[SPOILER] Quête : Seigneur dÂ’une terre stérile – dilemme

[Kasumi]

Une des quêtes secondaire les plus importantes à laquelle vous êtes rapidement confronté dans le jeu : vous pouvez vite juger des méthodes du seigneur local, Raedric, que je juge pour le moins expéditives.

Vous allez donc avoir la possibilité d’aider les rebelles et notamment Kolsc à le renverser. Vous êtes donc à nouveau placé devant un choix cornélien : aidez-vous le seigneur en place ou les rebelles ? Choisissez-vous de vous infiltrer discrètement pour aller l’assassiner ? Préférez-vous foncer dans le tas et éliminer gardes et prêtres ? Privilégiez-vous la voie de la diplomatie ? Vous êtes-vous ravisé au moment de faire votre choix final ?

Bref, quelles ont été vos décisions et votre approche de cette quête et pour quelles conséquences ?

[Lothringen]

J'ai d'abord voulu m'infiltrer, mais impossible d'ouvrir la grille ; je n'ai donc eu d'autre choix que de foncer dans le tas, ce qui n'était pas très difficile car j'ai fait cette quête tardivement. Face à Raedric, je l'ai laissé parler, mais il ne m'a pas convaincue de l'intérêt de se rallier à lui. J'ai donc achevé ma boucherie.

Conséquences :

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Quelques zolis items sur les cadavres.
Le cousin ambitieux a pris le pouvoir, mais c'est toujours mieux qu'un seigneur fou ?
La rumeur de l'assassinat de Raedric s'est répandue, mais sans autre conséquence pour moi.
J'ai la réputation d'héroïne à la Vallée Dorée.
Quand on revient au village, l'arbre des pendus a été allégé de ses locataires, et ça, ça fait du bien.

[Shadhanzar]

Zigouiller Raedric réserve une petite surprise ceci dit pour ceux qui arrive vers la fin du jeu !
Dans ma deuxième partie je le laisse vivant pour voir l’évolution.

[Kasumi]

Zigouiller Raedric réserve une petite surprise ceci dit pour ceux qui arrive vers la fin du jeu !
Dans ma deuxième partie je le laisse vivant pour voir l’évolution.

Ah ? C'est justement le choix que j'ai fait ! N'hésite pas à préciser ce qu'est cette surprise : le sujet est un spoiler après tout !

[Mornagest]

Hum... j'ai tenté l'infiltration, qui n'a pas trop mal marché, mais j'ai rencontré certaines personnes dans le désordre par rapport à ce que j'aurais dû faire... et notamment j'ai délivré le prisonnier dans les sous-sols un peu tard.

Bref, en arrivant devant le seigneur, j'ai fini par accepter le fait que c'était le moins pire... et que Kolsc m'avait lâchement envoyé au casse-pipes à sa place. J'ai donc affronté ce dernier après l'avoir débusqué...

J'ai tout de même conservé une bonne réputation à la Vallée Dorée.

[Anios]

Ah ? C'est justement le choix que j'ai fait ! N'hésite pas à préciser ce qu'est cette surprise : le sujet est un spoiler après tout !

J'ai moi aussi zigouillé Raedric ; pas convaincu qu'il était meilleur que Kolsc. Et puis bon, j'avais déjà laminer tous ses gardes, j'allais pas laisser 4 gueux vivants ! (quoi ? mais si mais si, j'suis d'alignement bon....)

La "surprise" c'est qu'un NPC se trouvant à la taverne des Ormes nous demande de nous rendre au chateau pour confronter Raedric qui est revenu d'entre les morts pour se venger !
Je ne sais pas si on peut lui faire entendre raison ou si cela peut débloquer des situations plus intéressante, mais du coup il a taté de ma lame une dernière fois.

(je suppose qu'il existe une possibilité de ne PAS aller au duel et de laisser la chatelerie aux mains de Raedric, car lorsque l'on finit le jeu il est fait mention de notre duel contre Raedric réssucité)

[Shadhanzar]

ah oui, j'avais pas pensé à la possibilité de ne pas lui mettre sa branlée une deuxième fois.
Bon, ce sera pour une autre partie, ça doit avoir une répercutions sur l’épilogue !

