Anomaly a dit :
Chaotique parce que je crois très peu aux lois et à leur efficacité. Pour moi les lois sont imposées par ceux qui ont le pouvoir dans le seul but de servir leur propre intérêt : nos gouvernants actuels sont Loyal Mauvais à mon avis.
Bon parce que je ne supporte pas la méchanceté, parce que je n'agis jamais dans mon seul propre intérêt, et enfin que j'aide toujours ceux qui ont besoin de moi, et sans jamais demander ni espérer une contrepartie de leur part.
Je la rejoins, et je complète en disant pourquoi il y a grand intérêt collectivement et individuellement à opter pour le chaotisme bon, concept qui présente la moralité comme une dualité (mélange de deux facteurs interdépendants) et donc faux, mais on peut
D'abord, je vais procéder par élimination. Le mal est mauvais collectivement car tout le monde ne considérant que son propre intérêt, toute production nécessite une contrainte autoritaire puissante (société fascisto-stalinienne de type drow) qui est de moins de moins efficace avec l'augmentation de la taille de la société. De plus, on engloutit des ressources dans la répression intérieure (individus) voir extérieurs, ce qui à terme est collectivement inintéressant.
Et individuellement, le mal apporte plus de liberté mais plus de danger, moins de conditions de surêté pour être productif (intellectuellement etc.) à moins que l'individu soit suffisement masochiste pour aimer l'incertitude et l'oppression, mais ça ne s'est pas vérifié chez les artistes ou les créatifs, du moins pas à ma connaissance.
En fait, pour accélérer parce que je suis trop long, le bien n'est pas l'inverse du mal, le bien est tout simplement un comblement au mal, qui n'est pas un immoralisme mais un amoralisme, je veux dire que pour moi le bien n'est pas une contrainte se vertue ascétique qu'on s'impose pour faire plaisir à papa/maman ou monter tout droit au paradis, mais j'identifie le bien au bon, à l'agréable, à l'utile sauf que cet utile est vue dans une perspective du long terme est non du court terme, et au long terme, l'intérêt individuel rejoint l'intéret collectif car on devient suffisement intelligent pour prendre de la hauteur et adopter une perspective à la fois du carpe diem, à la fois de l'intérêt futur, c'est à dire qu'on recherche
tout ce qui est agréable - tout ce qui est nuisible .
Donc, je crois au bien et au mal, mais pas au bien chrétien ou religieux, c'est à dire dicté objectivement et pour toujours (mentir c'est mal, et ça sera toujours mal et autre trucs qu'on raconte et qu'on appelle ça morale alors qu'il s'agit de grossière imposture de morale). Le bien, c'est la force mentale, le signe de l'intelligence, et il n'a guère besoin de structures car il se suffit à lui-même dès lors qu'il est suffisement intériorisé pour ne pas avor besoin de rigidités (ordre de paladins ou "opération pièces jaunes" en fesant partie).
En fait, le bien chaotique n'est pas sans ordre, il est
l'ordre - la hiérarchie, c'est à dire qu'il est l'organisation spontanée débarassée de l'abbération qu'est l'étalonnage hiérarchique.
Pour finit, la neutralité, c'est la position pseudo sage mais réellement égoiste, c'est celui qui n'est pas suffisement amoral pour faire le mal mais pas suffisement intelligent pour comprendre que faire le bien à l'humanité se situe dans la meme démarche que faire le bien à sa famille, c'est à dire faire le bien à soi en aidant autrui, en considérant qu'autrui fera de même s'il est suffisement éduqué.
Merci et désolé d'avoir dits des banalités pour ceux qui connaissent déjà mon point de vue.