[Lieu] Embarcadère-Débarcadère

[Kyrone]

(HRP:Je suppose que la capitaine du grand fort a fait un document plus ou moins officiel a Kyrone histoire qu'il puisse prouver que ce n'est ni un espion ni un mercenaire Mélandien. )

Kyrone s'arrêta net et son puissant félin également,s'asseyant juste sur la gauche de son compagnon humanoide,C'est alors que Kyrone se mit a parler au garde tandis que rapidement toute une petite escouade de gardes venant au pas de gymnastique ayant remarquer le duo.

"Je suis Kyrone du Thétyr et voici mon compagnon félin Neige du matin,Nous venons tous les deux de Lumenis pour enquêter sur une série de morts aussi mystérieuse que brutale,Les victimes se désséchant en très peu de temps,De ce que la garde de la cité de Lumenis ainsi que la capitaine Isolda Martel et son aide de camp ont pu me dévoiler,Cette cité est également fortement touchée tout comme la Dénommée Melandis,En somme je suis venu aider les vôtres dans cette sinistre affaire.."

Répond L'elfe noir avec un accent venant effectivement des terres de l'intrigue,Toujours est t'il qu'il semble supporter sans mal les rayons du soleil et qu'il ne se cache pas...peut-être pour montrer sa bonne volonté...

[Mortis]

(HRP Oui tu as une sorte de "lettre de recommandation" j'avais prévu de détailler ça un peu plus, mais bon j'ai du mettre un coup de boost )

- Il est heureux que vous connaissiez le commun, il aurai été difficile de trouver quelqu'un parlant le drow ou le commun d'Ombreterre. Cela va faciliter le choses :
Avez vous un document quelconque prouvant vos dires ?

Il posa son regard sur le tigre

- Ensuite pour information, sachez que les animaux dangereux ne sont pas autorisés en ville.

Puis à nouveau sur le rôdeur

- En parlant de dangerosité si vous avez des armes veuillez les déclarer immédiatement, les armes à vue ne sont autorisées qu'aux membres du guet et de aux officiels, si vous en possédez vous devrez les laisser dans un sac ou mieux au fond d'un coffre durant votre séjour.

[Kyrone]

"Oui j'ai une lêttre de la capitaine de la garde de Lumenis que voici...*Fouille dans sa besace et donne un ordre de mission cacheté d'un sceau officiel au garde.*Du reste,j'ai en ma possétion deux épées longues,un arc long et un carquois plein...Du reste pour mon compagnon félin,Je compte le faire sortir de la cité évidamment,Il n'est pas du genre a aimer les cités,Et peu de citadins apprécient la présence de félins comme mon compagnon..."

Répond Kyrone tout en donnant la lettre au soldat et attend patiemment.

[Mortis]

Le douanier se saisi du document, l'ouvrit et en lit silencieusement le contenu.

Après quelques instant il replia la lettre et la tendit à Kyrone.

- C'est bon. Cela correspond à vos dire, vous êtes donc libre. Partez vers la porte de la ville pour y déposer votre fauve puis une fois ceci fait allez au Fort de la Citadelle de la Lame d'Argent et demandez le lieutenant Arkan, c'est lui qui est en charge de l'affaire. Passez un agréable séjour dans notre cité, conformez vous à nos lois et tout se passera bien.

Ceci fait il prit un carnet et se mit à prendre des notes, puis avança vers la Carpe Rugissante, sans doute pour continuer son travail.

En tous cas le jeune rôdeur savait où aller pour la suite de sa mission...

[Hurleuse]

C'est avec bonheur et soulagement qu'après plusieurs semaines de navigation Helja Croûtenfer posa enfin le pied sur la terre ferme. Il faut bien comprendre que pour un nain, quitter la terre ferme, même temporairement, c'était aussi facile que de faire faire un voyage aéronautique Lunargent-Padhiver à une marmite en fonte. C'était même pire, parce qu'avec la bonne ingénierie gnome ou les bons sorts, la marmite pourrait probablement faire le trajet en volant et en un temps raisonnable. Tout ça pour dire qu'Helja, après quelques semaines de nausée et de panique à chaque grincement ou coup de vent un peu fort, était plus que ravie d'arriver enfin à... elle fronça les sourcils, remit de l'ordre dans sa barbe un peu ébouriffée et tira sur la manche d'un marin tout proche.