[Zdwarf]

Mon aristocrate aedyrien fut touché par la situation du Val Doré dès son arrivée mais s'est immédiatement méfié de Kolsc, qui a tout de l'agitateur démagogue et n'a aucune prétention légitime à voler le trône d'une lignée depuis longtemps installée dans la région (option de dialogue débloquée selon l'origine que l'on a choisie). Cependant Kolsc est bien le seul à sembler faire quelque chose dans toute cette folie donc j'ai marché dans sa combine pour en savoir plus.

Je me suis infiltré en toute discrétion par les cachots du château de Raedric, y ai libéré l'homme de Kolsc captif, ai tué l'animancienne - un peu rétif aux nouvelletés et n'apprécie pas la manipulation de cadavres, je venais en plus de libérer le pauvre garçon juste avant et d'entendre ce qu'elle avait fait aux prisonniers... -, me suis infiltré parmi les prêtres, ai parlé avec celui que Kolsc m'a recommandé, qui exprime immédiatement ses doutes sur la valeur de mon commanditaire, et me permet d'aller parler directement au thayn sans autre bain de sang (je n'aurai donc tué au final qu'une poignée de gardes, l'animancienne et toutes ses abominations, et c'est tout.)

Raedric me paraît être un beau fanatique mais n'a rien d'un fou. Il est sanguinaire mais la situation appelle des mesures extrêmes et il ne perd jamais de vue les intérêts de ses gens et de sa lignée. Devoir et principes avant tout, c'est comme cela qu'on doit gouverner, bien qu'il soit à bout.
Le respect de l'ordre de mon personnage l'emporte sur sa compassion pour les purges et apprendre que Kolsc est un membre de la famille qui intrigue depuis toujours achève de me mettre en rogne. Reconnaissant mon sens de l'honneur et la façon propre dont je suis parvenu jusqu'à lui, Raedric me propose une alliance.
Kolsc est un idéaliste et un fauteur de troubles, s'il affiche un bon fond il semble en plus s'être entouré de n'importe qui et peu se soucier de la vie de ses hommes, tout le monde me l'a présenté comme un avide de pouvoir immature et incapable d'exercer la fonction qu'il brigue.

Un peu plus tard dans la nuit je trouve Kolsc terré dans une chaumière abandonnée avec des brigands... Le gamin que j'ai libéré est là, je lui intime l'ordre de quitter l'endroit sans poser de questions dans son intérêt et il finit par m'obéir. Une fois l'innocent épargné, je nettoie la place.

Raedric est heureux et me récompense avec l'épée familiale, qui se manie à deux mains et inflige un bonus de dégâts contondants (en plus des dégâts tranchants et perforants qu'elle donne par nature).
Ça tombe bien, ce sont celles que j'utilise (combattant de niveau 4).

Les habitants du Val sont marqués par la perte de leur Robin des Bois et ne voient plus en moi un héros mais me considèrent toujours comme un ami, ayant souvenir de tout ce que j'ai fait par ailleurs pour les soulager. Raedric promet aussi de me recommander à la Baie du Défi, je verrai bien une fois là-bas s'il y est influent.

J'aime bien ce genre de quête.

[Althéa]

Je n'avais pas vu qu'on pouvait s'infiltrer donc j'ai foncé dans le tas. C'est mon coté un peu Rambo. Au bout de plusieurs fois, c'est passé. Je suis donc entrée par la forteresse par la porte.
Au vu de ce qu'on disait de lui, de sa cruauté, je l'ai détesté d'emblée. Donc je n'ai pas été gênée d'aller lui casser la figure et plus encore après ce qu'il dit à propos de sa femme et de son fils. Par contre, je me suis demandée après coup si j'ai bien fait de laisser Kolsc prendre la place sur le trône alors qu'il n'a pas l'air de valoir mieux que lui. Peut-être que je reviendrai plus tard lui faire une petite visite.

