[Lieu] Poste de garde

[Eredef]

Eredef avançait d'un pas assuré vers l'immense,baroque et manifestement un peu trop chargé de Lumenis.L'oeil aux aguets il repéra bien vite la sentinelle qui gardait l'entrée...
En arrivant devant le garde;d'un ton ferme il déclara ses diverses possessions et biens matériels:
"Voilà tout ce que je possède mon brave, dit-il tout en jettant un regard peu flatteur sur le portier, une simple dague d'argent, 300 pieces d'or; ainsi que cette chevalière incrustée d'un saphir que je tiens de ma famille.Maintenant auriez vous l'extrême obligeance de dégager le passage pour me permettre d'entrer?"
Eredef n'était d'ordinaire ni pédant ni poseur, il avait juste déduit de l'allure de la ville au loin que c'était une cité d'aristocrates et bourgeois et avait ainsi adopté l'attitude de ce qu'il supposait être la bonne marche à suivre...

[Lathiriel]

Décidemment, on en voyait tous les jours pensait le garde. Des voyageurs plus embourgeoisés que les vrais bourgeois pas exemple. Un vrai noble aurait exigé du garde qu'il se pousse de son chemin, il ne lui aurait pas demandé la permission.

C'est donc avec un petit sourire que le garde prit plaisir à répondre:

Mais bien sûr grand seigneur, c'est mon devoir et mon plaisir que de laisser entrer dans notre belle ville des gens comme vous dont l'auguste et rayonnant présence fait palir Lathandre lui même d'envie.

Et il fit une petite courbette servile en indiquant la porte de la cité au voyageur.

[Eredef]

Remarquant le petit sourire en coin du garde; Eredef plutôt que de s'enférer dans sa bêtise initiale déçida de changer d'attitude (il avait quand même un bon fond) et présenta ses excuse au gardes même si il détestait toujours le portique et l'arche de l'entrée.
Après avoir longuement discuté avec le garde de la difficulté de la vie en ces temps-ci ,débat sans grande importance du moins, il parti vers le quartier est de la cité tout en sifflotant un air gaillard bien connu:"troll farceur et elfe farci".

[Eredef]

Après avoir fait rapidement le tour de Lumenis Eredef retourna a la porte pour s'en aller au loin de cette cité trop lumineuse à son goût.Et, après avoir échangé quelques banalités avec le garde, il s'en fut a travers les plaines disparaisant dans le lointain.

[Killian]

les voyageurs qui ce jour là étaient proches des portes de la ville purent voir une chose extraordinaire qu'ils pourraient raconter à leurs enfants les longues soirées d'hiver; ils virent un homme voler! Tomber serait un mot plus exact car après avoir décrit une trajectoire elliptique d'une centaine de metres environ, cet homme tomba aux portes de la ville.

Il avait l'air gravement blessé,il était vétu d'un pourpoint vert et or qui était en lambeaux et calciné par endroit.l'individu avait une forte musculature, des traits vaguement elfiques, ses cheveux sombres et sales lui tombaient devant les yeux.

Certains affirment avoir aperçu une sorte de nuage de fumée à une centaine de metres de son point d'impact.

Nul ne sait d'où venait ce demi-elfe, on sut plus tard après qu'il fut remis qu'il s'appelait Bock. Il ne semblait pas savoir non plus d'où il venait, il a juste maugréé quelque mots"mrphh...Coordelas...NON..."

A ces mots son visage s'emplit de frayeur et il tomba dans les pommes.

[Hugues de Breizh]

[Attention, je poste en tant que garde de Luménis]

Les gardes accourrurent vers les lieux de l'accident. On avait vu des choses étranges à Luménis, vraiment étranges, mais là, c'était bien la première fois qu'un homme tombait du ciel. Des racontards existaient sur un jeu à Mélandis, où on balançait des gens rien que pour le plaisir, se pourrait-il que ce demi-elfe est fait les frais d'un jeu pareil ?