"Où qu'on est déjà ?" Demanda-t-elle en désignant du menton l'ensemble du port. Le pauvre homme, fort surpris d'entendre une voix fluette sortir d'autant de pilosité naine, se racla la gorge et répondit, tout de perplexité pétri:
"Manost, mon... madame."
Helja hocha la tête et le lâcha avant d'avancer un peu sur les quais. Si on omettait l'air marin qui lui rappelait une mauvaise (et très proche) période de sa vie, l'endroit semblait intéressant et prometteur. Avec un large sourire, la naine se mit en route. "En route pour l'aventure !" clama-t-elle, fichant la trouille à quelques mouettes qui s'envolèrent.

Trois mètres plus loin, elle se stoppa nette, ayant la confuse impression qu'elle n'avait aucune idée de par où l'aventure (et l'auberge la plus proche) se trouvait. Avisant un passant elle se mit à trotter derrière-lui en l'interpellant :
"'Scusez-moi, j'viens de débarquer. Où qu'on peut se poser et avoir une bonne bière ici ?!"

[Althéa]

Le pauvre homme épouvanté avait accéléré le pas, espérant mettre de la distance entre lui et l'individue barbue et féminine qui le suivait et l'apostrophait sans vergogne. Heureusement pour lui - malheureusement pour elle - trois gardes se tenaient en faction devant l'embarcadère. Ils ne manquèrent pas de remarquer la jeune naine et l'interpellèrent presque aussitôt et lui bloquèrent le passage entre elle et la bière dont elle rêvait.

"Veuillez décliner votre nom et la raison de votre venue à Manost, s'il-vous-plaît.", lui demanda un humain portant l'uniforme manostien.

[Hurleuse]

Helja se stoppa net (moins les quelques centimètres nécessaires à un freinage parfait compte tenu de sa vitesse de pointe) en entendant les gardes l'interpeller. Elle fit son plus beau sourire aux autorités locales, si leur uniforme rutilant était la bonne indication. Se tenant le plus droite possible, elle déclina joyeusement son identité :
"Helja Croûtenfer, du clan Croûtenfer de la citadelle d'Adbar, boulangère de guerre et actuellement mercenaire sans emploi. J'viens d'poser l'pied chez vous suite à mon voyage, qui, par la barbe de ma grand-mère, et elle a une très belle barbe malgré son âge, a été épouvantable, et j'viens ici pour chercher l'aventure, et aussi, si vous pouviez m'dire où est la bière ?"

Elle avait prononcé sa tirade sans avoir apparemment repris son souffle, ce qui, compte tenu de son coffre n'était pas si étonnant que ça.

[Althéa]

Le garde à coté de l'autre eut une grimace et demanda à l'autre.

"Mais la barbe pour une femme ... Est-ce que vous êtes sur que c'est vraiment réglementaire ? C'est tout de même une extravagance capillaire, non ? Imaginez si toutes les femmes se mettent à adopter cette mode là ..."

Son collègue eut l'air de peser le pour et le contre avant de se saisir d'un registre. Il tourna de nombreuses pages avant de s'arrêter sur l'une d'elle qu'il parcourut brièvement avant de déclarer.

"La barbe des naines constitue une exception culturelle. Mais la Bienveillance culturelle a ajouté qu'il fallait que celles des femmes soient tressées pour permettre la différenciation. Regardez, c'est écrit ici."

Et il tourna l'ouvrage vers Helja qui put voir une succession de petits caractères rajoutés au fur et à mesure par des plumes différentes. Visiblement, le dossier nain semblait être dense et épineux.

[Hurleuse]

Helja fronça le nez, qu'elle avait fort joli, qu'on se le dise (du moins selon les standards nains), et tenta de déchiffrer le livre. Il y était question d'une réglementation sur les barbes des naines, leur longueur, leur tressage et, ajouté en tout petit une note dans une marge demandant si les naines existaient vraiment au bout du compte. Elle cligna des yeux et releva le nez vers les deux gardes.

