Pour ne pas relever le niveau :
Un homme se rend dans un petit village, loin de tout, assez peu moderne (il n'y a donc pas de lampadaires ni de jolies routes bien plates). Il roule, roule, roule quand vient la tombée de la nuit. Il roule encore, il en a marre depuis le début il ne voit que des arbres, des arbres, parfois un chemin...mais rempli d'arbres quand tout à coup, il "fonce" dans quelque chose....Ou devrais je dire quelqu'un.
L'homme, tout affolé, sort de son véhicule et voit quelqu'un couvert de noir, allongé par terre, sans lumière, il ne peut guère distinguer s'il s'agit d'un homme, d'une femme, d'un zombie (ah euh non pas ca
). Bon, comme dit au début, pas de commodité signifie pas de réseau téléphonique. Il décide d'aller jusqu'au village pour prévenir les gens.
Arrivé au village, il leur demande s'ils ont des poules noires, on lui répond que non, une veuve, on lui répond encore que non. Alors, tout à fait désolé, l'homme regarde les villageois et leur répond :
"Je crois que je viens d'écraser le curé du village".
*sort, a vraiment honte* Dans le genre pourri, je vous bats
.
Pour relever le niveau (encore que je suis pas sûre
) :
C'est un psychologue dans un asile psychiatrique qui chaque jour va voir ses patients lors de leur balade, et comme chaque soir, il va voir Pierre :
"Allons mon brave Pierre, pourquoi te balades tu avec ta brosse à dents en laisse?
-Mais c'est pas une brosse à dents, c'est Médor, mon fidèle toutou."
Le psychologue, comme depuis des mois, fait un rapport comme quoi Pierre n'est toujours pas apte à sortir. Les jours passent, et Pierre promènent encore et toujours son fidèle Médor.
Un jour, le psychologue lui redemande pourquoi il se balade encore et toujours avec sa brosse à dents.
"Eh bien docteur, cela se voit...je balade ma brosse à dents". Le docteur très content fait un rapport : Pierre peut sortir !
Et à peine dehors : "On l'a bien eu hein Médor?"