Une civière fut rapidement apportée, et l'homme venu du ciel y fut déposé. Transporté à l'intérieur du poste de garde, il reçu l'assistance d'un prêtre.
Celui-ci diagnostiqua des fractures, mais contre toute attente, l'homme était encore en vie. Après une chute pareil, c'était vraiment un coup de chance.

Le prêtre lui administra les premiers soins, à base de potions et d'onguents. Il ne restait plus qu'à attendre que l'individu se réveille.

[Vilnor]

Vilnor qui a n'était pas là au moment où l'homme avait chûté des remparts prit son poste peu après, ainsi il apprit ce qui c'était passé par ses subordonnés :8: ...
Sachant cela il se rendit immédiatemment dans le poste de garde voir comment allait l'homme... Il était en très mauvais état mais un prêtre était en train de le soigné et probablement qu'il allait bientôt reprendre connaissance... :heu:

HRP: Ce compte sert spécifiquement a faire vivre le poste de garde du point de vue de l'un d'eux, Vilnor, si vous avez besoin d'une intervention de sa part vous pouvez me contacter par MP sur mon compte principal: Eomer
En effet Vilnor vient du RP de Eomer mon rôdeur...

[Agrippa]

L'après-midi était fini depuis une bonne heure déjà lorsque deux voyageurs pressés se présentèrent aux portes. Il venaient du Festival de Luménis, où ils avaient passé une journée éprouvante à bien des égards. Le garde qui les vit se présenter au contrôle ne put s'empêcher de penser combien ce couple semblait étrange et pour ainsi dire dépareillé.

La jeune femme était visiblement une étrangère, au visage résolu mais marqué par une lassitude ostensible, tandis que l'homme semblait être comme rassuré par la vue des murailles épaisses qui marquaient les limites de la ville.

[Vilnor]

Remarquant une tête étrangère, un garde s'approcha de la femme qui souhaitait visiblement entrer dans la ville...

" Bonsoir, Madame, il me semble que vous ne semblez pas de la région, si vous voulez entrer en ville, vous devez me donner votre nom et une description de tous les objets dangereux et de vos compétences... "

Pendant ce temps Vilnor était toujours dans le poste de garde avec l'homme qui était tombé des remparts, il c'était réveillé quelques instants et délirant avait dit des paroles incohérentes puis était retombé de nouveau en léthargie...

[Althéa]

Elle avait eût un petit sourire quand elle avait entendu parler d’objets dangereux. Elle avait laissé son épée dormir tranquillement dans sa chambre à Manost mais cela ne voulait pas dire qu’elle ne pouvait se défendre. Quant à ses compétences, elle venait de faire preuve d’un don particulier pour ce qui concernait le travestissement mais se garda bien d’en faire mention.

« Je ne suis ici que le temps de prendre le bateau pour Manost. Je rentre enfin chez moi. Quant aux armes et compétences, le peu que vous voyez est ce que j’emporte avec moi »

[Agrippa]

Agrippa en voulait presque au garde de se montrer aussi tatillon. Après tout, le visage d'Althéa n'était-il pas le plus sûr des passeports?

Cette dame doit prendre le navire en partance pour Manost ce soir même. J'espère que vous ne verrez pas d'objection à nous laisser passer; nous ne pouvons nous attarder ici. Quoi qu'il en soit, je me porte garant de sa conduite, en ma qualité de citoyen luménien .

Le garde examina le prêtre d'un air quelque peu agacé, mais leur fit signe de passer, et se retourna pour s'occuper des voyageurs suivants.

Suivez-moi, reprit Agrippa à l'adresse de la rôdeuse, nous avons encore la ville à traverser pour atteindre le port.

[Vilnor]

Humm le garde détestait ce genre de personnes non coopératives... Il faillit les arrêter mais bon, après tout il n'avait pas de motif suffisant pour le faire et d'ailleurs le Lumenien c'était porté garant... Il marqua une courte description des deux personnages et de l'heure d'entrée en ville ainsi que le nom du Lumenien :lunette: .