[Luren]

J'ai cheminé un peu à la manière de Zdwarf, mais je n'ai pas fait le même choix. Je suis passé par les hauteurs en grimpant le mur. Là j'ai bien été obligé de me faire un passage, mais sans trop de combats tout compte fait. J'ai eu l'idée de m'habiller en discipline truc machin pour voir si ça marchait et j'ai eu le plaisir de voir que oui. Un bon point pour le jeu !. J'ai donc pu aller parler avec le grand prêtre sans massacrer tout le monde et descendre ensuite dans les cachots libérer le prisonnier. J'y ai croisé l'animancienne qui ne m'a pas vraiment convaincu avec ses manipulations de cadavres... donc exit pour elle.
En trifouillant dans les cryptes, puis dans le donjon, et en évitant les affrontements je suis arrivé dans la salle du trône sans tuer personne (au final, les gardes qui se trouvaient sur les hauteurs, et ceux se trouvant dans les cryptes) - mais faut dire que mon niveau 3 m'incitait à la discrétion.
En écoutant la version des faits de Raedric, et en prenant aussi un peu en compte qu'à ce moment du jeu mon équipe se limitait à 3 persos, d'un niveau pas vraiment impressionnant, je me suis dit que la diplomatie, le dialogue, la discussion étaient de bonnes choses. Et j'ai eu envie d'avoir la version de son opposant, Kolsc, que je suis donc allé dénicher dans sa chaumière. Il ne m'a pas vraiment convaincu, mais il m'a paru moins pire que Raedric (l'arbre au pendu de la Vallée-Doré, j'avais pas trop aimé)

J'ai mis la quête en pose le temps de "réfléchir" un peu, entre l'alliance que m'a proposé Raedric et l'aide que me demande Kolsc. Le temps aussi de revenir avec d'autres arguments que 3 guignols niv.3; soit 6 (moins guignols), niv.6 (c'est d'ailleurs tout le problème de ces jeux : plus on monte en niveau, et moins on est porté à la réflexion)
Finalement j'ai opté pour le changement, en me disant que Raedric ne semblait pas disposé à faire évoluer la situation en bien et que Kolsc pourrait difficilement faire plus mal que son prédécesseur.
Donc exit Raedric, et merci pour son épée à deux main qui, malgré que je n'utilise pas trop ce genre d'arme, a l'air quand même sympa.

[Duramen]

J'ai tenté la forteresse quasiment à la fin du jeu... Même un Pets à ce niveau pourrait dévorer l’ensemble des soldats. Pour le fun, je suis quand même monté par les lierres en mode espion mais finalement j'ai génocidé tout le Château. J'ai bien évidemment tué Raedric pour le condamner de ses actes. Je ne suis pas déçu: un joli revenant est à affronter peu de temps après.

Reste à savoir si la récompense pour le maintien en vie de Raedic (une épée à deux mains d'après ce que j'ai compris? Peut être que Zdwarf pourrait nous en dire plus sur ses capacités) est plus intéressante que la récompense que l'on obtient en tuant Raedric + Raedric zombie. A savoir au moins une xp de 34 000 / 36 000 et quelques babioles pour le retour de Raedric (de souvenir).

Pour la seconde partie, je testerais de me déguiser.

[Duramen]

Sur une enième partie, j'ai testé la solution de tuer Kolsc pour le compte de Raedric. J'ai effectivement une épée mais qui est identique à celle que l'on trouve sur le cadavre de Raedric si on le tue.
Pour le fun, j'ai provoqué ensuite en duel la fine équipe royale...

Résultat: j'ai deux épées uniques identiques (donc pas si unique que ça..), la seconde étant récupérée sur le cadavre du roi. Reste à savoir si on me proposera plus tard de venir tuer Raedric VIII. A noter que mon journal mentionne le fait que je ne laisse aucun héritier au trône.

