[Rencontres] La promenade des docks

[Amélie Malone]

Une certaine Angèle, d'un naturel moins confiant aurait tourné les talons, complètement dubitative. Une certaine Chandara aurait fait le vœu sans hésiter. Amélie, si elle était amie avec les deux se rapprochait beaucoup plus de Chandara. Elle s'approcha donc avant de chuchoter.

"J'aimerais beaucoup que Marvin soit là."

[Kasumi]

Les lettres du message flottant changèrent aussitôt pour former de nouveaux mots :

Retourne-toi Méli Mélo !

La jeune-femme sentit plus qu'elle n'entendit une présence toute proche dans son dos. Une présence qui ne lui inspirait aucune crainte.

[Amélie Malone]

"Encore un truc de mage, n'est-ce pas ?"

Elle avait plaisanté pour cacher sa voix qui commençait à trembler, les larmes qui menaçaient d'affluer. Après tout ce qu'il s'était passé durant ces dernières journées, elle avait espéré le réconfort des bras de Marvin. Il était l'une des seules personnes à employer son surnom pour la désigner. Elle se retourna lentement histoire de faire durer la magie des retrouvailles et aussi retrouver une contenance, elle devait bien se l'avouer. Elle refusait catégoriquement l'idée que c'était quelqu'un d'autre. Elle laissa cela aux pessimistes qui refusaient de voir le soleil derrière la grisaille manostienne.

Une fois retournée, elle releva tout doucement la tête, un grand sourire aux lèvres. Elle espérait juste que son amoureux ne la trouverait pas trop pâlote cachée dans ses habits gris.

[Kasumi]

Marvin se tenait là, dans une tenue à la fois raffinée et colorée, avec un petit sourire aux lèvres. Il répondit d'une voix sans chercher à cacher son émotion de la revoir :

- J'ai encore plein d'autres trucs de mage à te montrer si tu en es d'accord.

Et il lui ouvrit les bras pour l'accueillir comme il se devait...

[Amélie Malone]

Amélie regarda son ami, les yeux soudain brillants. Elle avait souvent rêvé d'une scène de retrouvailles comme celle-là mais la vivre était encore meilleur. Par contre, elle ne jeta pas ses bras autour du coup de Marvin. Même si elle était heureuse et qu'elle souriait, même si elle l'aimait plus que tout au monde. Tout simplement parce qu'elle n'avait pas envie que quiconque vienne gâcher ce doux moment en venant leur faire du tort parce qu'ils s'embrassaient en pleine rue. Car elle en avait envie et même plus encore. Et elle espérait que Marvin puisse lire tout cela dans ses yeux. Elle lui dit doucement.

"Pas ici si tu veux bien. Plutôt au Clos."

Elle se jucha cependant sur la pointe des pieds pour déposer un baiser sur sa joue.

[Kasumi]

Elle sentit son compagnon frémir de plaisir à ce simple contact. Aussi chaste ait-il été, cela faisait bien trop longtemps qu'ils ne s'étaient plus revu. En tous cas à l'échelle de leurs jeunes existences. Marvin ne chercha pas à lui voler le baiser dont il avait lui aussi manifestement très envie mais se contenta de lui caresser discrètement le dos de la main.

- D'accord ma douce. Je te suis !

[Althéa]

Mortis gagna la promenade des docks sans encombre. Il trouva même la fontaine aux souhaits, le lieu du rendez-vous arrangé par Floréal. L'heure approchait mais pour le moment, il ne vit personne. Sans doute était-il le premier.

Apparemment, il avait le temps de se préparer et donc le choix des armes. Restait à savoir comment il allait utiliser le temps imparti.

[Mortis]

Mortis avait sa dague à sa ceinture, et son couteau de lancé dans sa botte droite, prêt à les sortir au cas ou... après tout même si en principe les hommes de Floréal devaient arrivés bientôt et potentiellement ceux de la tavernière de la Taie aussi, les premiers comme opposants et les seconds comme alliés, comme il le disait parfois lui même :

- Si il y a bien une chose qui est sure en ce monde, c'est qu'en ce monde rien n'est sur...