HRP: Bon que se passe t'il avec la personne qui est tombée ds murailles ? Vilnor est toujours dans le poste de garde théoriquement...

[Killian]

lorsqu'il se réveilla, Bock avait mauvaise mine, une gueule de bois comme il n'en avait pas vu depuis longtemps.Mais que s'était-it passé? son crâne tourbillonait et il lui semblait que les jours avaient passé sans lui.Il était allongé dans un batiment inconnu et il n'avait plus son équipement.Mais ou était donc passée sa préciause masse?et son écu ainsi que son harnois?

Vêtu simplement d'un pourpoint vert et d'un simple pantalon de toile, il se leva, avisa un garde et lui demanda:"Bonjours, je m'apelle Bock, guerrier de renom de la côte des épées. Pourriez vous me dire ce que je fais ici?"

Sur ce un souvenir lui revint tel une douleur lancinante, il se voyait affrontant une bête immonde, un démon extérieur...Puis plus rien.

Les gardes se rassemblaient autour du corps inerte:"encore?
-Oui c'est la troisième fois cette semaine
-Je crois qu'un peu de repos ne lui fera pas de mal
-Bien portez le à son lit, nous savons maintenant d'ou il vient.Reste à trouver le comment."

Et Bock se rendormit, englué dans des cauchemars dont il se disait qu'il n'en verrait pas la fin...

La lumière... enfin. lorsqu'il se réveilla, Bock s'assura que tout allait bien, puis se leva et demanda ou il se trouvait à un garde.celui ci lui déclara qu'il se trouvait à Luménis, cité bénie des dieux.Bock déclara:" Y a-t-il un temle de Tempus par ici?"

[Vilnor]

Etonné par cette question apparemment anodine, Vilnor qui veillait régulièrement depuis quelques jours déjà sur Bock lui répondit donc spontanément:

" Oui, en effet il y en a un dans le quartier Nord de la ville... Mais pourquoi cette question ? "

[Killian]

bock regarda le garde des pieds à la tête puis dit:
-Il me faut m'y rendre.J'ai des questions à poser.Et, foi de Bock, on me répondra!comment puis je m'y rendre?

[Vilnor]

" Non, vous n'êtes pas en état. Et d'ailleurs on ne tombe pas des murailles sans explications. Quelqu'un vous a poussé ? Qui êtes vous et que faites vous en ville ? :lunette: Vous n'irez nulle part sans moi." Lui demanda Vilnor d'un ton impérieux. Il en avait marre de veiller sur ce malade et celui ci apparemment ne lui était reconnaissant en rien et assez impoli...

HRP: Tiens moi au courant des évolutions que tu veux...

[sir julien]

Julien Mîl arriva pensif face aux portes de la grande ville Luménis, ses bottes boueuses par son long voyage et ses vêtements abîmés par certainement de nombreuses aventures. Julien Mîl est un jeune homme, le regard sévère, représentant la justice elle-même, sa cotte de mailles fait ressentir en lui un esprit de guerrier. Ses pas étaient d'une allure normale, ni lent, ni rapide. Il regardait autour de lui, son fourreau transportant une épée à deux mains, ne le gênait dans aucuns de ses gestes. Le jeune homme s'arrêta pour regarder le monde autour de lui, sans manquer d'attention à tout moment au cas où un danger viendrait d'un coup.

[Vilnor]

Lentement la file des voyageurs voulant entrer dans la ville circulait en passant par le poste de garde après avoir signé le registre, signalé ses armes et les raisons du passage dans la Cité...
La plupart étant des paysans de la contrée et bien connus les formalités étaient rapides.

Mais toute personne a l'allure étrangère devait passer un petit interrogatoire plus poussé...


