Jack The Ripper a écrit :Ah oui mais non, moi je suis hétéro, désolée.
Rhofl, quel esprit étriqué !

Le 21ème siècle sera bissexuel ou ne sera pas ! (ou pas !!!!!)
Concernant le scénario de BG2, certes il est pas super génial mais il est bien raconté et visuellement, c'est intéressant de suivre les cutscenes et de se laisser porter par les ambiances de tous ces lieux qu'on traverse. (Suldanessalar reste une magnifique cerise sur la gâteau pour tout joueur qui aura fait tout SoA.)
Outre le scénario de base, il faut ajouter tout le chapitre 2 avec Atkhatla et les terres voisines, qui offre des quêtes et des aventures variées et captivantes où challenge et ambiances s'entrecroisent parfaitement.
Et enfin, les PNJ recrutables, bien qu'inégaux, sont charismatiques et les romances sont un plus très appréciable (Qui n'est pas tombé amoureux de la petit Aerie ? Ou du beau Anomen ? Hein ? Osez le dire en face...

)
Toute cette richesse combinée donne une magie particulière au monde de BG, magie que je n'ai jamais retrouvé dans un ID par exemple, où l'esthétique est là mais où il manque le petit plus qui fait vibrer.
Alors c'est vrai que depuis la sortie, et au bout de la 30ème partie, cette magie s'est usée, et maintenant on passe devant les décors sans vraiment y faire attention.
Mais souvenez-vous de votre première partie, de ce que vous avez ressenti la première fois que vous avez découvert chaque lieu, chaque personnage.
Ce qui m'avait le plus frappé, c'est quand j'eus fini la démo de BG2 qui comprenait le donjon d'Irénicus et la cutscene où Imoen se fait capturer et que ça s'arrêtait là... Et là, ce besoin urgent de courir acheter le jeu pour avoir la suite ! Pour voir ce qu'il se passe après ! C'est quoi cette ville où on vient de débarquer ? Ca a l'air joli, y a plein de gens, je veux la suite !
Bref... petit aperçu de mon ressenti intérieur juvénile de cette époque