Un retournement de situation, une trahison, une erreur, un piège, un imprévu, tout ceci peut mettre à mal un plan bien ficelé... Face à cela Mortis était préparé psychologiquement, du fait de son tempérament paranoïaque et son expérience en terme de trahison tant subie que pratiquée, il chercha à se mettre à un endroit d’où il pouvait facilement observer toute personne approchant de la fontaine, pour pouvoir réagir rapidement. Il n'aimait pas l’imprévu, et préférait ne rien laisser au hasard ou à la chance, le fait que sa survie ne dépende que du résultat d'un jet de dé, ou de choses sur lesquelles il n'avait pas de contrôle le rendait anxieux. Il cherchait donc à garder au Maximum le contrôle de la situation.

[Althéa]

Il resta un long moment seul mais au bout d'un moment, il eut la certitude que quelqu'un l'observait dans l'ombre. Ami ou ennemi ? Difficile de le savoir. Pour le moment, la personne qui le guettait persistait à se fondre dans les ombres sans vouloir l'attaquer.

Hormis l'inopportun, il ne remarqua rien ni personne.

[Mortis]

Mortis senti son estomac se nouer, une ombre furtive dans un coin de rue, voila qui n’arrangeait pas son anxiété...

Ami ou ennemi ? Enfin plutôt allié ou opposant serait plus juste... Mortis prit sur lui et fixa cette ombre quelques minutes pour lui montrer qu'il l'avait bien vu et que se cacher de Mortis ne lui était plus utile de toute façon... si c’était un allié il le comprendrait comme un signe de reconnaissance, et un ennemi peut-être comme un avertissement tacite...

Pour le moment cette ombre ne semblait pas faire montre d'hostilité, Mortis se contenta donc de garder cela en tête et de continuer à attendre au même endroit. En effet, il préférait attendre ici, cette ombre après tout pouvait être un appât vers un guet-apens, que lui tendait les hommes de Floréal... Cette position avait l'avantage de lui offrir plusieurs échappatoires et un large champs de vision, il était toujours préférable de choisir son champs de bataille.

[Althéa]

L'ombre resta immobile. Un peu plus tard, Mortis vit trois autres silhouettes se rapprocher. Toutes trois étaient armées et sur leur gardes. Le barde pouvait décider de se porter à leur rencontre ou de se cacher s'il le voulait.

Sous peu, les trois hommes seraient au point de rendez-vous.

[Mortis]

- Bon quand faut y aller...

Dit Mortis, en voyant les trois silhouettes approcher.

Sous tension, le cœur du barde se mettait a battre si fort que cela résonnait dans ses oreilles, comme le bruit d'un tonnant de fanfare, à son échelle s’était presque assourdissant. Il prit une grande inspiration et souffla un bon coup, ce n’était pas le moment de flancher... Il faut dire qu'il allait contre sa nature profonde , d'habitude en présence d'une menace plus ou moins explicite, il aurai soit pris les jambes à son cou, soit frappé par derrière.

Il prit sur lui, et s'avança tout en restant sur ses gardes prêt à sortir les armes si le besoin s'en faisait sentir, après la question était la même : était-ce des "amis" ou des ennemis ? Il n'allait pas tarder à la savoir...

[Althéa]

Mortis put voir un peu plus les trois hommes qui se rapprochaient de lui. Pas des brutes de prime abord, pas des assassins non plus apparemment. Mais il fallait toujours se méfier des apparences. L'un des trois, l'avisant, lui adressa directement la parole.

"Est-ce que c'est toi, Mortis ?"

[Mortis]

Mortis tout en prenant un large sourire, un sourire de façade, il ne connaissait toujours pas l'affiliation de son interlocuteur, allié ou ennemi... dit :

- C'est moi même messire... me voici comme il était prévu.

Il attendait que les intentions de son interlocuteur se précise, prêt à réagir immédiatement si le besoin s'en faisait sentir...

