[Commerce] A l'antre des délices

[Khan]

Khan regarda les femmes, en vit une magnifique qui était à son gout et s'approcha de Morlak au comptoire et lui dit:
"La numéro 14 me plait énormément, je te la prends pour une heure ou deux :notme: .
Aprés tu me la metra de coté, je sent que je vais venir la voire régulièrement."

[Morlak]

@ Bagronk: Oui il est possible d'en prendre plusieurs à la fois, la 205 très bien. Morlak saisit une clef derrière le comptoir et monta au premier étage. Il ouvrit l'une des portes et Bagronk eut la bonne surprise de voir une belle femme couchée sur le lit qui l'attendait. Il donna la clef à Bagronk et lui dit de refermer la porte a clef une fois qu'il eut terminé. Alors que Morlak descendait les escalier, un autre client venait d'arriver.
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@ Kalannar: La 206 c'est un très bon choix, je dois l'admettre. Il prit une clef et la donna à Kalannar. Il lui indiqua la chambre et Kalannar monta passer du bon temps.

Oui il faut payer avec le système de payement de la couronne.
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@ Khan: La numéro 14 d'accord. Morlak prit une clef et invita Khan à le suivre. Une fois à l'étage, Morlak ouvrit une des portes et laissa khan seul avec sa déesse.

[Chaos]

Chaos rentra dans le batiment.

Bonjour, Morlak je pense que je vais prendre la 200 pour une heure.

[Morlak]

"La 200, c'est entendu. Vous payerez à la fin..."

Morlak prit une clef et monta avec Chao$. Il ouvrit une des portes et elle se trouvait là, avec un petit sourire au coin des lèvres, elle mourrait d'ennui ces temps ci.

"Voilà, je vous laisse, fermez la porte une fois terminé..."

[Khan]

Khan sortit de la pièce deux heures plus tard, il était en sueurs et avait un large sourire aux lèvres.
"Tient, Morlak, tes 50po. Et laisse dormir la fille, je l'ai épuisé."
Il jeta une bourse sur le comptoire, sortit et se dirigeat vers son restaurant.

[Chaos]

Chaos sortit de la chambre une heure plus tard, il se dirigea vers le comptoir.

- Voila tes 25po, je crois que je risque d'aller la voir assez souvent.

Il laissa l'argent sur le comptoir et disparut dans la nuit.

[Tidus]

:k: La 13 m'a l'air délicieuse, je vais y aller , avec elle.

[Morlak]

"Très bien."

Morlak saisit une clef derrière lui puis monte à l'étage et fait signe a Tidus de le suivre. Il ouvre l'une des chambres et la perle se trouvait la, contente de voir enfin quelqu'un.

"Voilà, je vous laisse, refermez la porte à clef une fois fini et rapportez la ensuite au comptoir. Je vous souhaite bon plaisir... :love: "

[Aenarion]

Aenarion entra dans l'établissement de Morlak. IL s'y avança et regrda la liste des filles... IL s'approcha de Morlak et lui dit:

- Je prendrais volontier la 207...

Il attendit que Morlak lui donne une clef.

[Morlak]

"Oui voilà la clef, il me semble que vous connaissez le chemin, c'est la chambre no 3. Je vous souhaite une agréable soirée."

[Aenarion]

Aenarion monta les escalier pour se diriger vers la chambre numéro 3. Une fois à l'étage, il ouvrit la porte et vit la magnifique créature qu'il venait de choisir, couchée sur un lit. Elle était assé dévétue.

SENSURE

Après 2h30 le guerrier Talosien redescendit vers Morlak et demanda:

- Combien te dois-je?

Il le regarda, le visage couvert de transpiration et dans les yeux une certaine luheur montrant son soulagement. IL attendit la réponse de Morlak qui se tenait droit devant lui avec la liste des prix sous les yeux.

[Morlak]

Morlak fut ravi que Aenarion passa autant de temps avec l'une de ses poupée car cela fut synonyme de profit et preuve que cela lui plut.

"Alors cela fera 63po, ravi d'avoir pu vous satisfaire et j'espère vous revoir bientôt."

[Aenarion]

Aenarion posa la clef ainsi que l'argent demander sur le comptoire du bordel et repartit en disant:

- Je risque de venir la voir assé souvent (elle est tellement performente :love: )

Aenarion quitta la pièce avec un légé sourir au bord des lèvre ce qui prouvait sa satisfaction au tenancier de l'établissement.

[Chaos]

Chaos rentra l'établissement et se dirigea vers Morlak.

Je vais prendre la 200 pour 2h je pense.

Chaos attendit la réponse de Morlak.

[Morlak]

"Ah voilà enfin un client, je vois que vous avez apprécié votre dernière visite. La 200 très bien."

Morlak prit une clef et se dirigea avec Chaos vers le premier étage en faisant signe de le suivre. Il ouvrit la porte no 2 et la poupée se trouvait là, a moitié dévêtue.

"Je vous souhaite un agréable soirée et vous connaissez le règlement."

Puis il redescendit et laissa Chaos seul avec la perle.

[Chaos]

2 heures après être rentré dans la chambre, Chaos descendit avec un petit sourire, il posa une bourse sur le comptoir.

Tiens, voila l'argent et je pense que je repasserai plus tard.

Il salua Morlak et sortit dans la nuit sombre.

[Walar]

Un bourgeois grassouillet entra en hurlant dans L’Antre des Délices, une expression d’horreur absolue était profondément gravée dans son visage adipeux et sa respiration haletante témoignait qu’il venait d’accomplir une course effrénée. Il se rua vers Morlak en balbutiant un flot de paroles incompréhensibles.