[Galathée]

Enfin une quête qui a tenu compte du background de mon PJ

J'ai massacré la moitié du château, à cause d'un problème d'orientation spatiale, qui a fait que je n'ai absolument pas trouvé le passage secret qui devait me mener directement à la salle du trône. Je pense que j'aurais sans doute pu mettre les costumes d'adeptes de Berath, aussi, pour me déguiser, mais ils ont filé dans ma réserve avant que je puisse y réfléchir (faut dire que j'avais tenté le coup avec les capuches de je-ne-sais-plus quelle secte près de Dyrford, et ça n'avait pas du tout marché) (ils ont repéré les cornes de mon PJ, je suppose).
Mais donc, là, Raedric me balance son blabla, je commence à me dire : encore un dilemme gris de gris (il n'y a que ça, dans ce jeu, il faut bien le dire), qu'est-ce que je vais bien pouvoir décider, Raedric ou Kolsc, Kolsc ou Raedric... Et puis voilà que ce foutu gars m'explique qu'il a tué sa femme parce qu'elle vénérait Lathandre Eothas et il en remet une couche ! Autant dire que ça n'est pas très bien passé auprès de mon prêtre d'Eothas o

Mais j'étais contente, qu'il y ait une réplique liée au background du PJ... Enfin, si ça se trouve, elle est disponible pour tout le monde, quelle que soit la classe de personnage...

[Taliesin]

Concernant la méthode, j'ai privilégié une approche discrète. Je me suis faufilé par le passage à l'est des douves avant de nettoyer les caves des morts-vivants qui les infestaient (ainsi que de l'animancienne qui les avait créés) et de libérer Giacco, le dernier prisonnier encore en vie. J'ai ensuite testé les différentes issues montant dans les étages, pour trouver le passage le plus dégagé, et envoyé mon compagnon le plus discret pour faire du repérage : il a fini par trouver des robes de prêtres de Berath dont j'ai équipé l'ensemble de mon groupe. Je me suis alors mis en quête de Nedmar, le vieux prêtre dont m'avait parlé Kolsk, et même si j'ai été abordé à deux reprises par des PNJ s'étonnant de mes agissements, j'ai réussi à m'en tirer grâce à des options de dialogue liées à l'intelligence. Enfin, j'ai trouvé Nedmar qui, puisque j'avais libéré Giacco, a accepté de m'aider, me confiant une clef et m'indiquant un itinéraire sûr pour atteindre Raedric. Au total, hormis Osrya et les morts-vivants du sous-sol, je n'ai eu à tuer personne avant d'arriver à la salle du trône, et j'ai apprécié que ce soit possible.

Quant à mon choix... J'ai décidé de tuer Raedric. Certes, il cherche vraiment à briser la malédiction qui s'est abattue sur ses terres et cela, de même que certaines de ses réactions, montre qu''il n'est pas totalement mauvais. Mais c'est aussi un fanatique qui a fait sienne la maxime "la fin justifie les moyens" au point d'en arriver à d'injustifiables extrémités : même s'il parvenait finalement à éradiquer le fléau avec pareilles méthodes (ce dont je doute fortement), cela ne servirait pas à grand chose puisqu'il n'y aurait plus âme qui vive en son domaine. A ce niveau, le fait qu'il vienne s'assassiner son épouse simplement parce qu'elle tentait de trouver du réconfort dans un autre dieu, et malgré son amour pour elle, cela a achevé de me convaincre qu'il avait franchi le point de non-retour. Bref, même si je ne savais pas grand chose de Kolsk, je me suis dit qu'il ne pourrait pas faire pire que son cousin...

@Galathée : non non, la réplique que tu as choisie est bien réservée aux adeptes d'Eothas. Pour moi, elle apparaissait en rouge et indiquait que je ne remplissais pas les conditions pour l'utiliser.

[missElder]

Je ne me sentais pas trop de foncer dans le tas, d'abord parce que je n'étais pas là pour faire un nouveau massacre dans une région qui en a déjà trop connu, et puis aussi parce qu'Aloth m'a dit en arrivant "Vous ne comptez quand même pas y aller de front, si ?", et que je me suis dit qu'il n'avait pas tort, pour notre santé à tous

Petite exploration de la carte, hop, la bouche d'égouts. J'avais mon pied de biche avec moi, et c'est parti. Du coup, j'ai croisé l'animancienne en premier, que j'ai baratinée en lui faisant croire que je venais de la part de Raedric : ainsi, pas de combat, et j'en apprends plus sur ce qui se passe ici. J'ai ensuite croisé le prisonnier, Giaco, que j'ai libéré. Là-dessus, je monte à l'étage, puis encore à l'étage dans le sanctuaire, et j'ai enfilé les robes : heureusement que j'ai pas mal d'intelligence, parce que j'ai dû passer deux tests pour convaincre un prêtre et un templier que si, si, j'étais bien une des leurs.