HRP: Nom, prénom, raisons de la venue, durée du séjour, énumération des armes... Le tout inscrit sur le registre du poste de garde par l'un deux (gardes)

[sir julien]

Julien regarda le garde, se courba légèrement face à lui. Il prit son épée pour la prendre par la poignée et la lame comme signe de pacifisme, puis la rangea dans son fourreau. Il s'adressa ensuite au garde, sa voix était claire et respectueuse, bien que légèrement fatiguée.

"Je me nomme Sire Julien Mîl, chevalier de l'Ordre Radieux. Je ne possède que cette belle épée et la cotte de maille que je porte, j'aimerai pouvoir aider les citoyens de la noble Lumenis tout le temps que je peux."

[Vilnor]

Après avoir noté les informations dans le registre, Vilnor jetta un petit coup d'oeil au nouvel arrivant. Il ne semblant pas dangereux. Il lui dit donc:

" Vous pouvez passer, bon séjour à vous ! Vous pourrez rester aussi longtemps que vous le voulez à partir du moment où vous ne causez aucun trouble en ville... "

[Galathée]

Quête: L'invasion des ombres

Galathée franchit les derniers mètres qui la séparaient des portes de Lumenis avec une étrange appréhension. Depuis ses mésaventures dorrandiennes, elle avait évité ses semblables au maximum, désireuse de ne plus s'exposer à la malveillance d'autrui avant bien longtemps. Mais son exil prenait fin, pour l'heure du moins, dans l'ombre des murs de la cité de la Lumière. Galathée espérait qu'elle tiendrait ses promesses, sans trop y croire néanmoins.
Prenant une bonne respiration, elle ferma une seconde les yeux, réprima un frisson, et s'avança vers le poste de garde.

[Taliesin]

[Quête : l’invasion des ombres]

Deux soldats à la mine patibulaire, placés de part et d’autre de l’entrée du poste de garde, observèrent Galathée tandis qu’elle s’avançait. La jeune femme sentit peser sur elle leurs regards soupçonneux, mais elle pu cependant entrer dans le bâtiment sans être inquiétée.

A l’intérieur l’attendait un homme assis derrière un bureau. Aussi peu avenant que ses camarades, il s’adressa à elle d’un ton dur et dénué de toute aménité.

-Nom, profession, raisons de votre venue à Lumenis. Et pressons ! Je n’ai pas que ça à faire.

L’objectif de cette attitude était clair : si la cité de Lathandre avait jadis eu réputation d’être un lieu accueillant pour tous, le nouvel ordre en place voulait montrer que désormais, quiconque souhaitait entrer en ville devait montrer patte blanche et s’attendre à être étroitement surveillé tout au long de son séjour. Le régime fraîchement installé craignait les opposants potentiels qui pourraient remettre en cause son autorité, et il était prêt à tout pour les éliminer dès qu’ils se présentaient.

[Galathée]

Quête: L'invasion des ombres

Galathée fut pour le moins surprise de cet accueil, qui cadrait peu avec ce qu'elle avait entendu dire de Lumenis. Mais elle songea que ces gardes étaient sans doue en fin de service, que c'était un métier ingrat, qu'elle aurait quitté ces lieux dans quelques minutes. Vestiges d'un optimisme autrefois plus spontané, elle devait faire des efforts pour ne pas leur décocher des regards tout aussi noirs et soupçonneux.
" Je me nomme Galathée, je soigne les animaux et je me rends à Luménis pour..."
Un instant, elle hésita.
" ... pour découvrir votre belle cité, et éventuellement y rester quelques temps."
Elle ajouta un sourire à cette déclaration, mais sans doute ne contenait-il que peu de chaleur.

[Taliesin]

[Quête : l’invasion des ombres]

Le garde se carra sur son siège et croisa les bras, un sourire mauvais aux lèvres.

-Une touriste, voyez-vous ça ! Ils se font plutôt rares, par les temps qui courent, et le dernier à s’être présenté en ville sous ce motif se balance à présent au bout d’une corde. Il avait eu la mauvaise idée de fourrer son nez là où il ne devait pas et de tenir des propos séditieux à l’encontre de notre bien aimé dirigeant… Mais je présume qu’il n’est point dans vos intentions de faire de telles bêtises… N’est-ce pas ?