[Althéa]

Les trois hommes eurent un petit sourire de connivence. Rien de bon en somme. L'un d'entre eux tendit une bourse au barde.

"Floréal a glissé un petit supplément dedans. Il nous a dit de nous assurer que tu regardais bien ce qu'il y avait à l'intérieur. Je suis sur que tu es très curieux de savoir ce qu'il y a en plus. Et moi aussi d'ailleurs."

[Mortis]

Le "petit supplément" s'il existe ne doit pas être quelque chose d’agréable... se dit intérieurement Mortis tout en gardant une aimable figure en façade, il pensait que dès qu'il saisirai le sac et l'ouvrirai les trois guignols en face lui tomberaient dessus pour le saigner comme un goret, tout du moins que c’était ce qu'ils avaient prévu... Ainsi la silhouette au coin de rue de tantôt était peut-être un homme de la tavernière de la Taie... si tel était le cas mieux vaudrait qu'il rapplique rapidement.

Mortis leva la main en direction de la bourse, le plus naturellement du monde, soudain il s’arrêta net et demanda à ses interlocuteurs avec un étrange sourire :

- Dites-moi donc messieurs, avez-vous sommeil ?

Profitant de l’étonnement assez naturel de ceux-ci face à une question aussi incongrue en pareil situation, il fit un bond en arrière et incanta un sort :

Mortis ---> Sommeil ---> les Trois sbires de Floréal

Il restait à savoir si le sort avait fonctionné, mais même si il ne s'effondrait pas tous, si un ou deux d'entre eux tombaient dans les bras de Morphée, c’était à son avantage : Un "un contre deux" ou "un contre un" était préférable à un "un contre trois".

[Althéa]

L'un des hommes de main de Floréal tourna de l'oeil et le second vacilla et se reprit. Mais Mortis vit sans mal que le sortièlge l'avait ébranlé. Le troisième quant à lui sortit la dague qu'il tenait cachée sous son manteau. Il gratifia le barde d'une oeillade furieuse.

"Pourquoi est-ce que tu compliques les choses au lieu de te faire tuer comme tout le monde ?"

[Mortis]

- Hé c'est de ma vie dont on parle ici ! A ma place vous feriez de même.

Dit-il souriant tout en sortant lui aussi sa dague de la même manière, il fallait profiter de l'avantage qu'il soit devenu moins nombreux, un qui dormait sous l'effet du sort il n'allait pas constituer une gêne pour le moment, un autre sonné qui avec un simple cout serait assommer... il serait alors plus aisé de négocier avec celui qui restait alerte. Mortis ne pouvait pas relancer un sort tout de suite, il y avait un temps d'attente... et puis il lui fallait en conserver pour la suite car il devait s'occuper de Floréal...

Il lui fallait ruser, un combat n’était jamais une chose aisé, et Mortis n'avait ni la force d'un orc ni l'endurance d'un nain, il compensait par le fait qu'il était plutôt agile mais face à quelqu'un du même acabit que lui cela ne lui apportait rien... il fallait plutôt trouver le moyen de gagner l'ascendant psychologique, au moins ainsi il pourrait mener le jeu.

- J'avais raison de me méfier de votre patron... une fois la tache terminer on tente de se débarrasser de ses associés hein ?

Dit le barde pour tenter une approche plus psychologique de ce combat, tout restant sur ses gardes.

[Althéa]

Le premier homme porta sans plus attendre un coup de dague à Mortis. C'est à ce moment qu'un carreau d'arbalète fendit l'air et alla se planter dans la tête du deuxième larron avant qu'il n'ait eu le temps d'intervenir.

Mortis eut le temps de se rendre compte qu'il avait été tiré de là où se tenait l'inconnu qu'il avait surpris tout à l'heure.

[Mortis]

- Et Merde ! dit le Barde en manquant de près de se faire avoir...

Mortis eu juste le temps d'esquiver le coup de dague de l'homme de main, espérant l'amener à parler pour le surprendre c'est finalement Mortis qui faillit se faire surprendre.

