatos ne pouvait s'empêche d'éprouver un bonheur immense en se disant ça, ses simples mots éveillaient en lui une euphorie incommensurable.

Il regarda une dernière fois son épée avant de l'engouffre dans son fourreau, le halo rouge s'éteignit comme une flamme qui vacille, puis qui s'éteins en plein vent au moment où la pointe toucha le bout du fourreau. L'épée était trop grande pour rentrer dans se foureau. Thanatos songea qu'il devait se précipiter vers la forge de Walar pour se faire un nouveau foureau.

Thanatos regarda ensuite Aenarion qui regardait dans un des tas d'objet.
<span style=\'color:red\'>Aenarion! Rejoins moi à la sortit du camp quand tu auras fini ton trie. Nous partirons ensemble mon ami.

Sur ces paroles, Aenarion se rapprocha du tas d’objet parmi lesquels se trouvait l’épée sainte du juge. Il déplaça quelques arme en se méfiant, car le coup de l’épée lui avait suffit. Il vit dans ce tas, une épée longue, un arc +1, quelques potions et une jolie ache naine soigneusement d’écorée. Le Talosien prit alors les potions et la ache avant de se diriger vers la sortie, mais il revint sur ses pas pour aller prendre l’ancienne épée de Thanatos.

Une fois en dehors de la ruine, il ne vit pas Thanatos. Il cria :

- THAANAATOOS…

Mais personne ne répondit. Aenarion décida de partir à sa recherche en faisant le tour des quelques maison en ruine qui devait être le reste d’un petit village d’entant. Après une demi-heure de recherche à travers les maisons, il vit enfin Thanatos qui se tenait devant un magnifique bâtiment. Aenarion s’approcha à son tour du bâtiment et lu :

Voici le tribunal de la comptée. Les juges ici présent n’ont aucune pitié avec les malfrats qui pille tous ce qui bouge. Alors je vous déconseille d’enfreindre la loi ->

Aenarion suivit le sens de la flèche et vit une potence et une croix de crucifixion. Il mit alors la main sur l’épaule de Thanatos et lui dit :

- Je pense que tout cela doit te manquer mais il se fait tard et le danger est toujours aussi menaçant. Alors allons manger quelque chose puis tu me diras si tu compte aller chercher tous les petits tueurs qui veulent ta peau ou si tu préfères attendre qu’il te trouve et te tue…

Aenarion recula et ajouta :

- Je t’attend vers l’ancienne taverne alors prend ton temps mais n’oublie pas que le temps ne va pas t’attendre.

Il alla alors s’installer sur un banc très délabré et continua à observer Thanatos qui ne bougeait pas...

Thanatos ne bougeait pas. Il restait la seul, regardant le reste du tribunal, cherchant dans sa mémoire retrouvée se qu'il avait fait il y a fort longtemps, lorsqu'il était le second maître dans son tribunal. Toutes ses choses qui lui rappelaient comment il aimait se qu'il faisait commencèrent à faire revenir les larmes dans les yeux de Thanatos.
Lorsqu'il entendit des pas derrière lui, il baissa la tête pour que Aenarion ne vit pas qu'il pleurait. Les paroles de Aenarion résonnaient dans sa tête.
Oui c'était vrai, le temps ou il était encor juge lui manquait plus que tout autre. Était si dur de voir tant d'injustice se faire tout au long de la journée sans jamais pouvoir faire quelque chose. C'était presque une torture pour Thanatos. De plus le combat de ce soir l'avait marqué à tout jamais. Jamais quand il a commencé à chercher la personne qui voulait le tuer, il n'aurait penser que se serait aussi dur de tuer...
Pour la 1ère fois depuis bien longtemps, il n'avait pas eu envi de tuer son adversaire. Peu être était-ce dut au faite que cette personne, bien qu'elle soit son ennemis, fut autrefois son ami et que cette personne était le dernière lien qui l'accrochait à son ex-place. Chacune de ses 2 alternatives étaient vrai. Thanatos frappa avec toute la force du désespoir sur le sol.
Sa main en remontant pour frapper à nouveau rencontra le fourreau qui pendait à sa ceinture. Il regarda la garde de l'épée avec des yeux remplis de larme, se remémorant les capacités que cette épée avait. Thanatos sortit la lame du foureau. Aussitôt une lueur rouge entoura Thanatos. Il murmura:
La Lame du Juge, l'épée sainte des juges... </span>
Thanatos eu un flash. Il se souvint du moment où son maître lui avait fait cadeau de cette arme, le jour où il avait été traîné devant lui et où juste avant de l'envoyer à la mort, il lui avait parlé. Son maître lui avait dit se jour là qu'il était coupable...
Thanatos se souvint de la stupéfaction qu'il avait éprouvé à se moment là. Son maître avait belle et bien été un traître.
Cependant son maître lui avait dit:
Je suis coupable certes, cependant je n'ai pas tue de mon plein grée. J'ai été forcer de le faire. J'ignore qui à pris le contrôle sur mon esprit.
La lueur qui brillait dans le regard de son maître prouvait qu'il avait raison. Il continua des larmes nouvelles dans ses yeux. Thanatos se souvint que jamais il n'avait vu de larme dans les yeux de son maître.
<span style=\'color:green\'>Fait ton travail Thanatos! Tu as été mon meilleur disciple et je suis fier que se soit toi qui m'envoi en prison. Mais je n'irais pas là-bas. Je me suiciderais avant d'y arriver. J'espère que tu me comprends mon petit. Mais avant de partir, j'ai un dernier cadeau à t'offrir. Quand tu rentreras à la maison, tu iras dans ma chambre et grâce à cette clef tu ouvriras le coffre qui s'y trouve. Tu trouveras une épée extrêmement rare, une lame sainte. Cette l'arme s'appelle "La Lame Du Juge". J'ai gardé cette arme, sans jamais la sortir pour toi. Utilise la pour appliquer la justice en souvenir de moi!!
Ensuite son maître partit à tout jamais...

