The Witcher 3 : vos moments les plus marquants

[Kasumi]

The Witcher 3 - et ses extensions Hearts of Stone et Blood and Wine - aborde différents thèmes et ambiances pour former un tableau d'ensemble qui vous aura, je l'espère, marqué autant que moi.

Je n'ai pas encore tout à fait fini le jeu puisqu'il me reste à tester la seconde extension, riche de plein de nouvelles promesses mais avec le recul de quelques semaines/mois, je me rends compte que certains passages du jeu continuent de me marquer quand j'y repense.

Est-ce aussi votre cas ? Certains passages, qu'ils soient épiques, sombres, tristes, joyeux ou romantiques vous sont-ils resté en mémoire ? En bref, quels moments vous ont suffisamment parlé pour qu'ils restent pour vous des symboles de ce jeu ?

[Taliesin]

Deux moments me viennent spontanément à l'esprit. (Je ne mets rien en spoiler car, par définition, ce topic est à éviter pour ceux qui n'ont pas fini le jeu).

Le premier prend place durant la quête "Affaires de Famille", lors du rituel visant à transformer le Couvin en Sommeillard : j'ai trouvé la scène particulièrement touchante, notamment les mots que le Baron sanglant adresse à se fille mort-née. Cette scène explique en partie que je n'ai pas réussi à détester ce personnage, malgré les nombreux méfaits dont il est coupable, car on voit bien qu'il reste une part d'humanité en lui.

Le second intervient à la fin de "La bataille de Kaer Morhen" : il s'agit de la mort de Vesemir. Bien sûr, je me doutais que la victoire serait amère, mais je n'avais pas anticipé que ce serait le vieux sorceleur qui y laisserait la vie. Or, je l'aimais bien... De surcroit, son trépas signifie aussi celui de Kaer Morhen qui, quoiqu'il s'y soit passé moult événements terribles, n'en restait pas moins le seul foyer de Geralt. Bref, j'ai trouvé le passage (la mort elle-même et ce qui s'en suit) très triste.

En fouillant dans mes souvenirs, je trouverais sans doute d'autres moments marquants. Mais voilà donc les deux qui me sont venus d'emblée à l'esprit.

[Mornagest]

Outre ces deux bons exemples qui m'ont également bien marqué, j'ai été bien ému aussi par le sort réservé à Skjall, le garçon qui a aidé Ciri durant son bref passage à Lofoten, alors qu'elle fuit la Chasse Sauvage. C'est un héros qui a fini comme un paria...