"Bon d'la, bien sûre qu'on existe nous aut' les naines, c'est juste que l'plus souvent, quand on s'balade, on laisse not' barbe au vent, ça évite les importuns si on nous prend pour des nains. Quoiqu'j'ai été embêtée sur la route de Luskan une fois, mais ils z'en voulaient pas à mon honneur, z'en voulaient à mes sous. J'crois qu'ils courent toujours après qu'j'ai écrasé le pied du plus proche avec mon marteau..." Pendant quelques secondes, elle eut les yeux dans le vague, un léger sourire aux lèvres, comme si elle se souvenait d'un moment particulièrement agréable. Elle gloussa avant de reporter son attention sur les deux gardes.

"Bref ! Ma barbe elle est tressée d'jà," dit-elle en montrant les deux larges tresses qui agrémentaient ses côtés. Au centre, cependant, l'abondante barbe rousse était rassemblée par un large anneau d'argent gravé d'élégantes runes naines et foisonnait joyeusement sur le torse bombée de la jeune naine. "C'pas assez réglementaires messieurs ? Si y'a des coutumes différentes par chez vous, chuis toujours intéressées, faut juste m'expliquer !"

[Althéa]

Les deux gardes rougirent jusqu'aux oreilles comme si la naine venait d'exhiber sa poitrine de façon non réglementaire. Puis le plus vif des deux toussota poliment avant de se décider.

"Moi, ça me semble très réglementaire comme tressage. Après, il n'y a pas de schéma explicatif qui pourrait l'attester mais tant pis. Il faut bien prendre une décision. Pour le reste, on peut dire que vous tombez bien. J'ai entendu dire que le boulanger et ses fils de la rue des Chapeliers étaient tous morts à la guerre. Il reste sa femme qui doit avoir du pain sur la planche, sans mauvais jeu de mot ..."

Son subordonné le considéra avec méfiance et ajouta.

"Par contre, pas de marteau en ville. Vous risquez de faire peur aux gens"

[Hurleuse]

Helja se fendit d'un large sourire en entendant parler de la boulangerie :
"J'espère qu'z'avez des spécialités intéressantes dans l'coin ! Mais, si j'vous laisse mon marteau, qui va l'surveiller, et où qu'je l'retrouve si j'en ai b'soin. C'est qu'c'est un cadeau d'mon p'pa, il est précieux voyez ?" Elle passa une main hésitante sur le manche en bois de son marteau, un air de chiot qu'on aurait abandonné sous la pluie après lui avoir filé un coup de pied au fondement et annoncé que le grand jardin dans le ciel n'était qu'un mythe sur le visage. Elle leva de grands yeux tristes vers les deux gardes, puis tendit son marteau avec un gros soupir.

"Faites z'y attention hein, il est fragile." La chose pesant bien son poids, le garde qui l'attrapa se demanda comment elle pouvait être fragile. "Et pour la bière, j'vais par où messieurs de la garde ?"

[Althéa]

Le garde qui avait "reçu" le marteau lança à son collègue un regard paniqué. Le pauvre était novice. Suite à la vague d'empoisonnements et les incendies criminels, Manost s'était subitement réveillée apeurée. Pour faire face à cette insécurité, on avait embauché des gardes que l'on avait formé à la va-vite. Revenu presque entier de la guerre, il avait sauté sur l'occasion de trouver un emploi facilement. Mais rien ne l'avait préparé à cette rencontre là. Heureusement, son collègue était plus expérimenté que lui. Celui-ci eut tôt fait de redresser - si l'on pouvait - la situation.

"Vous pouvez circuler avec jusqu'à ce que vous trouviez un endroit où le ranger. Tout cela bien sur à condition de ne pas le sortir, le brandir et encore moins de charger des gens en hurlant. Dans ce cas, nous serions obligés de vous le confisquer. Maintenant ... Si vous voulez bien lui rendre ... Voilà ... Et pour ce qui est de la bière, nous vous rappelons que nous ne tolérons pas l'état d'ivresse en dehors des tavernes. Mais vous pouvez trouver ce que vous cherchez au Loyal Paladin."

[Hurleuse]

Le visage d'Helja se fronça pendant qu'elle mémorisait les moultes interdictions se rapportant à son marteau. La majorité étaient tout à fait normales dans le monde de communication nain, mais elle se souvint que sa Mémé Brynn communiquait aussi beaucoup avec son rouleau à pâtisserie. Peut-être que les règles concernant ces derniers étaient plus souples que celles sur les marteaux ou les barbes naines. Elle se garda de le demander toutefois, pressentant que l'air paniqué d'un des gardes était le signe qu'elle commençait sérieusement à leur courir sur le râble.