Thanatos eu un sursaut. Ce souvenir...
Thanatos regarda l'ancienne épée de son maître et la sera conte lui. Il n'avait pas perdu tous ses liens avec son ancienne profession, cette épée était encore un lien. Le lien le plus puissant qu'il ai, car non seulement cette arme le liais et la justice, mais aussi à son maître et enfin à Talos le tout puissant, car c'est grâce à lui qu'il a eu la force de corrompre la lame. A jamais la puissance de Talos coulerait dans cette arme.
La trinité, le dieu, le souvenir et la justice... La trinité représentait quelque chose de fort pour Thanatos avant sa déchéance. Il avait perdu un élément de cette trinité à ce moment là, le Dieu. Puis ensuite par désespoir il perdit un autre élément, le souvenir... Le seul élément qu'il n'a jamais perdu fut la justice.
Seulement maintenant il avait retrouve tous les éléments.
Le désespoir qui l'habitait s'en alla. Il avait retrouvé tout se qu'il avait perdu car rien ne l'empêchait de faire la justice. Aucunes lois talosienne n'interdisaient à un homme de rendre justice soit même.
Thanatos se souvint de se que Aenarion l'attendait près de l'ancienne taverne. Il prit donc le chemin de cette taverne, tout en pleurant mais avec un grand sourire sur son visage.

Lorsque le paladin arriva vers Aenarion, une de ses larmes tomba pour aller s’écraser sur le sol desséché. Aenarion vit la petite tache d’eau sur le sol et demanda aussitôt à Thanatos :

- Pourquoi pleures-tu ?

Il regarda Thanatos avec un regard inquiet

- J’ai retrouvé se que j’avais perdu et ce tribunal vient de me la rappeler.

Les larmes de Thanatos ne cessèrent pas de couler une seule seconde, elles ruisselaient comme une petite rivière sur le visage du Paladin.

- Mais qu’avais tu perdu ? Ta foie en la justice ?

Le paladin regarda d’un air intrigué le visage du guerrier

- Ma foi en la justice est la seul chose que je n'ai jamais perdu, meme dans le plus profond du chaos de mon esprit. J'avais perdu le souvenir de comment mon maître etait mort. Je m'en suis voulut de l'avoir envoyer à une mort certaine alors que c'est lui meme qui m'a demandé de le condamne. Il voulait que j'applique ce qu'il m'avait appris et je l'ai fait. Je déprimais car je pensais que j'avais agis seul, le prenant en traitre si tu veux. Seulement maintenant grace à la Lame du Juge et grace au souvenir qu'elle m'a rendu je me suis rappeller de nos dernieres paroles. Tant que j'aurais cette lame mon maître vivra toujours avec moi, car c'est lui qui me l'a donné jadis... Puisse t-elle nous protéger du chaos desormais.