L'homme qui était sonné soudain s'effondra sur le sol, percuté par vraisemblablement un carreau d’arbalète. La silhouette dans l'ombre de tout à l'heur avait donc décidé d'intervenir, Mortis ne s'en plaindrait pas, au vu de sa situation à ce moment précis.

Mortis profita de la situation pour contre-attaquer : dague en main, il feinta un coup d'estoc, pour camoufler un coup de pied sur le coté du genou. La tactique était au mieux de lui faire perdre l’équilibre, ce serait alors un jeu d'enfant de porter l'estocade, au pire de se contenter de détruire son jeu de jambes, son adversaire moins agile, Mortis pourrait plus aisément prendre l'avantage. Mais le coup allait il fonctionner ?

[Althéa]

L'homme poussa un grognement mais parvint à esquiver la lame de Mortis. Il lança une contre attaque en frappant d'estoc et se mit à beugler.

"Les gars, j'ai besoin de renfort."

Deux autres hommes embusqués débouchèrent en courant d'une allée. Le barde eut à peine le temps de les apercevoir que l'un d'entre eux s'écroula face contre terre, un carreau d'arbalète dans la tête. Le second s'interrompit et fixa l'obscurité autour de lui.

[Mortis]

Mortis esquiva une nouvelle fois le coup, l'homme de main, visiblement irrité par le coup de pied du Barde, avait mis plus de violence dans son coup de dague, plus d’élan, et donc l'avait rendu plus prévisible... Mais Mortis devait faire attention, un coup comme celui-ci, pourrait précipiter la fin du combat vers une issue fort désagréable...

La brute sentant la situation lui échapper appela donc des renforts, mais ceux furent bien accueillis par notre ami embusqué, si tôt l'un des nouveaux arrivants à cette petite soirée s’écroula en un éclair sur le sol.

Mortis devait maintenant profiter du fait que les renforts (ou plutôt LE renfort) étaient encor loin pour "terminer" son interlocuteur : Il lança un coup de taille descendant, puis enchaina un coup d'estoc au niveau du foie, espérant que le ou les coups touchent.

[Althéa]

Cette fois, le coup porta et son adversaire vint s'empaler sur la dague. Mourant, il eut l'ultime réflexe de poignarder Mortis à la cuisse. Le coup non létal était cependant handicapant surtout en vue du nouveau combat qui s'annonçait. L'homme qui vint à sa rencontre maniait deux armes et avait l'air expert dans ce genre de combat.

Un autre carreau vola à ses oreilles mais contrairement à ses prédécesseurs, il parvint à l'esquiver sans sourciller.

[Mortis]

- Hurggh...

Mortis ravala un cri de douleur, serrant les dents, il repoussa violemment le corps de feu son adversaire et retira la dague de sa cuisse. Il ne s'attendait pas à un coup pareil... De rage il voulut fouler le cadavre du pied, mais il y avait plus important, maintenant il fallait faire face à quelqu'un de visiblement bien plus dangereux : LE renfort arrivait et n’était visiblement pas commode.

Même maintenant avec une dague dans chaque main, le barde ne faisait pas le fier. L'homme en face semblait bien plus efficace dans ce genre de combat que lui, de plus il avait un handicap sa cuisse le faisait souffrir et il perdait du sang, faire durer le combat n’était pas dans l’intérêt du barde... Il fallait trouver une solution !

Mortis eu une idée essayer de mettre son ennemi dos à son allié à l’arbalète. Il pourrait plus difficilement esquiver les coups et serait pris dans une sorte de tenaille, situation qui serait bien plus avantageuse... il se mit donc a tourner lentement veillant à garder une distance raisonnable et essayant de capter son intention :

- Hola messire, vous venez donner un spectacle de jonglage ? pfff... Petit joueur ! où est la troisième ?

Dit-il avec un petit sourire narquois...

[Althéa]

L'homme lui rendit son sourire narquois avant d'avancer sur lui. Il avait tout l'air d'être un combattant agile. Il donna deux coups de taille que Mortis parvint de justesse à éviter.