Avec un sourire, elle récupéra son marteau qu'elle sécurisa de nouveau sur son dos et hocha la tête.
"Merci pour l'renseignements messieurs les gens d'armes. J'vous promet de pas ébriéter sur la voie publique. Juste, c'est par où le Paladin ?"

[Althéa]

Hrp : muhahaha, le rouleau

Le plus impressionnable des deux gardes dissimula avec peine un soupir de soulagement avant de se dépêcher de répondre.

"Le Loyal Paladin se situe du coté des arcades. Vous n'avez qu'à prendre la première rue que vous voyez ici et vous la longez. Ensuite, vous verrez les arcades et vous ne pourrez pas manquer la taverne."

[Hurleuse]

"Merci m'sieur de la garde ! J'dois dire que votre accueil est fort agréable, si on met d'côté l’investigation sur les barbes."

Avec un large sourire et un hochement de tête, Helja se mit en route vers le Loyal Paladin.

[Brutus]

L'arrivée de Pisca Délorcoth a Manost.

Ainsi donc la voici la fameuse cité"Bénie"qui aurait perdue sa divinité lige?Manost dont on ne cesse de vanter la droiture et l'humilité dans l'archipel des moonshaées et en Faerun,ça sera intéressant d'explorer cette cité étonnament bien grise au niveau de la couleur de son architecture bien que visiblement très guerrière...Voila les pensées de la Bardesse Tritonne Pisca Delorcoth...Magnifique femme a la chevelure rousse flamboyante aux yeux bleus clairs et aux oreilles aussi pointues qu'une elfe...Ses mains douces sont palmées tiennent la balustrade alors que bien des marins et des passagers masculins ne peuvent résister a jeter un regard sur cette magnifique femme vêtue a la mode orientale...Certains des hommes qui sont en couple ou mariés se savent avoir le regard jaloux ou dédaigneux de leurs compagnes sur eux...Cela amuse Pisca qui a profité d'un mois et demi de traversée depuis Caer Corwell...

C'est sur le trois mât appelé le "Chevaucheur du vent" et qui fait ses manœuvres d'appontage que l'étrange bardesse arrive dans le port de la Cité Bénie....


Une bonne demi heure plus tard,Alors que le navire est a quai et que les marins se préparent a décharger les marchandises,Que Pisca comme bien des passagers débarquent du navire...La Bardesse semble observer son environnement tandis qu'elle patiente tranquillement alors que plusieurs passagers semblent être interroger par des douaniers...Du moins c'est ce qui semble être.

[Mortis]

Un cité de gris et d'acier comme est parfois décrite Manost... le temps lui aussi était à la grisaille... il y avait pas mal de vent sur le port, l'odeur de la marée chatouillait les narines.

Un des passagers était entrain de vomir de façon tonitruante, par dessus le bastingage. L'homme avait été malade tout au long de la traversée.

L'un des marins, le quartier-maitre Berund, certain de faire de beaucoup d'esprit lança :

- Alors Sire Ignacio, On lâche du leste ?

Les autres marins, mousses et autres passagers riaient ou tout du moins souriait, à la situation.

L'homme en question semblait être un officiel Cormyrien, Messire Ignacio Mornelay, visiblement pas insensible au charmes de Pisca au vue de son sourire aimable et de ses regards insistants... entre deux projections clapoteuses, qui le prenait parfois au milieu, d'un repas, d'une discussion, ou de n'importe quelle activité.

L’équipage était entrain de jeter l'ancre, on voyait déjà les garde tout de métal vétus, attendre le debarquement

[Brutus]

"Allons,Ce pauvre sire est malade,Tout le monde ne peut être a l'aise a naviguer les océans."

Répondit Pisca qui semblait s’inquiéter de l'état de santé du Cormyrien,Sire Ignacio,Oui elle se souvient de lui,Elle avait jouée quelques uns de ses chants et sagas a bord du navire et il lui avait été si facile de charmer cet homme,Il restait a savoir si cela serait similaire en cette cité...Au vu de l'averse qui se prépare...La Tritonne sortit un parapluie oriental de couleur rouge cerise...et voyant que la queue des passagers entrain d'être moins longue,Elle s'avança de quelques pas,Ayant déscendue enfin de la passerelle et ayant enfin mise pied a terre.