Il laissa couler une dernière larme avant de passer sa main sur le visage pour le sécher. Il regarda alors une dernière fois le tribunal avant de faire volte-face et de partir dans la direction opposée. Après quelques mètre il s’apperçu que Aenarion ne le suivait pas.

- Tu viens, lança Thanatos d’un air surpris.
- Mais où vas-tu ? Mélandis n’est pas par là !

Thanatos avait perdu la tête, toutes ces émotions lui avait fais un drôle d’effet.

- C’est vrai, décidemment tous ces souvenir mon font tourner la tête.

Les deux Talosiens partirent alors dans la bonne direction et marchèrent durant bien des heures sans dire un mot. Aenarion s’efforça de ne pas perdre Thanatos de vue pour ne pas qu’il se trompe de direction et Thanatos avançait d’un pas lent en repensant à son maître qui lui manquait beaucoup depuis qu’il avait donner le coup de marteau final après avoir donné son verdict.
Après près de cinq heure de marche sans arrêt, Thanatos s’assit et bu quelques gorgée d’eau qu’il avait prit avant de quitter Mélandis. Aenarion alla s’asseoir à côté de lui et vit que le visage du paladin avait repris une partie de ses couleurs d’autrefois. Il profita de ce moment pour regarder s’il n’avait perdu aucun des objets qu’il avait ramassé dans les ruines. Un fois son contrôle finit, il se leva et demanda.

- Nous devrions partir, la nuit va bientôt tomber et il nous reste un long chemin avait de voir les porte de Mélandis.

Le paladin leva les yeux vers lui et lui répondit d’une vois lente.

- Oui tu as raison partons.

Le paladin se leva à son tour. Les deux Talosiens repartirent d’un pas rapide. La nuit pointa dangereusement le bout de son nez, mais ils continuèrent leur marche. Ils arrivèrent de nouveau vers le marrais qu’ils avait dû contourné lors de l’aller et revirent la maison des voleurs qu’ils avaient massacrer. Aenarion se tourna vers le paladin et lui dit d’une voie lente et fatiguée.

- Nous devrions nous arrêter ici, ces brigands ont sans doute encore quelque chose à manger et de bons lits. Et nous repartirons demain à l’aube pour arriver en début d’après midi à Mélandis.

Thanatos approuva d’un signe de la tête avant de pénétrer dans la bâtisse des brigands. Les deux Mélandiens s’avancèrent dans une grande pièce et virent une immense table couverte de nourriture ainsi qu’une demi-douzaine de lit.
Ils mangèrent à leur faim et lorsqu’il ne resta presque plus rien et que leurs ventres étaient bien remplit ils allèrent se coucher et dormirent jusqu’à que le soleil les réveilla avec ses rayons qui les éblouissant. Ils prirent alors la direction de la porte et quittèrent la maison pour retourner dans leur belle ville.
Après avoir contourné le marrais, traversé la plaine et une colline, ils virent enfin les portent de la ville que se tenaient à une centaine de mètre d’eux.

Les grandes portes sombres brillaient au loin. Le mal commençait à être enfin très présent autour d'Aenarion et de Thanatos.
Pour Thanatos l'épreuve était finie. Maintenant il devait assumer. Cette affaire à été dur pour lui, mais désormais il avait retrouvé tout se qu'il avait perdu. Ce qui le faisait déprimer depuis bien longtemps lui était revenu. Tout devait aller pour le mieux. Maintenant il doit continuer sa vie sans se préoccuper du passé. Le passé est passé, il doit se tourner vers l'avenir maintenant, même si l'avenir lui faisait un peu peur. Depuis qu'il avait retrouvé la mémoire Thanatos souffrait et dormait sa souffrance était partit... Bien que ce fût un soulagement Thanatos ne pouvait s'empêcher de se poser des questions.

Aenarion l'appela ce qui eu pour effet de sortir Thanatos de ses pensé. Il se rendit compte que Aenarion avait pris de l'avance sur lui. Il le rattrapa en courant.
Nous voila retourné chez nous mon ami! Cette aventure ne fut pas de tout repos et je suis désoler que tu n'ais put participé au combat final. Je pense que tu aurais tant aimé. Mais les choses sont se qu'elles sont.
Thanatos sortit 200 po de sa bourse.
Tien voila. Si ma mémoire est bonne c'est se qu'on avait convenu. Sert toi bien de cette argent.

Sur ce Aenarion et Thanatos rentrèrent dans Melandis, la cité du mal.
Aenarion prit le chemin de son commerce et Thanatos celui du sien. Tout s'achevait ainsi...