Raison d'état : votre choix ?

[Kasumi]

Pour une soluce, c'est icique ça se passe !

La quête secondaire "Raison d'état", vous permet de vous montrer - ou non - fidèle à votre réputation de tueur de roi. Cette fois, c'est Radovid le fou qui sera votre cible et celles de vos co-conspirateurs.

Vous avez la possibilité de ne pas la faire pour ne pas vous mêler de ces histoires politiques ou, si vous allez au bout, de soutenir Dijkstra et son ambition d'unifier le nord contre l'empire de Nilfgaard ou les partisans de Temeria souhaitant voir restaurée leur patrie.

Dès lors, quel a été votre choix au sujet de cette quête ? Pourquoi vous êtes-vous décidé pour cette voie et êtes-vous satisfait des conséquences qu'il a eu lors de l'épilogue ?

[Galathée]

J'ai tué Dijkstra. Politiquement, j'aurais bien soutenu ses envies de persévérer dans la lutte, mais pas au point d'assassiner Roche, Cyn et Talar. Donc fatalement, je ne suis pas ravie des retombées... j'aurais préféré qu'Emhyr l'ait moins facile (ou bien l'assassiner lui en plus de Radovid... On a quand même tant d'opportunités o !).

[missElder]

J'ai accepté la proposition de Djikstra pour se débarrasser de Radovid, même si mon Geralt était fatigué de s'être autant mêlé de politique précédemment (coucou TW2) (d'ailleurs, le succès associé s'appelle "Assassin of Kings", héhé), parce que Radovid est devenu extrêmement dangereux et que ses massacres sans précédent ouvrent une période de terreur à laquelle il fallait, si possible, mettre fin. Sans illusions sur le traitement futur des non-humains (d'ailleurs, les Scoiat'ael étaient un des grands absents de ce jeu et j'aurais bien aimé en voir plus, vu leur implication avec le Nilfgaard dans la précédente guerre), ni même sur ce que feront les magiciens, mais enfin, Radovid est fou, et il suffit de récupérer Margarita Laux-Antille dans ses geôles pour se convaincre qu'il est intenable.

En revanche, j'aurais bien aimé pouvoir laisser Djikstra mener sa politique à bien, c'est un personnage que j'aime bien et que je trouve intéressant. Mais vu que ça implique de le regarder sans sourciller massacrer nos amis témériens, c'était quelque peu impossible, ou du moins totalement incohérent, alors j'ai refusé et j'ai dû le tuer ... Dommage.

[Mornagest]

Ceci dit, il est précisé, dans son entrée du journal, qu'il a failli mourir lors de l'affrontement. On peut supposer qu'il a pu s'en sortir d'une manière ou d'une autre...

Dijkstra est un personnage typique du jeu, avec une ambivalence quasiment constante, et qui attire cependant une certaine sympathie. La réciproque est d'ailleurs vrai : "je devrais te faire étrangler, mon salaud, mais je t'aime bien"...

Pour cette quête, j'ai décidé d'occire Radovid. Incohérent, dangereux et impitoyable, il n'a pas grand-chose pour se rattraper.

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Quelle influence cette quête a-t-elle sur l'épilogue ? La guerre se poursuit si l'on ne tue pas Radovid ?

[missElder]

A vrai dire, dans la mesure où le jeu est ensuite terminé et où Djikstra n'a plus aucun moyen d'intervenir politiquement, peu m'importe qu'il soit réellement mort ou non, le fait est qu'il ne peut pas mener à bien ce qu'il prévoyait, et ça m'embête un peu, parce que franchement, je l'aurais bien vu sur le trône de la Rédanie ... Mais pas au prix de l'assassinat sous mes yeux de plusieurs des amis de Geralt.

Pour ta question,

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oui, la guerre se poursuit ! Dès lors que le Nord a un grand leader, que ce soit Radovid, ou Djikstra d'ailleurs, le Nilfgaard est finalement repoussé. Si c'est Radovid, s'ensuit une énorme chasse aux sorcières sans précédent à grande échelle. Si c'est Djikstra, je crois qu'il se lance dans l'industrie à grande échelle, quelque chose comme ça. Et du coup, Emhyr est assassiné par ses opposants, qui profitent de sa baisse de popularité suite à ses défaites. (Il n'en va pas de même si Ciri est impératrice, évidemment). Bref, ces deux quêtes ont une énorme influence sur la fin du jeu ...

[Althéa]

J'ai tué Radovid et aidé Roche. Il a toujours été là pour donner un coup de main. Je pense qu'un petit retour d’ascenseur s'imposait à ce moment là.