Il braqua alors son regard dur et inquisiteur sur Galathée, guettant la moindre de ses réactions.

[Julius]

Une silhouette dans un manteau noir avec une capuche qui masque son visage approche des grandes portes des la cité. Il a la taille d'un humain et tient dans la main un baton de pierre un peu plus grand que lui.

Il reste quelques minutes à observé le postes de garde qui est encore une vingtaine de mètres devant lui. Finallement il s'approche d'un garde et demande.

J'aimerais entrer dans cette ville pour quelques temps.
Ce bâton est tout ce que je possède et j'aimerais savoir où je pourrais trouvé un moyen de survivre: le toit et le couvert ainsi qu'un moyen de payer ...
Et surtout je cherche une bibliothèque ... ou des archives de la région, y en a-t-il dans cette ville ?

En attendant la réponse du garde, il examine attentivement les mouvement de toutes les personnes dans son champs de vision. Il est nerveux et serre son bâton assez fort dans sa main droite, prêt à s'en servir en cas de danger.

[Taliesin]

Le soldat désigna le poste de garde de la main.

-Vous entrez là et vous répétez votre histoire à la personne compétente.

Julius, dont la nervosité n’avait pas été apaisée par le ton brusque du garde, fit cependant ce qu’on lui demandait. A l’intérieur du poste, un autre militaire l’écouta avec attention et lui demanda des précisions sur son identité qu’il nota soigneusement dans un registre. Enfin, comme aucun élément ne semblait indiquer que Julius soit venu pour menacer le régime nouvellement instauré, il consentit à le laisser entrer.

-Pour le gîte et le couvert, c’est pas dur, dit-il. Allez à la Taverne de la Bienveillance. Discutez avec le tenancier : il saura certainement où vous pourrez trouver du travail... Quant à la bibliothèque, c'est par ici. Et maintenant... Circulez !

[Julius]

Julius fit un signe de tête pour remercié le soldat et entra dans la ville ...

[Galathée]

[Quête: L'invasion des ombres]

La rôdeuse ne put s'empêcher d'écarquiller les yeux. Un instant, elle vit rouge, puis serrant les dents, osa un sourire crispé.
" Oh non, bien sûr... Moi, tenir des propos séditieux? Je ne sais même pas ce que ça veut dire, séditieux, en vérité... Je viens juste voir si quelqu'un a besoin d'aider une vache à accoucher ou un cheval à guérir de foulure. Rien de plus. " annonça-t-elle avec une candeur feinte.
Si seulement je savais rougir sur commande, songea-t-elle, ça serait parfait.
" Mais d'abord, un endroit pour poser mes affaires serait l'idéal. Et je vous promets d'être sage."
N'en remets pas trop, ma grande, se morigéna-t-elle intérieurement.
Elle sourit à nouveau, plus détendue, tout en songeant qu'elle ne se reconnaissait plus vraiment.

[Taliesin]

[Quête : l’invasion des ombres]

Le garde renifla dédaigneusement.

-Mouais... On verra bien ce qu’il en est, de toute façon. Rien ne nous échappe, sachez-le !. Enfin bon, vous pouvez entrer en ville. Pour poser vos affaires, la Taverne de la Bienveillance devrait largement convenir...

Il donna à la jeune femme quelques indications pour trouver l’établissement, puis lui signifia avec une courtoisie toute relative qu’elle pouvait quitter les lieux.

[Galathée]

[Quête: L'invasion des ombres]

Ce qu'elle s'empressa de faire sans rien ajouter, sinon un bref signe de tête. Tout en pénétrant dans Lumenis, elle fut soudain prise d'un long frisson: ce bref échange avec la garde n'augurait rien de bon, et une fois de plus, des murs se refermaient sur elle.
Elle prit néanmoins la direction de la Taverne de la Bienveillance, qu'elle espérait bien nommée.