« Partout ! Partout ! Ils sont partout ! C’est affreux… ! Je reviens à l’instant des.. »

Il sanglota bruyamment tout en tentant de réfréner sa nervosité. Sa face était littéralement rouge et ses yeux exorbités se trémoussaient avec agitation dans tous les sens.

« Pren..»

Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’un abominable hurlement déchira l’atmosphère, perçant les tympans. S’en fut trop pour le pauvre homme, il s’effondra sur le sol dans un bruit mat. Ses ignobles bourrelets de graisse s’immobilisant progressivement…

[Beorn Devir]

L'un des clients qui se trouvaient alors sur les lieux m'eu pour réflex, non pas d'appeler une quelconque aide, mais de soulager le boursouflux de ses effets de valeur et d'ensuite repartir comme si de rien n'était

[Raven Al'Qazimir]

La porte s'ouvrit, et poussa le corps de l'homme à terre. Le regard de Méran se posa sur lui, et il retint un juron au sujet des bagarres d'auberge. Il portait son uniforme de l'arkhontat et son traditionnel bâton, mais sa prestance froissée laissait trahir une journée passée à porter ces vêtements, une journée fatigante. Il murmura pour lui même:

Jamais donc on ne me laissera entrer au sénat, voici une semaine que j'essaie pas moyen d'y mettre les pieds... encore quelque jours à tenter la voix diplomatique, et je change de méthode...

L'arkhonte chercha, non sans continuer à surveiller ses possessions, un endroit où l'on servait de l'eau, mais d'un regard l'homme comprit dans quel genre d'endroit il était tombé. Il secoua la tête, ses yeux virèrent un instant au blanc, et le cadavre à ses pieds scintilla.
Méran Seranoo>Inquisition>Cadavre
Le visage de Méran vira à l'inquiétude profonde, et il décida de se rendre plus rapidement possible aux portes de la ville

[Morlak]

Le Psion fut très intrigué, et se demandait ce que ce fou venait faire ici et que signifiait cette phrase qu'il n'avait pas pu finir ? Mais son visage terrorisé laissait penser qu'il avait vu quelque chose d'atroce.

Morlak ne chercha pas à comprendre et s'empressa de traîner le corps du bourgeois hors du bordel, ce qui ne fut guère une tâche très aisée vu le poids de l'individu, afin que les clients ne soient pas plus dérangés que ce qu'il étaient déjà. Il dit au client de ne pas paniquer et que tout allait bien afin qu'ils restent dans le bordel.

Mais l'odeur putride qui régnait dans les bas quartiers se répandit vite dans le district bourgeois sans épargner l'Antre des délices. Les clients ne restèrent guère plus longtemps dans le Bordel et rentrèrent chez eux, on entendis quelques hommes se faire dechirer par un mort-vivant isolé qui érrait dans la ruelle.

Morlak, déçu, se demandait quelle fut cette odeur qui avait bien pu faire fuir tous ses clients et ferma la porte principale de son commerce à clef et mis quelques meubles devant la porte afin qu'on ne puisse pas la défoncer. Puis il sortit par la porte arrière tout en emportant la caisse contenant les recettes de la soirée. Il se dirigea vers les bas quartiers, là où les cris furent les plus forts pour voir ce qui avait bien pu se passer.

Suite ici...

[Agifem]

Krestol fut le plus grand artiste de son domaine. Ayant vécu plusieurs millénaires auparavant, il reste peu de contemporains pour parler de son caractère impulsif et de son manque de courtoisie, ce qui est une bonne chose pour sa réputation, mais il reste en revanche beaucoup de tapisseries signées de sa main, témoignant de son génie dans le domaine, génie qui ne fut jamais égalé depuis. Ses tapisseries représentaient pour la plupart des scènes de combat mythiques, des créatures fantastiques dans des positions flatteuses, voire même des paysages mirifiques dont on pense qu'ils ont été largement enjolivés par rapport à la réalité de l'époque.
Par conséquent, posséder une authentique tapisserie de Krestol est une chance rare et une marque de prestige comme il en existe peu. Il est dans ces conditions assez paradoxal qu'une telle tapisserie se trouve au mur d'une des chambres de l'Antre des délices, d'autant plus paradoxal que les clients de l'établissement, même pour ceux bénéficiant d'une connaissance artistique étendue, ne sont pas venus pour admirer la décoration de l'établissement.

Si je vous parle du génie de Krestol, des magnifiques paysages qu'il avait représentés, et de la valeur d'un tel chef d'oeuvre, c'est pour que vous puissiez vous imaginez avec autant de réalisme que possible la tête du propriétaire de l'établissement, Morlak, lorsqu'ayant accouru au cri d'une des filles venant de la chambre, avait trouvé dans la pièce une effrayante créature bleue en train de manger la tapisserie en question. La bête semblait par ailleurs frustrée de voir son délicieux festin interrompu d'une telle manière, puisqu'elle émettait à l'encontre des intrus un grognement lourd de sous-entendus, et qui semblait avoir fait peur à la catin et à son bourgeois.

[Agifem]

Il fallu quelques instants pour les observateurs de la scène réalisent la conduite à tenir vis-à-vis de la chose, et c'est seulement au bout de ces quelques instants que Morlak, armé pour cela d'un balai, se mit en tête de chasser la bête de son établissement.
La chose semblait assez hostile, mais ce n'est qu'au bout du troisième coup, pas très vigoureux d'ailleurs, qu'elle réalisé qu'on essayait de la blesser, et elle prit alors la poudre d'escampette, se jettant par la fenêtre, brisant au passage un superbe vitrail d'une valeur inestimable (mais très cher).
Voici donc pourquoi au mur d'une chambre du premier étage se trouve désormais un dragon combattant un personnage décapité (son corps se trouvant être la partie de la tapisserie que la créature avait dévoré).