La porte de Lumenis sur le reste de Féérune. C'est de là que partent les navires marchands et de plaisance. C'est une plaque tournante commerciale, mais qui est aussi une vitrine du savoir faire luménien en matière de marine et de commerce.
L'Oasis d'Inaël
Le Bâtiment est situé au bout d'une petite rue qui partait d'une des artères principales allant des quais vers le cœur de la cité.
Sur une petite place formant le cul-de-sac de cette ruelle, ornée d'une humble fontaine couronnée de mousse, se tient une échoppe d'alchimie, un restaurant avec sa terrasse faite de tonneaux ainsi qu'un joaillier elfique.
L'Oasis d'Inaël tient en façade d'une bâtisse haute aussi large qu'un des côté de la place, sa vitrine alourdie de tentures ostentatoires présentait divers objets patinés retenant plusieurs cartes aux coins, certaines présentant des reliefs ouvragés, d'autres arborant un X visiblement sujet à questionnements de la part des clients en mal d'aventure.
L'intérieur de la boutique est un encombrement très bien organisé de trophées hétéroclites et de babioles clinquantes représentant de nombreuses régions à travers le globe. outre les nombreuses étagères, tringles et bibliothèques poussées contre les murs, chargées de manuscrit, de livres, de tenues pittoresques, de spécimens empaillés des créatures les plus diverses, outre les tentures, les armes et les boucliers pendus au dessus des têtes des clients ; le magasin consiste en une tripotée d'îlots de bois consacrés à un continent en particulier pour chaque, un genre de table à étage pyramidale recouvertes de cartes, de gravures représentant monnaie, habitat et aventures typiques des contrées, d'armes ou d'objets pittoresques venus de ces endroits en particulier.
Chaque base de ces table est un casier de cave à vin dans lequel sont glissés soigneusement plusieurs exemplaires de cartes, rangées avec soin par ville, région spécifique ou quête connue du continent mis en valeur.
Si le comptoir fait face à la porte d'entrée, l'extrême gauche du magasin est un fatras d'artisanat local ou inspiré des royaumes, idée venant de Daïna, la vendeuse, qui tenait sa propre boutique d'artisanat avant que Damant n'hérite des lieux et ne décide d'un commun accord avec la jeune femme de fusionner l'ancienne et la nouvelle échoppe.
C'est elle qui tient le commerce lorsque Damant n'est pas là, avec l'aide de son grand-père Hannaste, ancien copiste et excentrique notoire qui s'occupe de la reproduction des cartes avec ferveur du haut de la mezzanine surplombant le comptoir, dans l'espace dédié aux travaux en cours.
La droite de l'endroit donne sur une ancienne cour intérieure transformée en verrière dans laquelle nombre de plantes exotiques sont entreposées, certaines tout à fait extraordinairement fantasques, d'autres plus humbles mais aux vertus intéressantes. La plupart de ces dernières sont surmontées d'écriteaux vantant les mérites des décoctions que l'on en tire et le nom de la boutique d'Astrée, qui propose ces potions, conclut chaque panneau.
De nombreux encens parfument l'air et un coin aménagé de coussins épais autour d'une table basse invite chacun à venir partager une infusion savoureuse avec le maitre des lieux lorsqu'il est présent, dans la plus pure tradition des citées du Sud dont il est natif.
Le message suivant orne la poutre surplombant le comptoir, gravé et recouvert de dorures :
"Bienvenue, Ô voyageur, pour une brève escale dans cet antre qui te mèneras vers d'incroyables aventures."
un autre, plus petit, est gravé sur le comptoir lui même :
"La maison ne fait pas crédit"
Le Bâtiment est situé au bout d'une petite rue qui partait d'une des artères principales allant des quais vers le cœur de la cité.
Sur une petite place formant le cul-de-sac de cette ruelle, ornée d'une humble fontaine couronnée de mousse, se tient une échoppe d'alchimie, un restaurant avec sa terrasse faite de tonneaux ainsi qu'un joaillier elfique.
L'Oasis d'Inaël tient en façade d'une bâtisse haute aussi large qu'un des côté de la place, sa vitrine alourdie de tentures ostentatoires présentait divers objets patinés retenant plusieurs cartes aux coins, certaines présentant des reliefs ouvragés, d'autres arborant un X visiblement sujet à questionnements de la part des clients en mal d'aventure.
L'intérieur de la boutique est un encombrement très bien organisé de trophées hétéroclites et de babioles clinquantes représentant de nombreuses régions à travers le globe. outre les nombreuses étagères, tringles et bibliothèques poussées contre les murs, chargées de manuscrit, de livres, de tenues pittoresques, de spécimens empaillés des créatures les plus diverses, outre les tentures, les armes et les boucliers pendus au dessus des têtes des clients ; le magasin consiste en une tripotée d'îlots de bois consacrés à un continent en particulier pour chaque, un genre de table à étage pyramidale recouvertes de cartes, de gravures représentant monnaie, habitat et aventures typiques des contrées, d'armes ou d'objets pittoresques venus de ces endroits en particulier.
Chaque base de ces table est un casier de cave à vin dans lequel sont glissés soigneusement plusieurs exemplaires de cartes, rangées avec soin par ville, région spécifique ou quête connue du continent mis en valeur.
Si le comptoir fait face à la porte d'entrée, l'extrême gauche du magasin est un fatras d'artisanat local ou inspiré des royaumes, idée venant de Daïna, la vendeuse, qui tenait sa propre boutique d'artisanat avant que Damant n'hérite des lieux et ne décide d'un commun accord avec la jeune femme de fusionner l'ancienne et la nouvelle échoppe.
C'est elle qui tient le commerce lorsque Damant n'est pas là, avec l'aide de son grand-père Hannaste, ancien copiste et excentrique notoire qui s'occupe de la reproduction des cartes avec ferveur du haut de la mezzanine surplombant le comptoir, dans l'espace dédié aux travaux en cours.
La droite de l'endroit donne sur une ancienne cour intérieure transformée en verrière dans laquelle nombre de plantes exotiques sont entreposées, certaines tout à fait extraordinairement fantasques, d'autres plus humbles mais aux vertus intéressantes. La plupart de ces dernières sont surmontées d'écriteaux vantant les mérites des décoctions que l'on en tire et le nom de la boutique d'Astrée, qui propose ces potions, conclut chaque panneau.
De nombreux encens parfument l'air et un coin aménagé de coussins épais autour d'une table basse invite chacun à venir partager une infusion savoureuse avec le maitre des lieux lorsqu'il est présent, dans la plus pure tradition des citées du Sud dont il est natif.
Le message suivant orne la poutre surplombant le comptoir, gravé et recouvert de dorures :
"Bienvenue, Ô voyageur, pour une brève escale dans cet antre qui te mèneras vers d'incroyables aventures."
un autre, plus petit, est gravé sur le comptoir lui même :
"La maison ne fait pas crédit"
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