"Alors, on me résiste ?"

La voix venait de l'endroit où se trouvaient l'allié invisible. L'adversaire de Mortis ne se laissa pas destabiliser pour autant. Le barde quant à lui vit une femme sortir des ombres armée de deux épées courtes.

"Alors, c'est par ici qu'on s'amuse ?"

C'est ce moment que choisit un autre allié pour grossir les troupes de Floréal.

"J'imagine que je m'occupe de celui-là", suggéra l'inconnue.

[Mortis]

Décidément cet adversaire ne semblait pas vouloir se laisser faire, rien d’arrangeant pour notre ami le barde qui aurai préféré que celui ci soit un peut plus déstabiliser... Ensuite, Mortis eu la surprise de voir une femme sortir de l'ombre, il ne la connaissait pas mais devant le trait de celle-ci il ne pu s’empêcher de renchérir machinalement...

- Héhé ! Venez gente dame, rejoignez la bande, plus on est de fous plus on rit ! N'est-ce pas ?

Il reprit sa manœuvre de déstabilisation toujours avec le même sourire moqueur :

- Alors messire au pire on forme un petite troupe ? Un poète et un jongleur, il y a moyen d'attirer du monde non ?

A ce moment le Corbeau Rouge aurai aimé pouvoir prendre son envol pour éviter d'y laisser des plumes... mais il fallait tenir le coup.

Il préparait son coup, à la prochaine attaque de l'homme, il tenterait de lui placer un coup de dague dans le bras, il fallait l'handicaper, diminuer son potentiel offensif, car sur la durée Mortis n'avait pas l'avantage du point de vu rapport de force.

[Althéa]

Le coup porta. L'homme grimaça et manqua lâcher une de ses armes mais se reprit très vite. Il contre-attaqua, fendant l'air de ses deux lames à la fois. Les réflexes du barde lui permirent de ne pas laisser sa tête dans l'assaut.

Il put cependant constater qu'il avait sérieusement entaillé le bras de son adversaire et que le sang coulait jusqu'à son poignet.

"Pas mal", commenta son alliée en évitant un coup d'épée qui lui était destiné.

[Mortis]

Mortis lança une petite provocation à son adversaire :

- Navré ! Vous allez jongler beaucoup moins bien maintenant forcement !

Certes il ne fallait pas crier victoire trop tôt, mais cette entaille était une réelle avancée pour le barde : Il avait quelque peu réduit l’écart de force, il fallait continuer, ne pas relâcher la pression. Mortis enchaina donc sur un coup de dague en estoc sur le même bras, autant insister sur le coté affaibli de l'adversaire, mais tout en gardant son autre dague pour dévier un coup.

[Althéa]

Le coup porta de nouveau et arracha un cri de douleur à l'adversaire. Il sembla à Mortis que le sang sur le poignet coulait plus abondamment. Mais l'homme n'avait pas l'intention de se laisser tuer pour autant. Feintant d'un coté, il porta un coup au barde qui l'atteignit au flanc. L'entaille n'était pas profonde mais n'en fut pas moins douloureuse.

De son coté, l'inconnue échangeait des passes d'armes avec son adversaire.

"Floréal entraîne de mieux en mieux ses assassins j'ai l'impression.", souffla-t-elle.

[Mortis]

La fierté du barde fut plus blessée que sa chaire mais la douleur était là tout de même. Mortis serra les dents puis repris son petit sourire inquiétant :

- Faites attention à ne pas vous couper, un accident est si vite arrivé...

Dit-il à son assaillant, puis il entendant la réflexion de son alliée du moment, notre ami se dit que celle ci semblait bien connaitre la force des hommes de Floréal.

- Intéressant... Se dit Mortis intérieurement, Elle sera peut-être une bonne source d'information...

Il devait continuer, à "tailler le bout de gras" avec cet homme... il lança un coup de taille de gauche à droite pour ensuite porter arrivé à proximité de du torse adverse, un coup d'estoc...