Ensuite, Raedric, eh bien, effectivement il n'était pas ce à quoi je m'attendais, et nous sommes bien d'accord que Kolsc est un peu louche et trop beau pour être vrai. Mais enfin, ce type, face à une situation de crise et d'urgence, a choisi de persécuter puis tuer tout le monde, au point où il en vient même à tuer sa propre femme. Je veux bien que la situation soit sans précédent, que l'Héritage soit une horreur sans nom, que tout le monde pète les plombs et qu'il veuille faire son devoir, mais enfin, la fin ne justifie pas tous les moyens. Même si, quelque part, il est fidèle à lui-même et à sa tâche dans le principe, puisqu'il fait tout pour tenter de comprendre l'Héritage et de guérir ce fléau, il n'empêche que même s'il réussit, ça nous fera une belle jambe quand tous ses sujets seront morts ! Kolsc, s'il ne fera peut-être pas grand-chose à part prier et être trop immature pour gouverner, évitera au moins de tuer à tour de bras et pendre tout ce qui bouge.

J'ai longuement hésité, à vrai dire, parce que je comprenais tout à fait le mélange de désespoir et de résolution de Raedric. Mais il est parti trop loin pour être sauvé, avec son fanatisme sanguinaire. J'aurais bien aimé qu'on ait une autre solution que de tuer l'un ou l'autre, et qu'on puisse les raisonner, mais en dernier recours, j'ai tué Raedric. (Et ce combat n'est pas de la tarte)

[ZOLTAN]

Je ne me sentais pas trop de foncer dans le tas, d'abord parce que je n'étais pas là pour faire un nouveau massacre dans une région qui en a déjà trop connu, et puis aussi parce qu'Aloth m'a dit en arrivant "Vous ne comptez quand même pas y aller de front, si ?", et que je me suis dit qu'il n'avait pas tort, pour notre santé à tous

Petite exploration de la carte, hop, la bouche d'égouts. J'avais mon pied de biche avec moi, et c'est parti. Du coup, j'ai croisé l'animancienne en premier, que j'ai baratinée en lui faisant croire que je venais de la part de Raedric : ainsi, pas de combat, et j'en apprends plus sur ce qui se passe ici. J'ai ensuite croisé le prisonnier, Giaco, que j'ai libéré. Là-dessus, je monte à l'étage, puis encore à l'étage dans le sanctuaire, et j'ai enfilé les robes : heureusement que j'ai pas mal d'intelligence, parce que j'ai dû passer deux tests pour convaincre un prêtre et un templier que si, si, j'étais bien une des leurs.

J'avais déjà essayé des méthodes ressemblantes à celles citées précédemment pour rester discret, mais celle ci (avec les robes) jamais. C'est bien vu.

missElder ...
"J'ai longuement hésité, à vrai dire, parce que je comprenais tout à fait le mélange de désespoir et de résolution de Raedric. Mais il est parti trop loin pour être sauvé, avec son fanatisme sanguinaire. J'aurais bien aimé qu'on ait une autre solution que de tuer l'un ou l'autre, et qu'on puisse les raisonner, mais en dernier recours, j'ai tué Raedric. (Et ce combat n'est pas de la tarte)" fin de citation

Pas de regrets, il devient dingue, et toutes sortes de négociations pour une issue pacifique échouent. J'ai fait plusieurs essais avec une bonne détermination, et il part en sucette.
A la fin j'entrais par la porte principale comme un gros bourrin (ça soulage) et peut se justifier par l'honnêteté de ton personnage. Après tout Aloth n'est pas une référence absolue comme conseiller (il est pas tout seul dans sa tête!) et les autres méthodes sont très sournoises, surtout si on joue un palatin.