[Mortis]

Sire Ignacio suivit Pisca dans la descente, il était presque aussi vert qu'elle était bleue. Retrouver la terre ferme lui fit retrouver des couleurs... pendant que la bardesse se retrouvait face à un garde, la mine patibulaire du soldat de la garde, aimable comme une porte de prison. Machoire carrée, petit yeux, moustache imposante, la quarantaine facile. Il fit une mine suspicieuse en voyant la bardesse.

- Nom. Raison du séjour. Raison de cet accoutrement. Choses à déclarer.

Loquace, aimable et visiblement ouvert d'esprit !

[Brutus]

Encore un garde...Zélé...Pathibulaire et aimable comme une herse de place forte...cela lui rappelait la cité des pièces...il y a quelques années...pourtant c'est avec un joli sourire avenant que Pisca se présenta le plus naturellement du monde.

"Oh,Je me nomme Pisca Délorcoth,Je suis une Tritonne,Je parcours le monde de la surface par curiosité et également pour enrichir mes balades et chansons,Je suis Bardesse de profession,Du reste ma tenue s'appelle un Kimono,Toutes les dames du continent de Kara tur en portent,C'est l’équivalent d'une robe pour les Dames de l'ouest,Du reste,Voici mes possétions,Un Biwa,*Montre son instrument a corde.*,Un parapluie,Un Wakizashi,Un sabre court,En somme l'équivalent d'une épée courte si vous préférez*montre l'arme en question.*..Une dame doit se défendre en ce dur monde,Une lampe a Huile Zah karienne...Quelques rations de voyage...Mon nécessaire de beauté,Ma brosse a cheveux et quelques autres petits éffets personnels Sire garde,Rien d'autre a déclarer."

Répondit la Tritonne avec sincérité,Visiblement elle n'avait pas raison de mentir...Même si intérieurement elle ne ressentait que mépris envers ce garde qui devait se sentir important juste par son pitoyable grade...

[Mortis]

La bouche du garde fit une moue dépréciative. Il désigna tout d'abord le washizashi...

- Pour vous défendre appelez la garde, l'usage des armes est interdite en ville, surtout pour les femmes...

... Il désigna ensuite le kimono...

- Votre tenue n'est pas réglementaire, achetez-en une conforme, pour votre séjour.

... Et enfin son instrument...

- Les bardes, et artistes ne peuvent pas exercer sans l'accord des autorités, demandez une autorisation ou abstenez vous.

Effectivement, un homme aimable...

[Brutus]

Effectivement...Porter une arme étant une femme est interdite,exercer le métier de barde est apparemment fortement réguler...et porter un kimono est quasi interdit....Cela fait beaucoup de points négatifs pour la dite "cité Bénie"Mais soit,Pisca ne se laissa pas démonter et demeurait souriante envers le garde des plus pathibulaires.

"Oh je vois...Savez vous les métiers qu'une femme peut exercer en cette cité et l'adresse d'un bon tailleur je vous prie?"

Demanda la Bardesse Tritonne au garde.

[Mortis]

(HRP Best PNJ ever ! )

Pisca remarqua que le garde regarda les autres, et se retint de dire quelque chose de désobligeant, quelques dans le genre "s'occuper de la maison femme !"... mais préférant sans doute éviter le scandale, il éluda la question.

- Vous pouvez vous rendre aux Arcades, le quartier commerçant de la ville... Trouvez un tailleur là bas, ainsi que du travail...

Il désigna du pouce une grande rue, avant de saisir un palimpseste et d'inscrire quelques chose dessus, et de rajouter.

- Circulez.

[Brutus]

"Je vous remercie Garde,Bonne journée."

Lui répondit Pisca en le saluant et en partant enfin pour se diriger vers les arcades de la cité...Et regarde le morceau de parchemin pour voir ce qu'il avait griffonner...

[Mortis]

Le garde ne lui lâcha même pas un regard et enchaina ensuite avec sire Ignacio, qui était à peine mieux traité, lui aussi portait une tenue bariolée.

le parchemin contenait simplement son nom "Pisca Délorcoth" et une vague description :"tenue exotique, barde, armée" rien de plus.

Pisca, pouvait maintenant continuer son chemin jusqu'au quartier des arcades.