C’était un grand jour, tout le Thetyr était en fête, nous avions réussit à mettre fin à la conspiration des calimshites et des adeptes de Talona, nous avions libérer la princesse du Cyriana Rhindaun du Thetyr. en remerciement de notre bravoure, nous reçûmes tous une récompense à la hauteur de nos exploit, Richesse et gloire. la consécration d'une longue aventure, qui avait connu son lot de disputes, de surprises et aussi de drame.
A titre personnel je reçus le titre de "Chevalier honoraire de l'ordre du Calice-argenté", une quantité confortable de richesse, ainsi que le choix de prendre une arme dans l'armurerie palais royal. Au delà des honneurs que l'on nous rendait, et de nos fontes que l'on remplissait, je devais avouer qu'une nouvelle arme était la bienvenue ; en effet lors de l'affrontement final qui avait permis la libération de la jeune princesse Cyriana Rhindaun, ma fidèle épée "Revêche" se brisa lors de la mise à mort du félon Amnien Marbregris, cette perte me touchait j'avais combattu et occis moult fois avec cette rapière, et il s'agissait d'un présent de celui qui m'avait instruit le métier des armes, je décidais de la garder même brisée, un élan nostalgique pourrait-on juger, mais je ne pouvais plus l'utiliser. J’acceptai donc cette offre d'une nouvelle arme avec reconnaissance.
Je fut mené avec mes compagnons à l'armurerie du palais royal, chacun pouvant se munir d'un objet de leur choix. Contemplant les râteliers d'armes de l’armurerie, quantité d'armes de qualité, de maitre, voire magiques défilaient devant mes yeux, Des épées de toutes formes et tailles, des arcs, des cimeterres, des lances, des marteaux et masses... cette vu me laissait un peu embarrassé devant tant de choix... Mais une arme finit par attirer mon attention, une lame dont l'aura magique faisait écho dans mon âme, une épée dont les caractéristiques correspondant à la description d'un objet que toute ma lignée pensait à jamais perdue ; "Honneur" l'épée du fondateur de notre maison se trouvait là devant mes yeux.
Il s'agissait là d'un signe à n'en point douter, ma déesse, le destin m'avait mener ici. je me saisit de l'arme non sans une émotion retenue, je remerciais la couronne du Thetyr de leur bienveillant, partageant avec eux la raison de mon émoi, et déclarant qu'en voulant me donner un présent, ils venait de s'attacher la reconnaissance de ma famille.