Et comme dit à l'époque, ça existe effectivement, mais quand c'est le cas, c'est le cas à partir du second opus
En ce qui me concerne, toujours, le seul exemple que je connais de série de jeux où il y a à la fois des trucs qui n'ont rien à voir et des suites, c'est Final Fantasy, et on a une convention de nommage claire (FF 7, 8, 9, 10, 10-2). De saga qui ont commencé par faire un 2 qui soit la suite directe du premier, puis décidé brusquement ensuite qu'en fait le 3 n'aurait rien à voir, je n'ai jamais entendu parler de ça, alors, si vous avez des exemples, perso, je les veux bien.
Edit : ah, si, j'en connais une, en fait. Je n'y ai pas joué, mais de ce qui me semble, King's Quest : Masque d'éternité se passe du côté de Daventry, mais il me semble qu'il n'est pas directement en lien avec Graham et sa famille et que le mode de jeu change par rapport aux opus précédents. Mais justement, son nom officiel ne comporte pas de numéro, alors qu'ils auraient pu l'appeler « King's Quest 8 ». Donc ça plaide encore pour le fait que, si on change de relation entre les jeux, on change de convention de nommage.
D'autant que BG2, qui explore une région différente, même si proche, nous prouve que la saga n'est en fait pas directement liée à la Porte de Baldur, que Neverwinter Nights et Icewind Dale nous prouvent que des jeux dans grosso-modo ce coin-ci des royaumes oubliés peuvent s'appeler différemment, et que (pour ajouter un truc qui n'avait pas déjà été dit à l'époque), Pillars of Eternity nous prouve qu'on peut vouloir faire un « fils spirituel » sans faire de la nécromancie sur le nom.
Donc moi, tout ce que j'en dis, c'est que, si les règles de jeu changent (on avait déjà D&D3 à l'époque, maintenant on a la v5), que l'époque change (115 de plus, comme ça a été dit), que l'histoire n'est plus la même ou au moins que les persos principaux disparaissent, et que d'ailleurs les boîtes qui gèrent ça ne sont plus les mêmes et qu'on est des plombes après, bah si vous voyez une raison logique d'appeler ça « Baldur's Gate 3 » autre que de surfer sur la vague de nostalgie pour se vendre mieux, donnez-la